Les Vacances De Katherine Et Laure. Chapitre 2 : Marie-Laure (Pov Katherine)
Chapitre 2 : Marie-Laure (pov Katherine).
Je me réveillai un peu lourdement, avec limpression de léger mal être quon sent toujours quand on a dormi dans un avion. Je nétais donc pas de très bonne humeur, et quand, en ouvrant les yeux, je vis Morgane légèrement penchée sur moi, ça ne saméliora pas.
« Cest Laure qui ma envoyée te réveiller, on a atterri à Los Angeles. »
Elle aurait insulté toute ma famille quelle aurait sans doute adopté le même ton. Sentant que je naurais pas la patience de lui répondre poliment, je me contentai de hocher la tête. On sortit de lavion pour aller à laéroport. Là je retrouvai Laure, et après un brin de toilette dans les toilettes puis un petit déjeuner, je me sentais toujours un peu patraque et pas super bien disposée. Faut dire que la présence dAnaïs, de Maéva et de Morgane ne maidaient pas. On était encore à table, moi aussi loin que possible delles, Laure entre nous, lorsque celle-ci reçut un message.
« Ah ça y est, elles sont là ! sécria Laure. »
Avec un sourire de gosse ravie, elle bondit de sa chaise, et courut en dehors du restaurant. Dun pas traînant je la suivis. A quelques pas du restaurant, se trouvait un groupe de filles avec leur valise. Laure était déjà dans les bras de lune delle, une blonde un peu plus grande, qui la serrait fort en riant aux éclats. Les deux autres, une grande blonde qui dépassait tout le monde dune tête au moins, et une brune de taille moyenne à la peau métissée parlait à Laure avec un grand entrain.
« Salut vous, lançai-je dun ton que jessayais de rendre le plus joyeux possible. »
Sans succès. La blonde qui avait pris Laure dans ses bras, Manon, lança :
« Ouh là, quest-ce que tas à faire cette tronche ? »
« Elle fait sa tête jai dormi dans un avion, répondit la brune, Noémie, dun ton moqueur. »
« Mais pas du tout, bougonnai-je. »
Léa, la grande blonde éclata de rire, et me passa la main dans les cheveux en me les ébouriffant.
« Jaime quand tu fais ta râleuse toi ! »
Je me dégageai en protestant, mais en vrai je me sentais déjà de bien meilleure humeur. Ça dut se voir sur mon visage car Noémie me prit dans ses bras.
« Tu mas trop manquée, roucoula-t-elle. »
Je la serrai moi aussi et dis :
« Tu mas maquée aussi. »
Après quelques minutes deffusion, Manon dit :
« Oh y a Maéva ! »
On se retourna et en effet, Maéva était sortie du restaurant et approchait de nous.
« Oui, dit Laure, y a aussi Anaïs et Morgane, mais elles ont pas fini de manger. »
« Ah mais cest pour ça que tes en rogne ! me lança Manon avec un sourire. »
Avant que je puisse répondre, Maéva était arrivée. Elle salua chaleureusement tout le monde, tandis quà leur tour, Anaïs et Morgane arrivaient. Après les avoir saluées, Manon annonça :
« Je vais chercher les autres, tiens Katherine tu maccompagnes ? »
Ravie de méloigner je la suivis aussitôt. Je lobservai un moment, elle avait lair très heureuse et sautait presque à chaque pas.
« Tas lair contente toi. »
« Oh oui, dit-elle. »
Je réfléchis un moment.
« Ton mec est pas là, cest ça ? »
Elle sourit.
« Oui. »
« Donc du coup, tes enfin comblée au lit. »
Il était de notoriété publique que son copain était un très mauvais coup.
« Oui, enfin. »
« Et qui ta si bien baisée pour que tu sois aussi rayonnante ? »
Comme pour me répondre, une voix masculine retentit derrière nous.
« Manon ! »
On se retourna pour voir un grand garçon blond et bien bâti sapprocher de nous. Surprise et ravie je mexclamai :
« Oh ! Rémi ! Quest ce que tu fais là ? »
Il eut lui aussi lair surpris de me voir ici.
« Katherine ? Bah moi je suis en vacances aux USA, et toi ? »
« Je vais à Tahiti
tu viens avec nous ? »
« Oui.
