Manu Nous Étonne
Depuis près de deux ans, Angèle nous parlait de Manu. Manu, cest Emmanuelle. Angèle et Manu se sont rencontrées à Nantes, en première année de fac de Lettres, elles avaient toutes deux dix-huit ans et au premier contact le courant est passé, au point que quelques mois après la rentrée elles ont décidé de se mettre en colocation au prétexte de faire des économies et de profiter chacune dun appartement plus spacieux.
A chacune de ses visites, cest-à-dire toutes les deux à trois semaines, notre fille ne tarit jamais déloges sur son amie. Manu par-ci, Manu par-là, Manu à la plage, Manu à la montagne et à chaque fois, via son compte Facebook, Angèle nous fait admirer sa belle amie et participer à ses quatre-cents coups. Emmanuelle est un joli brin de fille, un corps élancé de longue jambes fines et une opulente coiffure rousse aux formes variées et aux coupes diverses selon la saison ou les événements. Quelques photos de Manu ne laissent rien espérer de sa poitrine très discrète mais soulignent souvent une paire de fesses bien hautes dont la fermeté ne semble pas un leurre.
Un jour enfin, Angèle nous fait la surprise damener Manu en week-end dans notre résidence de campagne. Nous y séjournons le plus souvent possible, mais quand même trop rarement. Il sagit de la maison où je suis né il y a maintenant plus de soixante ans en Touraine et que jai eu à cur dentretenir depuis le décès de mes parents. Aline, ma compagne de 15 ans ma cadette, sy est bien habituée, ses s, Angèle et Sylvain aussi, et nous nous y retrouvons chaque fois avec bonheur.
Larrivée de Manu ne nous surprend pas outre mesure puisque cette bâtisse a toujours eu vocation daccueillir chaleureusement tous nos proches ainsi que leurs amis. Dès son apparition jessaie de contenir une joie intense qui me surprend un peu. Lidée de retrouver cette petite perle dans nos murs ma tout de suite emballé, je suis un intarissable dragueur et je fais fi de toutes les convenances sociales à partir du moment où je fais une fixation sur une personne avec laquelle partager du plaisir me semble tout à fait accessible.
Après les présentations dusage et le coup de main indispensable à la préparation du dîner, nous nous retrouvons tous les quatre autour dune potée aux choux et au lard dont Aline a le secret. La conversation va bon train quand Manu se hasarde à évoquer notre liberté de parole et la quasi-absence de sujets tabous dans les conversations du quotidien. Cest du moins comme ça quAngèle nous avait présentés à sa copine, ce qui, après lavoir étonnée, semblait titiller la curiosité de la jeune fille. Manu sétonne quAngèle et Sylvain, son frère homosexuel, puissent évoquer avec la plus grande liberté leurs histoires de cur et qui plus est, leurs histoires de cul.
- Manu ! Sétonne Angèle.
- Quoi ?
- Je ne tai jamais entendue parler comme ça !
Cette formulation abrupte avait-elle valeur de provocation ? Ou alors sétait-elle exprimée ainsi pour se donner du cur à louvrage et tenter dêtre aussi décontractée que ses hôtes sur des sujets plus intimes ? La suite nous le dira.
Avec Aline, nous sentions, et nous savions aussi grâce à Angèle, que Manu navait pas une sexualité très heureuse en ce moment et elle ne se privait pas den parler dans le détail avec notre fille. Alors, tout simplement, je mengage sur la voie et lui demande :
- Chez toi, tu nas pas lhabitude dévoquer ces sujets en famille ?
- Ah non, surtout pas, « Verboten über Sex zu reden » lance-t-elle dans un grand éclat.
Seule Aline, qui maîtrise encore quelques bribes de la langue de Goethe, explose de rire.
- Et ça te dérangerait dengager une conversation à bâtons rompus avec nous ce soir ?
- Non, Jean-Christophe, pas du tout, il me suffira dimaginer que je suis en train de me confier à Angèle, après tout, vous et elle, cest pareil, non ? Jean-Christophe, je peux te tutoyer ? Ça ne te choquera pas ?
- Pas du tout, cest la règle chez nous !
Aline sans tarder précise quune vie équilibrée ne peut faire abstraction dune seule des qualités et des possibilités que le Ciel a données à notre corps et à notre esprit pour nous procurer joie, bonheur et épanouissement, et affirme quen matière de désir sexuel, il y a longtemps quelle a laissé tomber les limites et quelle est très, très ouverte desprit.
