Soirée En Discothèque 1/2
Ce soir, cest samedi, et nous sortons en boite. Oh rien dexceptionnel à ça !, Ma copine Sandra et moi sortons en boite tous les week-ends, et parfois en semaine. Il faut dire que nous sommes encore jeunes, sans s, et que nous croquons la vie à pleine dents.
Mais ce soir, cest un peu spécial. Sandra a décidé de sortir sa copine Karine, qui est un peu déprimée.
Karine est un peu plus agée que nous. Jai 28 ans, et Sandra 25, alors que Karine en a 33.
Je ne la connais quau travers de quelques soirées passées ensemble lors de réveillons où elle venait en couple avec son mari. Malheureusement, celui-ci a craqué pour une autre femme, et a déserté le foyer conjugal.
Je dois retrouver les deux filles dans un bar du centre ville. Je cherche un peu pour me garer et jarrive dans le bistrot, légèrement en retard. Je jette un il à la salle, et les repère , assises sur une banquette de moleskine rouge, chacune un verre devant elles, bien occupées à discuter, si bien quelles ne mont pas vu arriver. Sandra porte une petite robe noire, courte, rehaussée de perles multicolore, qui moule sa silhouette parfaite, mais laisse découvrir largement ses jambes, terminées par des escarpins aux talons interminables. Elle nest pas très grande, mais a des proportions que ne renierait pas ce mannequin quon surnomme la brindille. Ses longs cheveux bruns cascadent sur ses épaules, encadrant un visage triangulaire charmant, et toujours souriant, aux yeux pétillants de malice.
Son amie Karine est plus grande, près de 1,70, brune également. Sans être particulièrement belle, elle a un charme certain, accentué par un maquillage de vamp qui fait ressortir ses grands yeux noirs, au-dessus de ses pommettes hautes, et sa pulpeuse bouche carmin.
Elle est vétue dune combinaison immaculée, près du corps qui met en valeur sa silhouette longiligne, terminée par des bottes de cuir rouge.
Je me hâte de les rejoindre, et, après avoir trinqué avec elles, nous décidons de changer dendroit, pour une discothèque assez renommée.
Le physionomiste a bien du travail pour sélectionner, qui entre ou pas, car nous sommes encore en hiver, et les prétendant à laccès, sont emmitouflés dans plusieurs couches de vêtements, qui les rendent informes. Heureusement, le seul fait dêtre accompagné par deux femmes est un puissant sésame. Une fois les manteaux déposés au vestiaire, cest avec deux jolies femmes aux bras que jentre dans la boite.
Lendroit est déjà bien plein et nous avons du mal à trouver une table libre où nous poser.
Une fois installés dans de moelleuses banquettes, jatt un serveur, et commande les boissons.
Après nous être déhanchés comme de beaux diables aux sons des rythmes à la mode, arrive la série de slows. Jen profite pour me rapprocher de Sandra, et lenlacer tendrement. Nous échangeons des baiser furtifs, et mes mains explorent ses formes parfaitement moulées par sa courte robe, ce qui ne semble pas la laisser indifférente. Rapidement, je sens mon sexe durcir dans mon pantalon de toile, et ma chérie, bien collée à moi, ne peut lignorer.
« il est temps daller boire un verre, me glisse telle, sinon tu ne vas pas tenir longtemps. »
Jaquièsce et nous rejoignons notre table où Karine nous attend, pour déguster un verre bien frais. La séance de slows séternisant, Sandra me suggère dinviter Karine, au moment où un gars vient la solliciter. Nous nous dirigeons donc vers la piste encombrée, et dans lobscurité, japerçois ma moitié, serrée de près par une sorte de géant. De mon côté, je pose mes mains sur la taille de ma cavalière, qui se pend à mon cou. La chaleur de la piste aidant, elle a largement ouvert la fermeture éclair de sa combinaison, dévoilant sa peau jusquau nombril. Je la complimente sur sa tenue, très sexy et elle me précise.
« le soucis, avec les vêtements blancs, cest que tout se voit au travers sous la lumière blanche. Je ne peux donc rien porter dessous. »
« rien du tout ? »
« Non rien, et je dois ^être épilée pour la porter, sinon on voit tout.
Je ne peux mempêcher de faire glisser ma main sur ses fesses, cherchant lélastique dun string, mais effectivement, je ne trouve rien.
La jolie brune esquisse un sourire
« Convaincu ? »
« Convaincu et excité ! tu vas provoquer pas mal de soupirants. »
« Tu sais, depuis que Marc ma quittée, je nai pas eu loccasion de beaucoup mamuser.
