Mardi 11 Novembre 1981
Avant propos
Cher lecteur, Lors de ma dernière publication, « Mardi 27 octobre 1981 », faite le 27 mai 2021 sous mon pseudonyme « Maceron » jai fait une mauvaise manip.
Mon contact avec « Maceron » na plus pu se faire et Monsieur HDS, na rien fait pour me permettre de me rebrancher
***** Réponse HDS : Désolé mais nous avons bien répondu à votre demande par mail ! Il semble que vous fassiez la confusion entre votre login (qui est votre adresse mail) et votre pseudo...*****
Pour continuer à publier jai donc du changer de pseudonyme cest pour ça que je suis devenu Maceran.
A bientôt
Maceran
Mardi 11 novembre 1981
Dans la matinée, jétais allé voir un transporteur, ce qui me faisait passer pas loin du magasin de Véro. Je décidais de marrêter pour lui faire un petit bonjour. Sitôt arrivé au secrétariat, je fus introduit dans le bureau de Véro. Elle se leva pour un gentil baiser. Des lèvres je descendis le long du cou et écartant légèrement le décolleté jarrivais sur la gorge, ouvrant son décolleté et commençant à mintéresser à sa jolie poitrine. Là, Véro marrêta : « Non,
fais doucement,
ils sont très sensibles,
comme dirais mon distingué mari,
cest ma période, du mois, ou je suis inutilisable,
»
Moi : « Désolé,
je ne savais pas,
»
Véro : « Ce nest pas grave,
tu peux ten occuper,
mais en faisant doucement,
même dans ces moments là, jaime quon sen occupe,
en faisant attention,
» Etant là, je ne pouvais quand même pas même pas men aller avec un bonsoir, je reviendrais dans quelques jours, cela aurait grossier et dun très mauvais goût. Elle avait malgré tout son soutien gorge quart de bonnets, ce qui me laissait la possibilité de moccuper avec attention et douceur, de ces belles choses. Ce que je fis et il sembla que le traitement appliqué, fut apprécié par la propriétaire. Puisque quelle avait pris la situation en, réellement, main me proposant ses seins, lun après lautre et pour recommencer.
Véro : « Embrasses moi,
jen ai envie,
et puis il faut que je finisse ce que je nai pas fini samedi,
» ce quelle fit, ce fut goulu, elle se laissa glisser à terre et défaisant mon short, sorti mon engin qui ne demandait que ça et sans hésiter le lécha à grands coups de langue et prit en bouche le gland pour le sucer, les lèvres douces et la langue pointue, je bandais dur, estimant que la dureté était à son goût elle commença à me pomper dabord lentement puis de plus en plus rapidement. Il ne lui fallut que peu de temps pour faire monter la pression et je la prévins que jallais exploser. Elle sera son emprise sur ma bite et pratiquement instantanément, une grande giclée remplit sa bouche. Elle se releva, se collant contre moi : « Allez, files,
on se revoit samedi,
» Le temps doccupation de son bureau risquait dentraîner des réflexions ou des pensées désagréables, et je filais rapidement
Samedi 14 novembre 1981
Nous avons diné chez un collègue de travail et celui-ci terminé, nous nous sommes dirigés vers le Club et nous avons retrouvés les copains et amis. Véro et B étaient déjà arrivés. Je commençais la soirée, par une série de paso doble avec AL,
Moi : « Dis donc, ce nest pas la forme,
Quest ce que tu as,
ton beau militaire tas oublié,
»
Al : « Fous moi la paix,
occupes toi plutôt de Véro,
elle a peut être encore le feu quelque part,
»
Houlala,
cétait mal parti,
heureusement la série se terminait et pour la série suivante B vint linviter à danser. Moi je retrouvais Véro et lui demandais comment elle allait. : « En pleine forme, et toi,
»
Javais mis ma cuisse au bon endroit et Véro en profitait pour se frotter sa chatte quand elle le pouvait.
Moi : « Tu es en train de te chauffer,
»
Véro : « Tu naimes pas,
dis moi darrêter,
tu ne le diras pas,
je sens que tu aimes,
»
Moi : « Continues comme ça,
et tu vas devoir sortir,
»
Véro : « Pourquoi pas,
mais il faut que tu men montres la nécessité,
»
Moi : « Quest-ce que tu veux dire, .
