Auto-Stop
Je ferme avec difficulté le zip de mon sac de sport, bourré de toutes mes possessions terrestres. Je fais rapidement le tour de mon logis, un petit studio avec une salle de douche, et une kitchenette, tout juste agrémenté dune petite terrasse. Un dernier coup dil sur les lieux pour massurer que je noublie rien, et je referme la porte sans regrets sur une saison qui ne maura guère souri. Je dépose les clefs chez le gardien et me voici sur la route.
Un de mes collègues ma emprunté ma voiture et a trouvé intelligent de la planter dans un mur. Le crétin na rien eu ; le mur, non plus. Par contre cette mésaventure fait de moi un piéton, pour un temps. Je longe les rues du bourg, profitant de lombre des platanes. Les voitures qui passent ignorent mon pouce levé. Dailleurs, le remarquent elles seulement ?
Sur que jaurais du mal à trouver un stop avant de quitter lagglomération. Je nai plus quà trainer mon lourd bagage jusquà la sortie de la ville, pour trouver un endroit idéal où je pourrais être vu et où les autos pourront sarrêter.
Je marche le long du trottoir, tendant le bras à chaque bruit de moteur, sans véritable conviction, dans lindifférence des autochtones qui ne me remarquent pas. Je suis déjà résolu à me trainer sur le bord de cette route, sous le lourd cagnard du début daprès-midi, quand jentends un moteur qui ralenti dans mon dos. Je tourne la tête pour voir une petite bombinette rouge stopper à ma gauche.
Cest mon jour de chance ! Jarbore mon sourire le plus engageant et me penche à la portière dont la vitre sest baissée.
« Je tai reconnu, allez, monte ! »
Au volant du bolide, je reconnais aussi la conductrice. Cest une fille que jai croisée souvent en boite de nuit, et que javais remarquée, mais que je nai jamais pu aborder, car elle était toujours accompagnée. Décidément cest vraiment mon jour de chance !
Sans hésiter, je pose mon barda dans le coffre de la voiture et viens minstaller à ses côtés.
« Cest marrant de se retrouver là, dans la vraie vie » dit elle en souriant. « tu vois qui je suis ? »
« Impossible de ne pas te reconnaître » reponds-je « ça fait plus de six mois que je te croise au moins deux fois par semaine dans les discos de la station. Jespérais pouvoir, un jour , taborder, mais tu étais toujours avec une bande de copains. »
« Cest vrai que je sors rarement seule » commente-telle
Elle est concentrée sur sa conduite, sur cette route sinueuse de montagne, et je peux la détailler à loisir. De jour, elle est encore plus jolie que sous les lumières artificielles des pistes de danse. Elle est assez grande, presque autant que moi ; je dirais dans les 1m70, elle a un casque de cheveux chatains bouclés qui encadrent un visage à lovale régulier. Les yeux dun vert très clair tranchent sur la peau mate. Son petit nez bien droit est planté entre deux pommettes hautes. Le menton est volontaire sans être agressit, et la bouche sensuelle teintée de rose, sentrouvre sur des quenottes éclatantes. Le cou gracile lui donne un port de tête altier. Javais déjà remarqué sa poitrine avantageuse, mais le petit débardeur noir quelle porte, en ce jour dautomne la met particulièrement en valeur. Je ne lavais jamais vue autrement quen pantalon, mais elle porte aujourdhui une courte jupe en jean, qui dévoile de longues jambes bronzées terminées par de petits pieds aux ongles du même rose que ses main, enserrés par des nu-pieds à talons,.
Elle doit sentir mon regard, car elle tourne vers moi un visage interrogatif.
« Moi cest Jules » dis-je, en matière de présentation.
« Enchanté Jules, moi je mappelle Patricia, mais tout le monde mappelle Patou. »
« Excuses moi, de te dévisager, mais je te trouve assez différente de jour. »
« Ah ! Et je suis moins bien ? »
« Non, non, ce nest pas ça, au contraire, tu es encore plus jolie. »
« ça, cest gentil » me dit elle
« généralement, cest plutôt linverse.
« Donc, la lumière du jour ne ma pas trop changée ? » demande telle
« Si, mais en mieux, et tu es en jupe alors quen boite tu étais toujours en pantalon. »
« Donc, cest mieux si je montre mes jambes ? »
« Quand on a daussi jolies jambes, il ny a pas à douter. »
« Sauf quen boite, je suis plus libre de mes mouvements en jean. En tout cas, tu es observateur. »
« Pas difficile de regarder une si jolie fille, mais plus dur de laborder, même si je ne tai jamais vue flirter avec un gars. »
« Humm, vil flatteur, tu semble avoir bien flashé sur moi. Pour tout dire je tavais repéré, de mon côté, mais jattendais que tu fasses le premier pas. »
« Malheureusement, ma saison se termine, et je quitte la région, raison pour laquelle je fais du stop. »
« Aie, la vraie vie nous ratt » grimace telle
Le temps de notre conversation, nous sommes arrivés à la route nationale. Je dois partir à gauche et elle à droite. Elle range sa voiture sur le bas côté.