Je mapprochai doucement de lui, et dun ton doucereux je dis :
« Hmmm cool
»
Il resta un temps figé, lair dun coup très excité. Manon se racla la gorge et dit :
« Les autres sont près du resto là bas, donc tu devrais les rejoindre. »
« Ah
oui, dit Rémi en me jetant un dernier coup doeil, oui jy vais. »
Il séloigna, dun air un peu distrait. Je me tournai vers Manon un sourire complice aux lèvres :
« Il est toujours bon au lit alors ? »
Elle me jeta un coup doeil surpris.
« Comment tu sais que... »
« Que vous avez couché ensemble ? La logique ma chère, la logique. Et mon intelligence supérieure, ça aide. »
« Et parce que vous deux, tu crois que ça se voit pas ? »
Jeus un petit rire.
« Si ! »
« En attendant oui, il est toujours hyper doué au lit, on comprend que Morgane et Maéva se soient disputées pour lui. »
Je souris, ravie à ce souvenir :
« Oui, javais passé une nuit de rêve avec lui. »
« Il sen souvient encore tu sais ? Il ma dit que tétais incroyable au lit. »
« Oui, mais ça cest pas nouveau. »
« Prétentieuse ! Cest pas possible ça ! dit-elle dun air faussement exaspéré. »
On éclata de rire ensemble, jusquà arriver au niveau de deux filles, qui venaient denregistrer leurs bagages. Manon savança vers elle.
« Salut ! Je vous présente Katherine, une amie à moi. »
Puis elle se tourna vers moi, et me montra une fille de taille moyenne, légèrement plus petite que moi.
« Katherine je te présente Lindsay, notre correspondante américaine. »
Je la détaillai rapidement, elle était terriblement sexy. Elle avait de longs cheveux châtains, tirant sur le blond. Son visage était angélique, fin, le teint bronzé, avec de jolis yeux verts. Quant à son corps il était divin : elle était fine, avec des formes généreuses, une imposante poitrine, du 95D au moins, et des fesses généreuses.
« Bonjour, me dit-elle, je suis ravie de te rencontrer. »
Son accent américain la rendait trop craquante. Javais envie de me jeter sur elle sur le champ.
« Oui, moi aussi répondis-je. »
Puis Manon me montra la fille à côté delle, qui me laissa tout simplement sans souffle.
« Je te présente Marie-Laure. »
Elle avait des cheveux mi-longs, châtains eux aussi mais plus foncés que ceux de Lindsay. Elle avait un merveilleux visage avec de beaux yeux noisettes, et aussi un corps incroyable, fin, avec une poitrine plus grosse encore que celle de Lindsay, et des fesses si rondes que javais envie de les mordre. Elle me sourit dun air accueillant, et me dit :
« Salut ! »
« Bonjour. »
On se fit la bise, et on séchangea un regard. Javais la nette impression quelle me trouvait aussi sexy que moi
En revenant vers les autres, nous fîmes connaissance toutes les trois, et jeus la satisfaction de découvrir quelles étaient très sympas. On passa un petit moment à laéroport, puis on reprit lavion direction Tahiti. Cette fois-ci, on ne sassit pas au même endroit les unes les autres. Cette fois-ci, je massis à côté de Marie-Laure.
On passa des heures entières à faire plus ample connaissance, à discuter de tout ce qui nous venait à lesprit. Je me sentais vraiment bien avec elle, lui faire la conversation était facile. Les mots me venaient naturellement, comme si jétais avec lune de mes plus vieilles amies. A un moment, elle sexcusa, et retira son pull, car elle avait trop chaud. Elle révéla un débardeur au décolleté large, laissant apprécier sa poitrine plus que volumineuse. Lenvie de plonger ma tête dans ce décolleté me saisit, aussi soudaine que intense.
« Quest-ce que tas à me mater ? »
Elle mavait dit ça avec un léger sourire que je connaissais trop bien : le sourire de la chaudasse qui sait quelle est ultra-sexy et en joue pour déstabiliser lautre.
« Bah tes bonne
un vrai avion de chasse. On te la jamais dit ? »
Elle encaissa ma réponse sans ciller.
« Tas lair sexy toi aussi
dommage quon voit rien avec ta tenue. »
« pas non plus, je suis pas habillée en col roulé. »
Je tirais sur mon t-shirt, pour souligner à quel point il était moulant. Ma poitrine nen fut que mieux mise en valeur, et je vis Marie-Laure lorgner dessus.
