Le Consultant
Cinquième réunion de suivi de projet en 1 mois. En ce début juin, on continue à mettre les bouchées doubles pour que tout soit prêt à la rentrée. Cest dur mais intéressant, et puis les consultants qui nous aident sont vraiment bons. Ça me surprend dailleurs, par ce quen bientôt 25 ans de carrière, jen ai vu des jeunots qui venaient nous dire comment faire sans avoir aucune expérience ! Mais là le Chef de Projet sait ce quil raconte cest clair. Le courant passe très bien entre nous : je reconnais en lui quelquun qui sait de quoi il parle et qui a du recul pour nous conseiller, et il voit bien en moi ce que je suis : un professionnel senior qui a bâti sa carrière sur son sérieux et ses connaissances pointues.
A 47 ans, jai tout pour être heureux, une femme formidable, un job où je me donne et qui me le rend bien. Je suis en pleine forme et jy tiens, je vais à la piscine à 3 stations de métro du boulot 3 soirs par semaines, et je suis plutôt content du résultat : 1m77, 69 kg de muscles bien dessinés qui font se retourner des filles, et aussi des mecs
Dans les vestiaires communs de la piscine où je vais dans le 12ème arrondissement de Paris, il y a uniquement 3 cabines, et la majorité des gars nattendent pas quune cabine se libère, et ils se mettent à poil. Et je vois bien que certains sont là pour mater. Dautres pour se montrer. Javoue que moi cest un peu les deux, et jy prends même un certain plaisir. Entendons-nous bien, jimagine bien que ça peut draguer ici ou là, moi ce nest pas mon cas. Je veux juste me montrer parce que je suis plutôt fier de moi, de mes muscles, de mes abdos, de ma bite de taille plutôt au-dessus de la moyenne, mise en valeur par une absence de poils, décidée en commun avec Madame avec qui on est assez branché sexe oral. Et jaime bien mater des mecs aussi, mater leurs culs et leurs bites, même si là cest un peu mon jardin secret : quand javais 20 ans, jétais timide, et je me suis cherché.
Donc jaime mater les beaux gars du vestiaire, et quand jen vois deux qui se plaisent et qui se draguent, javoue que ça mexcite. Je nai par contre jamais été tenté plus que ça pour aller plus loin avec un autre homme depuis que je suis marié, on sentend très bien avec ma femme et depuis le temps, elle a même compris ce qui me conduis inévitablement et rapidement au 7ème ciel : un doigt dans le cul qui vient exciter ma prostate quand elle me suce la bite. Une fois de temps en temps, jai droit à ce traitement de faveur. Et des fois, quand elle a envie daccélérer ma jouissance alors que lon finit un bon vieux missionnaire, rien que le fait de rapprocher ses mains de mon anus et de le toucher du bout des doigts, ça me fait jouir très vite. Elle aime mavoir à sa merci et ne pas uniquement jouir à mes sollicitations, de la langue notamment. Je suis visiblement un expert en le domaine, et je ne men prive pas pendant les fameux préliminaires, mais aussi parfois quand jai joui un peu trop vite et que je veux me faire pardonner : ma femme adore se faire lécher le minou une fois que jai déchargé dedans, et elle jouit immanquablement quand je viens fourailler ma langue en elle et lécher mon jus.
Quand Jean, le chef de nos consultants, minvite à prendre une bière un soir en sortant dune réunion difficile, jaccepte bien volontiers, dautant quà 35-40 ans, il est au mieux de sa forme et je sais que jai déjà admiré son corps parfait, sa fossette sur la joue gauche qui lui fait un si joli sourire, et aussi son paquet bien mis en valeur dans un jean, souvent de couleur rouge. Je lai donc bien évidemment remarqué, mais sans rien imaginer pour autant. Je prends place en face de lui en toute quiétude, lui accordant par avance 1/2h de mon temps avant tout par courtoisie et respect de lexcellent travail quil accomplit. Après quelques mots échangés sur le boulot et le projet sur lequel on bosse, il vient à aborder un sujet qui me prend par surprise :
- Alex, je crois quon a un point commun pour les loisirs ?
- Ah bon ?
- La piscine. Je suis sûr que je tai vu à la piscine Roger LeGall hier soir, tu y étais ?
- Ca alors ! Oui, je vais nager là-bas 2 ou 3 fois par semaine. Je ne tai jamais vu Jean
- Cest souvent le problème de voir les gens dans un contexte qui nest pas habituel. Et puis en maillot de bain avec des lunettes de piscine, pas facile.
