Histoire Banale (Pas Trop !) De Plombier
Pas de chance ce matin, en ouvrant le robinet de la salle de bain, pourtant installé de fraîche date, il mest resté dans les mains. Dès 8 heures, je passe un coup de fil à lentreprise qui a effectué les travaux dans lappartement et demande quun dépanneur se rende disponible dans la journée. Après quelques tergiversations sur un planning archicomble, nous convenons dun rendez-vous vers 15 heures.
En passant sous la douche, je me surprends à imaginer que lartisan va menvoyer Sylvain, cet ouvrier que je connais un peu pour avoir discuté avec lui au cours de la rénovation. Jéprouve une grande sympathie pour ce garçon dont je sais quil est séparé de sa femme et quil est, selon ses dires, toujours à la recherche dune aventure. Tout en me savonnant, jimagine Sylvain en débardeur bricolant à genoux sous le lavabo et à mon grand étonnement, cette image me provoque un petit picotement dans les reins et ma queue saffermit grandement.
Allons me dis-je, tu ne vas devenir pédé à soixante ans ! Je termine mes ablutions, même la fraicheur du rinçage savère inopérante pour chasser ces putains dimages du torse de Sylvain, de son large sourire et de ses yeux bleus. Il doit avoir tout à peine trente ou trente-cinq ans, un charme fou dont il dit ne pas profiter auprès de la gent féminine. Je ne sais pas pourquoi, mais jai la conviction que ce garçon goutte à des plaisirs multiples et quil nose pas ment tous les avouer. Je me sens tout de même assez désarmé avec ce désir nouveau qui vient de sinstaller et, nétant pas un perdreau de lannée, je prends le parti de passer à autre chose pour linstant et de rester disponible à toute éventualité cet après-midi.
En sortant de ma sieste habituelle, je passe une nouvelle fois sous la douche sans rien laisser au hasard, juste au cas où ! Vers 15 heures, le visiophone malerte de la venue du beau gosse. Fébrile somme une pucelle, je laccueille et le dirige vers la salle deau pour quil règle mon problème.
- Vous navez pas lair en grande forme aujourdhui, me dit-il.
- Si, si, ça va, ça va. Bafouille-je connement.
Connaissant parfaitement son affaire, Sylvain déballe le nouveau robinet, vérifie quil est conforme et commence à démonter celui qui doit être remplacé. Je le regarde, enfin non, je le mate. Je le dévore des yeux, jai envie de lempoigner, de lui bouffer la bouche, de le toucher
Je bande.
Sylvain jette des regards furtifs dans le miroir qui fait office de rétroviseur et mimpose son large sourire. Baissant son regard, il aperçoit lexcroissance de mon entrejambe dont le pantalon ne cache malheureusement pas grand-chose.
- Je vois que les choses sarrangent concernant la forme ! Sexclame-t-il. Je ne voudrais pas être inconvenant, mais je crois que vous bandez. Vous ne seriez pas en train de vous raconter une histoire de plombier par hasard ?
- Pour rien te cacher, tu as tout compris, dis-je en reprenant de lassurance.
Et je continue sur ma lancée :
- Ne me demande pas pourquoi, mais tu mallumes, tu me mets le feu depuis toujours et cest pourtant la première fois quun gars me fait cet effet.
- Je ne répare pas que les robinets, vous savez, je peux aussi apporter du réconfort aux personnes seules, je suis ce quon appelle un ouvrier toutes mains, qui fait certainement la fortune de son patron tellement les clientes en redemandent, les clients aussi, mais moins souvent.
Tout en tenant ce propos rassurant, il sest relevé et se retrouve face à moi, un brin provocateur, le sourire plus éclatant que jamais. Le miroir reflète ses larges épaules et ses triceps débordant du débardeur. Je ny tiens plus, je mapproche et pose mes lèvres sur les siennes juste avant de lui fourrer ma langue pour quil mesure mon engagement et mon absence de réticence.
- Vous savez, me dit-il, sans me lâcher et une fois sa bouche libérée de ma fougueuse gamelle, jai une règle en la matière, et je nen démords jamais. Je ne mintéresse sexuellement quaux bonnes suceuses, aux pompeuses de premier rang. Pour autant, je ne fais aucune différence ni de sexe, ni dâge. Je men tamponne complètement : quon me suce convenablement et après, je sais donner de ma personne. Mardi dernier, cest une cliente de plus de 70 ans qui sy est collée et, connaissant mes conditions, elle sest employée à tirer le jus comme peu de jeunettes savent le faire. En récompense, je lai limé au-delà du raisonnable et cest elle qui ma dit darrêter, nen pouvant plus de se prendre mon gourdin.
