Étudiante Dans Le Pétrin Aime Se Faire Pétrir
Journée de mai, début d'été, mes pas se succèdent l'un après l'autre sur le goudron. J'arrive à ma destination, enfin, je gagne la station de métro. Sourire de sphinx sur mes lèvres ourlées de rouge, lorsque je repère déjà un regard sur mon allure. Il faut dire qu'il est dur de ne pas remarquer ces petits détails sur moi. Mes cheveux châtains clairs encadrent mon visage en forme de cur et tombent, bouclés, jusque sous ma nuque. Mes yeux couleur noisette pétillent de malice. Mais surtout, on remarque ce débardeur que je porte, top moulant à la teinte immaculée que mon bonnet C étire, petit haut qui souligne mes tétons libres de tous sous-vêtements. Tous, oui, car il n'y a point de dentelle ni de coton sous la jupe que je porte.
C'est une jupe aux allures de coquelicot, courte, légère et écarlate, qui dévoilerait beaucoup de mes jambes pâles si ces dernières n'étaient pas moulées par une paire de hautes chaussettes noires. Ma taille est fine, je suis frêle et menue, air de gamine avec mes Converses vermillon. C'est risqué, c'est vrai, de faire ceci en allant à l'Université, mais l'ardeur bouillonne depuis trop longtemps dans ma chair. Je m'engouffre sur le quai, où l'on peut déjà voir des employés de bureau se rendre au travail, avec leurs costumes bien repassés, leurs vies lisses, calmes et normales. Parmi tous ces hommes, aux quotidiens si sages, je sais que nombreux ont remarqué à quel point j'étais aguichante, lorsque le métro est arrivé et que je n'ai pas empêché son passage de soulever ma jupe.
Je le sais, car lorsque je me glisse dans train, il ne sécoule pas plus de cinq minutes avant que je ne sente lun dentre eux se blottir contre moi. Sa main taquine vient caresser ma cuisse du bout des doigts, comme sil sagissait dun accident. Je ne pensais pas quils mattaqueraient aussi vite, ces hommes ennuyeux, mais cest une bonne surprise de sentir aussi vite le nectar maculer mes pétales. Mon cur bat la chamade, souffle court lorsque cet inconnu glisse son index sous ma jupe, jai linsolence décarter un peu plus les cuisses et je lentends, amusé, qui rit contre ma nuque.
Le bouche à oreille attire deux nouvelles paires de mains, une qui sattarde sur mes cuisses et une qui vient tirer mon petit débardeur vers le bas pour me exposer ma poitrine. Linattendu mexcite terriblement, je me laisse faire avec un léger soupir dextase qui déclenche lamusement de mes amants du jour et dun public que je navais pas remarqué auparavant. En effet, pour me garder hors de la vue du commun des mortels, des hommes mont encerclé. Je reconnais parmi eux Marc, un ancien camarade qui a été dans ma classe pendant trois ans au lycée, une main occupée à astiquer son membre et lautre tenant un portable braqué sur moi. Cest à ce moment là que je me rends compte de mon peu de contrôle sur la situation.
Il y a du mouvement dans la foule qui mentoure et je commence à prendre un peu peur. Mais ils sont de plus en plus insistants, les pervers autour de moi, je sens des salves crémeuses sécraser contre mes cuisses. Leurs doigts sexcitent, sagitent, deux sinfiltrent dans mon petit cul serré et je serre les dents pour ne pas crier. Jentends des murmures autour de moi. Les hommes minsultent grassement, font des commentaires sur mon intimité. Emportée par ladrénaline, le jus damour maculant mes cuisses, je soupire et réponds à leurs mots dune voix extasiée. Oui. Cest moi. Je suis une salope. Baisez-moi. Cela semble les exciter et ils accélèrent dun coup la cadence.
En moins dune minute, ma jupe a disparu et je suis à genoux, un membre épais enfoncé dans la bouche. Il semblerait que sur le quai, plus dhommes que je nen avais perçu aient vu mon intimité. Jai du mal à me concentrer sur le nombre de queues qui mentourent, mais lorsque je relève le regard, je croise celui, lubrique, de mon ancien camarade, qui braque lobjectif sur moi et me murmure un petit « Suce, salope » entre deux va-et-viens de son poignet.
Autour, les autres passant semblent avoir un peu remarqué le manège, plus dhommes mentourent et des femmes descendent vivement, probablement par dégoût ou peur de subir mon sort. Moi ? Je ne ressens pas la peur, trop excitée par la dopamine qui se déverse dans mon sang à grands tonneaux. Je me laisse complètement aller à soupirer et gémir de plaisir, à les encourager en ondulant. Et dun coup, on matt à nouveau et je sens une vive douleur. Marc vient de glisser son membre épais dans mon cul. Un cri méchappe, un cri qui déclenche lhilarité des autres hommes. Maculé de sueur, mon haut blanc est devenu inutile et ils me le retirent comme ils mont retiré ma jupe.
Je jouis une première fois, les hommes applaudissent. Ils continuent de pincer, caresser, tripoter mon corps, alors même que mon ancien camarade de classe mencule à grands coups de bassin. « Jai toujours su que tétais une putain de salope, traînée ! On va te baiser jusquà ce que tu puisses plus marcher, sale pute ! » hurle-t-il dans le wagon, par dessus mes cris. Encore on me manipule et cest cette fois un homme qui pourrait être mon père qui sapproche, pour glisser son chibre dans mon intimité ruisselante. Il éjacule rapidement dans mon ventre, puis tous se succèdent. Emportée dans une frénésie lubrique, je me laisse faire comme une poupée de chiffon.
Cest au terminus que je reprend mes esprits. Tout le monde est parti, ou presque. Il ne reste que Marc, qui me regarde avec un grand sourire, son portable dans la main et mes pauvres vêtements trempés de sueur et de foutre dans lautre. Je suis nue, couverte de sperme entre deux sièges, il me fait mhabiller et me donne des mouchoirs. Je suis dabord surprise, car je navais jamais véritablement été en bon terme avec lui.
« On va faire un pacte. Tu deviens mon esclave sexuelle, sinon jenvoie cette vidéo sur internet et à tous nos amis de lycée. Deal ? »
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