Francesca 4

Je courrais à fond. Eh oui, la vie d’étudiant, c’était souvent ça : courir. Courir pour arriver à l’heure en cours, courir pour avoir son train, courir pour avoir le temps de manger et de revenir. Je passais ma vie à ça. Cette fois-ci, je courrais parce que j’étais en retard à mon premier cours du matin. Je gravissais les marches quatre à quatre, et arrivai en trombe, et essoufflé au quatrième étage. A cette heure, tout était désert. J’arrivai devant ma salle de classe, tournai la poignée… et la porte resta fermée. Elle était verrouillée. Désorienté je mis un temps à essayer de comprendre.

« Le prof est pas là. Il a envoyé un mail hier. »

Une douce voix féminine venait de prononcer ces mots. Une voix belle, agréable… et avec un accent italien délicieux. Je me tournai vers Francesca en souriant.

« Ah bon ? Tin il est lourd ! A quelle heure il l’a envoyé son mail ? »

« Dans la nuit. Tard. »

Elle s’approchait de moi.

« C’est chiant. Tu l’as vu toi ? »

« Oui. »

« Alors pourquoi t’es là ? »

« J’espérais que tu viendrais, et qu’on serait seuls. »

« Tu… »

Elle s’approcha de moi, sourire aux lèvres. Vêtue d’un t-shirt blanc assez court, et d’un jean moulant, elle était sexy à souhait. Brusquement excité, je vins à sa rencontre, la saisis par la nuque, et l’embrassa langoureusement. Elle me rendit mon baiser, fourrageant mes cheveux et m’attirant contre elle. Nos langues s’entremêlèrent, nos souffles devinrent courts, et je poussai la belle italienne vers le mur. Je la retournai et la plaquai de face contre le mur. Elle eut un petit frisson d’excitation, semblant aimer ma sauvagerie… et anticiper déjà ce qui allait suivre.

On risquait de nous surprendre, mais j’étais trop excité pour m’arrêter maintenant. Je déboutonnai son jean, et le baissai, puis descendis son shorty, libérant son fessier rond et ferme.

Je me défis moi aussi de mon jean, et caleçon, et avec délice, pénétrai Francesca. Elle poussa un gémissement, et ce cri empira lorsque je me mis à aller et venir en elle, la prenant en levrette debout au milieu du couloir. J’allai à un rythme élevé, trop excité pour jouer sur le changement de rythme. Je lui embrassai la nuque, tout en intensifiant la puissance de mes assauts. Francesca se tortillait de plaisir, bougeant son cul de rêve, rendant les choses encore plus délicieuses. Je lui attrapai les seins à travers son t-shirt, et me mis à masser et pétrir son 90C, avec bonheur, la rendant folle, tandis que le rythme de mes coups de reins augmentait de plus en plus. C’était une baise sauvage, rapide, et dangereuse, car nous risquions d’être découverts à tout moment. C’était tellement excitant ! Je changeai ensuite de position, la retournai, et la soulevant, la pris en missionnaire. J’allais et venais en elle, tout en la tenant plaquée contre le mur, écrasant son corps, et observant son beau visage dans un face à face délicieux. J’adorais la voir grimacer sous le plaisir que lui procurait mon sexe qui s’enfonçait loin en elle, et tapait sauvagement au fond de son intimité. De plus en plus excité j’accélérai le rythme décidé à finir rapidement cette baise délicieuses, et je finis par exploser de jouissance en elle. Je lui donnai encore deux ou trois coups de reins, et elle me rejoignit, jouissant à son tour.
On se rhabilla en vitesse, essoufflés, et vibrants de plaisir. C’était tellement bon de commencer la journée par une baise aussi délicieuse !

« Ah là là, c’était tellement bon ! roucoula Francesca. »

« Ouais, j’ai adoré. »

« J’ai… j’ai encore envie. »

« Quoi ? »

« Oui, je te veux à nouveau mon beau français. »

Je réfléchis une minute, et souris.