- Ça me semble un bon contrat, reste à savoir si je serais aussi méritant que tu lespères. Mais qui ne tente rien na rien, nest-ce pas ? Dis-je pour conclure laffaire.
Lâchant ma bite, il défait son ceinturon et laisse tomber son pantalon au sol. La tête de son nud dépassant largement la ceinture du boxer, je ne peux plus la quitter des yeux.
- Alors, on me fait attendre, lance-t-il, sûr de lui.
Je me mets à genoux devant lui, presquen prière tellement je souhaite lengloutir et je fais glisser lentement son slip le long de ses cuisses. Je me dis intérieurement que si tu veux une bonne salope, mon gars, tu vas être servi ! Les jeux de rôle ça me connaît et japprends très vite. Je glisse ma main droite sous ses couilles poilues et bien remplies et les empoigne fermement, au point quil esquisse un léger geste de recul.
Jempoigne le corps de la verge et constate quelle nest pas très différente en taille de celle que je branle au quotidien les semaines de disette. Elle est chaude sous ma main et très douce. Ce toucher nest comparable en aucune manière avec une des parties du corps de la femme. Toucher une bite est inégalable. Sans précipitation, je repousse la gaine vers le pubis et découvre complètement lobjet de ma concupiscence. Sylvain, je te veux dans ma bouche. Japproche mes lèvres en aspirant et gobe dun coup cette fraise pourpre, je le tète comme un veau affamé se jette sur le pis de sa mère. Jallonge ma langue au plus loin sous sa bite et je tète. Ma main na pas lâché ses couilles de taureau. Jentreprends de les faire tourner au creux de ma paume qui, du coup est bien remplie. Parfois, je jongle du bout des doigts en les faisant sautiller.
Et je tète. Et je bave. Ma main gauche commence un lent va et vient sur la gaine en harmonie avec mes coups de tête. De temps en temps, je bloque ma main serrée vers la base de cette pine et la mets en tension aussi fort que lorsque jenvoie un coup de reins final à ma femme, que ce soit dans sa chatte ou dans son cul dailleurs. Cette passe précède en général une longue éjaculation. Sylvain apprécie, je sens ses mollets fléchir un peu et son bassin forcer vers ma bouche, jaime ça. Je dégage mes lèvres tout en les laissant en contact avec le gland et jaccélère légèrement les mouvements de mon poignet.
Après tout ce que jai entendu sur le goût du sperme, je mattends à avoir un haut-le-cur, voire à gerber aussitôt. Pas du tout. Je trouve dans le goût de sa sève les saveurs damertume qui flattent en général mes papilles. Le côté visqueux, la texture épaisse et salée tire plutôt sur la Marennes-Oléron laiteuse, celle du mois daoût, celle que je préfère. Je suis surpris par la température de la rasade que jaurais imaginé tiédasse. Là, elle était chaude et je fais ma grande en nen laissant pas tomber une seule goutte sur le tapis, javale tout.
Me relevant, je regarde Sylvain dans les yeux, inquiet de savoir si jai réussi mon « oral ». Il métonne de nouveau en me rendant la pelle gourmande de tout à lheure et semble bien se régaler des restes des saveurs de sa jouissance en faisant tourner sa langue dans ma bouche. Il a compris mes attentes et de fait, valide mon passage en grande section. Ma main qui traîne entre nous repère le membre qui na même pas débandé et le sollicite de nouveau en le malaxant sans ménagement. Ma fébrilité me rend nerveux et jen suis à vouloir larracher pour me lenquiller dans le fion sans attendre. Je sors du tiroir derrière Sylvain un tube de gel opportunément bien rangé. Je louvre, en fait couler au creux de ma main et continue dastiquer mon baudet en le lubrifiant bien.
- Pas de préservatif, Sylvain, à la hussarde sil te plaît, je veux te sentir, le supplie-je.
Je me mets face au miroir, les avant-bras sur le meuble de bain, placé derrière moi Sylvain sest emparé du tube de lubrifiant et en bon connaisseur men garnit la raie, en mincitant à écarter un peu plus les jambes. Il passe dabord sans sarrêter de haut en bas et ensuite, il revient sur ma rosette de puceau.