« Mouais
Javoue que tes bonne
tu dois ten taper des dizaines des mecs, non ? »
Je pris un air songeur.
« Non... »
« Non ? »
« Je dirais plutôt des centaines. »
Elle éclata de rire. On comprit mutuellement quon était sur la même longueur dondes, et on passa un long moment à parler de nos histoires de cul. Cest ainsi que fut confirmé ce que chacune de nous soupçonnait déjà : on était toutes les deux très coquines, entreprenantes, très douées au lit, sauvages, et dominantes. Plus elle parlait et plus je me sentais chaude, plus javais envie delle.
«
et après je lai jeté dans son lit, je lai chevauché à fond et il a joui au bout de quelques minutes ! Il était pas hyper doué, mais avait une sacré queue ! »
Elle me jeta un petit coup doeil et dit :
« Tu mécoutes ? »
Je sursautai à moitié. En fait, en lécoutant, je métais perdue dans mes visions delle et moi se déhanchant lune contre lautre dans un lit, les corps en sueur vibrant dextase.
« Euuuh
ouais bien sûr que je técoute. »
Elle eut un petit sourire moqueur, et je me hâtai de changer de sujet.
« Tas lair sacrément douée pour dominer des mecs, ten as déjà croisé un qui a pu te mâter ? »
« Ouais, une fois en vacances. Oh là là avec lui cétait fou... »
Elle se mit à me raconter son histoire en détail. Lorsqu'elle me dit son nom et son prénom jeus un grand sursaut.
« Attends
cest lui ? »
Je lui montrai mon fond décran, qui était une photo de moi et mon beau brun, mon plan cul régulier.
« Ouais ! Pourquoi
cest ton copain ? »
« Non, plutôt mon plan cul. »
« Oh la chaaance ! Jaimerais bien me le taper tous les jours ! Il est doué ! »
« Et tellement beau, soupirai-je. »
Elle me jeta un petit coup doeil, et je jugeai préférable de pas la laisser parler.
« Mais attends : comment il a fait pour te dominer toi ? Moi jai jamais eu trop trop de mal à le soumettre ! »
« Ah bon ? Pourtant je peux te dire quil sait renverser sa cavalière, et il sait lui faire tourner la tête après... »
« Mouais
ça doit être parce que je lai dépucelé. Je dois être une sorte de maîtresse dans son esprit. »
Elle me regarda dun air intrigué :
« Cest toi qui las dépucelé ? »
« Oui, répondis-je avec un sourire ravi à lévocation de ce souvenir. »
« Ha là là
toutes les filles du monde ten seront reconnaissantes. »
On éclata de rire en même temps. Un léger silence de quelques minutes sinstalla entre nous, jusquà ce que Léa passe près de nous dans le couloir entre les sièges pour aller dans les toilettes de lavion. Marie-Laure lobservait avec attention.
« Quest-ce quelle a un beau cul, souffla-t-elle lorsque Léa fut éloignée. »
Je souris.
« Oui
toi tas lair de sacrément aimer les filles aussi pas vrai ? »
Elle eut un large sourire.
« Oui, toi aussi ? »
« Bien sûr... »
La tension quil y avait entre nous grimpait de minutes en minutes. Elle devenait palpable. Je poursuivis.
« Dailleurs hier soir, moi, avec ma meilleure amie on sest envoyées en lair avec une hôtesse de lair. »
« Dans lavion ? »
« Oui. Le faire dans un avion cest excellent. »
« Ah, jai jamais essayé. »
Je la regardais droit dans les yeux.
« Il faut bien un début à tout
tes pas daccord ? »
Elle me rendit mon regard. La tension nétait plus palpable, elle était énorme et incontournable, comme un éléphant dans un corridor. Alors quelle allait me répondre, Léa, revenant des toilettes fit irruption.
« Eh les filles, on est toutes là bas, et on voulait jouer à un jeu ensemble, vous nous rejoignez ?»
« Ouais, ok, on te suit, répondis-je. »
On se leva, et on suivit Léa. Les coups doeil que Marie-Laure et moi nous jetions étaient incroyablement chauds.