« Je sais où on peut aller. »

Je l’entraînai à ma suite, me dirigeant vers un petit amphi, qui à cette heure serait assurément désert.
J’ouvris la porte, constatant avec satisfaction qu’elle n’était une fois de plus, par fermée à clé.

On entra, puis je me retournai, et saisis Francesca par les hanches, avant de l’embrasser avec ardeur. Elle me répondit sur le même ton, m’attrapant par la tête. Elle me repoussa à travers l’amphi, accélérant le rythme du baiser, au point que c’était elle qui donnait le ton, et que j’essayais, tant bien que mal, de suivre. Elle me poussa contre un des sièges, et me força à m’asseoir dessus. Elle vint sur moi, continuant de m’embrasser avec passion. Elle déboutonna mon jean, ses yeux marrons brillant comme une braise, puis se redressant, elle défit le sien. Pendant qu’elle baissait son shorty, je me débarrassai de mon caleçon.

Elle vint s’empaler sur moi, et me poussa contre le dossier, avant de démarrer de puissants va-et-vient, coulissant mon sexe en elle, le faisant taper au fond de son intimité. Elle se mit à pousser des gémissements de plus en plus fort, tandis qu’elle accélérait le rythme, me cognant contre le dossier derrière moi. Le plaisir montait en flèche, pour nous deux, et craignant de jour trop vite, je pris ma belle italienne aux hanches, et lui fis ralentir le rythme. Elle alla plus lentement un moment, en profitant pour m’embrasser langoureusement, et je goûtai à la douce saveur de ses lèvres. Mais soudain, elle me saisit par le cou, plaqua ma tête contre le dossier du siège, avant de brusquement ré-accélérer le rythme. Je poussai un grand cri, et Francesca eut un sourire ravi. Elle me donna deux trois coups de reins, et le plaisir fut tel que j’eus l’impression de m’évanouir. Sans force, je reposai ma tête contre ses seins, me laissant aller, tandis qu’elle diminuait la vitesse de ses assauts, et en augmentant l’intensité. Elle pressait aussi mon visage contre sa poitrine, encore couverte par son débardeur et sous-vêtements. Tout cela fut bientôt trop pour moi, et je jouis dans un grognement de plaisir.

Je bandais encore cependant, et Francesca en profita pour se tourner, et se mettre à me chevaucher en me tournant le dos.
Elle se déhanchait de gauche à droite, comme une danseuse, me procurant un bien être indescriptible. Je pouvais admirer son postérieur en pleine action, et c’était tellement excitant ! Je massai ses belles fesses savourant le plaisir qui montait et montait au rythme de ses déhanchés. Vint un moment, où elle se tourna vers moi, et m’adressa un sourire. Un sourire, un poil trop moqueur à mon goût. Jusque là, je m’étais laissé faire, profitant de la situation, mais si elle croyait pouvoir me provoquer… une remise à l’heure s’imposait.

Je la soulevai en me redressant, et la fis s’étaler sur la table devant nous. Francesca, surprise poussa un petit cri, et tenta de se débattre, mais je la saisis par le cou, et la maintins ainsi. En parfaite position pour une levrette. Je démarrai de puissants va-et-vient, la culbutant férocement, histoire de lui rappeler qui était le patron entre nous. A chaque coup de rein, j’enfonçais mon engin jusqu’au fond de son intimité, et elle poussait un cri de plaisir. Tout en la limant de plus en plus sauvagement, je claquai son joli petit cul, et l’admirai pour sa beauté, et il m’excitait de plus en plus. Comme j’étais plus excité, je prenais Francesca plus sauvagement, et alors, elle gémissait plus fort, et se tortillait avec plus d’entrain… ce qui m’excitait encore plus, et me faisait aller plus vite encore… Bref on était dans un cercle vicieux. Je continuais à la baiser ainsi, une main sur sa hanche, l’autre tenant sa nuque, la prenant avec force et l’écrasant contre la table, pour son plus grand bonheur. Je la sentais frémir et se cambrer, sous l’effet du plaisir. Comprenant qu’elle allait bientôt craquer, j’accélérai soudainement, et lorsque par trois fois d’affilée, mon sexe cogna le fond de son intimité à grande allure, Francesca poussa un grand cri, et jouit en frissonnant de la tête aux pieds.

