Francesca 4
Je courrais à fond. Eh oui, la vie détudiant, cétait souvent ça : courir. Courir pour arriver à lheure en cours, courir pour avoir son train, courir pour avoir le temps de manger et de revenir. Je passais ma vie à ça. Cette fois-ci, je courrais parce que jétais en retard à mon premier cours du matin. Je gravissais les marches quatre à quatre, et arrivai en trombe, et essoufflé au quatrième étage. A cette heure, tout était désert. Jarrivai devant ma salle de classe, tournai la poignée
et la porte resta fermée. Elle était verrouillée. Désorienté je mis un temps à essayer de comprendre.
« Le prof est pas là. Il a envoyé un mail hier. »
Une douce voix féminine venait de prononcer ces mots. Une voix belle, agréable
et avec un accent italien délicieux. Je me tournai vers Francesca en souriant.
« Ah bon ? Tin il est lourd ! A quelle heure il la envoyé son mail ? »
« Dans la nuit. Tard. »
Elle sapprochait de moi.
« Cest chiant. Tu las vu toi ? »
« Oui. »
« Alors pourquoi tes là ? »
« Jespérais que tu viendrais, et quon serait seuls. »
« Tu
»
Elle sapprocha de moi, sourire aux lèvres. Vêtue dun t-shirt blanc assez court, et dun jean moulant, elle était sexy à souhait. Brusquement excité, je vins à sa rencontre, la saisis par la nuque, et lembrassa langoureusement. Elle me rendit mon baiser, fourrageant mes cheveux et mattirant contre elle. Nos langues sentremêlèrent, nos souffles devinrent courts, et je poussai la belle italienne vers le mur. Je la retournai et la plaquai de face contre le mur. Elle eut un petit frisson dexcitation, semblant aimer ma sauvagerie
et anticiper déjà ce qui allait suivre.
On risquait de nous surprendre, mais jétais trop excité pour marrêter maintenant. Je déboutonnai son jean, et le baissai, puis descendis son shorty, libérant son fessier rond et ferme.
On se rhabilla en vitesse, essoufflés, et vibrants de plaisir. Cétait tellement bon de commencer la journée par une baise aussi délicieuse !
« Ah là là, cétait tellement bon ! roucoula Francesca. »
« Ouais, jai adoré. »
« Jai
jai encore envie. »
« Quoi ? »
« Oui, je te veux à nouveau mon beau français. »
Je réfléchis une minute, et souris.
« Je sais où on peut aller. »
Je lentraînai à ma suite, me dirigeant vers un petit amphi, qui à cette heure serait assurément désert.
On entra, puis je me retournai, et saisis Francesca par les hanches, avant de lembrasser avec ardeur. Elle me répondit sur le même ton, mattrapant par la tête. Elle me repoussa à travers lamphi, accélérant le rythme du baiser, au point que cétait elle qui donnait le ton, et que jessayais, tant bien que mal, de suivre. Elle me poussa contre un des sièges, et me força à masseoir dessus. Elle vint sur moi, continuant de membrasser avec passion. Elle déboutonna mon jean, ses yeux marrons brillant comme une braise, puis se redressant, elle défit le sien. Pendant quelle baissait son shorty, je me débarrassai de mon caleçon.
Elle vint sempaler sur moi, et me poussa contre le dossier, avant de démarrer de puissants va-et-vient, coulissant mon sexe en elle, le faisant taper au fond de son intimité. Elle se mit à pousser des gémissements de plus en plus fort, tandis quelle accélérait le rythme, me cognant contre le dossier derrière moi. Le plaisir montait en flèche, pour nous deux, et craignant de jour trop vite, je pris ma belle italienne aux hanches, et lui fis ralentir le rythme. Elle alla plus lentement un moment, en profitant pour membrasser langoureusement, et je goûtai à la douce saveur de ses lèvres. Mais soudain, elle me saisit par le cou, plaqua ma tête contre le dossier du siège, avant de brusquement ré-accélérer le rythme. Je poussai un grand cri, et Francesca eut un sourire ravi. Elle me donna deux trois coups de reins, et le plaisir fut tel que jeus limpression de mévanouir. Sans force, je reposai ma tête contre ses seins, me laissant aller, tandis quelle diminuait la vitesse de ses assauts, et en augmentant lintensité. Elle pressait aussi mon visage contre sa poitrine, encore couverte par son débardeur et sous-vêtements. Tout cela fut bientôt trop pour moi, et je jouis dans un grognement de plaisir.
