Manu S'Invite (2)
Manu se glisse entre les draps sans un bruit, cest la lueur du clair de lune qui la orientée dans la chambre immense dAngèle. Le lit trône au beau milieu de la pièce et elle entraperçoit une baignoire et un lavabo de part et dautre de la fenêtre, un grand miroir couvre presque tout le mur en vis-à-vis. Seule la respiration feutrée dAngèle rompt le silence de la nuit. Il est déjà minuit passé. Quelle journée ! Elle naurait jamais imaginé en quittant Nantes cet après-midi quelle achèverait ce samedi en traversant un tel feu dartifice érotique. Se prendre en deux heures, la mère de sa copine et lenculade de son beau-père, impensable ! Toujours un peu victime de son éducation, elle se demande si elle nest pas passée pour une grosse salope aux yeux de tous. Comme tout son corps lui confirme quelle a eu raison de profiter, elle sendort sans difficulté.
En sautant sur le lit, cest le chat de la maison qui réveille Manu. Angèle nest plus là. Cest une lève-tôt, comme ses parents. Jetant un il sur le réveil, Manu se dit quavec un peu de chance, elle peut tirer une petite heure supplémentaire de grasse matinée et ça lui fera le plus grand bien.
Le clapotis de la baignoire ramène Manu, dans un demi-sommeil, aux événements dhier soir. Cest une sensation agréable. Angèle qui se lave dans la pénombre linterpelle :
- Hé, vieille gougnoute, il serait temps de rincer tout ça, non ?
- Tu nemploies pas ce terme par hasard, jimagine déjà le sujet de la discussion au cours du petit-déjeuner. Je nai pas besoin de te raconter, je suppose que tu sais déjà tout ?
- Tout. Tout, sauf tes impressions, ma Manu damour, viens vite dans le bain me raconter. Je peux déjà te dire que tu as troublé favorablement mes vieux ! Ils sont sur le cul.
- Oh ! Jimagine quils en ont vu dautres et quils ne sont pas à leur coup dessai, réplique Manu, en essayant de trouver sa place dans la baignoire.
- À ce que jai entendu, poursuit Angèle, je découvre ce matin une Manu secrète, dont jignorais tout.
- Oui, mais là cest tes vieux qui ont tout déclenché. Je ne sais pas pourquoi, ils baisent comme ils respirent. Et si tu es à proximité tu respires avec eux, alors tu baises sans te poser de question, les choses semblent tellement naturelles que tout semboite sans un mot. Tout semboite, cest le cas de le dire, quest-ce quil ma mis, le Jean-Christophe. Pour son âge, cest un sacré coup. Aucun chichi, il ma enculée comme ça, naturellement. En même temps, il me devait bien ça, je lai tété comme une folle.
- Ce qui métonne le plus, cest que tu te sois envoyée aussi ma mère. Ça, jai plus de mal à le digérer. Depuis que je le sais jai comme une boule à lestomac que je nexplique pas. Mon beau-père, je men fou, depuis le temps que jai envie de sa queue et quil ne me voit pas quand je suis là, jen ai fait mon deuil. Mais que tu toffres à Aline dès le premier soir
Alors quon se connait depuis des années, que bien souvent on se branle chacune de notre côté tellement les mecs nous déçoivent et que jamais, pas une seule fois tu nas même tenté de me rouler le moindre patin. Ça me fout vraiment en colère.
- Mon amour dAngèle, jen ai eu souvent envie, mais javais peur de teffrayer et de te perdre.
Tout en devenant très câline, Manu a posé délicatement son pied sur la chatte dAngèle pour confirmer son propos et du talon elle entreprend de détendre doucement son amie.
- Jai le feu, Manu, jai le feu ! Ne joue pas à ça, cest une . Je me branlerais avec un concombre si jen avais un sous la main ou je baiserais avec lagriculteur den face, même avec son chien de berger sil le proposait. Depuis ce matin je nentends parler que de jouissance, de doigtage, denculade
. Ça suffit ! A quand mon tour ?
Manu prend la main dAngèle et la fait virevolter dans la baignoire pour quelle vienne se caler assise entre ses jambes, lui tournant le dos.
Cest à plat ventre entre les cuisses de Manu quAngèle reprend peu à peu ses esprits, dans le reste deau que leurs ébats ont laissé au fond de la baignoire.
- Leau est froide, on sort ? Propose Angèle.
- Oui, je te sèche ?
Équipées chacune dun drap de bain, elles saffairent à ne laisser aucune trace dhumidité sur le corps de lautre, les plis et les replis sont épongés avec douceur et, se prenant par la main, elles se nichent au creux du lit encore tiède. Un rayon de soleil éclaire un peu la pièce à travers les volets dun autre âge. Elles se blottissent lune contre lautre, encore étonnées davoir cédé à cet interdit. Ce doit être la maison qui sy prête se dit Manu. Angèle sendort et Manu veille sur elle.