De longues heures plus tard, jétais dans laéroport entrain dattendre ma valise devant le fameux tapis roulant. Celui devant lequel tout passager devait passer une heure à attendre que sa valise arrive pour pouvoir enfin sortir de laéroport. Évidemment ma valise était la dernière à sorti, tous les autres avaient récupéré la leur, mais pas moi. Laure était restée pour me tenir compagnie.
« Alors, elle est sympa Marie-Laure ? »
« Pourquoi tu me demandes ça à moi ? Jai pas passé mes vacances aux USA avec elle, moi. »
« Non mais tas passé tout le trajet suspendu à ses lèvres... »
« Hmm si seulement, soupirai-je. »
Elle me jeta un coup doeil et je souris :
« Elle est hyper sympa, tinquiète. »
Laure eut un air songeur.
« Tu te rappelles ta promesse hein ? »
« Laquelle ? »
« De me laisser me faire Marie-Laure la première. »
Je ressentis une vague gêne. Javais complètement oublié cette stupide promesse. Ca allait vraiment être dur de la tenir. Dun air décontracté je lançai :
« Non, non tinquiète ! Je toucherai pas à Marie-Laure avant toi
promis ! »
Laure eut une expression sceptique, mais ma valise qui arriva fort inopinément à ce moment là lempêcha de me poser plus de questions. Je la récupérai et nous quittâmes enfin laéroport. Arrivés à notre hôtel, il fallut encore prendre nos chambres, et installer nos affaires. Puis nous dînâmes tous ensemble dans le restaurant de lhôtel, avant de nous séparer : ceux qui étaient en forme allèrent se promener en ville, les autres allèrent se coucher. Je nétais pas fatiguée, mais je navais pas envie de me promener, je montais donc dans ma chambre.
Une demi-heure plus tard, jétais toujours assise sur mon lit. Jétais incapable de me décider : je navais pas envie de dormir, ni de faire quoique ce soit dautre. La seule chose dont javais envie, cétait de baiser, non, de baiser avec Marie-Laure. Elle nétait pas allée se promener elle aussi, elle était dans sa chambre, à deux pas de la mienne. Cela aurait été très facile de me lever, de toquer à sa porte et de passer une nuit de folie avec elle
Seulement javais promis à Laure de ne pas lapprocher, et les promesses que je faisais à ma meilleure amie comptaient quand même pas mal. Je navais quà attendre que Laure rentre pour menvoyer en lair avec elle : ma meilleure amie était un super coup après tout. Seulement, javais tellement envie de Marie-Laure
Jétais en pleine tergiversation lorsque quelquun toqua à ma porte. Jallai ouvrir, cétait Marie-Laure. Elle était en pyjama composé dun mini-débardeur qui dévoilait largement son ventre plat et son décolleté et dun mini-short bien moulant. Bref elle était hyper-sexy. Sans un mot elle entra dans ma chambre.
« Jaurais pensé que cétait toi qui me rejoindrais, dit-elle. »
Je fermai la porte, luttant contre lenvie de me jeter sur elle.
« Écoute
jai
jai promis à Laure de pas coucher avec toi avant elle. »
Elle haussa un sourcil, puis soudainement me saisit par les épaules et me plaqua contre la porte, se collant contre moi. Jétais tellement excitée que jen poussai un gémissement.
« Tinquiète pas, ta pote est bonne et je me la ferai aussi... »
« Oui mais... »
Marie-Laure membrassa, détruisant toutes mes objections. Nétant pas femme à repousser longtemps une telle bombe, je lui rendis son baiser. On sembrassait avec ardeur, très sauvagement, nous goûtant lune et lautre avec délectation. Elle se collait contre moi pressant sa poitrines contre la mienne, me rendant plus chaude quune braise. Elle me saisit par la ceinture de mon jean et me jeta sur le lit. Elle ferma à clé la porte de la chambre, et sapprocha de moi.
« Laure dort ici, tes au courant ? Quand elle va revenir de sa promenade elle voudra entrer... »
Marie-Laure continua dapprocher.