Je bandais encore cependant, et Francesca en profita pour se tourner, et se mettre à me chevaucher en me tournant le dos.
Je la soulevai en me redressant, et la fis sétaler sur la table devant nous. Francesca, surprise poussa un petit cri, et tenta de se débattre, mais je la saisis par le cou, et la maintins ainsi. En parfaite position pour une levrette. Je démarrai de puissants va-et-vient, la culbutant férocement, histoire de lui rappeler qui était le patron entre nous. A chaque coup de rein, jenfonçais mon engin jusquau fond de son intimité, et elle poussait un cri de plaisir. Tout en la limant de plus en plus sauvagement, je claquai son joli petit cul, et ladmirai pour sa beauté, et il mexcitait de plus en plus. Comme jétais plus excité, je prenais Francesca plus sauvagement, et alors, elle gémissait plus fort, et se tortillait avec plus dentrain
ce qui mexcitait encore plus, et me faisait aller plus vite encore
Bref on était dans un cercle vicieux. Je continuais à la baiser ainsi, une main sur sa hanche, lautre tenant sa nuque, la prenant avec force et lécrasant contre la table, pour son plus grand bonheur. Je la sentais frémir et se cambrer, sous leffet du plaisir. Comprenant quelle allait bientôt craquer, jaccélérai soudainement, et lorsque par trois fois daffilée, mon sexe cogna le fond de son intimité à grande allure, Francesca poussa un grand cri, et jouit en frissonnant de la tête aux pieds.
Mais je bandai toujours, et voulus finir en beauté. Puisque son cul mavait tant attiré, jenfonçai mon sexe dedans, la sodomisant sans crier gare.
On sécroula, essoufflés, et comblés.
« Oh là là, quest-ce que cétait booon ! roucoula Francesca. Et ce final ! Mio Dio ! »
« Ca ta plu ? Ta première sodomie ? »
« Oui, je mattendais à ce que ça fasse plus mal
»
« Cest parce que je suis doué, dis-je en haussant les épaules. »
Francesca explosa de rire. On se rhabilla, et on quitta lamphi, ni vus, ni connus. Après quoi, on suivit une journée de cours ordinaire
à ceci près quon séchangeait de fréquents, et brûlants regards. Il était clair quon nallait pas en rester là. Deux baises en une matinée, ça navait fait que nous ouvrir lappétit. A la fin des cours de la matinée on se retrouva sur le campus. Francesca me sourit, et me saisit le poignet, et mentraîna à sa suite. Elle memmena jusquau dortoir des étudiants, bâtiment que je commençais à bien connaître
On arriva devant sa chambre, mais elle me lâcha, et dit :
« Attends, faut que je vérifie
»
« Quoi ? »
Elle toqua à la porte de la chambre voisine, et je compris.
