Soiree En Discotheque 2/2

Après cette torride série de slows, nous regagnons notre table, et je nous sers des boissons , pendant que Sandra, file aux toilettes. Karine vient prendre un verre et repart danser.
Au retour de Sandra, celle-ci , en prenant son verre, me tend sa main, et dépose dans la mienne un petit morceau de tissu que je reconnais immédiatement. J’empoche le string discrètement, pendant qu’elle me dévisage par dessus son verre, en écartant les cuisses.
La très courte robe, remonte légèrement au dessus des bas stay-up, et j’aperçois dans les éclairs des stroboscopes, son minou dévoilé.
« tu m’emmènes ailleurs, ou tu attends que quelqu’un d’autre en profite ? » demande t’elle ironiquement.
L’invite ne peut pas être plus claire. Je bondis de mon fauteuil et me mets en recherche de Karine que je trouve en train de siroter un verre, au bar, en bonne compagnie. Je l’informe que nous partons, mais elle me dit qu’elle préfère rester, et qu’elle se fera raccompagner.
Je passe ensuite au vestiaire et récupère Sandra.
Une fois dans la voiture, Sandra se pelotonne dans son siège jusqu’à ce que l’air soit réchauffé. Elle se débarrasse de son manteau et vient se blottir contre moi, caressant mon sexe doucement au travers du pantalon. Je profite d’un feu rouge pour l’embrasser. Ma main se faufile sous la robe, et la remonte jusqu’à découvrir l’objet de mon désir. Un petit massage du mont de vénus, et le compas de ses jambes s’ouvre. Mes doigts sont engloutis par la fente qui baille déjà, en dessous d’un ticket de métro minimal.Le feu passe au vert, et je dois délaisser ma belle. Tout en roulant, je l’observe du coin de l’œil. Elle incline son siège et retrousse sa robe jusqu’au nombril. Chaque feu, chaque réverbère, éclaire fugacement son sexe palpitant. Ma main s’échappe à chaque occasion pour investir sa corolle offerte à la vue.
« Il faut que j’entretienne la flamme jusqu’à la maison » me dit elle en faisant passer sa robe
par dessus sa tête.


Voilà que je traverse la ville avec une femme nue, offerte sur le siège passager. Je prie intérieurement pour ne pas rencontrer de contrôle de police. Arrivés devant la maison de Karine (nous avions décidé de dormir là) , je me gare. Elle est déjà sortie, pudiquement emmitouflée dans son long manteau. A peine entrés, elle s’en débarrasse sur un fauteuil et se dirige vers la chambre. Ah le balancement de son petit cul ferme, perché en haut de ses jambes gainées de noir, sur ses escarpins stilettos ! c’est un pousse au viol.
Je ne lui laisse pas le temps d’atteindre la chambre. Je saisis sa taille, et la pousse pour l’incliner sur le dossier d’un canapé. Comprenant la manœuvre, elle s’y accoude en cambrant les reins, les jambes écartées, fièrement campée sur ses talons, la fente humide déjà prête. Je déboucle ma ceinture et laisse choir mon pantalon et mon boxer. Sa main s’empare de mon membre et vient le planter dans sa vulve baveuse. Aussitôt, j’entame un va et vient vigoureux, qu’elle accompagne de coups de reins énergiques. Les mains crochées dans ses hanches, je la pistonne sans retenue. La pièce résonne des claquements de nos corps qui s’entrechoquent et de nos halètements bestiaux. Rapidement, je me mets à ahanner tandis que ses cris s’intensifient. Notre coït animal nous conduit tous deux à un orgasme irrépressible, et nous nous écroulons l’un sur l’autre.
Sandra se remet en quelques secondes
« Je vais me doucher » déclare t’elle en partant d’une démarche altière, comme si rien ne s’était passé, si ce n’est qu’elle est nue, et que de longues trainées de sperme dégoulinent le long de ses jambes.
