Terma 40 : Les Vacances De Miriam Épouse Infidèle De Aissa (1) :

Terma 40 : Les vacances de Miriam épouse infidèle de Aissa (1) :
Aissa vient de prendre sa retraite en Algérie, à 60 ans, il y a six mois. Après des années de travail harassant, il décide de se reposer dans son fauteuil, devant la télé ou faire quelques parties de dominos, tranquille au café avec ses vieux amis. Sa femme, Miriam, 50 ans, est enfin libérée de ses deux garçons et de ses deux filles, tous bien formés, mariés et vivants séparés de leurs parents. Elle veut maintenant voyager, s’amuser, connaitre le monde et gouter enfin la vie librement, prétextant ne pas avoir vraiment profiter de ses années de jeunesse. Les projets du couple étant totalement différents, ils commencèrent à avoir des querelles presque chaque jour. Heureusement, il y a Omar, 50 ans, un ami de la famille, et qui gérait un petit hôtel à Paris avec sa femme française Henriette, 60 ans. Il les invita pour des vacances, chez lui à Paris et à ses frais. Miriam sauta sur l’occasion et Aissa finit par accepter.
Arrivés à Paris, ils ont pris résidence dans l’hôtel de Omar et Henriette. Comme il y a aussi une cuisine et une petite salle à manger en bas, le couple était totalement à l’aise. Dès le lendemain de leur arrivée, Henriette demanda à Aissa, qui connaissait Paris depuis longtemps, de faire visiter la capitale à sa femme, mais il a refusé, désirant passer son temps, soit au salon devant la télé, soit sur les bans du grand parc voisin. Alors, Henriette a chargé son mari Omar de montrer à Miriam, durant une semaine, chaque matinée jusqu’à 14/15h, toutes les beautés de la capitale. Et dès le lendemain, à partir de 08h, grâce au métro, Miriam et Omar firent les touristes à Paris.
En plus des visites, Omar prit, pour lui, en souvenir, plusieurs fois Miriam en photos. Et comme cela l’amusait, Miriam se donnait la liberté de prendre souvent des poses de jeune femme heureuse, riante à pleine gorge. Parfois même, elle prenait quelques poses assez osées, comme lançant des baisers au photographe, à distance, ou en bombant sa belle et lourde poitrine comme un cadeau offert et même, une fois, en dégageant amplement son large derrière comme une provocation.

En somme, c’étaient des photos certes privées pour Omar, mais dégageant une certaine intimité entre eux. Pour Miriam c’était d’abord seulement un amusement, preuve de sa nouvelle liberté, alors que pour Omar, les poses de cette belle femme, aux formes délicieusement provocantes, c’était un motif très fort d’excitation sexuelle. De plus, et avec l’aide de gens dans la rue, ils ont pris quelques poses ensemble, où Omar en profitait pour serrer Miriam contre lui et mettre joue contre joue.
L’odeur de femme épanouie de Miriam commençait à tourner la tête à Omar et, la déshabillant en pensée, il s’excitait et s’étourdissait sur l’image merveilleusement affolante de son corps bien en chair. Son zob se gonflait sur la femme de son ami et cela commençait à se remarquer, car la bosse au niveau de sa braguette gonflait rapidement au fur et à mesure que leurs corps se touchaient. Et à la fin de la visite, vers 15h, heure de retour à l’hôtel, leur intimité avait progressée largement. A cause de son zob qui avait bandé et qu’il arrivait difficilement à cacher, Miriam a du s’en apercevoir et même le sentir lors des contacts de leurs corps. Ainsi, et à plusieurs reprises, lors de leurs contacts, Omar avait constaté que le corps de Miriam vibrait contre le sien. De même, Miriam, de son coté, a été nettement troublée sexuellement à la vue de la grosse bosse du zob au niveau du pantalon de son compagnon, mais aussi et surtout aux nombreux contacts physiques de leurs corps.
Enfin, ils retournèrent à l’hôtel et firent leur rapport sur les visites entreprises, mais rien au sujet des photos ni des contacts et sensations érotiques qui les ont troublées. Le reste de la journée s’est passée normalement à la pension et la nuit, à coté de son mari dont elle n’avait plus de relation sexuelle depuis plusieurs mois, Miriam a longuement repensé à Omar, aux contacts de leurs corps, et surtout à la grosse bosse de son zob au niveau de sa braguette. Elle osait même imaginer ce zob, nu et gonflé, totalement mis à sa disposition par Omar et sa chatte commençait à la démangeait.
Elle savait qu’elle avait troublé cet homme et la grosse bosse de son zob prouvait qu’il la désirait maintenant sexuellement. Sa chatte, sevrée depuis longtemps et ayant été excitée, répondait pour elle. Elle était presque sûre qu’elle allait avoir des contacts sexuels avec Omar et avec son zob. Et, elle vibrait de désir dans son lit, à coté de ce mari incapable de la satisfaire. Elle mit longtemps à trouver le sommeil et elle eu des rêves érotique avec le zob de Omar. Et à son réveil, son slip était inondé de ses désirs et rêves nocturnes. Curieusement, cela lui faisait déjà plaisir.