« Bien, je crois que cest là quon se sépare » me dit elle.
Je mapproche delle et elle jette ses lèvres contre les miennes. Notre baiser est long, et passionné. Ma main sest posé sur un sein que je malaxe avec entrain. Le téton se dresse sous le tissu fin du débardeur. Je passe mes doigts sous le vêtement pour aller directement empaumer cette masse tiède et ferme. Pendant ce temps elle a glissé ses mains sous ma chemise et me caresse. Sans cesser de lembrasser, je remonte le débardeur et découvre deux seins ronds et fermes. Je saisis les pointes que je fais rouler sous mes doigts, et elle se tord sous ma caresse. Tandis que ma main gauche soccupe des seins, ma main droite est descendue sur sa cuisse, et remonte doucement jusquà la fourche de ses jambes.
« Hé ! « dit elle en interrompant notre baiser « Ce nest pas parce que je te trouve sympa, quil faut croire que tu peux tout faire.
Je la regarde en souriant, et en posant de légers baisers dans son cou et sur ses seins.
« Je vais partir, et on ne se reverra peut-être jamais. Si tu en as envie comme je le pense, cest maintenant quil faut en profiter. »
Elle ne répond pas, mais je sens ses cuisses sécarter pour laisser passer ma main. Jécarte la culotte noire, et faufile mes doigts sur sa chatte déjà humide. Jintroduis un doigt dans sa cavité mais elle minterromp.
« Attends »me dit elle, et elle fait glisser la culotte de satin qui finit sur la moquette, avant de sécarter largement pour que je puisse introduire deux doigts dans son minou bien rasé.
La chair rose de sa vulve tranche avec le hale prononcé de sa peau. Je stimule son clitoris et la doigte pendant quelle halète en ondulant du bassin autour de mes phalanges. Elle a soudain un orgasme bref sur ma main inondée.
Elle se rend alors compte de la situation. Elle est au bord de la route, poitrine offerte, dans une voiture en plein soleil. Elle tire alors sur sa jupe, et me dit.
« On ne peut pas rester là. »
Elle démarre et fait quelques centaines de mêtres, avant de tourner dans un chemin qui senfonce dans la forêt, et de stopper dans le sous-bois. Je lembrasse de nouveau, et fais passer le débardeur par dessus sa tête, pendant quelle mote ma chemise. Je drégraffe sa jupe, qui rejoint le débardeur sur le siège arrière. La voiture est petite et peu pratique. Je décide donc de sortir, et contourne le véhicule. Patou est debout dans la lumière tamisée du sous bois, vétue seulement de ses nu-pieds et de son vernis à ongles. Elle sassied sur le capot de la voiture et relève les jambes. Je nai quà déboucler mon ceinturon, faire glisser jean, et boxer. Elle frémit en voyant mon sexe érigé. Sa chatte juste ornée dun petit ticket de métro, est déjà entrouverte. Je viens y appuyer mon gland et dune lente poussée je linvestis dans un soupir de bonheur. Je commence à balancer mon bassin, et à venir en elle de plus en plus profondément.
« vas-y, plus fort, cest bon ! oui ! oui !Aie ! ça fait mal mais cest bon ! encore ! encore aaah !. »
Elle jouit bruyamment et me saisit pour me faire jouir rapidement sur son ventre et ses seins. Elle sagenouille devant moi et prend ma queue dans sa bouche, la suçant longuement, tout en caressant mes couilles de ses mains. Elle aspire mon gland, sort pour me lécher, et revient pour me gober, menfonçant de plus en plus profond dans sa gorge.
Ce traitement est efficace car elle me maintient en erection. Une fois que jai retrouvé une consistantce qui lui convient , elle se relève, et me tourne les dos, saccoudant sur le capot, les fesses tendues vers moi.
« Jai encore envie. Viens. » dit elle simplement
Ma queue connaît déjà le chemin. Elle est vite engloutie par son sexe qui semble avoir une vie propre et vient coulisser le long de mon sexe jusquà ce que je vienne buter régulièrement contre son cul musclé. Jassure ma prise en la tenant aux hanches, mais bientôt, une de mes mains dé et mes doigts viennent titiller son anus. Je vais chercher le lubrifiant qui sécoule de sa chatte et introduis un doigt dans son fondement. Petit à petit, je lui imprime le rythme de notre coït. La belle se met à crier son plaisir et jouit à deux reprises, mais, pour moi, je sais déjà que ce sera plus long.