Mais je bandai toujours, et voulus finir en beauté. Puisque son cul m’avait tant attiré, j’enfonçai mon sexe dedans, la sodomisant sans crier gare.
Elle poussa un petit cri de douleur, mais lorsque je commençai de doux va-et-vient, la douleur disparut en elle pour laisser progressivement place au plaisir. Lorsque je sentis que tout se passait bien, je me mis à accélérer le rythme, savourant la sensation incomparable de mon engin s’enfonçant dans son cul si délicieusement étroit. Nous frissonnions de plaisir, et Francesca criait à en perdre la voix. Je tirai sa belle chevelure brune et bouclée, et me mis à susurrer à son oreille qu’elle était à moi, qu’elle le savait, et qu’elle le kiffait. Elle ne put me répondre que par des gémissements, tandis que ma queue continuait de limer son cul sans relâche. C’était trop bon pour que je tienne longtemps, alors je finis par jouir, me vidant dans son cul, par un orgasme des plus merveilleux, qui m’apporta des sensations incomparables.

On s’écroula, essoufflés, et comblés.

« Oh là là, qu’est-ce que c’était booon ! roucoula Francesca. Et ce final ! Mio Dio ! »

« Ca t’a plu ? Ta première sodomie ? »

« Oui, je m’attendais à ce que ça fasse plus mal… »

« C’est parce que je suis doué, dis-je en haussant les épaules. »

Francesca explosa de rire. On se rhabilla, et on quitta l’amphi, ni vus, ni connus. Après quoi, on suivit une journée de cours ordinaire… à ceci près qu’on s’échangeait de fréquents, et brûlants regards. Il était clair qu’on n’allait pas en rester là. Deux baises en une matinée, ça n’avait fait que nous ouvrir l’appétit. A la fin des cours de la matinée on se retrouva sur le campus. Francesca me sourit, et me saisit le poignet, et m’entraîna à sa suite. Elle m’emmena jusqu’au dortoir des étudiants, bâtiment que je commençais à bien connaître… On arriva devant sa chambre, mais elle me lâcha, et dit :

« Attends, faut que je vérifie… »

« Quoi ? »

Elle toqua à la porte de la chambre voisine, et je compris.

« Oh, Sarah ! »

« Ouais… elle est pas là. C’est bon, on va pouvoir baiser. »

Elle ouvrit la porte, et m’entraîna à sa suite. Mais une fois à l’intérieur, je la saisis par les hanches, et la poussa soudainement sur son lit. Elle y tomba, à plat ventre, surprise. Je vins derrière elle, et lui susurra : « prépare toi à vivre une nouvelle extase. »

Alors qu’elle frissonnait, je lui retirai son jean, puis son shorty, et me débarrassai moi-même de mes affaires, me dénudant totalement. Après quoi, je la pris en levrette, lui arrachant un petit cri de plaisir au moment où mon sexe entra en elle. Je démarrai de puissants va-et-vient, attaquant tout de suite sur un rythme élevé, bien décidé à lui faire perdre la tête. Je m’enfonçai loin en elle, et à chaque coup, mon bassin cognait son cul avec force. Francesca gémissait et se tortillait sous le plaisir que je lui apportais. Elle se tortilla de plus en plus, et finit par secouer son postérieur de plus en plus, participant à la baise. Elle rendait les choses tellement délicieuses que je dus rejeter la tête en arrière et savourer le plaisir qui montait et montait. Je continuai mes coups de reins, mais ralentissait le rythme, pris par les sensations qu’elle me procurait. Je la laissai faire quelque secondes, puis, soudainement, je lui saisis les fesses, et les immobilisai, afin d’être seul à diriger la baise. Je repris mes va-et-vient, mais cette fois-ci, redressai Francesca, la fis se mettre sur ses genoux, et lui retirai son débardeur, puis son soutif. Je massai aussitôt ses seins, libérés de toute entrave, pétrissant son 90C avec ardeur tout en la baisant si fort qu’elle rebondissait légèrement sur place, poussant des cris à chaque fois. Je l’enserrai entre mes bras, et la colla contre moi, dévorant sa nuque à pleine bouche, savourant le son de sa respiration haletante. Après avoir bien profité de elle à genoux, je la remis à quatre pattes, et la saisissant par la nuque pour bien la maîtriser, je lui administrai une nouvelle série de puissants coups de reins, jusqu’à ce qu’elle explose dans un nouvel orgasme.