Et le matin, à 08h, comme prévu, Omar et Miriam repartirent en vadrouille à Paris. Maintenant leurs contacts devinrent tellement courants et si étroitement serrés qu’on les prenait facilement pour des époux amoureux. Miriam se collait et se frottait au corps de Omar qui la serrait au plus près en pelotant discrètement ses formes, devant et derrière. Il était déjà follement excité et son zob bandait tellement à lui faire mal. Miriam, elle aussi envoutée de désir, jetait de temps à autre un coup d’œil sur la braguette de Omar et constatait que son zob était gonflé et formait un grand chapiteau par devant son pantalon. Il n’essayait même plus de le cacher et lorsque Miriam descendait son regard vers sa braguette, Omar la regardait en face et lui souriait. Et Miriam lui répondait par un autre sourire complice. Ils étaient à point pour le plaisir sexuel commun. A un moment, devant la vitrine d’un grand magasin de vêtements féminins, alors que Miriam, serrée contre Omar, admirait et commentait les robes, ce dernier lui prit le visage et, la regardant droit dans les yeux, il lui donna un léger baiser sur les lèvres et attendait sa réaction.
Un peu surprise mais pas choquée du tout, Miriam accepta le baiser. Alors, Omar la serra complètement contre sa poitrine, et face à face, il l’embrassa carrément et lui suça les lèvres longuement. Et Miriam, troublée profondément, entoura de ses bras le cou de Omar et se colla encore plus à lui. Ces contacts des seins de Miriam sur la poitrine de Omar, et la sensation directe du zob contre le ventre de la femme, amplifia l’excitation du couple. Omar, totalement conquis, eu l’impression que son zob se gonflait encore plus de désir et allait faire sauter les boutons de sa braguette et bondir à l’extérieur. Miriam, elle aussi, ressentit nettement ce contact et ce désir violent contre son ventre et sa chatte explosa de plaisir en inondant son slip de son jus. Elle ruisselait, et sa mouille coulait, au delà de son slip, le long de ses cuisses, sous sa robe légère. Le couple était tellement excité qu’il resta ainsi, debout, soudé l’un contre l’autre, s’enivrant des sensations de leurs sexes. Alors, ne pouvant plus attendre, Omar prit les choses en mains. Il connaissait beaucoup de monde à Paris et surtout tous les patrons des petits hôtels, ses copains.
Il amena immédiatement Miriam chez son copain Jeannot, qui gérait lui aussi, une petite pension pas très loin. Complice et ayant compris tout de suite son ami, il lui donna la clé d’une chambre et le couple s’y enferma tout de suite. A l’intérieur, Omar, le premier, se mit à poil et, ainsi, il exhiba à Miriam son long zob, épais et gonflé presque à la verticale. Il était encore plus beau et plus viril que dans ses rêves de la nuit précédente. Elle etait restée d’abord un peu gênée, mais à la vue de ce gros zob gonflé à bloc, ses yeux brillèrent de désir et d’excitation, alors elle jeta sa robe par terre et l’homme l’aida à enlever le reste. Puis, totalement nus et gémissant et hoquetant de désir sexuel, ils plongèrent sur le lit. Et Omar affolé de désir, fonça comme un forcené sur le bas ventre de Miriam pour prendre avidement possession de sa chatte.
Il commença à l’embrasser follement, à la lécher goulument, à la sucer avec bruits érotiques, et à l’avaler presque avec ses lèvres et sa bouche, et enfin à y plonger ses doigts fureteurs. Miriam commençait à gémir bruyamment de plaisir, puis ses mains cherchèrent le gros zob de Omar. Alors ce dernier, ayant compris son désir, et sans libérer sa chatte, il se tourna suffisamment sur le coté pour offrit son zob gonflé et frétillant à la main de Miriam qui l’empoigna avec avidité. Enfin elle touche, palpe et caresse ce zob dont elle avait rêvée la nuit précédente.
Ensuite, Omar se redressa complètement sur les genoux pour lui donner complètement son zob et Miriam, totalement maitresse de ce monstre de chair, dur et doux à la fois, excitant à la folie, se sentait fondre de désir. Et, pour la première, en novice, sans jamais avoir fait cela, mais poussée par son instinct sexuel, Miriam enfouit le gros zob dans sa bouche et le suça et l’aspira avec passion s’excitant sur sa puissance, sa virilité et sur la douceur affolante de sa chair. Le zob vibrait de désir dans la bouche de Miriam et se gonflait encore plus poussant Omar à gémir et souffler bruyamment. Il se tendait et poussait son ventre encore plus sur le visage de Miriam. Elle, totalement conquise, possessive de l’objet de ses désirs, continuait à le sucer, puis le sortant de la bouche, elle le lécha avec de longs lapements appuyées de ses lèvres et des gémissements de plaisir. Ses mains empoignèrent d’une main le zob et, comme si elle avait fait cela toute sa vie, elle commença à le branler, à le masturber tout le long de sa hampe jusqu’aux couilles auxquelles son autre main s’y intéressa. Elle les caressa et soupesa ses boules avec frénésie.