A petits coups de langue sur la bouche, entre ses lèvres, Manu réveille son amie dont les yeux qui sentrouvrent lui adressent sans conteste un sourire reconnaissant.
Les marches de lescalier craquent sous les pas de quelquun qui doit faire plus de 40 kilos, elle se disent que ce ne peut être que Jean-Christophe.
Je marrête soudain à mi-parcours et jappelle :
- Les filles, jai servi le petit déjeuner de Manu, si vous voulez bien descendre ? Lance-je.
Les deux donzelles entendent bien linjonction, mais toujours espiègles, elles ne répondent pas et sengouffrent chacune la tête sous un oreiller. Le cul en lair.
- Si vous ne venez pas, je vais devoir sanctionner, dis-je en arrivant sur le palier, devant la porte de la chambre.
Je frappe fermement et en retour jobserve un silence total. Je me risque à entrebâiller la porte de la chambre et dans la pénombre japerçois ces deux petits culs insolents.
- Bon, ça suffit, ne faites pas les s et restez correctes, grogne-je.
- Punition ! Punition ! Punition ! Scandent en chur les deux filles, sans que je puisse distinguer un cul de lautre.
- Pour être juste, je devrais être équitable dans la sanction, affirme-je, en donnant une claque sur une fesse et une claque sur lautre.
- Punition ! Punition ! Punition ! reprennent les deux filles.
Mes yeux shabituant à la pénombre je ne peux que constater devant moi deux chattes et deux trous de balle offerts sur un piédestal. Je bande déjà.
- Daccord, mais comme hier soir jai délaissé la moule de Manu, ce sera moule pour toutes les deux.
Loccasion est trop belle de jouer la confusion pour en mettre une bonne pinée à Angèle qui est parfois pour moi un excellent support de branlette solitaire.
Je rapproche les deux filles lune de lautre pour les enfiler tour à tour, elles se tiennent la main, ne font quune. Jai les deux mains occupées à les fouiller un peu et je comprends vite que les préliminaires mont devancé. Je sors ma pine et lengage dans la fente de gauche. Je ny reste pas longtemps, le confort de ce vagin est un piège à bites, lenvie déjaculer me tombe dessus comme sur un adolescent de 16 ans qui se taperait la mère de son copain pour la première fois. Quelle douceur, quelle étroitesse bénie. Je dois vite reprendre mes esprits et ne pas me comporter comme un goujat. Je passe à droite. Un peu plus large, inondé et profond, il mautorise daller et venir et de raison garder quant à la suite. Je ne sais pas laquelle des deux ma vue repartir comme un voleur, mais celle que je prends en ce moment apprécie de se faire remplir de ma queue. Je pompe comme un forcené et elle émet un râle étouffé par le coussin. Elle se met à agiter sa croupe frénétiquement, au point que je dois arrêter mes initiatives et lui laisser la main, si on peut dire. Je reste fixé, la bite tendue et elle sastique sur mon zob comme sur un godmichet fixé au mur de la douche. Elle connait le chemin de sa jouissance et ne tarde pas à lexprimer bruyamment. Je déchausse dès que je considère quelle a mérité une pause.
Sa voisine de chambre na pas bougé. Elle attend. Je la prends par les hanches et lintroduit de mon gourdin humide. Le self-control dont jai fait preuve durant la chevauchée précédente me sert et jaccepte mieux le confort de ce petit con étroit. Jentre et je pousse lentement. Je pousse encore pour en atteindre le fond et je ne bouge plus. La fille non plus, elle reste immobile. Seule la pression de ses parois vaginales fait écho aux pulsations cardiaques ressenties à lintérieur de mon membre tendu. Enserré de la sorte, jai limpression surréaliste davoir une bite énorme, hors gabarit et le temps qui passe narrange rien à laffaire. Nous restons là, ignorants des circonstances et du lieu. Je devine quil sagit dAngèle, ma petite damour que jai vue grandir, que jai consolée de ses premiers chagrins dadolescente. Angèle mon cur, ma fille. Angèle je te fourre et jaime ça. Tu me combles comme rarement je lai été. Aucun bruit autre que celui dun léger courant dair, juste ma pine encastrée dans ta chatte jusquà la garde, prête à gicler, prête à te remplir. Tu sais intuitivement que le premier qui esquisse un mouvement de son bassin va lancer le début de la fin de cet incroyable moment Nous ne faisons quun mon Angèle. Nos curs légèrement apaisés battent à lunisson. Je sens ta main glisser vers ton clito et entamer le déclenchement de lhallali de cet instant enchanté. Tu commences à jouir dans bouger, je sens les contractions de ton vagin et je pousse au fond, jusquà ton col, en ramenant tes cuisses vers moi. Je pars, je tensemence, je ne sais plus où je suis et je nose pas crier mon plaisir. Je grogne et tu te propulses en arrière pour prendre encore plus de jus.
Angèle je taime.
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