Laurent, Premiers Pas
Cet été 2018, en ce mois de juillet caniculaire, je passe mes vacances dans un village de Creuse. Seul centre culturel du bled, le café ! En ce milieu daprès-midi, tout le monde est réfugié au frais dans le fond des maisons.
Je suis seul dans la salle de café, avec épisodiquement le serveur qui pointe son nez pour sassurer que je nai besoin de rien. Jenchaine la lecture de la pile de magasines qui végète dans un coin de la salle depuis des lustres au vu de la date de parution.
Le serveur senquiert à nouveau dune éventuelle commande. « Une bière bien fraiche sil vous plait ! ». Quelques secondes plus tard, il mamène la boisson. Je lève les yeux au-dessus du journal, en balayant du regard, machinalement, le niveau de sa braguette. « Intéressant ! » me dis-je en moi-même. Une douce forme arrondie boursoufle la toile au niveau de la verge, le renflement laisse également supposer une bourse bien remplie. Les hanches sont solides et laissent deviner un joli cul planqué sur larrière. Mes yeux se lèvent doucement vers le serveur « Merci ! ». Jen profite pour détailler le visage : châtain, légèrement hélé de peau, des épaules bien soulignées par des muscles fin et saillant débordant du « marcel » qui lui couvre le torse. Une poitrine musclée également, a priori exempt de pilosité. Et une légère buée sur les trempes du visage du fait de la chaleur. Jenchaine : « il fait une chaleur pas possible ! je vous offre un verre ? cela nous fera passer le temps ! ». Dune voix à la tonalité agréable le serveur sempresse « ce nest aps de refus, mes vieux mont laissé le bar jusque lundi pour aller dans de la famille, franchement cela me suer de tenir cette boite. Vous ne seriez pas là, jaurai tout fermé ! ».
Intéressant ! « Cest quoi votre prénom ? » La réponse, fuse : « Laurent, et vous ? ». 3moi, Lexi, jai 65 ans et je mennuie également ! » et jenchaine « Mais ce doit être pire pour un gars de votre âge
il va falloir trouver une occupation commune pour notre ennui commun ! ».
Sans répondre, il se dirige vers la porte et ferme létablissement avant de rejoindre la partie privative de la maison. Ni une ni deux, je le suis. Nous sommes dans le couloir qui, visiblement, mène aux chambres de la maison. Dun coup, Laurent se retourne vers moi, bloqué « je nai jamais fais un truc comme ça ! ». Bon, cest le moment de mettre en uvre ma force de persuasion !
« Bon, tu en as envie, cest sûr ! » et je lui désigne lérection qui déforme son futal. « Pour une première fois, on va prendre notre temps ». Ma voix calme et douce fait son effet. « Tu as déjà rêvé dêtre avec un mec je pense, tu voyais cela comment ? ». Dans le même temps, ma main se pose doucement sur ses reins et lui caresse doucement le dos par de lents va et vient à peine appuyés. « Ben, jétais dans ses bars et il posait ses lèvres sur les miennes ». De ses propos, jen fais des indications que je memploie à suivre à la lettre. Mes bras lenlacent doucement, je rapproche le corps de Laurent du mien à leffleurer. Mes lèvres viennent se poser délicatement sur les siennes. Puis, toujours du bout des lèvres, je commence à effleurer son visage, son coup, ses tempes et le haut de sa poitrine. Laurent ne dit rien ? Sa respiration de plus en plus rapide témoigne de son émoi. Je ne parle plus, jagis, tout en douceur. Bientôt, mes mains enlacent son marcel et le fait remonter tranquillement le long de son buste. Laurent ne sy oppose pas. Mes lèvres se saisissent de ce nouveau terrain de jeu.
Comme pris dune soudaine inspiration, Laurent me saisi le bras et memmène dans une pièce qui doit être sa chambre. Les posters et les objets qui la composent dénote la chambre de ladolescent quil était encore il ny a pas si longtemps. Nous nous embrassons maintenant fougueusement debout, intimement enlacés lun à lautre.
Constatant que nous sommes près du lit, dun geste sec, je le pousse vers la couche et me plonge sur son entre-jambe afin de ne pas lui laisser le temps de réagir. Instinctivement ses mains font le geste de me repousser avant de me laisser ouvrer en toute liberté. Je promène ma bouche sur sons exe, à travers la toile du pantalon de longues minutes. Une fois lexcitation devenue insoutenable pour Laurent, je défais le bouton et fait glisser le zip de la braguette. De lui-même, il sextirpe de son pantalon, envoyant valdinguer son boxer à lautre bout de la piaule dans un même mouvement !
Il exhibe maintenant un superbe corps de mec tout juste homme ! Par prudence, je menquiers « jai 65 ans et toi ? ». La réponse fuse, fiévreuse « 20 dans un mois, on le fait ? » la dernière partie de la réponse est sur lintonation de la supplique. Laurent semble craindre dêtre laissé en plan. Visiblement ? il rêve de ce moment depuis longtemps. Sans avoir eu loccasion ou la force de concrétiser. Maintenant quil a franchi le premier pas, il est pret à aller au bout.