- Cest vrai.
- Mon il a dabord été attiré par ton slip de bain rouge, en fait jai le même mais en bleu, et ton crawl impeccable. Et puis après dans les vestiaires, sans les lunettes, je tai tout de suite reconnu. Et je tai vu sans maillot non plus, ce qui na pas manqué dattirer mon regard, avec ton corps parfait et ton joli paquet
Ahah !
- Merci pour le crawl, jai pris des cours de perfectionnement il y a 5-6 ans et depuis je pratique régulièrement. Maintenant que je sais que tu as le même maillot de bain que moi en bleu, je suis sûr que je te repèrerai. Pour les vestiaires, cest plus délicat, vu quil y a pas mal de gars à poil, je naimerais pas que mes yeux qui cherchent soient mal interprétés
Tu fais partie de ceux qui se mettent à poil ou de ceux qui se contorsionnent sous leur serviette ?
- Je fais comme toi, vieille habitude de vestiaires entre hommes !
Après cet échange quil termine par un clin dil, on continue à bavarder, mais alors quil me fait un grand sourire à propos de je ne sais plus quel sujet, je sens sa jambe qui se colle à la mienne.
- Attention Alex ne bouge pas, je sais que cest un peu serré, mais je suis sûr que ça va passer
En fin de réunion, on se retrouve pour échanger, et je sens bien quil est quelques centimètres pus près de moi que ce que lon peut pratiquer dhabitude. Impensable de reculer, je ne dois pas céder de terrain et montrer mon embarras, voire mon trouble, car je suis troublé, je le sais bien. En fin de conversation, il me saisit le bras :
- Je vais à la piscine en sortant, toi aussi ?
- Oui, jai prévu dy aller, juste le temps de faire mes 2 kilomètres, je ne dois pas rentrer tard ce soir.
- On sy retrouve là-bas ?
- Yes, ça marche !
Jai trop envie de le voir. En maillot, et à poil aussi
Je ne le vois pas en arrivant, mais je le retrouve dans leau en faisant mes longueurs. On échange quelques mots en faisant une courte pause. Là aussi, il est très près de moi, et je peux dailleurs admirer son corps à la fois fin et aux muscles très bien dessinés. Cest vrai quil est beau ! Je me sens véritablement comme attiré vers lui, cest incroyable. Je retourne vite nager tant je sens que je pourrais me mettre à bander dune seconde à lautre. Mais il me retrouve quand je sors de leau et que lon passe sous les douches. La nudité est normalement interdite sous les douches, mais une bonne partie des gars se rince sous le maillot sans se cacher, et les maillots de bain laissent deviner souvent des belles fesses et des beaux paquets. Jean semble dailleurs plutôt bien doté de ce côté-là, comme moi. Pendant tout ce temps sous les douches, mon maillot a pu contenir ma queue, mais jai un peu peur pour les vestiaires, et finalement, plutôt que de prier pour que lon soit côté à côté pour pouvoir le détailler, je prie pour que lon ne soit pas dans la même allée
Loupé, on se dirige vers le même pavé numérique pour ouvrir notre casier
- Je tavais vu dans ce carré la dernière fois, je my suis mis aussi pour ne pas quon se loupe ce coup-là !
On ne peut pas se louper cest sûr, on est à côté ! On est seuls dans cette allée, il enlève son slip de bain avant même de composer son code pour ouvrir son casier. Je préfère faire les choses dans lordre de mon côté, mais une fois devant mon casier ouvert, je fais tomber mon maillot, qui libère une ma bite pas complètement au repos. Je fais comme si de rien nétait, et lui non plus. On est à quelques centimètres lun de lautre, et on se sèche avec notre serviette. Il est face à moi, sans pudeur. Je ne peux pas lui tourner le dos, ça serait faire preuve de faiblesse. Je ne veux pas me mettre de côté, jai peur que ma bite un peu gonflée ne se remarque trop, et je lui fais donc face également. Jaime bien me montrer aux inconnus du vestiaire, mais là ce nest pas un inconnu, et je suis gêné même si jessaie de ne pas le montrer.
- Bouge pas Alex, je dois prendre mon déo.
Il se rapproche de moi pour atteindre son casier et glisse légèrement sur le sol mouillé. Il se raccroche à moi pour ne pas tomber, et nos deux corps nus se touchent.