- Tout un programme, commente Manu qui ne sait plus trop comment engager la conversation. Mais à votre âge, il vous arrive souvent de faire lamour ? Interroge-t-elle.
- Certainement moins souvent quil y a quelques années, mais nous sommes, avec Jean-Christophe, assez constants pour nous réserver des rendez-vous coquins-câlins une à deux fois par semaine, reprend lhôtesse.
- Une à deux fois par semaine, quand je pense quil y a plus de deux mois que je nai pas « vu le loup », ça me fait rêver, soupire Manu.
- Je crois, jolie Manu, continue Aline, quil tappartient, et à toi seule de gérer la situation. Si tu nentres jamais dans la bataille de ta propre initiative, aucune victoire ne sera à ta portée.
- Mais encore ???
- Pour être désirée, il faut désirer et pas en demi-mesure. Désirer comme une folle. Il tarrive bien de te masturber et de développer quelques pensées cochonnes, non ?
- Une ou deux fois sous la douche, plus pour libérer rapidement une tension que pour éprouver une véritable jouissance. Dailleurs quest-ce quune véritable jouissance, sexclame-t-elle ?
- Je suis certaine quelle arrive lorsquon ne la cherche pas, continue Aline, seulement lorsque lon reste disponible à toute éventualité, ouverte à linstant présent, sans projet et sans calcul.
- Tu es gentille, Aline, mais je crois vraiment que ta vision du monde est celle dune femme comblée qui sait quil lui suffit de décider pour cueillir la fleur de la jouissance. Mais quand tu meures de faim depuis des semaines, tu ne peux pas denlever de la tête que le premier croûton pourrait te rassasier et tu es toujours aveuglée par ce besoin pressent qui tenlève tout recul et tout discernement. Quand tu rentres dune soirée et que tu termines lamentablement en te mettant un doigt pour seule compensation au manque dinitiative et dempressement des jeunes mâles rencontrés, tu as juste envie de pleurer ou de te péter la gueule avec la demie bouteille de vodka qui te reste dans le frigo.
- « Les jeunes mâles », voilà bien le problème, lancé je, pas complétement innocent au fait de détourner lattention vers moi.
- Tu proposes quoi, Jean-Christophe, que nous nous mettions à chasser du côté des vieux de trente ans et plus ? Mais ça doit être craignos de baiser avec un vieux, tu dois avoir limpression de te faire sauter par ton père ou ton vieil oncle ?
- Manu tu me sembles assez intelligente pour comprendre que tu viens juste de me lister une suite de croyances limitatives qui nont rien à voir avec ton but. Lérotisme, et qui plus est, la sexualité doivent sortir des convenances sociales et bourgeoises pour exister pleinement. Sinon, tu ne vas pas tarder à exclure le cunnilingus, la sodomie, la fellation et même la levrette. Je ne parle même pas de lhomosexualité qui te conduirait alors droit en enfer !
- Tu penses que je devrais plutôt imaginer quavec un vieux piano et une harpe juste sortie de chez le luthier, un concert est possible, lance Manu, sans penser à mal, je présume.
- Limage me semble parfaite et résume assez bien ma trop longue théorie, dis-je presque en mexcusant.
- Ça vous dirait de continuer cette conversation dans le jacuzzi après diner ? Après tout il y a quatre places et cest aussi notre lieu de détente favori, propose Aline, et ça évitera de voir refroidir ce bon repas que je vous ai concocté amoureusement.
La conversation reprend sans trop denthousiasme autour des derniers événements dactualité et chacun semploie à ne pas trop différer ce moment de détente impromptu. Ayant grade de « chef préparateur en spa », dès ma dernière bouchée, je me dirige vers une ancienne dépendance quà grand renfort de sueur et de temps, nous avons aménagé avec Aline en mini centre de thalasso. Piscine chauffée, sauna et jacuzzi et douche réparatrice si nécessaire. Je découvre le jacuzzi et vérifie la température. Elle est parfaite. Je règle les pompes de massage et les pompes filtrantes et pour mieux massurer que tout est OK, je me glisse dans leau en tenue dAdam.