Elle avait joui, mais pas moi. Je vins sur elle, et la pris en missionnaire, bien décidé à avoir mon orgasme. Je la baisai à vive allure, la culbutant contre le matelas avec sauvagerie. Francesca poussait des gémissements, et m’attira contre elle. Nous deux corps se mêlèrent encore plus étroitement, et je savourais le contact de nos deux peaux. J’adoptai un rythme plus lent, insistant d’avantage sur la puissance que la vitesse. A chacun de mes coups, le corps de Francesca était parcouru par des vibrations d’extase, et elle poussait un petit cri. On s’embrassait, je lui dévorais la nuque, elle me mordait l’épaule… on laissait libre cours à notre instinct animal, tandis que ma queue s’enfonçait en elle, nous faisant vibrer de plaisir. Je me redressai, et accélérai le rythme, retrouvant une vitesse élevée. L’italienne poussa de grands cris, tandis que je la regardai fixement, admirant son visage grimaçant de plaisir, et lui jetant un regard dominateur.

Elle me saisit alors par les cheveux, et soudainement, me renversa, et reprit le dessus. Surpris par ce changement, je ne réagis pas, alors que Francesca se mit à me donner des coups de reins puissants et rapides. C’était à mon tour d’être baisé, et de subir à la fois les assauts, et le regard dominateur de Francesca. Celle-ci s’en donnait à cœur joie, et allait à fond sur moi. Malmenant mon sexe, elle me culbutait encore et encore, et mon corps vibrait de frissons extatiques. Je ne tardai pas à lâcher des cris de plaisir, ce qui fit sourire Francesca. Elle me griffa le torse, souriant d’un air de tigresse sauvage, et je lui claquai les fesses en réaction. Elle poussa un petit couinement d’excitation, et réagit en accélérant encore le tempo, m’emportant dans un tourbillon de plaisir. J’aurais voulu reprendre le dessus, mais le plaisir que m’apportait l’italienne déchaînée qui me baisait comme une furie était trop intense pour que je bouge le petit doigt. Francesca se mit à bondir sur moi comme une folle, et ça eut vite raison de ma résistance : j’eus un orgasme libérateur, explosant en Francesca dans un indescriptible frisson de plaisir. La belle brune jouit à son tour, et s’effondra sur moi, comblée.

On resta un moment, essoufflés, et ivres de plaisir. Puis, Francesca toujours sur moi, on se remit progressivement à s’embrasser. D’abord doucement, puis de façon de plus en plus animale, notre souffle redevenant court. Francesca se redressa, et sourit en voyant mon sexe dressé.

« Prêt à repartir pour un tour mon beau ? »

« Oh oui ! »

Elle saisit mon sexe, et me tourna le dos, avant de s’empaler à nouveau dessus. Démarra alors une magnifique baise en position d’Andromaque inversée. Francesca entama une superbe danse du ventre, ou plutôt une danse du postérieur, car c’était surtout son délicieux fessier, qui s’agitait sous mes yeux, tandis que mon sexe était secoué dans le sien, au rythme de ses mouvements. C’était incroyablement bon, à tel point que je me laissais faire, savourant les sensations que me procuraient la belle italienne. A chaque mouvement de son petit boulli, une brusque sensation de bien être me parcourait de la tête aux pieds, et je n’avais plus qu’à espérer une chose : qu’elle recommence, ce qu’elle faisait, encore et encore, tout son merveilleux corps s’agitant pour me satisfaire. Francesca se déhancha sur moi encore un bon moment, me faisant voir trente-six chandelles, à force de déhancher son cul au-dessus de moi.