Véro : « Que tu deviennes dur,
(au deuxième tango)
je suis comme tu aimes,
jai envie de toi,
et je sens que tu progresses,
»
Moi : « Tu sais ce que tu es,
»
Véro : « Oui,
celle que tu as dévergondée,
»
Moi : « Non, mais celui qui ta fait découvrir quelque chose que tu ne connaissais pas de toi,
une femme qui aime le sexe,
et tous ses plaisirs,
»
Véro : « Oui,
cest vrai,
celle qui est nue sous sa robe,
et qui a mis une robe pratique,
comme tu aimes,
qui aime faire ce que tu veux,
qui aime soffrir à toi,
qui aimes tobéir,
du moment que tu la caresses que tu lui donnes du plaisir,
et qui aime que tu la baises souvent,
et bien,
sans jamais discuter,
»
Mais la série était terminée et nous nous retrouvâmes à la table et nous changeâmes de cavalière. Aux envions de vingt deux heures trente, en revenant de porter des boissons, je vis Al et Véro en pleine discussion, et à mon arrivée, Véro quitta Al en lui disant : « Bon cest OK,
» Comme elle était là, je linvitais à danser, et jen profitais pour lui demander ce qui était OK.
Véro : « Tu es bien curieux,
des histoires de femme,
serres moi fort,
» et bien collée contre moi elle se mit à rouler des hanches en me disant : « Penses à ce que tu fais,
ça manque dénergie,
cest dommage,
» et la série se terminait. Je me disais que cétait mal parti pour une petite virée dans le parking,
cétait loupé.
Et tout dun coup, AL se leva et me dit : « On sen va,
»
Alors que jallais réagir, Véro se tournant vers B lui dit la même chose : « On sen va,
»
Bon, surpris, mais que dire et nous retrouvons sur le parking en direction de voiture. Pratiquement arrivé aux voitures AL se tournant vers Véro : « Si on changeait de chauffeur,
»
Véro : « Cest une idée,
daccord,
» et dans un ensemble parfait, sans que nous ayons pu dire quoique ce soit, chacune se dirigea vers la voiture de lautre.
Obéissant, les deux hommes se dirigèrent vers leur propre voiture, les femmes ayant été échangées.
B avait démarré rapidement, alors que moi Installé dans ma voiture, je demandais à Véro : « Qui a eu cette bonne idée,
»
Véro : « Nous,
(et posant sa main sur ma braguette),
je ne sais pas si jai gagné au change,
ça manque de dureté,
»
Moi : « Tu sais ce quil te faut faire,
» et aussitôt elle agrandit son décolleté, donnant plus de liberté à ses beaux seins (entre aperçus avec la clarté de la lune) et ouvrit légèrement sa jupe portefeuille. Je mis ma main sur sa cuisse gauche et remontait vers son entrejambe.
Véro : « Quest-ce que tu fais,
»
Moi : « Je veux voir si tu es en forme,
si ta chatte est chaude,
»
Véro : « Remets ta main sur le volant,
ma chatte est bien chaude,
et je commence à avoir des envies,
des idées,
»
Moi : « Jaime quand tu as des idées,
surtout si cest de ton minou que tu parles,
savoir si tu mouilles,
»
Véro : « Tu sais ce que tu es,
oui,
je commence à mouiller,
»
Moi : « Fais moi sentir,
fais moi gouter,
»
Véro : « Tu veux que,
non,
tu veux que je me caresse,
tu es fou,
»
Moi : « Oui,
mets ta main où javais la mienne,
remontes la vers ta chatte, doucement,
tu arrives à ta chatte,
et tu commences à la caresser,
»
Véro : « Arrêtes,
sil te plait,
je ne peux pas continuer,
»
Moi : « Je sais que tu aimes,
ça texcite,
ça texcite dobéir,
dis moi que tu veux vraiment arrêter,
»
Véro : « Non,
jaime te faire plaisir,
tobéir, tu le sais,
et tu en profites, mais jaime
oui,
dis moi ce que tu veux,
»
Moi : « Continues à te caresser,
et dis moi que tu aimes te caresser,
devant moi,
enfin à coté de moi,
que tu commences à mouiller,
»
Pendant ce dialogue, elle avait légèrement incliné le siège et écarté les cuisses. Au mouvement de son poignet, on pouvait deviner quelle se caressait doucement.
Véro : « Oh oui,
oui jaime,
jaime que tu me dises ce que tu veux,
»
Moi : « Rentres doucement,
mouilles bien ton majeur,
et donnes le moi que je le sente,
»
Elle écarta largement les cuisses et se pénétra avec un soupir de satisfaction
Véro : « OH,
Oui,
cest bon,
jaime,
tu sais jaime,
»
Il y eut quelques mouvements de va et vient.
Moi : « Tu sens bon,
et tu est bien mouillée,
»
Véro : « Oui,
jai envie de toi,
je suis prête,
toute chaude comme tu dis,
»
Cétait le moment ou nous arrivions et ou je rentrais la voiture dans le parking de la maison.