« Oh, Sarah ! »
« Ouais
elle est pas là. Cest bon, on va pouvoir baiser. »
Elle ouvrit la porte, et mentraîna à sa suite. Mais une fois à lintérieur, je la saisis par les hanches, et la poussa soudainement sur son lit. Elle y tomba, à plat ventre, surprise. Je vins derrière elle, et lui susurra : « prépare toi à vivre une nouvelle extase. »
Alors quelle frissonnait, je lui retirai son jean, puis son shorty, et me débarrassai moi-même de mes affaires, me dénudant totalement. Après quoi, je la pris en levrette, lui arrachant un petit cri de plaisir au moment où mon sexe entra en elle. Je démarrai de puissants va-et-vient, attaquant tout de suite sur un rythme élevé, bien décidé à lui faire perdre la tête. Je menfonçai loin en elle, et à chaque coup, mon bassin cognait son cul avec force. Francesca gémissait et se tortillait sous le plaisir que je lui apportais. Elle se tortilla de plus en plus, et finit par secouer son postérieur de plus en plus, participant à la baise. Elle rendait les choses tellement délicieuses que je dus rejeter la tête en arrière et savourer le plaisir qui montait et montait. Je continuai mes coups de reins, mais ralentissait le rythme, pris par les sensations quelle me procurait. Je la laissai faire quelque secondes, puis, soudainement, je lui saisis les fesses, et les immobilisai, afin dêtre seul à diriger la baise. Je repris mes va-et-vient, mais cette fois-ci, redressai Francesca, la fis se mettre sur ses genoux, et lui retirai son débardeur, puis son soutif. Je massai aussitôt ses seins, libérés de toute entrave, pétrissant son 90C avec ardeur tout en la baisant si fort quelle rebondissait légèrement sur place, poussant des cris à chaque fois. Je lenserrai entre mes bras, et la colla contre moi, dévorant sa nuque à pleine bouche, savourant le son de sa respiration haletante. Après avoir bien profité de elle à genoux, je la remis à quatre pattes, et la saisissant par la nuque pour bien la maîtriser, je lui administrai une nouvelle série de puissants coups de reins, jusquà ce quelle explose dans un nouvel orgasme.
Elle avait joui, mais pas moi. Je vins sur elle, et la pris en missionnaire, bien décidé à avoir mon orgasme. Je la baisai à vive allure, la culbutant contre le matelas avec sauvagerie. Francesca poussait des gémissements, et mattira contre elle. Nous deux corps se mêlèrent encore plus étroitement, et je savourais le contact de nos deux peaux. Jadoptai un rythme plus lent, insistant davantage sur la puissance que la vitesse. A chacun de mes coups, le corps de Francesca était parcouru par des vibrations dextase, et elle poussait un petit cri. On sembrassait, je lui dévorais la nuque, elle me mordait lépaule
on laissait libre cours à notre instinct animal, tandis que ma queue senfonçait en elle, nous faisant vibrer de plaisir. Je me redressai, et accélérai le rythme, retrouvant une vitesse élevée. Litalienne poussa de grands cris, tandis que je la regardai fixement, admirant son visage grimaçant de plaisir, et lui jetant un regard dominateur.
Elle me saisit alors par les cheveux, et soudainement, me renversa, et reprit le dessus. Surpris par ce changement, je ne réagis pas, alors que Francesca se mit à me donner des coups de reins puissants et rapides. Cétait à mon tour dêtre baisé, et de subir à la fois les assauts, et le regard dominateur de Francesca. Celle-ci sen donnait à cur joie, et allait à fond sur moi. Malmenant mon sexe, elle me culbutait encore et encore, et mon corps vibrait de frissons extatiques. Je ne tardai pas à lâcher des cris de plaisir, ce qui fit sourire Francesca. Elle me griffa le torse, souriant dun air de tigresse sauvage, et je lui claquai les fesses en réaction. Elle poussa un petit couinement dexcitation, et réagit en accélérant encore le tempo, memportant dans un tourbillon de plaisir. Jaurais voulu reprendre le dessus, mais le plaisir que mapportait litalienne déchaînée qui me baisait comme une furie était trop intense pour que je bouge le petit doigt. Francesca se mit à bondir sur moi comme une folle, et ça eut vite raison de ma résistance : jeus un orgasme libérateur, explosant en Francesca dans un indescriptible frisson de plaisir. La belle brune jouit à son tour, et seffondra sur moi, comblée.
On resta un moment, essoufflés, et ivres de plaisir. Puis, Francesca toujours sur moi, on se remit progressivement à sembrasser. Dabord doucement, puis de façon de plus en plus animale, notre souffle redevenant court. Francesca se redressa, et sourit en voyant mon sexe dressé.