Plus, le corps frémissant de plaisir, et les joues rougies par l’effort, elle se retourna, et me redressa. Je m’assis sur le lit, et elle enroula ses jambes autour de mes hanches, passant en position du lotus. Il y avait une éternité que je n’avais pas pratiqué cette position avec une fille, et j’étais heureux de la retrouver avec Francesca.

Alors que Francesca commençait à se déhancher sur moi, je saisis ses fesses à pleines mains. Ainsi, je pus l’aider dans ses mouvements, les rendre encore plus amples et délicieux. Et puis, c’était tellement bon d’avoir en mains ce cul qui m’avait tant fait rêver voilà quelques instants ! Installés face à face, elle assise sur moi, moi assis sur le lit, on se fit l’amour ainsi pendant de longues minutes. Elle se déhanchait, et moi je l’empalais sur ma queue, encore et encore. Outre le plaisir, qui croissait de seconde en seconde, je sentais s’installer entre nous une certaine tension : chacun de nous essayait d’être celui qui baiserait le plus l’autre. Nos corps se couvraient de sueur, le plaisir nous rendait fous, nos souffles devenaient courts, nos visages rougissaient sous l’effort. Mais aucun de nous ne voulait céder. C’était rare que j’ai ce genre de démélés avec la douce Francesca, aussi je sous-estimais sa fourberie et sa sauvagerie spontanée. L’issue de la « bataille » était incertaine, lorsque soudain, elle me mordit l’épaule, me surprenant. Elle en profita pour me donner plusieurs coups de reins, sans que je ne puisse réagir, et qui me firent crier et vibrer comme jamais. Puis, avant que j’aie eu le temps de dire ouf, elle me poussa, et me plaqua contre le matelas.

J’étais allongé sur le lit, Francesca au-dessus. Du lotus on était revenu à l’Andromaque. L’italienne se mit à me chevaucher ardemment, d’avant en arrière, bien décidée à me faire jouir. Cette fois-ci, je décidai de lutter. Je voulus la saisir aux poignets, mais, plus adroite, ce fut elle qui me saisit, et parvint à me plaquer les bras contre le matelas, accélérant sensiblement le rythme pour me faire me tenir tranquille. Ce qu’elle me faisait était bon, même si j’essayais de ne pas le montrer, mais pas assez pour me mâter. Je dégageai mes mains, et la saisis par les hanches. Je voulus la renverser, mais la belle s’accrocha à mes épaules et parvint à rester au-dessus, bougeant son bassin de façon si exquise que mon cœur eut des ratés sous l’effet du plaisir. Elle se redressa, continuant de me baiser, de plus en plus férocement, et m’adressa un sourire coquin et provocateur. Elle aimait être au-dessus, être en contrôle, et me voir échouer à lui reprendre le dessus. Je me mis alors à donner des coups de reins par en dessous. Beaucoup de pseudo-amazones qui avaient cru pouvoir me dominer en me chevauchant avaient eu une drôle de surprise quand j’avais commencé à les baiser ainsi ! Mais Francesca n’était pas une pseudo-amazone. C’était une authentique amazone italienne, qui se lança dans une bataille furieuse contre moi. A chacun de mes coups de reins, elle répliquait par un assaut deux fois plus forts. A ce jeu là, je fus bien vite épuisés, couverts de sueur, et le corps vibrant de plaisir, tandis que l’indomptable Francesca me baisait encore et encore, de plus en plus fort, alors que mes assauts étaient de plus en plus faibles. Au final, elle me saisit par le cou, et se lança dans un galop endiablé avec moi comme monture. Ses hanches percutèrent les miennes, encore, et encore, et encore, au rythme de ses mouvements de bassin qui me rendaient fou. Mon sexe cognait le fond de son intimité à chaque coup. J’étais réduit à l’impuissance, et dus me laisser baiser par ma belle cavalière italienne jusqu’à l’explosion finale. Notre orgasme fut ravageur, nous fit hurler, et nous écrouler, l’un sur l’autre, ivres de plaisir.