- Détendez-vous, cest fait pour passer, il ny a rien à craindre ; Cest la détente qui fait le plaisir, conseille-t-il très serein.
Son doigt sattarde en cercles concentriques et assez rapidement, il tente de forcer lentrée. Pour ne pas avoir lair trop con, je ne résiste pas, bien au contraire, je pousse un peu comme pour chier et son doigt me pénètre. Un majeur de travailleur manuel, ça occupe un peu de place et la sensation de me faire enculer nest pas loin, enfin, cest encore ce que je crois. Il fait coulisser son ersatz de pénis jusquà détendre complétement mes sphincters. Ça, cest de la préparation !
Notre installation dans la salle deau fait que je vis la situation comme acteur et comme spectateur. Satisfait de ses préparatifs, Sylvain se relève, donne quelques coups de poignets pour raffermir son membre et le pointe sur ma corolle. Avant daller plus loin, il modifie légèrement la position de son bassin pour assurer un angle destocade sans désagrément. Et il pousse lentement.
Et il pousse lentement. Jappuie mon front sur mes avant-bras, offre ma croupe comme une bonne salope. Il pousse encore, revient un peu en arrière, charge de nouveau. La première porte nest pas la plus docile, elle me fait un peu souffrir. Quand je le sens gagner la porte secondaire, proche de la prostate, une douce chaleur menvahit. Je tente de me branler, mais je ne bande pas du tout. Lappréhension sans doute. Je sens ses couilles chaudes toucher mes fesses, nous sommes au fond et cest bon. Le plus savoureux pour linstant nest pas dêtre fourré. Le plus gratifiant est davoir su céder courageusement à tous mes principes, à toutes mes inhibitions, à toutes mes peurs. Dêtre passé à lennemi en quelque sorte, davoir signé la reddition du mâle conquérant pour devenir une femelle soumisse, une femelle accueillante, pour madoucir, pour faire revivre cette partie de moi endormie. Le balancement du bassin de Sylvain fait de moi la passagère dun bateau pris dans une légère tempête. Je ne pense même pas quil est dans mon cul, il est plutôt dans ma tête que dans mon cul. Pourtant, il est puissant. Je comprends mieux les femmes qui disent préférer quand il y a de la matière dans le sexe de lhomme. La mi- molle na pas droit de cité dans ce genre daffaire. Je le sens bien lorsquil pousse, mais je le sens mieux encore quand il se retire lentement, je voudrais que ça narrête jamais. Je mesure au glissement la longueur de lobjet et jen redemande.
- Lapéritif vous convient cher ami ?
- Ah bon, il sagit dun apéritif ?
- Passons donc au plat de résistance, et vous verrez
Tout en parlant, Sylvain sest entièrement extrait de mon fion en restant disponible à proximité et à la fin de son discours à caractère gastronomique, il membroche avec une violence incroyable. Je me relève de surprise et aussi pour le regarder. Il est là, impassible, en train de me besogner méthodiquement, de menculer sévèrement. Mon bas-ventre est en feu et jai la gaule. Il me tient les hanches et il me bourre en cadence. Je sens partir une giclée de sperme sur mes jambes, cest moi, je nai rien senti venir et pourtant je continue à mécouler par petites saccades, à chaque fois que le nud de Sylvain compresse ma prostate. Ce nest plus chaud, cest brûlant. Sylvain accélère encore, des gouttes de sueur perlent sur son front, et je trouve la force de prendre sa bite en étau dans mon anneau, pour, à chaque fois quil tente une sortie, bloquer la tête de lengin. Je hurle de plaisir et lui intime de machever, de marroser les tripes de son jus. Viens Sylvain, inonde-moi. Je ne sais pas comment il sy est pris, mais il ma retourné et je suis maintenant plaqué contre le radiateur avec un gars qui cherche ma bouche en me tordant le cou. Il soupire, il ahane, il secoue, il pousse et enfin, il se lâche et répand son venin dans ma gargote enflammée.
Au bout de quelques instants, nous nous retournons et voyons dans le miroir deux gars tout rouge, en sueur, le pantalon sur les chevilles, entourés doutils épars quil reste à ranger.
- Pourvu que la réparation ne tienne pas trop longtemps, convenons-nous en nous séparant.
Sylvain parti vers de nouvelles interventions, je reste un moment assis sur les toilettes à laisser couler ce quil reste de nos gesticulations. Et je suis fier. Fier davoir été à la hauteur et fier davoir ouvert une nouvelle voie à mon univers érotique.
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