- Oups désolé Alex, jai glissé, encore heureux que tu étais là, jaurais pu métaler par terre. On na plus quà se rhabiller, on pourrait presque se méprendre
Il reste serré contre moi tout le temps de me parler en me fixant bien dans les yeux. Je sens que je rougis, jamais ça ne marrive pourtant, et jai maintenant une véritable demi-molle
Je prends mon boxer dans mon casier, que jenfile au plus vite. Jai limpression que je suis une jeune fille effarouchée face à un beau jeune homme qui lui signifie quil la désire. En quelques minutes, je suis passé de Monsieur bien installé et sûr de lui, à mec qui se la ferme, et qui plus est face à un consultant que ma boite paie ! Comment ça a pu dér comme ça ? Bon, on finit sans trop se parler, juste 2-3 banalités, et on se retrouve à la sortie. On est vendredi, et je ne dois pas le revoir au boulot avant mercredi prochain, cest très bien comme ça. Peut-être même que je vais ne pas aller à cette réunion, mon adjoint fera laffaire. Il me met mal à laise, et pourtant il mattire. Mais cest peut-être parce quil mattire que je suis mal à laise ?
- A la semaine prochaine et bon week-end Alex, je vais devoir travailler un peu pour toi dailleurs.
- Profite un peu quand-même, cest important de se reposer le week-end.
- Cest vrai, cest pour ça que le sport est indispensable dailleurs. La piscine ce soir cétait vraiment top, je crois que je vais augmenter la cadence. On se retrouve ici lundi soir ?
-
Bonne idée, OK.
Merde ! Il insiste et je ne peux pas me défiler. Je décide finalement de décaler ma venue à la piscine, et je lui envoie un courrier pour lui dire que cest bien dommage, mais que jirai au moins une heure plus tard à la piscine et quon se verra mercredi au bureau. Sauf que lundi soir, il a aussi décalé sa venue dune heure. Je le retrouve même fumant une cigarette devant lentrée quand jarrive, je pense quil mattend.
- Finalement, jai décalé aussi, trop de boulot ! Et puis comme ça on peut se voir
- Moi aussi je voulais finir un dossier avant daller nager.
- Ça ne te fait pas rentrer trop tard chez toi ?
- En fait je profite de ma semaine de célibataire pour bosser un peu plus tard, ma femme est à létranger et ne rentrera que samedi matin.
- Bonne nouvelle, on pourra même prendre un verre en sortant ?
Jaurais mieux fait de me taire
On se déshabille pour enfiler notre slip de bain, toujours dans une proximité savamment entretenue par Jean, puis on fait nos longueurs et on se retrouve enfin sous la douche. On est que tous les deux. Jean en profite pour se foutre à poil pour se savonner et mincite à faire pareil « cest quand-même plus hygiénique non ? ». De nous voir tous les deux à poil à nous savonner, je sens que je vais bander. Il faut dire quil est canon avec son bronzage intégral, son torse, son ventre et son pubis épilés de près. Et il en rajoute bien en se savonnant consciencieusement la bite face à moi, plutôt que de se retourner. Quand on a fini, il se dirige vers les casiers carrément à poil avec juste sa serviette sur lépaule, tandis que je le suis avec la mienne sur mon bras, cachant un tant soit peu ma bite mais faisant mine dêtre décontracté. Ce que je nai pas compris, cest que ce nest pas parce que je ne regarde pas ma bite quelle ne gonfle pas, et en arrivant aux casiers, je bande un peu plus quà moitié ! Je tente de me mettre de dos par rapport à lui pour composer mon code et ouvrir mon casier, mais là tout bascule. Il se colle derrière moi, je sens sa belle queue entre mes fesses tandis quil me prend les couilles de sa main droite et quil me dit à loreille :
- Alex, ne refoule pas tes désirs, moi aussi jai envie de baiser avec toi.
- Mais
- Mais quoi ? Tu vois comme tu bandes là ?
-
Mais jcomprends pas
Et si quelquun vient ?
- Si quelquun passe sous la douche on lentendra, et le gars dans lallée dà côté est remonté à la sortie quand on arrivait !
Il commence à me branler, je le laisse faire. En deux minutes je suis raide comme un bâton, et en trois mouvements de va et vient sur ma queue jai giclé par terre tellement je suis excité ! Je sens sa bite bien droite maintenant qui remonte le long de mes fesses quand il se lèche les doigts pour les nettoyer de mon sperme. Il se retourne et me prend la main pour la mettre sur sa bite, il veut que je le branle à mon tour. Toutes mes envies enfouies depuis trop dannées remontent, je sais bien que jai toujours été bisexuel, même si je nai jamais été frustré sexuellement de ne pas aller au bout de mon côté gay. Jai la certitude quaujourdhui je dois continuer. Je me lance ! Mais je veux reprendre la main, alors je magenouille pour le prendre dans ma bouche. Là il est surpris, mais il se laisse faire immédiatement. Je le suce depuis 3 minutes quand on entend la douche qui se met en route. On remballe tout dans la précipitation. On shabille, et je donne un coup de serviette par terre pour essuyer mon sperme.