Je profite dun moment de répit, pour sortir ma verge et venir lappuyer sur son petit anneau froncé.
« Hé, là, ne profites pas trop de la situation » dit elle en se dérobant.
Je ne dis rien, mais me repositionne contre son anus.
« En fait sous des dehors timides, tu es un vrai cochon, mais non, je ne lai jamais fait par là. »
« Justement, cest loccasion. Je veux te laisser le souvenir dun truc que tu nas fait quavec moi. »
« Ne te prends pas pour le nombril du monde, non plus. »
« Même si tu le fais plus tard tu repenseras à moi comme ta première fois. » dis-je à bout darguments.
Je sens quelle est prête à céder.
« Je vais partir. Personne nen saura jamais rien, et tu découvriras un nouveau plaisir. »
« ça, cest toi qui le dis » proteste telle mollement
Cependant, elle ne se dérobe pas quand mon gland lubrifié à sa chatte vient frapper à la porte de son petit trou. Je pousse un peu. Je sens quelle pousse vers moi ses fesses pour maider. Elle est très étroite et jai du mal à entrer. Bonne fille , elle vient écarter ses fesses avec ses mains. Jen profite pour franchir la barrière du sphincter dun coup de rein.
« Ahhh ! ça fait mal ! » crie telle
« tu veux que jarrète<, »
« Maintenant que tu es a moitié dedans, continue, on verra bien. »
Doucement, je progresse, en elle en lui murmurant des paroles rassurantes. Elle accepte ma progression en gémissant de douleur, et en serrant le dents. Petit à petit je menfonce jusquà être stoppé par ses fesses rebondies. Je marrête un instant, et je viens par devant, titiller son clitoris. Elle soupire daise, et petit à petit commence à onduler du bassin. Mes doigts se fichent dans sa vulve, et elle sagite pour profiter de leur caresse. Ce faisont, elle se décontracte un peu et son anus coulisse autour de mon sceptre. Je sens quelle souvre de plus en plus. Ma main est inondée par la cyprine qui sécoule de sa chatte. Elle gémit toujours, mais ce nest plus de douleur. Jamplifie mon mouvement de va et vient, et je sens quelle répond à ce balancement. Délaissant sa chatte, jempoigne ses hanches et la percute de plus en plus fort, mon ventre claquant sur son fessier, pour menfouir au plus profond de ses entrailles. Ses fesses se tendent vers moi.
« Oh oui, encore plus fort ! encule moi bien ! cest bon maintenant ! »
Oubliant toute retenue, je la pistonne violemment, et magrippe à ses seins que je malmène, en ahannant.
« Aaaah oui ! Hmmm, vas y ! à fond, aaaah, je jouis ! je jouis du cul ! encore !, encore ! défonce moi ! ah profites en ! cest la première et la dernière fois ! Ah tu avais raison, quand on menculera, je me rappelerais de ce jour !
Je ne peux mempècher de me joindre à ses commentaires
« Ah, jaime ton petit cul bien serré ! tu sens comme je téclate le fion ? »
« Oui, jai limpression que tu vas remonter dans mon estomac. Ne tarrêtes pas ! »
La tension est à son comble et nos cris de plaisir résonnent dans le sous-bois. Ma queue prisonnière de son conduit grossit tandis quune lame de feu memporte, et que je déverse ma lave dans ses entrailles
« Hmm, cest bon, remplis moi bien » dit Patou en simmobilisant. « Je sens tes jets me tapisser lintérieur. »
Nous restons abutés quelques instants, puis elle sextrait avec un Plop , avant de se retourner pour me prendre dans sa bouche. Elle a beau faire, mon outil perd de sa superbe peu a peu. Elle se relève et je laccueille dans mes bras. Nous restons enlacés, nus sur ce chemin. Nos corps apaisés se caressent mutuellement, et nos lèvres couvrent le plus possible de chair, comme pour mémoriser ces instants de bonheur fugaces.
La première, elle se dégage, et enfile son tee-shirt et sa jupe , avant de sinstaller au volant.
Lintermède est terminé, Une fois rajusté, je vais minstaller côté passager. A mes pieds, une culotte en dentelle, que je ramasse pour lui tendre.
Elle me sourit, et avec un clin dil.
« Garde là, tu las bien gagnée. »
Elle manuvre, et nous ramène à la route. Quelques km plus loin, elle me dépose. Je récupère mon sac, et viens me pencher à sa portière. Sa jupe courte dévoile un panorama que ses jambes écartées me laissent contempler complaisamment . Une dernière caresse sur ses seins bronzés, un dernier baiser.
« Reviens quand tu veux » me dit elle. Et embrayant brusquement, elle ne me laisse pas répondre et disparaît dans un bruit rageur de moteur qui laccompagne alors que je ne la vois déjà plus.
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