Je me redresse et posément lui dit « Laurent, on va le faire, totalement si tu es daccord. On va aller doucement pour que ce moment soit un merveilleux souvenir pour nous deux. » Après une pause, je reprends, « tu vas mhonorer comme je viens de le faire, partout à mes lèvres se sont posées sur ton corps, tu vas poser les tiennes sur le mien, ta langue fera de même.
Ni une ni deux, Laurent semploie à me caresser le visage des es lèvres puis me débarrasse de ma chemise. Il sattarde fougueusement sur mon torse et mes tétons. Sa langue apprécie visiblement le saillant de mes seins, les deux boutons qui les constituent durcissent encore plus sous les coups de langues de Laurent. Ses mains viennent vite menlever de mon short et mon slip « petit bateau » en coton côtelé blanc que lon a tant de mal à trouver aujourdhui. Il le fait avec tellement dempressement que ma queue vient claquer contre mon ventre avec un bruit mou mais révélateur de ma propre excitation.
Je le sens prêt à prendre des initiatives, je lencourage « Fais ce que tu veux ». Laurent est à ce moment à genoux devant moi. Il lève brièvement le regard vers moi et plonge sa bouche immédiatement sur ma queue quil avale maladroitement mais avec avidité.
Rapidement, sa bouche sadapte à lexercice. Instinctivement, sa langue entoure ma bite et la succion quil effectue à chaque fois quil na plus que mon gland en bouche savère ravageur coté plaisir. Je marrache presque brusquement à ce délice. Ses yeux, étonnés et interrogateurs se lèvent à nouveau vers moi. « Nous allons faire durer le plaisir ! ».
Je le repousse vers le lit, lui fait écarter grand les deux jambes et memploie à avaler sa verge. Elle est relativement fine, avec une belle longueur. Sans doute dans les 22 cm. En moi-même, je me dis que cest à un bel organe, assez différents de ce que je vois habituellement. Ma langue descend et remonte doucement le long de la hampe de la verge. Ma bouche se referme sur son gland et, par petites sucions, vient exciter toujours plus son désir. Bientôt, me fiant à sa respiration, je sens la jouissance de Laurent arriver. Ma langue descend alors vers ses bourses. Je lui fais remonter ses jambes au-dessus de lui en veillant à ce quil les écarte en grand.
Jai maintenant, sous les yeux et exposées sans retenue, la belle bite dun jeune homme de vingt ans, ses couilles gonflées à exploser et, quelques centimètres dessous, lobjet de mon désir, une belle petite rondelle vierge de toute intrusion.
Ma bouche tente de gober ses couilles. Le volume quelles ont pris moblige à les sucer lune après lautre. De temps en temps, ma langue glisse vers la rondelle pour y laisser à chaque fois un peu plus de salive. Je sens à chaque fois el corps de Laurent tressaillir. De plaisir ou dappréhension ? il est encore trop tôt pour le dire. Ma langue revient de plus en plus fréquemment vers cet endroit pour, finir par ne soccuper que de cette rondelle et de son périmètre immédiat.
Combien de temps dure cet anulingus ? Je ne sais pas. Toujours est-il que brusquement je perçois les contractions des couilles de Laurent et le tressautement de sa verge qui presque immédiatement lâche de longs jets de sperme. Laurent semble dans un état second, anéanti par la jouissance.
Je me redresse et mallonge à son coté. Je lentends, presque inaudible « excuse-moi, je ne voulais pas ». Mappuyant sur un coude, je me penche vers son visage, dépose délicatement un baiser sur ses lèvres et conclue « Ce nest rein, tu es jeune. Je vais tapprendre à maitriser ton corps. Mais tu me dois une jouissance. Cette jouissance, je vais la prendre par ta chatte, celle que je viens de lécher longuement et qui ta donné ce si grand plaisir. Mais avant, nous allons nous régaler de ton jus. »
Immédiatement, ma bouche récupère sur le corps de mon amant le sperme de sa jouissance. Je men délecte et en partage avec lui le plaisir. Il est dabord surpris du gout prononcé de son sperme, fortement salé. Après un temps dhésitation, il semble apprécier. Puis sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je me place entre ses jambes, le sexe à hauteur de sa rondelle anale. Je lembrasse fougueusement tout en plaçant ma queue à lentrée de ce qui sera bientôt une chatte de garçon. Ma verge raide bouscule son entrée. Je le sens un peu réticent puis petit à petit, son anneau se détend. Prenat un peu de recul pour voir ce que je fais, jassure le positionnement de ma bite à lentrée de son cul et donne de légers coups de rein. Sentant que le moment est venu, je pousse alors dun coup sec mon sexe qui force sans brutalité le muscle anal. Le gland est passé, je maintiens alors une poussé douce et continue. Laurent lâche une plainte de de plaisir mêlée de douleur. Je ne ralenti aps. Une fois au fond de son cul, je mimmobilise et me réallonge complétement sur lui. Une larme coule long de sa joue. « Tu aimes ? », Laurent ne répond pas. Il semble retenir sa respiration. Nos deux corps restent longuement reliés par ma verge. Puis je sens ses spencers se relâcher petit à petit. Je sais que dans quelques minutes je vais pouvoir amener Laurent au plaisir de la sodomie en lui labourant le cul avec délicatesse
Cest le début dune belle et fougueuse relation qui nachèvera quavec la fin de mes vacances. Peut-être, si mes amants men laissent le temps, vous raconterai-je plus en détail ce qui a suivi.
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