Pendant ce temps Véro était rentré dans sa maison, où elle maccueillait en me mettant ses bras autour du cou : « Embrasses moi,
vite,
»
Elle avait à peine fini sa phrase, nous étions lun contre lautre pour une belle et agréable partie de lèche museau. Jen profitais pour glisser mes mains sous son corsage et sentir sa peau sous mes paumes, pour enfin pouvoir la caresser. Puis la repoussant, son décolleté étant largement ouvert, il me fut facile de moccuper de ses seins, dont les tétons déjà pointaient fièrement. Pendant que ma bouche soccupait de ces jolies protubérances, ma main glissa dans louverture de sa jupe portefeuille et les cuisses sétant écartées et le bassin avancé, elle atteignit sans problème sa chatte, chaude et humide : « Oh,
oui,
caresses moi,
jaime ta main là,
oui,
rentres,
» et je navais plus quà mexécuter, dautant que sétant appuyée sur la table, elle avait pu agrandir le compas de ses cuisses et que javais toute latitude pour la masturber allègrement : « Ouiii, ... continues,
jaime,
arrêtes tu me rends folle,
»
Je défaisais la ceinture de sa jupe, qui souvrit et tomba par terre, enfin sappuyant sur la table ses cuisses sécartèrent encore avec des : « Cest bon,
continues,
prends moi avec tes doigts,
ta langue,
» Cétait un appel. Je glissais mes bras sous ses genoux et la renversais sur la table, ce qui se fit sans difficulté et même avec sa coopération et la chatte bien offerte, je plongeais entres es cuisses pour, sentir son odeur de mouille et la gouter. A peine je commençais à gouter à sa chatte, elle réagissait avec force : « Oui,
jaime sentir tes lèvres sur les miennes,
mords moi,
(alors que jhésitais) oui,
aspires mes lèvres et
mords moi,
» Langue et doigts sactivaient dans son minou coulant de plaisir. Vue sa disponibilité, jenfonçais un doigt dans sa rosette, ce qui fut grandement apprécié par : « Oh,
oui,
comme tu aimes,
prends moi partout,
continues,
ne tarrêtes,
» mais je bandais dur, même très dur, je tombais pantalon et caleçon : « Non,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
non,
fais moi jouir,
» et dans la foulée, je me plantais dans sa chatte et : « OH,
OH,
Oui,
prends moi,
oui,
baises moi,
je suis complétement à toi,
continues,
dis moi que je suis ta femelle,
je sens que ça vient,
jen ai tellement envie,
» Jétais parti et me vidais dans sa chatte, quand elle aussi se mit, brutalement à jouir : « OHOHOH,
OUIIIIIIIIIIII,
OHOHOH,
OUIIIIIIIIIII,... cest bon,
» Ce contractant de tous ses muscles ses mains saccrochant à moi et ses jambes mencerclant au niveau de la taille. Enfin se décontractant, elle se laissa glisser au sol et vint contre moi en posant ses lèvres sur les miennes : « Tu es une brute,
jai aimé ce que tu mas fait,
je tadore,
quand je pense que javais acheté une jolie nuisette, très suggestive, pour te tenter au cas où tu passerais la nuit la maison,
cest fichu,
»
Moi : Non,
montres moi cette jolie chose,
bien que je préfère tes robes, te sachant nue en dessous,
mais montres moi cette chose,
»
Véro : « Cest vrai,
tu veux,
donnes moi cinq minutes,
je reviens,
»
Environ dix minutes sétaient écoulées quarrivait Véro. Wouah !!!! Attention !!!! Elle sétait remaquillée et arrangée les cheveux, mais elle était vêtue ou dévêtue dune nuisette en tissu noir absolument transparent. En fait deux bretelles partant des épaules soutenaient, en fait faisait office de soutien gorge, un huitième de bonnet, et encore, transformant ses seins en véritables obus. De cette espèce de support du tissu tombait jusquau niveau, enfin, juste au dessus de sa fourrure blonde, laissant chatte et fourrure bien visibles. Un porte jarretelles tendaient des bas extrêmement fin et pour compléter le tout, elle était chaussée descarpins à hauts talons. Elle arriva se présentant comme à un défilé de mode, avançant puis se retournant de façon à me permettre dapprécier le devant le derrière et son joli cul bien rond qui se remuait quand elle marchait avec ses hauts talons. Elle étant bandante.
Véro : « Jai acheté ça pour toi,
dis moi si ça te plait,
»
Moi : « Tu es bandante,
cest effectivement excitant,
mais malgré tout, tu as un corps parfait, tu es très belle,
jaime te voir nue,
je préfère timaginer, nue sous ta robe,
tu nas pas besoin de ça pour plaire,
et pour mexciter,
mais tu es BCBG,
»
Véro : « BCBG,
bon chic bon genre,
dans cette tenue, je ne pense pas,
»
Moi : « Non,
Beau cul, belle gueule,
»
Véro : « Je me disais aussi,
bon si on allait se coucher,
»
Et direction, la chambre dami, qui était prête à nous accueillir dans ses draps. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour être au lit, lun contre lautre, moi étant dans son dos, une main tenant un sein et la queue dans ses fesses.
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