La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1226)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode précédent N°1225) -
- Non, narrêter pas... je vous en prie continuer..., l'ai-je de nouveau imploré
J'ai alors à nouveau senti Sa main froide, voire glaciale causée par son état spectral, me caresser les fesses, puis remonter dans mon dos, effleurer mes flancs pour revenir s'amuser avec ma poitrine, y accrochant des pinces, venues elles aussi doù je ne sais où. Pinces dont les mâchoires se refermant sur mes tétons qui marrachèrent de petits cris et gémissements. Des poids venant de lobscurité du fond de la pièce se déplaçaient dans le vide, sapprochant de moi et vinrent s'y ajouter, étirant délicieusement mes seins vers le bas. Après un court instant, les coups reprirent, mais à ma surprise, ils furent plus... cuisants. La température de ma croupe s'éleva rapidement de plusieurs degrés... Cette fois, je fis plus que grimacer. Je me tordis de douleur et poussais des cris en sentant mes fesses prendre littéralement feu. Cela n'avait plus rien avoir avec une flagellation douce et envoûtante. Je me mis bientôt à danser sous les cuisantes volées des lanières qui saccentuaient et plus longues, m'enveloppant la croupe sans discontinue, évasant mes fesses, les contractant, me déhanchant de droite à gauche, exhibant mon fessier arrondi et de plus en plus rougi et meurtri, levant parfois en arrière une jambe ou l'autre, battant des pieds et faisant s'agiter du même coup mes seins et les poids qui y étaient accroché au bout des pinces. Je criais, pleurais, me débattais, implorant en proie à la souffrance, mais aussi au plaisir excitant procuré, complètement affolée, excitée, désirant tour à tour que cela cesse et que cela continue. Ma cyprine me remit à couler sur mes cuisses, javais une envie folle à ce moment dêtre prise, possédée, baisée, besognée, comme une chienne en chaleurs, par le spectre du Marquis que les slaves de Ses fouets étaient réveillaient en moi, des pulsions animales et primitives de copulations torrides
La musique de mes plaintes et gémissements accompagnée des claquements des gerbes de cuir sur ma peau, ainsi que la façon dont je remuais, devait être particulièrement suggestive et excitante pour le Maître impérial en manque qu'il devait être, à Dominer, car il sacharna à transformer ma croupe en véritable soleil rouge brûlant.
Et brusquement, comme si cette forte excitation de mon bas-ventre ne pouvait léviter, une salve de feu d'artifice éclata en moi, emplissant la pièce d'un hurlement, qui couva même le bruit de l'éclatement des lanières sur mes fesses. En transe totale, tremblante, je sombrais dans l'extase, tête renversée, yeux révulsés, bouche grande ouverte sur mes plaintes mourantes. Je n'en revenais pas moi-même ... Je jouissais littéralement de douleurs... Mes cris de jouissance se mélangeaient, se confondaient avec ceux de douleurs
Mon esprit ne captait plus que les orgasmiques décharges électriques provoquées par chaque nouveau coup de fouet. Ces décharges irradiaient tout mon corps, j'étais haletante, toute tremblante et transpirante, les cuisses maculées de cyprine
La sueur me dégoulinait entre les seins, le long de la colonne vertébrale et entre les fesses, pour venir se mêler à cette autre sudation, tout aussi abondante et coulante de mon vagin et me trempait une fois encore l'intérieur des cuisses. Il m'accorda un petit moment de pause, afin de me laisser reprendre ma respiration, mon souffle qui sétait affolé à ce fulgurant orgasme que je qualifierai dexplosif et inédit pour moi. Le temps pour lui d'encercler mes chevilles avec de nouveaux bracelets, y glissant entre-elles, pour bien les séparer, une solide barre au métal ciselé, comme jadis on en fabriquait, et ainsi me contraignant de sorte à garder les jambes largement écartées.
Dans cette posture de crucifixion, pénible, qui m'ouvrait et me livrait, mexhibait plus encore aux yeux du Marquis, qui sen délectait, je fus bientôt dans l'impossibilité de retenir de nouvelles plaintes et gémissements quand il m'offrit de redécouvrir les caresses et les effets claquants et secs du petite bout de la languette de cuir d'une de ses cravaches, qui vint cette fois me frapper les fesses, mais également le dessus, le dessous et les cotées de mes seins, mes aisselles, mon ventre, mes hanches, mes cuisses, mon sexe... marquant à chaque fois d'une sensation brûlante ma peau blanche de rectangles rose-rouge. Une tapette double remplaça aussitôt la cravache, m'échauffant et colorant ma peau plus intensément, suivis en retour d'un de ses martinets dont les lanières se relancèrent douloureusement sur ma croupe déjà tant meurtrie, mais également mon dos, mes seins, mon ventre et encore mon sexe, me faisant crier et hurler, en me tordant dans tous les sens, en proie à une souffrance atroce mélangée dune extase surprenante dexcitations. Je ne me savais absolument pas du tout masochiste, avant ce jour, je me découvris ainsi et vivais donc pleinement les plaisirs incroyables que la douleur et lexcitation engendrée par celle-ci, procure. Je nen reviens toujours pas dêtre cette maso insoupçonnée que je suis devenue ou que jétais depuis si longtemps sans le savoir
Et oui, c'est peut-être dur à croire ! Mais malgré les heurts, malgré la douleur couvrant sur ma peau, je me sentais bien. Je me répète, mais jamais je n'aurais pu imaginer qu'être cravachée et fouettée de la sorte pouvaient m'offrir et me donner autant de plaisirs jouissifs... J'étais à ce moment-là sur le point de jouir une deuxième fois, quand il sarrêta brusquement, me laissant haletante et gémissante, toute tremblante en pleurs. IL attendit que je me fusse calmée, pour abaisser quelque peu le palan et soulager la tension de mes bras.
Je supposais quil allait me prendre facilement mon pucelage anal de Son sexe inexplicablement chaud et me défoncer la porte de ce bastion jusque-là interdit pour en prendre possession. Toutefois à mon grand étonnement, il glissa dabord Sa verge plus bas, pénétrant mon vagin trempé avec une telle envie que j'en criais déjà de plaisir, m'offrant là une nouvelle jouissance pratiquement sans tarder, juste après quelques allers et venues par Ses coups de reins vifs et profonds. Il me laissa guère le temps de m'en remettre allant et venant encore en moi sans sarrêter, accentuant même les mouvements, virilement, profondément. Cette saillie vaginale réveillait en moi de nouveau mes instincts les plus primitifs. Écartelée, possédée, bien remplie, bien baisée, je jouissais fortement à crier de sorte que on maurait entendu dans toutes les pièces du Château. A la peur et à la douleur du départ se mêlaient à présent le désir et le plaisir. Je n'étais plus qu'un corps comblé de soumission et de jouissances qui ne sinterrompaient pas car mes orgasmes senchainaient à nen plus finir, au fil de sa prise de possession de ma chatte qui lui était pleinement acquise
Au bout dun long, très long moment de cette torride copulation bestiale, il se retira tout en me fessant sans ménagement décuplant encore mon plaisir.
(A suivre
)
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