La Pose Plaisir.

Comme je le faisais souvent le matin je rendais une petite visite amicale dans chacun des bâtiments communaux pour savoir si les femmes de service n’avaient besoin de rien.
Et quand j’arrivais dans un des nombreux établissements, je m’aperçus que Samara y manquait. Après prospection je sus qu’elle se trouvait sous la douche. Il me fallut que quelques pas pour m’y rendre. J’ouvrais la porte et pénétrai le lieu pour me rendre compte qu’elle était sous la douche.
Quel spectacle ! Elle avait un cul rebondi à merveille, un dos musclé, ces cuisses me paraissaient bien fermes. Après quelques minutes, elle se retourna sur le dos et, là non plus, je ne fus pas déçu, elle avait une superbe poitrine bien ferme, mais une chatte malheureusement pour moi, chauve.
-Qu’est-ce que tu fous là, lui fis-je, alors qu’elle me regardait.
-Cela ne se voit pas ! répondait-elle.
-Et tu ne peux pas la faire chez toi.
-Panne d’eau chaude ce matin.
-Et pendant ce temps là tu ne bosses pas ! lançais-je.
-T’inquiète, je rattrais. Si tu veux bien maintenant me frotter le dos avec le gel douche, tu seras très gentil.
Poussée par une excitation mal saine, je m’exécutais. Et je ne le regrettais pas tant elle avait la peau vraiment douce. Je faisais des petits cercles avec la paume de la main, elle se retourna d’un bloc, les deux bras tendus contre le mur, la tête penchée en avant, dirigeant ainsi le jet d’eau sur sa nuque. Petit à petit, je remontais vers sa nuque, je reprenais du savon et maintenant je la massais avec mes deux mains au niveau de ces épaules. 
-Tu es doué !
Encouragé par ces mots, je descendais mes mains sous ses aisselles à la base de ces seins. Je m’attendais à ce qu’elle me demande d’arrêter, mais au contraire elle lâcha.
-Oh que c’est agréable, c’est relaxant.
Très vite une bosse se forma à la hauteur de ma braguette. L’eau mélangée au savon facilitait mes caresses et je pouvais dire que je prenais mon pied, apparemment elle aussi n’était pas insensible, à un tel point que mes caresses se faisaient de plus en plus précises, je frôlais maintenant le haut de ces seins gonflés, ils étaient vraiment superbes.

Sans les voir, je pouvais les deviner fermes.
Progressivement, j’arrivais à ces tétons tendus à l’extrême, je les caressais avec la paume de mes mains, puis je les pris à pleine main, tout de suite sa respiration se fit plus rapide. Elle ne pouvait plus douter de mes intentions et elle les accepta. Ce fut l’instant choisi pour couper l’eau.
Sans me soucier du reste du personnel, d’être surpris ou non, je posais mes lèvres dans son cou pour aspirer l’eau qui perlait sur sa peau, quelques frissons lui parcouraient le corps. Tout en lui pétrissant les seins, je promenais désormais ma langue dans tout son dos. Sous ma caresse elle se à gémir doucement. Pas mécontent de moi, je descendais pour que mes mains atteignent son ventre, puis je la plaquais contre moi afin qu’elle sente l’érection dont elle en était la coupable.
Je l’attrapais par les hanches et frottait sans malaise mon érection contre son cul. Elle ne restait pas inactive et accompagnait mes mouvements en tortillant du cul, pour me montrer qu’elle était totalement soumise à ma volonté.
Je lui caressais sa chatte, elle continuait à dandiner et à gémir. Avec mon pousse, je lui agaçais le clitoris, pour son plus grand plaisir. Après quelques instants de ce traitement, je lui chuchotais :
-Cela te dirait que je te la suce ?
-Tu fais ça, toi ?
-Et comment que je fais ça, c’est toute ma vie de foutre ma bouche dans une chatte d’une femme.
Sans me soucier si s’était humide ou non, je posais mes genoux sur le sol, pour me placer sous-elle, Samara restant pour sa part debout, d’où j’avais une vue imprenable sur ses lèvres foncées, je plaçais ma bouche à la bonne hauteur. Malgré la douche elle dégageait une forte odeur, m’encourageant à y poser mes lèvres. Commençant à lui sucer sa petite bulbe rose, pour le plus grand plaisir de sa propriétaire, qui tout de suite extériorisa son bonheur.
Alors que je lui branlais le vagin avec ma langue, elle fit d’elle-même danser de bassin, tout en se pinçant les tétons.
Très vite elle se cabra et jouit en déchargeant un flot de jus tiède dans ma bouche.
Je pensais que cela allait l’arrêter. Mais non !
-Tu ne peux pas savoir ce que ça me fait de te voir excité, me lançait-elle, en me désignant la bosse que faisait mon érection sous mon jean.
-Je vais te faire gicler ! enfin si cela te dit ! ajoutai-elle en faisant tomber à mes chevilles mon pantalon et mon slip.
Puis elle se plaça derrière moi, pour mettre mon cul à hauteur de sa bouche. Elle me reniflait entre les fesses, me léchait les couilles, et le sexe par-dessous. Je sentais son souffle chaud entre mes fesses. Elle se montrer bestiale, voir sale, et ça croyez-moi cela me plaisait.
La bouche grande ouverte elle emboucha mes couilles. C’était chaud, c’était bon ! elle les pompait fort, à me faire mal. Roulant les testicules dans sa bouche, les avalait, les recrachait comme elle l’aurait fait avec des noyaux de pêche.
Dans le mouvement elle me caressait les fesses, les pétrissait, les aplatissait, tout en se branlant. Je la surpris en train de se pincer le bouton, puis fit descendre ses doigts vers son vagin, y faisant disparaître deux doigts.
-Regarde comme je dégouline ! me fit-elle en m’exhibant ses doigts luisants.
Je me penchai pour les sucer. En même temps, elle s’occupait de ses seins. Elle jouit en se martyrisant ses nichons. Les pétrissait à pleines mains.
Ne tenant plus, je la plaçais pour pouvoir à nouveau m’occuper de sa chatte. J’y allais à grands coups de langue. Dans la chatte dans le cul, qu’elle s’efforçait d’élargir pour mon plus grand bonheur. Son vagin béait, gluant, permettant à ma langue d’allait au plus profond d’elle. J’aspirai ses chairs.
-J’aimerais te voir jouir maintenant. Me fit-elle.
Je me redressais pour ça, debout, face à elle, pendant qu’elle se branlait, je giclais dans sa bouche. J’étais lessiver, comme elle, les yeux dans le vague.
Bien sûr, après nous êtes rajuste nous reprîmes le boulot.

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