Au bout de dix minutes, Angèle me rejoint suivie de Manu et Aline qui se sont acquittées des dernières tâches de rangement. En nous voyant tous les trois à poil, notre invitée se met au diapason en laissant tomber ses préjugés à côté de ses vêtements. Aline propose à Manu une serviette-turban pour lui permettre denvelopper sa longue chevelure pendant le bain et elle laide à linstaller au mieux. Manu nest pas ce quon peut appeler une bombe, elle a plutôt un corps déphèbe avec des seins minuscules. Sa longue chevelure rousse qui dordinaire couvre généreusement ses épaules est maintenant emballée dans cette coiffe un peu incongrue, accentuant ainsi cette allure androgyne très excitante. Elle vient se poser dans la seule place disponible à côté dAline face à moi. Angèle sest mis un casque sur les oreilles pour profiter en Bluetooth de ses playlists déroulées par son I-Phone déposé à labri des éclaboussures. Nous restons tous les trois silencieux, savourant les premières minutes du bain bouillonnant. Manu ferme les yeux, ne sachant certainement pas quelle est lattitude idéale dans cette situation particulière. A chacun ses pensées.
Manu :
Oh là là ! Dans quel guêpier je me suis fourrée ce soir. Angèle, au secours, ne mabandonne pas ! Elle est belle ta mère. Quel corps robuste et soigné. Et cette poitrine qui relève le nez avec arrogance malgré des seins bien ronds. La toison nest pas en reste, pas un poil qui dépasse et un ticket de métro comme sorti de limprimerie. On en mangerait, on en sucerait. Aline tu me donnes faim !
Angèle :
Bon nous y voilà, Jean-Christophe et Aline vont faire un peu de pédagogie et de travaux pratiques. Jespère seulement que Manu ne pensera jamais que jai tout manigancé depuis plusieurs semaines
et que mes vieux nen savaient rien.
Aline :
Oh petite Manu, quil est mignon ton kiki tout roux !
Pour ma part, je laisse les jets me masser et je me contente de savourer le moment, non sans jeter un il sur Manu dont je sens le corps se détendre. Au point que son pied frôle mon mollet. Dans ce genre de situation, notre contrat, entre Aline et moi est très rudimentaire : chacun pour soi ! Le bras gauche dAline est sous le tapis de bulles et je ne vois pas ce quelle fait de sa main. Elle adore se laisser chatouiller la moule en orientant les jets de manière assez précise et il lui arrive même daller ainsi jusquau bout de son plaisir.
Le pied de Manu va et vient contre ma jambe, nonchalamment, sans but précis, comme si Manu ne savait pas quil sagissait de ma jambe.
- Finalement, je ne reste pas, je suis vannée, nous dit Angèle en se levant et en enjambant le jacuzzi pour séclipser. A demain, Manu, je te laisse en bonne compagnie, tu nas pas peur au moins ? Laisse-t-elle tomber en lui lançant un regard complice.
En sortant, Angèle se met à bricoler les éclairages et nous laisse dans une ambiance feutrée tout à fait agréable. Soudain les pompes à bulles sarrêtent en ramenant le silence. En peu de temps, leau se stabilise et redevient transparente. Je constate quAline na pas perdu de temps et quelle doigte déjà Manu avec grande délicatesse. Le pied de Manu senhardit et remonte maintenant sous mon genou pour gagner le long de ma cuisse. Cette caresse nest pas sans effet et ma gaule se redresse vaillamment. Manu esquisse un léger sourire quand nos regards se croisent. Ses yeux vacillent quand les doigts dAline sactivent plus rapidement. Manu se tend vers Aline pour lui rouler un petit patin tout timide. Il nen faut pas moins pour quline fonde sur la belle et lui happe goulument la langue. Du coup leur étreinte sattarde et le pied de Manu ne bouge plus. Je me caresse le sexe tranquillement quand les filles décident de relâcher leur étreinte. Manu se lève pour sassoir sur les jambes dAline qui lui colle sans attendre la main sur la vulve avec lintention de prolonger sa promesse.
- Que ta peau est douce petite Manu, ton kiki pleure denvie et je vois que Jean-Christophe te prépare un petit cadeau, susurre-t-elle à loreille de la petite.
- Oh Aline, laisse ta main et continue à me triturer le clito, je sens monter ma jouissance. Quelle bite mon Jean-Christophe ! Attend, je vais te faire une surprise.
