Immobilier : Une Première Cliente, Des Débuts Qui Motivent !
J'ai commencé l'immobilier à Paris il y a quelques années, sans réelle formation dans une entreprise en plein lancement dans laquelle nous étions seulement deux.
Après quelques semaines très stimulantes j'arrivais à trouver une acheteuse pour un petit appartement, un premier investissement locatif pas inintéressant, et qui pour moi fut une vrai victoire, une première vente ça se fête ! Ainsi il fallut signer une promesse de vente, nous avons donc convenu d'une signature sous seing privé, d'abord le vendeur, et ensuite l'acheteuse.
Pour cette signature, je proposa à l'acheteuse d'aller signer ces documents dans une petite brasserie parisienne, afin d'enchainer ensuite sur un déjeuner. Loin de toute idée mal placé, j'étais un peu tendu face au professionnalisme que je devrais garder. Les documents furent signés très rapidement, sans trop de questionnement, ce qui m'enleva un premier poid. Nous partîmes ensuite sur un apéritif, suivi du repas et d'une bouteille de vin. Cette acheteuse dont je tairai le nom avait environ 35 ans, moi 23, plutôt petite, brune, un brin typé, un esprit vraiment très parisien (elle y était née, et y avait toujours vécu), des fesses rondes comme deux pommes avec des jambes fines, une belle poitrine, et un entousiasme débordant. Ce qui tombait bien c'est qu'elle était du genre à profiter des bonnes choses et moi qui aime le vin je pus aussi assouvir ce plaisir vitale quand il s'agit de déjeuner ! Plus la discussion avancé, autour des voyages, de mon acclimation à Paris, etc... plus l'alcool coulait à flot. Au bout d'un certain temps je sentais que l'ivresse commencait à prendre le dessus, pour elle comme pour moi, et ses jambes semblaient quelques peu baladeuses. Assez intimidé, je profitai de ces quelques secousses sans pour autant faire en sorte d'avancer les choses. Je n'eu pas besoin de le faire puisqu'après m'avoir quelque peu flatté, elle me saisit par le cou et m'embrassa très langoureusement.
J'avais eu de nombreuses conquêtes mais en général mon âge était en rapport avec elle et surtout j'avais l'habitude de mener la danse. Cette fois ci ce ne fut pas le cas et j'adorerai ne pas avoir à réfléchir au comment et pourquoi mais seulement me laisser aller et profiter de cet instant.
A la fin du repas il devait déjà être 17h. Elle me demanda si j'étais d'accord pour continuer de passer ce moment ensemble, j'acquiesa et lui proposa d'aller chez un ami qui vivait à deux pas d'ici. Un coup de téléphone et un passage dans une épicerie pour acheter de quoi boire l'apéritif pour reprendre les hostilités et nous étions chez lui. On pris nos aises et continua à faire monter cette ivresse qui perdurait. Après quelques heures mon ami me dit qu'il devait aller à une soirée, il nous proposa de se joindre à lui mais l'ambiance fut si tendu que nous refusames. Il parti en me demandant de laisser les clés dans la boite aux lettres quand nous partirons.
A peine parti, nous pouvions enfin profiter l'un de l'autre, je me saisis de son visage avec une main et commença à l'embrasser langoureusement pendant que mon autre main s'attardait sur ses fesses que je serrai bien fort. Elles étaient ferme et à la fois charnu, ce qui m'excitait au plus haut point, les quelques gémissements qu'elle poussait lorsque je remontais sur ses seins ne me firent pas mentir quand à l'état de son excitation à elle aussi. Je l'allongea sur le canapé, commença à la deshabiller, et fit descendre ma langue vers ce sein bien rond qui m'appelait depuis des heures. A partir de ce moment elle repris les devants, enleva son jean, poussa ma tête contre sa chatte et me dit :
" Lèche moi, applique toi à faire un cunni comme tu t'appliques avec mes seins".
Après quelques minutes pendant lesquelles nous nous embrassions encore, elle me dit d'enlever mon jean, passa sa main sur mon boxer avec un léger sourire (sans vouloir me vanter, les femmes sont souvent souriantes à ce moment car je suis plutôt bien monté!), elle me l'ota et me fit fondre littéralement en se mettant à genou devant ma queue bien tendu et en me disant droit dans les yeux avec un regard de mi salope mi amoureux "Ca te dérange pas si je te suce un peu ? " Je répondis bien sûr par l'affirmative et elle commença une pipe dont je me rappelerai longtemps. Elle commença par de petit coups de langues sur mon gland, plus tout le long de ma queue, s'attarda sur mes couilles tout en me masturbant, c'était divin. Elle mis ensuite mon sexe en bouche, toujours en me regardant droit dans les yeux, et avala ma bite en entière bien au fond de sa gorge. Elle continua pendant 10 minutes sans jamais lacher son regard, j'en profitai pour lui caresser un peu les seins, ce qui l'a fit gémir à son tour. " Je peux me caresser en même temps ? J'adore vraiment te sucer ça m'excite trop", je la laissa faire et au bout de quelques minutes où elle gémissait de plus en plus fort je fis pris d'une réelle envie de jouir mais me retiens et lui dis de se relever.
Nous sommes alors restés assis un long moment, à se remettre de nos émotions, avons fumer une clope en buvant un dernier verre d'alcool, et sommes sortis de cet appartement en pensant à bien laisser les clés dans la boite aux lettres. Il était temps d'aller boire un verre dans un bar, toujours ivre, et un peu rassasié... pas pour si longtemps...
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