- Jaime bien finir ce que jai commencé, tu viens chez moi Jean ?
- OK Alex, une proposition comme celle-là, ça ne se refuse pas.
Dhabitude je suis en métro, mais Jean est en voiture. Je monte en passager, et je peux voir une belle bosse qui déforme son pantalon, et ça me fait encore plus envie ! Jai le cerveau qui tourne à 200 km/h, mais en mode « baise » et les couilles en ébullition. Jai déjà remarqué que quand un mec (moi en fait
) est dans cet état, il ne pense quà jouir, et il est incapable de réfléchir normalement, ce qui peut amener à faire de bêtises : cest ce que ma femme appelle « penser avec sa bite ». Jai un bref éclair de lucidité et je me dis que tout ça sent donc bien fort la grosse bêtise, mais ma queue me convainc que ce nest pas parce quon va faire une grosse bêtise quon va la regretter ensuite... Je navais jamais vécu une telle attirance pour un mec auparavant, tant pis, je fonce ! Quand on arrive chez moi, Jean me plaque contre le mur immédiatement pour membrasser. Je participe activement. Sa langue est douce et au final, je le laisse prendre linitiative. On se déshabille mutuellement dans lentrée, tout en douceur, nos mains découvrent le corps de lautre en même temps quon sembrasse. On se caresse, on se tient les couilles, on se branle, et cest Jean qui le premier passe ses mains entre mes fesses. Il les écarte, passe ses doigts sur mon anus, et mon excitation décuple : je nai même pas envie de protester, de toute façon je savais dès le départ que jallais me faire enculer, je le voulais ! Jean a bien repéré les lieux, et il mentraîne vers la chambre à coucher : je vais me faire sodomiser sur mon propre lit, là où dhabitude, cest moi qui baise ma femme. Cest décadent et pervers, et cest très excitant
On se positionne finalement en 69, Jean veut que je reprenne ma pipe, tout en me donnant aussi du plaisir. Vu que jai déjà joui dans les vestiaires, je tiens sans problème, et je pense que lui a plus lhabitude que moi. Pendant que lon se pompe la queue, Jean en-dessous et moi au-dessus, il en profite pour me travailler le cul. Avec de la salive quil met sur ses doigts, il commence à massouplir la rondelle, et commence à menfoncer un doigt. Il arrête de me sucer :
- Tu tes déjà fait enculer ?
- Non, jamais
- Tu es serré, mais on ne dirait pas que tu es vierge de ce côté ?
- Ma femme me met un doigt ou deux des fois quand elle me suce.
- Cest tout ?
-
- Ce silence en dit long, allez, accouche !
- On a aussi acheté un plug anal vibrant, et parfois on se le met quand on fait lamour
- Petits coquins ! Tu as déjà enculé ta femme ?
- Oui, mais elle ny tient pas vraiment, le plug des fois elle dit pas non.
- Et toi ?
- Moi jaime bien de temps en temps, et ma femme me le propose régulièrement. Elle aime me lenfoncer et elle a même une application qui le contrôle à distance, ça lui est arrivé de me le mettre 1h à 2h avant quon passe aux choses sérieuses et de me le faire vibrer sans me prévenir. Elle est un peu dominatrice parfois, cest un jeu entre nous.
- Ya quand même pas de doute à avoir, tu es un vrai bi, et tu vas aimer te faire mettre, cest sûr. Mais là cest plus sérieux que juste ton plug, et il faut que je te prépare un peu. Je suis certain que ça va te plaire vu ce que tu me racontes. Mets-toi sur le dos et remonte tes jambes !