Merci à vous de mavoir sortie. »
« Cest tout naturel, lui dis-je. Quel plaisir pour moi de sortir avec deux superbes jeunes femmes. »
« en tout cas, le cavalier de Sandra, en profite bien » me répond elle
En tournant la tête, japerçois un peu plus loin, lautre couple de danseurs. Sandra a les bras, sagement autour du cou du type, qui, dune main, palpe un sein, tandis que lautre est a remonté la robe déjà courte, et se glisse dessous.
« Ce nest pas bien méchant, dis-je en commentaire, a la fin des slows ce sera terminé, et jai confiance en Sandra. Après cest le jeu. Les slows, cest loccasion de se frotter à lautre pour voir si les peaux sont compatibles. Ne me dis pas que tourner sur place enlacés dans le noir relève de lamour de la musique ou de la danse. »
Disant ces mots, jai faufilé une main sous la combinaison pour aller empaumer un sein, menu mais ferme, dont la pointe sérige bientôt entre mes doigts. Ma cavalière soupire sans chercher à me repousser. Je laisse glisser ma main le long de son ventre jusquau nombril, que je titille un peu, lui arrachant un sourrire, puis, sans cesser de la regarder dans les yeux, je descends doucement, repoussant la fermeture éclair qui souvre sous la progression de ma main. Je passe le mont de vénus, et mes doigts atteignent bientôt le haute de ses lèvres, je pousse mon exploration sur ce sexe glabre qui sentrouvre sous mes doigts, tandis que ma cavalière halète doucement. Mon majeur est quasiment aspiré par sa vulve, mais elle me repousse douvement.
« Arrête, cest trop fort » me chuchote telle
Nous nous écartons légèrement et elle remonte sa fermeture éclair, avant de se coller de nouveau à moi, une main massant mon entrejambe.
Les lumières se rallument, le tempo saccélère. Nous quittons la piste pour aller nous asseoir. Sandra nous rejoint quelques secondes plus tard, en tirant sur sa robe, un peu tirebouchonnée sur ses hanches
« Ouf, jai bien cru quil allait m celui-là ! Il me serrait dune force ! Pas besoin de lui demander si il était content » déclara Sandra avec un air malicieux.
« Je serais venu te sauver » lui reponds-je.
Après nous être désaltérés, nous retournons danser. Karine, avec sa combinaison moulante attire les mâles qui tournent autour delle. A u quart dheure américain suivant, les prétendants se bousculent pour linviter. Jen profite pour retrouver Sandra.
« Alors, on se fait tripoter par le premier venu ? » dis-je en balladant mes mains sur son cul ferme.
« Je savais que tu étais là, me répond la belle, mais le gars avait une présence si impérieuse que cétait difficile de le repousser, à moins de lui coller une tarte et de faire un esclandre. »
« Dis moi un peu, jusquoù est il allé en profitant du noir ? »
« A toi de deviner, me dit elle, joueuse. »
Jatt un sein que je masse un peu avant de saisir le téton pour le pincer
« Il a fait çà ? »
« Un peu plus même »
Je descend mes mains et malaxe son fessier
« continue »
Mes mains descende sur ses cuisses, et remontent, accrochant la robe au passage.
Je masse maintenant ses fesses dénudées par son string. Heureusement la piste est noire de monde et lobscurité nous protège. Sandra a les yeux clos et me laisse faire.
Ma main droite passe devant et vient buter sur le tissu du string
« Non pas comme ça » me dit elle en se retournant.
Elle est maintenant dos à moi, la robe relevée, et ses fesses viennent frotter sur ma queue à travers mon pantalon. Je passe mes bras sous les sien et vient attr ses seins, la plaquant contre moi
« Il a osé ça ? »je demande étonné
Pour toute réponse, elle pousse son fessier contre moi et me dit
« cherche encore.
Je glisse une main entre nous et faufile mes doigts jusquà son sexe, mais elle se dérobe, et bascule le bassin vers lavant. Ce faisant, mes doigts glissent sur son périnée pour sarrêter sur son petit trou. Je nai quà pousser légèrement pour que mon majeur senfonce dans son cul.
« tu y es. »me dit elle
Je la pistonne enfonçant mon doigt jusquà la garde tandis quelle gémit. En quelques secondes, elle atteint son plaisir et se retourne pour venir dans mes bras déposer un baiser
Enflammé sur mes lèvres..
« Tu mas bien faite jouir »
« Lautre aussi ? »
« Non, il sest contenter de me titiller, mais ça ma donné envie. »
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