« Elle ira dormir dans ma chambre
à moins que tu veuilles que je parte ? »
« Oh que non... »
Je me redressai dun coup me levant du lit, mais elle me saisit par les hanches, et me rejeta dessus. Je mécroulai de tout mon long sur le matelas, et Marie-Laure vint à califourchon sur moi. Je me redressai et lembrassai à nouveau, avec ferveur. Assise sur moi, elle saisit par la nuque et me colla plus étroitement contre elle, tout en me rendant mon baiser. Puis elle me plaqua à nouveau contre le le lit, et me malaxa les seins avec une ardeur qui me fit littéralement chavirer. Elle y alla bien fort, me les massant encore et encore à travers mon t-shirt, je me tortillai tant cétait bon. Je voulus me redresser, mais elle me retourna de force, et mallongea sur le ventre. Elle me tint par la nuque dune main, et de lautre me massa les fesses à travers mon jean.
« Oh bordel ton cul est juste parfait, jai hâte de le voir. »
« Alors retire mon jean... »
« Non pas tout de suite... »
Elle rentra sa main dans mon jean et se mit à me doigter le cul avec force. Elle me rentra deux doigts pour commencer et fit des va-et-vient doucement puis de plus en plus fort me procurant un plaisir vif. Elle accéléra lallure et je poussai un petit cri qui eut lair de lui plaire. De son autre main, elle me saisit par la nuque, et me plaqua contre le matelas. Tandis que ses doigts me vrillaient lanus, elle se mit à tirer doucement sur mes cheveux, me faisant bien sentir que jétais en son pouvoir. Jen tremblais de plaisir. Elle inséra ensuite un troisième doigt dans mon anus et accéléra le rythme marrachant un grand cri auquel elle répondit en tirant plus fort sur mes cheveux, ce qui mexcita au plus haut point. Elle retira ensuite complètement mon jean, et se mit à califourchon sur mon fessier, quelle entreprit ensuite de chevaucher encore et encore, frottant son intimité contre mes fesses. Cétait ultra-excitant et à en juger par ses gémissements, ça devait être très bon pour elle.
« Hmmm
ton cul est tellement bon, cest délicieux de le chevaucher ! »
Désireuse de reprendre le dessus, je tentai de me retourner pour la renverser, mais Marie-Laure mimmobilisa aussitôt me tenant par la nuque.
« Non, non ma belle, je sais que tu es dominante, mais ce soir tu es à moi ! »
Elle me retourna et me mit sur le dos. Elle retira son mini-short et entreprit alors de me chevaucher, me baisant comme si jétais un mec, frottant son intimité contre la mienne, se déhanchant à fond pour me faire frémir de plaisir. Elle allait et venait sur moi à fond, mélectrisant à chaque frottement, tout en massant mes seins à travers mon t-shirt. Elle accélérait progressivement, le rythme de ses va-et-vient, ainsi que le rythme de son massage, si bien que je perdais complètement la tête, et devenait folle à force plaisir. Elle retira son débardeur, se dénudant totalement, libérant sa poitrine de rêve sous mes yeux émerveillés. Elle accéléra ensuite le rythme de ses va-et-vient, me faisant gémir en même temps quelle, tandis que nos deux corps vibraient sous le coup dune extase de plus en plus forte. Lorsqu'elle donna un grand coup de reins, frottant nos deux intimités de façon plus électrique encore que les fois précédentes, et quelle renversa la tête en arrière pour pousser un grand gémissement de chienne, jen profitai pour reprendre le dessus.
Je la saisis par les hanches, et soudainement, je la renversai. Je minstallai sur elle, et la maîtrisai alors quelle se débattait. Elle dut vite renoncer, car je lavais bien en main, et je lui adressai un sourire narquois.
« Ca va être mon tour de te baiser ma chaudasse. »
Je minstallai sur sa poitrine, et avec un gémissement, je me mis à la chevaucher, dabord doucement, puis de plus en plus vite, frottant mon intimité contre ses énormes seins. Cétait absolument délicieux, pour elle comme pour moi. A chaque mouvement que je faisais, une décharge de plaisir nous traversait le corps. Jaccélérai progressivement, me déhanchant de plus en plus, malmenant ses seins comme une folle, lui arrachant des cris toujours plus forts. Marie-Laure pendant ce temps massait mes fesses avec vigueur, appréciant leur rondeur et leur fermeté. Le plaisir devenait de plus en plus fort, mais jen voulais toujours plus, alors je massis sur le visage de Marie-Laure et lui ordonnai de me lécher. Elle mit aussitôt sa langue en action, la faisant tourbillonner contre mon intimité tout en sagrippant à mes fesses. Je sentis aussitôt mon corps se cambrer et se raidir, sous leffet dune vague de plaisir qui me submergea. Je me déanchai à nouveau, intensifiant mon face sitting, et ce fut incroyablement bon. Marie-Laure me griffa aux fesses, et je frémis de plaisir. Ca me donna une idée. Je me déplaçai quelque peu pour que ce soit cette fois-ci mes fesses qui soient sur son visage.