« Prêt à repartir pour un tour mon beau ? »
« Oh oui ! »
Elle saisit mon sexe, et me tourna le dos, avant de sempaler à nouveau dessus. Démarra alors une magnifique baise en position dAndromaque inversée. Francesca entama une superbe danse du ventre, ou plutôt une danse du postérieur, car cétait surtout son délicieux fessier, qui sagitait sous mes yeux, tandis que mon sexe était secoué dans le sien, au rythme de ses mouvements. Cétait incroyablement bon, à tel point que je me laissais faire, savourant les sensations que me procuraient la belle italienne. A chaque mouvement de son petit boulli, une brusque sensation de bien être me parcourait de la tête aux pieds, et je navais plus quà espérer une chose : quelle recommence, ce quelle faisait, encore et encore, tout son merveilleux corps sagitant pour me satisfaire. Francesca se déhancha sur moi encore un bon moment, me faisant voir trente-six chandelles, à force de déhancher son cul au-dessus de moi.
Plus, le corps frémissant de plaisir, et les joues rougies par leffort, elle se retourna, et me redressa. Je massis sur le lit, et elle enroula ses jambes autour de mes hanches, passant en position du lotus. Il y avait une éternité que je navais pas pratiqué cette position avec une fille, et jétais heureux de la retrouver avec Francesca.
Alors que Francesca commençait à se déhancher sur moi, je saisis ses fesses à pleines mains. Ainsi, je pus laider dans ses mouvements, les rendre encore plus amples et délicieux. Et puis, cétait tellement bon davoir en mains ce cul qui mavait tant fait rêver voilà quelques instants ! Installés face à face, elle assise sur moi, moi assis sur le lit, on se fit lamour ainsi pendant de longues minutes. Elle se déhanchait, et moi je lempalais sur ma queue, encore et encore. Outre le plaisir, qui croissait de seconde en seconde, je sentais sinstaller entre nous une certaine tension : chacun de nous essayait dêtre celui qui baiserait le plus lautre. Nos corps se couvraient de sueur, le plaisir nous rendait fous, nos souffles devenaient courts, nos visages rougissaient sous leffort. Mais aucun de nous ne voulait céder. Cétait rare que jai ce genre de démélés avec la douce Francesca, aussi je sous-estimais sa fourberie et sa sauvagerie spontanée. Lissue de la « bataille » était incertaine, lorsque soudain, elle me mordit lépaule, me surprenant. Elle en profita pour me donner plusieurs coups de reins, sans que je ne puisse réagir, et qui me firent crier et vibrer comme jamais. Puis, avant que jaie eu le temps de dire ouf, elle me poussa, et me plaqua contre le matelas.
Jétais allongé sur le lit, Francesca au-dessus. Du lotus on était revenu à lAndromaque. Litalienne se mit à me chevaucher ardemment, davant en arrière, bien décidée à me faire jouir. Cette fois-ci, je décidai de lutter. Je voulus la saisir aux poignets, mais, plus adroite, ce fut elle qui me saisit, et parvint à me plaquer les bras contre le matelas, accélérant sensiblement le rythme pour me faire me tenir tranquille. Ce quelle me faisait était bon, même si jessayais de ne pas le montrer, mais pas assez pour me mâter. Je dégageai mes mains, et la saisis par les hanches. Je voulus la renverser, mais la belle saccrocha à mes épaules et parvint à rester au-dessus, bougeant son bassin de façon si exquise que mon cur eut des ratés sous leffet du plaisir. Elle se redressa, continuant de me baiser, de plus en plus férocement, et madressa un sourire coquin et provocateur. Elle aimait être au-dessus, être en contrôle, et me voir échouer à lui reprendre le dessus. Je me mis alors à donner des coups de reins par en dessous. Beaucoup de pseudo-amazones qui avaient cru pouvoir me dominer en me chevauchant avaient eu une drôle de surprise quand javais commencé à les baiser ainsi ! Mais Francesca nétait pas une pseudo-amazone. Cétait une authentique amazone italienne, qui se lança dans une bataille furieuse contre moi. A chacun de mes coups de reins, elle répliquait par un assaut deux fois plus forts. A ce jeu là, je fus bien vite épuisés, couverts de sueur, et le corps vibrant de plaisir, tandis que lindomptable Francesca me baisait encore et encore, de plus en plus fort, alors que mes assauts étaient de plus en plus faibles. Au final, elle me saisit par le cou, et se lança dans un galop endiablé avec moi comme monture. Ses hanches percutèrent les miennes, encore, et encore, et encore, au rythme de ses mouvements de bassin qui me rendaient fou. Mon sexe cognait le fond de son intimité à chaque coup. Jétais réduit à limpuissance, et dus me laisser baiser par ma belle cavalière italienne jusquà lexplosion finale. Notre orgasme fut ravageur, nous fit hurler, et nous écrouler, lun sur lautre, ivres de plaisir.