Manu penche son buste tout en restant sur Aline et dirige sa bouche vers ma trique ragaillardie. A ce moment les jets bouillonnants reprennent du service et cest la tête presque sous leau quelle gobe le gland du maître des lieux. Réalisant son inconfort, je rehausse mon bassin pour lui permettre de respirer et la belle prenant ce geste pour une attente précise senfourne le zob jusquaux couilles, à sen . Au fond, il me semble que Manu veuille aussi prouver que ce nest pas son manque de pratique qui fait fuir les gens de son âge. Tout en pompant ardemment, elle a passé une main sous mes fesses et me titille la rondelle de lindex. Encourageant cette heureuse initiative, je me relâche un peu et la laisse entrer. Cette intromission soudaine me déclenche une bouffée de désir et le doigtage hardi quelle installe à lentrée de mon fion provoque une vague de frissons le long de mon échine, suivie dune explosion saccadée incontrôlable dans la bouche de la petite. Un peu surprise, Manu se relève en crachant le trop plein. Je me confonds en excuses et bonne joueuse, pour me rassurer, Manu vient sassoir sur moi en souriant, face à Aline, objet maintenant de toute son attention :
- Aline, je vais être franche, depuis que je te vois nue, je ne rêve que dune chose : te sucer la chatte. Ce serait une première pour moi, mais ta présence me donne une envie irrésistible de te gougnotter. Tu me laisserais faire ? Semble supplier Manu.
Aline ne répond pas, elle se relève un peu, lentement, et sassoie juste sur le bord du jacuzzi en écartant les cuisses pour soffrir ostensiblement. Manu a compris. Elle rampe à quatre pattes pour poser ses coudes sur lassise doù vient de séchapper Aline et reste un instant immobile, hypnotisée, comme en extase. Cest vrai que la cramouille dAline en jette, un ticket de métro soigneusement entretenu, des grandes lèvres glabres, pulpeuses à souhait, mais tout en finesse, sans débordement excessif. Cet écrin contient la collerette qui enrobe les parties les plus sensibles, aux recoins à explorer tendrement pour accéder enfin au Graal. A la coupe du bonheur.
Manu sapproche, presque timidement et dépose des petits baiser, juste pour avoir cette première sensation, ce premier contact avec linterdit tant attendu. Concentrée, empruntant son chemin de Damas après avoir renié gougnoutes et autres gouines, enfin elle en croque, enfin elle pourra si nécessaire, arborer fièrement le statut de bi. Dans son approche, noyée dans ses sensations nouvelles, Manu en oublie quelle a les fesses relevées sous mon nez.
Aline est touchée par la timidité et linexpérience de Manu mais elle réalise vite que la jeune fille a compris que ce qui peut être bon pour Aline, cest juste ce quelle aime quon lui fasse ou quelle se fait toute seule à loccasion. Elle poursuit son investigation au prétexte de multiplier les petits bisous et Aline sent déjà pointer le bout de sa langue le long de ses plis intimes. Aline mouille. Elle meure denvie doffrir cette première expérience à Manu et elle est maintenant impatiente de découvrir ses initiatives. Manu lèche maintenant sa fente de louverture en remontant vers le clito bouffi dune tension rarement égalée. Manu glisse délicatement un doigt au bord de la moule et constate delle-même quelle est très attendue. Cette invitation patente lencourage et cest maintenant trois doigts qui pénètrent Aline. La main de Manu est très effilée et son poignet moins gros quune bite juste supérieure à la moyenne. De ses doigts elle masse la face interne du vagin, en vis-à-vis du clito et se rend bien compte quelle marque des points auprès de son ainée. Elle gobe le bouton dAline et le fait rouler sous sa langue, son bassin entre en mouvements circulaires comme pour faciliter encore le forçage de son con par la main de Manu. Celle-ci rentre son pouce au creux de sa paume et met son bras en tension et là elle plonge dans le vagin dAline jusquà lui palper le col de son petit poing. Surpris par la douceur cet intérieur inconnu elle engage un lent va-et-vient. Les mains dAline sur son dos en disent long sur la joie quelle lui procure.
Ah ! Quel fessier sublime ! Un cul parfaitement dessiné. Cest ça, un cul de BD, de ceux quon nimagine même pas rencontrer un jour. Les hanches étroites de Manu mettent en valeur les deux lobes rebondis. Au toucher elles sont toniques, fermes et musclées, posées sur le piédestal des deux cuisses proportionnées. Rondes et bien remontées, elles sont une ostensible invitation à la sodomie. Dans cette position féline, la cambrure bien prononcée fait disparaître en plongée la chute des reins. Je nai que ça sous les yeux, cet Alien-Cyclope jailli des ondes, je suis comblé. Sa rosette est au niveau de leau et je lentrevois par intermittence, comme si elle jouait à cache-cache avec moi. Parfois le trait délicat de sa vulve apparait mais sa foufoune demeure sous les eaux. Je parts à sa recherche en glissant ma main le long de sa cuisse pour accéder à lentrejambe. Je ne suis pas bien long à trouver ce petit trésor. Contrairement à Aline, cest vraiment une mouliche d que Manu moffre. Tout est frêle, tout est tendre, tout est doux. Je tends la main en coquille pour contenir tout le sexe de la petite dans ma main et dès que je leffleure, elle manifeste quelques va-et-vient, mencourageant à la caresser. Je prends garde à ne pas froisser trop vite ses parties les plus sensibles et dune certaine manière, laisse toute initiative à Manu. Pour mon confort, je prends appui avec mon pouce contre le petit anneau de Manu, sans précipiter les choses, juste pour voir. Manu est tout affairée à gamahucher Aline, laquelle maintenant affalée sur les épaules de sa partenaire gloutonne sest emparée des tétons de la fille et leur fait passer un sale quart dheure. Elle les roule sous ses doigts, les tiraille, les pinçote.