Je mexécute, lui offrant mon trou du cul. Il vient me le bouffer, sa langue me lèche, et cherche à senfoncer. Je gémis de plaisir tellement cest bon ! Au bout dun bon quart dheure de ce traitement qui fait monter le désir en moi et qui maide à mabandonner, il y met bientôt un doigt, puis deux. Il lubrifie encore et encore avec de la salive, il fait tourner ses doigts dans mon cul, tout doucement pour le préparer. Au bout dun moment, mon trou est parfaitement détendu et soffre à son plaisir. Le désir est devenu trop fort, je nen peux plus et je limplore de menculer. Je suis toujours sur le dos, et je peux le voir qui senfonce tout doucement en moi, en même temps que je le sens. Je nai pas mal, mais la sensation dêtre rempli nest pas la même quavec le plug que jai déjà porté. Sa bite est bien dure, mais elle a tout ce quil faut de souplesse et de chaleur pour des sensations inoubliables, et ses 18 centimètres senfoncent en moi tout doucement mais inexorablement, jusquà ce que son pubis vienne heurter mes couilles qui retombent devant lui. On reste un petit moment à se fixer du regard, il marque son territoire, mais vient membrasser avec beaucoup de tendresse, comme quand on fait lamour avec ma femme, sauf que cette fois ce nest pas moi le mâle ! Il commence à aller et venir en moi, son gourdin heurtant ma prostate à chaque fois, mon plaisir monte encore dun cran. Bientôt, il commence à me branler et il accélère le rythme.
- Je vais jouir, il faut que ça sorte jen peux plus !
- Vas-y, lâche toi !
- Argh
..
Il garde sa main sur ma bite qui expulse de grands jets de foutre qui retombent de ses doigts sur mon ventre. Ma jouissance est presque insupportable tellement elle est forte. Putain, jai vraiment perdu ma virginité anale, cette fois cest bien une vraie bite qui ma sodomisé, et jai adoré. Pourquoi jai attendu aussi longtemps ?
Jean ressort de mon cul. Il vient récupérer mon foutre sur ses doigts et men tartine le trou, puis il senfonce dun coup sec, pour en ressortir lentement. Il recommence lopération tant quil peut me remplir le cul avec mon propre sperme, je hurle de plaisir à chaque fois, et ma bite recommence à durcir. Une fois quil a fini de récupérer ce quil peut, il me fait lécher ses doigts, et il vient ensuite me lécher le ventre pour le nettoyer, avant de venir membrasser. Il recommence à menculer, sa bite coulissant encore plus facilement maintenant que je suis plein de mon jus. Il est sacrément endurant, ça dure un bon quart dheure pendant lequel il alterne douceur et brutalité, et pendant lequel je peux me masturber, tout en admirant notre reflet dans le miroir de notre placard de chambre. Finalement, Jean commence à gémir de son côté, et je vois son visage qui se déforme en allant chercher ce plaisir qui tarde à venir. Chez moi cest plus rapide : de comprendre quil va jouir en moi, ça provoque immédiatement mon second orgasme, avec au moins autant de foutre que la première fois, jen ai même une giclée qui arrive directement sur mes lèvres, et je peux passer ma langue pour lavaler directement. Mon orgasme ma fait contracté le cul, et Jean jouit immédiatement, je peux enfin sentir ce que cest que de se faire ensemencer par un étalon, qui nen finit pas de me remplir les intestins.
On reprend dabord notre souffle, puis on sembrasse. Finalement, la queue de Jean sort de mon cul, et du sperme sen écoule. On va se doucher. En marchant vers la salle de bain, je peux sentir du sperme qui descend sur mes cuisses. Quest-ce que jai pris ! On se doucher et on se savonne, je passe mes mains sur mon trou, et je sens bien que mon anus a été sacrément dilaté. Je suis à peine en train de me dire que je vais peut-être avoir un peu mal demain que je sens que Jean bande à nouveau. Je pose les mains sur le carrelage de la douche, et je me cambre pour lui tendre mon cul. Il na aucune peine à rentrer, et mencule pour la seconde fois. Cette fois il veut aller vite, et il plie laffaire en peu de temps. De mon côté, javais déjà beaucoup donné et je nai pas rebandé franchement, je nai pas éjaculé, mais léchauffement de mon trou du cul a été presque jouissif, javoue que je ne sais pas vraiment comment le décrire.
On finit par sortir de la douche une fois repassés au lavage
On se rhabille et Jean doit rentrer chez lui. AU final, on aura baisé 2h non stop. Enfin, cest moi qui me suis fait baiser pendant 2h
On se quitte, on doit se revoir mercredi pour notre projet.
- On retourne à la piscine mercredi soir après le boulot ?
- Oui, je dois maintenir ma forme. Quelle heure ?
- 19h00 ? Comme ça on a un peu de temps pour nous après si ta femme nest toujours pas là ?
- Jai hâte !
- Tu viens chez moi cette fois, je pourrai te montrer un ou deux gadgets qui vont te plaire.
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