Quelques minute plus tard, je la rejoins sous la douche, et m’empresse de lui savonner, le dos, mais mes mains s’égarent rapidement sur ses fesses rebondies. Je masse les deux globes, en glissant mes doigts dans son sillon, jusqu’à sa vulve qui s’ouvre à ma caresse et englouti un, puis deux doigts, tandis qu’un troisième vient chatouiller son anus avant de s’y faufiler.
Quelques alleés et venues dans ces conduits, ne suffisent pas à combler la belle qui se retourne vers moi et empoigne ma virilité, qu’elle entreprend de masturber . Sa bouche vient bientôt compléter son travail manuel, me redonnant raideur et vigueur. Dès que j’ai atteint la consistance voulue, elle se suspend à mon cou et vient s’empaler sur mon sceptre. Je la plaque contre le mur et lui imprime un mouvement ample de va-et-vient, en la tenant sous les cuisses. Cette pénétration est amplifiée quand ses jambes se nouent autour de mon bassin. Mon ventre vient claquer contre le sien et nous haletons bruyamment à la recherche de notre plaisir. Je vois bientôt ses yeux se voiler sous ses paupières mi-closes ; son bassin est pris de secousses brutales, et elle gémit son plaisir dans une plainte entrecoupée de « oui, encore ! plus fort ! mets là bien au fond, je te sens bien ! c’est bon ! »
Avant de me serrer brusquement , son sexe pressant le mien.
Après cet intermède sanitaire joussif, nous gagnons la chambre et nous endormons aussitôt allongés.
Quelques heures plus tard, j’entrouvre les yeux sans pouvoir identifier ce qui m’a tiré de mon sommeil. La lumière du jour filtre à travers les stores en une clarté diffuse. Ma montre indique 7h30. J’entends la douche couler dans la salle de bains. Sandra, dort paisiblement, à plat ventre, une jambe, et une fesse dépassant du drap.
La douche s’est arrêtée, et Karine, enroulée dans une serviette, fait son entrée. Cela pourrait paraître surprenant, mais nous sommes dans sa chambre, et je ne pense pas qu’il y ait un autre lit. D’un geste elle m’intime le silence, en montrant Sandra endormie, puis , en passant par le pied du lit, elle vient, à quatre pattes, se glisser entre Sandra et moi. Elle rabat le drap set la couette sur elle, et me murmure un « bonne nuit » à peine audible avant de fermer les yeux. Je ne me fais pas prier pour retourner illico dans les bras de morphée.

Le soleil amène une clarté plus franche quand je m’éveille à nouveau.
Karine me tourne le dos, et je sens le contact de sa peau. Je tends la main et la laisse errer sur son flanc. La serviette de toilette a disparu. J’enlève ma main, mais elle arrondit le dos et ses fesses viennent se coller contre mon bas-ventre. Je suis maintenant au bord du lit. Impossible de reculer, au risque de tomber. Je mets ma main sur sa hanche, pour lui faire sentir ma présence, mais elle remue un peu et vient frotter son derrière sur mon sexe qui réagit aussitôt en prenant du volume.. Elle ne peut ignorer cette gaule matinale qui vient se plaquer sur se fesses !
Elle remue avec un soupir, et soulève une jambe, juste le temps pour mon sceptre de s’insinuer entre elles. Je suis prisonnier de ses fesses serrées sur ma queue érigée. A ce moment là, elle commence un mouvement du bassin, d’avant en arrière, faisant coulisser mon chibre le long d’un passage chaud et humide. Je ne sais si elle dort, mais c’est sans équivoque. Ma main longe son flanc et vient s’emparer d’un de ses petits seins, au téton bandé et dur que je malmène quelque peu. Une main s’est glissée entre ses jambes pour s’emparer de ma queue, et l’amener à l’entrée de sa grotte. Mon sexe coulisse sans difficulté
Dans cette gaine brûlante. Elle s’incline pour faciliter mon intromission, repoussant le drap pour pouvoi rmieux écarter les jambes. Accroché à ses hanches, je commence à balancer mon bassin pour m’enfoncer de plus en plus en elle, quand je sens une main s’emparer de mes bourses et les presser doucement. Sandra me regarde avec un sourire tout en serrant mes boules.