On resta un long moment, étendus sur le lit, savourant cette sensation de plaisir et de contentement après une baise aussi torride. Puis Francesca se leva, et alla dans la salle de bains. De là-bas, elle me dit :

« C’était excellent, pas vrai ? »

« Ouais, répondis-je, encore un peu sonné. »

Francesca passa la tête par la porte de la salle de bains, et me lança :

« J’adore quand je te domine comme ça, j’aime t’entendre crier comme une fille à cause de moi. »

Piqué au vif, je me levai aussitôt. Je fonçai vers la salle de bains, parfaitement remis, et prêt à en découdre.

« Qu’est-ce que t’as dit là ? demandai-je d’un ton menaçant en entrant dans la salle de bains. »

« En gros, que t’étais mon soumis, répliqua Francesca d’un ton tranquille. »

« Ah ouais ? »

« Ouais. Ça fait quatre fois qu’on baise, à chaque fois tu finis soumis mon beau français. C’est juste un fait. »

Je la saisis par les hanches, et la plaquai contre moi.

« C’est ce qu’on va voir. »

Je la soulevai, et la plaquai contre le mur de sa salle de bains. On était toujours nus, et notre petit échange m’avait bien excité. Je n’eus donc aucun mal à la pénétrer, et à me mettre à la baiser, allant et venant en elle, l’écrasant contre le mur. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et ses bras autour de ma nuque, renforçant notre étreinte. Nos deux corps se collèrent l’un à l’autre, si étroitement enlacés, qu’on aurait pu croire qu’on allait complètement fusionner. Francesca gémissait, et tremblait de plaisir à chacun de mes assauts, mais elle se démenait aussi, sans que je sache si elle essayait de reprendre le dessus, ou si elle devenait juste folle à cause du plaisir. En tout cas, je la tenais fermement plaquée contre le mur avec autorité, et impitoyablement, ma queue la labourait, et la faisait fondre de plaisir. A chaque coup, Francesca rebondissait entre mes bras, tant je la prenais sauvagement.

Je finis par être lassé de la porter, et la fis se poser, avant de soudainement la plaquer, de face et debout contre le grand miroir de sa salle de bains. La tenant immobile, je vins derrière elle, et la pris en levrette debout. Je démarrai de puissants assauts, bien décidé à réprimer durement son arrogance de tout à l’heure. Francesca gémit, et subit mes coups de butoir, de plus en plus forts. Je claquai fort son fessier, l’appréciant une fois de plus. Outre le plaisir, que je ressentais à chaque fois que mon sexe s’enfonçait loin en elle, je savourai aussi la vue de Francesca prise contre le miroir. Entre la vue de l’arrière de son corps, et la vue de son reflet, qui me montrait ses seins compressés contre la glace, et son beau visage défiguré par le plaisir, j’avais de quoi admirer ! Et lorsque je saisis l’italienne par la nuque, et l’obligea à embrasser la glace, je vous laisse imaginer à quel point je fus excité de voir cette beauté s’embrasser dans son reflet ! Ce fut si bon, que je me déchaînai comme rarement dans ma vie, la baisant à fond, et appréciant l’image que ça me donnait dans le miroir. Francesca ne put résister longtemps à ma queue, qui allait et venait en elle sans relâche. Elle finit par jouir en criant à fond.

« Bien, bien, bien… susurrai-je. Qui a fait crier qui là ? »

Francesca était haletante, et visiblement déboussollée par le plaisir. Elle ne me répondit pas. N’ayant toujours pas joui, je la fis se mettre à genoux sur le carrelage de la salles de bains. Je saisis mon sexe, et me branla vigoureusement… juste devant son visage. Après une baise aussi sauvage je ne tins pas très longtemps, avant de jouir, et de me déverser sur son visage à grands jets. Elle eut un petit gémissement d’excitation.

« Alors ma belle ? Qui est le boss ici ? »

« Hmm… c’est toi ! »

« Et qui est la chienne ? »

Elle se redressa.