Le contact de ces organes masculins, tout nouveau pour elle, ajouta à son excitation, alors, tout en branlant le zob, elle colla ses lèvres sur les couilles de Omar, les léchant, les suçant, essayant d’avaler ses boules et gémissant encore et encore de désir. Elle revint ensuite au zob de Omar. Elle goutait sa puissance et sa virilité, le comparant, dans sa tête avec celui, trop mou, de son mari. Elle avait hâte de l’enfoncer dans sa chatte, alors elle s’allongea sur le lit, levant haut jambes et cuisses et les écartant au maximum, offrant sa chatte au regard avide de Omar. La vulve de Miriam, brillante et inondée par son jus de désir ainsi que son merveilleux mont de vénus bien gonflé furent, pour Omar, le plus affolant des aphrodisiaques. Jusqu’à ce moment, ils n’ont pratiquement prononcé aucun mot, juste quelques rires, des souffles de désir, des gémissements et quelques balbutiements trop confus. Ils étaient depuis la rue, totalement plongés dans le désir sexuel et la découverte et la connaissance de leurs sexes.
Enfin, Miriam s’exprima « Ah ! ya Omar khouya ! hani lék ! dirni ki m’ratak ! rani ma7rouma mine e’zéb lamtine ! e »zéb lemta’n’nane ! foukni ya khouya ! » ( ah ! ô Omar mon frère ! je suis à toi ! faits comme ta femme ! je suis sevrée de zob puissant ! de zob gonflé ! délivres moi ô mon frère ! ). Alors, Omar se courba prestement sur la femme, et tenant son zob de la main, il le pointa sur l’entrée de la chatte, puis l’y enfonça avec douceur en poussant un « ah » de plaisir. Au moment où l’immense gland du zob écarta les lèvres de sa chatte avec douceur mais détermination, Miriam hurla de jouissances. Elle lança un long « ah » bruyant et prolongé suivi d’un « ah ! ya m’ma ! » (ah ! ô maman !). Le zob s’enfonça rapidement et avec facilité jusqu’aux couilles, peut-être à cause de la mouille de désir qui a lubrifié la chatte en chaleur. Donc, malgré des mois de sevrage, la chatte de Miriam, grâce aux excitations lors des séances de photos et à la vue et aux attouchements du gros zob de Omar, sa chatte s’est vite ouverte au plaisir et n’a eu aucune résistance au pieu de chair qui l’a ouverte et qui s’enfonçait dans ses entrailles.
Et Omar commença ses vas et viens, d’abords doucement puis par des coups de reins de plus en plus appuyés et rapides. La femme hurlait de jouissances et marmonnait « ah ! nayka t’habbal ! zéb lakhchine fi souti 3atchana ! doukou ya Omar ! doukou ! » ( ah ! nayka affolante ! zob épais dans ma chatte assoiffée ! enfonces le ô Omar ! enfonces le ! ). Et Omar, silencieux mais le souffle rauque et accéléré, augmenta sa puissance et sa vitesse. A un moment, Miriam hurla de plus belle et se tendit comme un arc et Omar s’arrêta un instant. Puis elle s’effondra pantelante. Elle venait d’avoir un gros orgasme, presque nouveau, comme elle n’en a aucun souvenir par le passé. Omar respecta sa jouissance et repris ensuite ses vas et viens lorsque Miriam reprit ses sens. Omar, aux réactions de Miriam a compris beaucoup de choses sur ses problèmes sexuels. Il avait ainsi saisi que Miriam, avait eu des relations trop simples et classiques avec son mari pendant des années et presque nulles depuis un certain temps. Donc elle était pratiquement presque vierge pour de fortes, vraies et libres séances sexuelles. Il était possible que c’était même la première fois qu’elle baisait nue et jambes et cuisses ainsi écartées.
D’ailleurs, poussée par les plaisirs qui l’inondaient, Miriam se souleva légèrement, frotta ses seins sur la poitrine de Omar et lui donna quelques baisers sur le visage et le corps. « choukrane ya khouya Omar ! Souti kanate n’sa’t hadha chahwa ! zid ! nik’ha kima yachti zébék ! nike » ( merci mon frère Omar ! ma chatte avait oublié ce plaisir ! continues ! niques la comme ton zob le désire ! niques ! ). A ces mots, Omar, exprima, enfin, son plaisir par un rire bruyant « zébi rah koulou lék ya Miriam habibti ! souték skhouna wa h’louwa ! t’habbal ! » (mon zob est totalement à toi ô Miriam mon amie ! ta chatte est chaude et douce ! affolante! ) Il se souleva légèrement pour mieux se positionner, cela lui permit de renforcer ses coups de reins et amplifier ses vas et viens dont il accéléra la cadence.