On resta un long moment, étendus sur le lit, savourant cette sensation de plaisir et de contentement après une baise aussi torride. Puis Francesca se leva, et alla dans la salle de bains. De là-bas, elle me dit :
« Cétait excellent, pas vrai ? »
« Ouais, répondis-je, encore un peu sonné. »
Francesca passa la tête par la porte de la salle de bains, et me lança :
« Jadore quand je te domine comme ça, jaime tentendre crier comme une fille à cause de moi. »
Piqué au vif, je me levai aussitôt. Je fonçai vers la salle de bains, parfaitement remis, et prêt à en découdre.
« Quest-ce que tas dit là ? demandai-je dun ton menaçant en entrant dans la salle de bains. »
« En gros, que tétais mon soumis, répliqua Francesca dun ton tranquille. »
« Ah ouais ? »
« Ouais. Ça fait quatre fois quon baise, à chaque fois tu finis soumis mon beau français. Cest juste un fait. »
Je la saisis par les hanches, et la plaquai contre moi.
« Cest ce quon va voir. »
Je la soulevai, et la plaquai contre le mur de sa salle de bains. On était toujours nus, et notre petit échange mavait bien excité. Je neus donc aucun mal à la pénétrer, et à me mettre à la baiser, allant et venant en elle, lécrasant contre le mur. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et ses bras autour de ma nuque, renforçant notre étreinte. Nos deux corps se collèrent lun à lautre, si étroitement enlacés, quon aurait pu croire quon allait complètement fusionner. Francesca gémissait, et tremblait de plaisir à chacun de mes assauts, mais elle se démenait aussi, sans que je sache si elle essayait de reprendre le dessus, ou si elle devenait juste folle à cause du plaisir. En tout cas, je la tenais fermement plaquée contre le mur avec autorité, et impitoyablement, ma queue la labourait, et la faisait fondre de plaisir. A chaque coup, Francesca rebondissait entre mes bras, tant je la prenais sauvagement.
Je finis par être lassé de la porter, et la fis se poser, avant de soudainement la plaquer, de face et debout contre le grand miroir de sa salle de bains. La tenant immobile, je vins derrière elle, et la pris en levrette debout. Je démarrai de puissants assauts, bien décidé à réprimer durement son arrogance de tout à lheure. Francesca gémit, et subit mes coups de butoir, de plus en plus forts. Je claquai fort son fessier, lappréciant une fois de plus. Outre le plaisir, que je ressentais à chaque fois que mon sexe senfonçait loin en elle, je savourai aussi la vue de Francesca prise contre le miroir. Entre la vue de larrière de son corps, et la vue de son reflet, qui me montrait ses seins compressés contre la glace, et son beau visage défiguré par le plaisir, javais de quoi admirer ! Et lorsque je saisis litalienne par la nuque, et lobligea à embrasser la glace, je vous laisse imaginer à quel point je fus excité de voir cette beauté sembrasser dans son reflet ! Ce fut si bon, que je me déchaînai comme rarement dans ma vie, la baisant à fond, et appréciant limage que ça me donnait dans le miroir. Francesca ne put résister longtemps à ma queue, qui allait et venait en elle sans relâche. Elle finit par jouir en criant à fond.
« Bien, bien, bien
susurrai-je. Qui a fait crier qui là ? »
Francesca était haletante, et visiblement déboussollée par le plaisir. Elle ne me répondit pas. Nayant toujours pas joui, je la fis se mettre à genoux sur le carrelage de la salles de bains. Je saisis mon sexe, et me branla vigoureusement
juste devant son visage. Après une baise aussi sauvage je ne tins pas très longtemps, avant de jouir, et de me déverser sur son visage à grands jets. Elle eut un petit gémissement dexcitation.