« je vois qu’on ne perd pas de temps » dit elle
Je cherche quoi répondre, mais elle vient se pencher par dessus Karine, pour m’embrasser longuement. Puis ses lèvres quittent les miennes pour venir de poser sur celles de Karine, qu’elle embrasse goulument.
Karine jouit à ce moment là et me repousse sur le dos. Sandra, passe par dessus elle et vient me chevaucher, s’empalant sur ma queue dressee. Elle se met a monter et descendre de plus en plus vite sur mon sexe, m’offrant le spectacle de ses deux seins bien rond agités par nos soubresauts de plaisir.
Karine n’est pas en reste et vient titiller le clitoris de Sandra, qui tressaute sur mon ventre de façon de plus en plus saccadée, alors que je pince sans ménagement ses tétons, et malaxe ses seins. Elle explose dans un cri en s’abattant sur moi. Après quelques instants de répit, elle se dégage, et c’est Karine qui se penche sur moi, sa bouche vermillon gobant mon gland. Elle se sert merveilleusement de sa langue, suçant, tétant, léchant mon frein ou mes testicules, alternant de rapides sucions avec de longues introductions en gorge profonde. Je sens une vague de chaleur monter en moi, une crispation part de mon périnée et monte dans ma lance. Je repousse Karine, mais celle ci continue avec sa main tandis que je jaillis à longs traits qui vont s’écraser sur ses seins et son ventre.
Karine jouit quelques secondes plus tard, sous la main experte de Sandra. Les deux jeunes femmes sont maintenant allongées près de moi et se caressent mutuellement. Sandra murmure quelque chose à Karine qui sourit en hochant la tête. Elle se tourne, à plat ventre et Sandra lui fait relever le bassin avant d’introduire deux doigts dans le sexe de son amie. Sous mes yeux, je vois ma compagne branler une autre femme, ce que j’aurais cru impensable quelques jours plus tôt. Bientôt, Sandra sort ses doigts trempés de la chatte de Karine et remonte pour forcer son petit trou, d’abord d’un doigt, puis de deux. Malgré les gémissements de Karine, Sandra alterne entre les deux orifices, les maintenant lubrifiés et ouverts.
Ce spectacle m’a redonné de la vigueur, et je me masturbe en matant, quand Sandra m’interpèle
« Allez, viens maintenant. »
Sans hésiter je me laisse guider par Sandra, qui me positionne derrière Karine, et guide mon sexe vers son anus.
« Je sais que tu en rêves », me dit elle »mais moi je n’aime pas ça »
Elle pousse ma queue vers le trou de Karine, dont le sphincter bien détendu accepte mon gland. Malgré la préparation, le conduit est étroit et Karine gémit de douleur. Petit à petit , je m’enfonce dans ses entrailles et élargis le passage. Pendant ce temps Sandra la fiste doucement avec trois doigts. Mon va et vient s’accentue. A chaque passage, je sens les doigts de Sandra contre mon sexe au travers de la peau de Karine. J »amplifie mes mouvements. Mon sexe grossit, mais Karine s’élargit peu à peu. Je commence à la pistonner de plus en plus violemment, et elle crie de plus en plus fort . Sandra nous encourage de la voix en nous dispensant ses caresses.
« Vas-y, défonces là ! »
« Prends ça dans ton cul ! tu aimes ça, hein ? dis le ! »
Les deux mains crochées dans les hanches de Karine, je la defonce en ahannant, mon ventre claquant en rythme contre son cul écartelé.
Est-ce mon chibre dans son cul ou les doigts agiles de Sandra sur son clito, Karine se met à beugler en tremblant, et en remuant spasmodiquement son cul.
Je sens ma jouissance venir et sans me retenir je lache tout, dans un cri, inondant son intérieur de ma semence.
Je retombe sur le dos, et Karine vient me sucer jusqu’à ce que j’aie complètement débandé
Après quoi nous retombons tous trois dans un sommeil réparateur.
Nous avons quitté les lieux en début d’après-midi, un peu génés. Nous avons souvent revu Karine qui est resté une amie, mais nous n’avons jamais reparlé de ce moment de folie sexuelle.



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