« Ah non, ça je le dirai pas. »

Je grinçai des dents. Ah ! Elle me résistait ! Mais là, je n’étais pas en état de la remettre en place, sexuellement parlant.

« On réglera ça plus tard, dis-je d’un ton menaçant. »

Elle me sourit, et je lui rendis son sourire. On se rhabilla et on retourna à la fac, pour déjeuner rapidement, et aller en cours. A la fin de la journée, Francesca me dit :

« Ca te dit d’aller réviser à la bibliothèque ? »

« Ouais, ok. »

« On pourrait… réserver une salle… »

Je lui jetai un coup d’oeil, et sourit.

« Ouais… pourquoi pas ? »

On alla à la bibliothèque, et après avoir réservé une salle, on y entra. C’était une pièce beaucoup plus petite qu’une salle de classe, avec juste une table et des chaises. Mais elle était fermée, et une fois à l’intérieur… personne ne pouvait nous voir ni nous entendre de l’extérieur… L’endroit idéal pour travailler… ou autre chose.

Justement, Francesca et moi jetâmes nos sacs par terre, et nous ruâmes l’un sur l’autre. Francesca m’embrassa avec ardeur, et me poussa sur la chaise. Elle vint sur moi, et fiévreusement, me retira mon jean puis mon caleçon, avant d’en faire autant de son côté. Elle s’empala ensuite sur moi, poussant un gémissement de plaisir, délicieux à entendre.


Elle commença à se déhancher, doucement d’abord, testant mes réactions, en me souriant. Voyant que je semblais apprécier, elle accéléra le tempo, commençant secouer mon sexe de gauche à droite, en me plaquant contre le dossier de la chaise. Ca devenait de plus en plus bon, surtout quand elle s’appliquait à donner un coup de rein bien fort, qui faisait monter le plaisir jusqu’à mon cerveau, m’arrachant des râles de plus en plus marqués. Fière d’elle, Francesca se mit à bondir sur ma queue, enserrant mon sexe de façon exquise, tout le faisant s’enfoncer loin elle, nous faisant pousser de grands cris. Elle se mit ensuite à aller d’avant en arrière, baisant férocement ma bite, pour ensuite alterner entre coups de reins d’avant en arrière, et sauts sur mon sexe. Elle y allait vraiment vite et fort, me procurant un plaisir incomparable. Elle était incroyablement sexy, à se démener ainsi sur moi, me fixant du regard, comme pour me défier de lui résister. Et je n’étais pas du genre à refuser un défi.

J’enroulai mes bras autour de son dos, et la collai contre moi, puis, je me levai, et la soulevai, avant de la plaquer contre la table. Je la pris en missionnaire, si fort et si sauvagement, que la table recula au rythme de mes coups de reins, jusqu’à cogner contre le mur. Francesca se tortillait de plaisir, ballottée à chacun de mes allers retours. Elle tentait bien de se débattre, mais elle ne pouvait rien faire, solidement tenue par mes mains puissantes. Je la labourai tout mon soûl, l’observant se vibrer sous mes coups de reins avec un grand sentiment de satisfaction. Puis, je la retournai et la pris en levrette, allant à fond, comprenant que l’orgasme était proche. Je lui claquai les fesses, et titillai son clito, accélérait et accélérait encore, la baisant plus sauvagement que jamais. Francesca hurlait à en perdre la voix, totalement domptée par ma queue qui la limait toujours plus vite, plus fort et plus profondément.

Je la saisis par les cheveux et lui dis :

« Qui est le boss ? »

« Toi ! »

« Qui est la chienne ? »

Je raffermis ma prise sur ses cheveux, et accélérai le rythme, histoire de bien marquer le coup. Elle poussa un grand cri, son corps se raidit, et elle gémit :

« Moi !!! je suis ta chienne !!! »

Je lui donnai deux gros coups de reins, qui nous firent exploser de plaisir dans un orgasme enivrant.


Voilà, cette histoire est terminée, j'espère qu'elle vous a plus. Dîtes moi ce que vous en avez pensé, les retours des lecteurs, c'est toujours sympa :)

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