« Alors ma belle ? Qui est le boss ici ? »
« Hmm
cest toi ! »
« Et qui est la chienne ? »
Elle se redressa.
« Ah non, ça je le dirai pas. »
Je grinçai des dents. Ah ! Elle me résistait ! Mais là, je nétais pas en état de la remettre en place, sexuellement parlant.
« On réglera ça plus tard, dis-je dun ton menaçant. »
Elle me sourit, et je lui rendis son sourire. On se rhabilla et on retourna à la fac, pour déjeuner rapidement, et aller en cours. A la fin de la journée, Francesca me dit :
« Ca te dit daller réviser à la bibliothèque ? »
« Ouais, ok. »
« On pourrait
réserver une salle
»
Je lui jetai un coup doeil, et sourit.
« Ouais
pourquoi pas ? »
On alla à la bibliothèque, et après avoir réservé une salle, on y entra. Cétait une pièce beaucoup plus petite quune salle de classe, avec juste une table et des chaises. Mais elle était fermée, et une fois à lintérieur
personne ne pouvait nous voir ni nous entendre de lextérieur
Lendroit idéal pour travailler
ou autre chose.
Justement, Francesca et moi jetâmes nos sacs par terre, et nous ruâmes lun sur lautre. Francesca membrassa avec ardeur, et me poussa sur la chaise. Elle vint sur moi, et fiévreusement, me retira mon jean puis mon caleçon, avant den faire autant de son côté. Elle sempala ensuite sur moi, poussant un gémissement de plaisir, délicieux à entendre.
Elle commença à se déhancher, doucement dabord, testant mes réactions, en me souriant. Voyant que je semblais apprécier, elle accéléra le tempo, commençant secouer mon sexe de gauche à droite, en me plaquant contre le dossier de la chaise. Ca devenait de plus en plus bon, surtout quand elle sappliquait à donner un coup de rein bien fort, qui faisait monter le plaisir jusquà mon cerveau, marrachant des râles de plus en plus marqués. Fière delle, Francesca se mit à bondir sur ma queue, enserrant mon sexe de façon exquise, tout le faisant senfoncer loin elle, nous faisant pousser de grands cris. Elle se mit ensuite à aller davant en arrière, baisant férocement ma bite, pour ensuite alterner entre coups de reins davant en arrière, et sauts sur mon sexe. Elle y allait vraiment vite et fort, me procurant un plaisir incomparable. Elle était incroyablement sexy, à se démener ainsi sur moi, me fixant du regard, comme pour me défier de lui résister. Et je nétais pas du genre à refuser un défi.
Jenroulai mes bras autour de son dos, et la collai contre moi, puis, je me levai, et la soulevai, avant de la plaquer contre la table. Je la pris en missionnaire, si fort et si sauvagement, que la table recula au rythme de mes coups de reins, jusquà cogner contre le mur. Francesca se tortillait de plaisir, ballottée à chacun de mes allers retours. Elle tentait bien de se débattre, mais elle ne pouvait rien faire, solidement tenue par mes mains puissantes. Je la labourai tout mon soûl, lobservant se vibrer sous mes coups de reins avec un grand sentiment de satisfaction. Puis, je la retournai et la pris en levrette, allant à fond, comprenant que lorgasme était proche. Je lui claquai les fesses, et titillai son clito, accélérait et accélérait encore, la baisant plus sauvagement que jamais. Francesca hurlait à en perdre la voix, totalement domptée par ma queue qui la limait toujours plus vite, plus fort et plus profondément.
Je la saisis par les cheveux et lui dis :
« Qui est le boss ? »
« Toi ! »
« Qui est la chienne ? »
Je raffermis ma prise sur ses cheveux, et accélérai le rythme, histoire de bien marquer le coup. Elle poussa un grand cri, son corps se raidit, et elle gémit :
« Moi !!! je suis ta chienne !!! »
Je lui donnai deux gros coups de reins, qui nous firent exploser de plaisir dans un orgasme enivrant.
Voilà, cette histoire est terminée, j'espère qu'elle vous a plus. Dîtes moi ce que vous en avez pensé, les retours des lecteurs, c'est toujours sympa :)
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