Japproche mon visage du postérieur en offrande et glisse ma langue depuis le haut de la raie en descendant lentement vers les deux orifices bénis. Je ne mattarde pas trop sur son anus déjà titillé par mon doigt curieux. Jincite Manu à sortir un peu plus de leau. Juste dessous, avant lentrée du vagin, il y a un à deux centimètres de peau très sensible et je memploie à laper cette surface avec lentrain dun chaton dans un bol de crème fraîche. Manu apprécie et se déhanche plus encore pour que jaccède plus bas à sa grotte humide. Quelle saveur ! Ça tient à la fois du fruit exotique juste tombé de larbre et du fruit de mer seulement entrouvert par lécailler. Manu pourquoi as-tu mis si longtemps pour nous rendre visite ?
Nayant rien perdu de la scène entre les filles, tout de même un peu surpris de ce fisting endiablé, je mapplique à respecter la cadence dAline pour pousser Manu dans ses retranchements. Soudain, je vois Aline se jeter en arrière, se cambrer en sappuyant sur ces deux mains pour projeter son bassin encore plus avant, de manière si inattendue que Manu en reculant sest embrochée sur mon pouce et jen profite aussitôt pour la limer comme un furieux. Aline na jamais eu lorgasme discret, mais là
Mais là
. Cest quelque chose ! Manu a compris quAline en redemandait et elle la pilonne et la dévore en même temps, lui tourne le clito en bourrique et lui fait gicler la moule dans sa bouche.
Je poursuis ma participation à cette symphonie en gardant le tempo et menhardis en me mettant à genoux derrière Manu, lui prodiguant toujours une caresse anale appuyée. Ma verge commence à reprendre de la vigueur et léventualité même que je pourrais enculer Manu fait le reste. Je sors mon pouce et applique ma pine à lentrée de ce cul ferme et presque juvénile. Manu ne fait pas de manières, elle se relève un peu en écartant de ses deux mains les fesses et me laisse entrer. Labsence de lubrifiant ne facilite pas trop les choses et je minquiète déviter de la faire souffrir, mais au balancement de sa croupe je mautorise à menfoncer plus avant et très vite à la bourrer comme une truie. En lattrapant par les hanches et aussi du fait de létroitesse du passage, lidée que jencule un jeune ado me traverse lesprit en décuplant mon excitation.
Ny tenant plus, mais soucieux de partager ce feu dartifice, jentreprends de passer ma main sur le bourgeon de Manu comme on le ferait sur un détonateur. Je sens aussitôt les contractions du bassin de la fille alterner avec la pression de son sphincter sur ma bite, je coulisse maintenant avec la ferme intention de faire monter la belle dans les nuages. Soudain, Manu se fige en tension, se raidit comme un arc prêt à éjecter sa flèche et hurle de tous ses poumons : Viens bordel, viens ! Je mexécute sans cérémonie, la tirant violemment vers ma hampe, je pousse aux tréfonds de son cul et jouis dans les tripes de Manu.
La petite ne fait plus de bruit, son corps nest que soubresauts et convulsions, elle sagite tellement quelle en déchausse ma bite, ramollie certes, et je vois dégouliner le trop plein de semence en me rasseyant. Hébétée, elle fixe Aline comme une apparition de la Sainte Vierge et pour la ramener à la réalité son aînée lui roule une pelle magistrale en la retournant lentement sur son assise initiale. Le turban sest défait avec le poids de leau et des mèches rousses se rependent en surface, agitées par le bouillonnement. Manu me regarde avec un léger sourire, presque empreint de lassitude. Nous convenons quil est temps de prendre une douche et de regagner nos pénates.
- Manu, je nai pas eu le temps de préparer la chambre damis, ça ne te gêne pas de dormir avec Angèle ? Demande Aline qui connait déjà la réponse.
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