« Allez ! Vu que tu aimes tant mon cul, tu vas le lécher ! ordonnai-je. »
Je pressai mon cul sur sa face pour quelle sexécute, et elle neut dautre choix que de remettre sa bonne petite langue en marche. Elle lenfonça dans mon petit trou, et la fit tournoyer, je poussai un cri et appréciai les sensations quelle me procurait. Je me retournai et saisit à pleines mains sa poitrine, pétrissant ses seins tout en trémoussant mes fesses sur son visage, pour augmenter les sensations. Cela dura un bon moment, sa langue sintroduisait en moi et tournoyait tandis quelle massait mes fesses avec un plaisir évident. Et je dois dire que jadorais avoir ses énormes seins entre les mains, et que me pencher sur eux pour les dévorer était un vrai régal. Je finis cependant par mettre fin à tout ça. Je quittai son visage, et la fis sallonger sur le côté. Je vins me caler dans son dos, et me mis à la doigter, tout en lenserrant avec mes bras, et en lui embrassant la nuque. Mes doigts sactivant dans son intimité firent aussitôt vibrer Marie-Laure, qui se tortilla, gémissant de plaisir. Jadorais avoir cette bombe entre mes bras, qui se secouait, nos deux corps se frottant lun contre lautre, nous procurant des sensations électriques. Tout en la doigtant, je massais de ma main libre sa volumineuse poitrine, pressant ses seins à fond. Je lui embrassai la nuque, et murmurai à son oreille des choses salaces, la faisant frémir de tous côtés. Cependant, Marie-Laure nétait pas dhumeur à se laisser faire. Lorsque je lui mordis lépaule, elle jugea visiblement que jétais allée trop loin, et se dégagea soudainement de mon emprise. Elle se redressa, et me plaqua contre le lit. Puis elle me retourna, et me mit allongée sur le ventre.
« Laisse toi faire, susurra-t-elle, il y a quelque chose dont je crève denvie
»
Elle fit courir son doigt le long de mes fesses, larrêtant à lentrée
Jen frémis dexcitation.
« Tas vraiment un cul de rêve, il me fait trop envie. »
Joignant le geste à la parole, elle se mit à me doigter le cul, non pas avec un, mais deux doigts, marrachant un grand cri de plaisir. Lorsqu'elle se mit à aller et venir à fond, me tirant par les cheveux en même temps, je me sentis vibrer de la tête aux pieds, et savourai ce brutal apport de plaisir quelle me procurait. Marie-Laure y allait vraiment fort, visiblement décidée à me faire tourner la tête, et ça fonctionnait très bien.
« Taimes ça ma belle ? Jai attendu toute la journée de pouvoir te malmener un bon coup, cest top de enfin le faire ! »
Elle fit un mouvement du poignet particulièrement bon, et ses doigts me firent pousser un cri aigu.
« Crie ma belle, crie ! sécria Marie-Laure. »
Cétait incroyable. Javais plusieurs fois été sodomisée dans ma vie, mais Marie-Laure juste avec ses doigts, me faisait autant de bien que bon nombre de mecs dotés dune queue impressionnante. Je sentais son index et son majeur entrer et ressortir dans mon petit trou, se tortillant en moi, et déclenchant de merveilleux frissons de plaisir à travers tout mon corps. Je gémissais, me secouais, vibrais de plaisir, tandis que Marie-Laure, me tenant par la nuque, continuait encore et encore à me malmener le cul.
Après quoi, elle me retourna contre le matelas, mallongeant sur le dos assez brutalement. Elle se remit à me doigter, mais de face cette fois-ci, ses doigts pénétrant dans mon intimité, me faisant un bien fou. Je me tordais de plaisir, le corps cambré, le souffle coupé, et gémissant comme une chienne.
« Hmm, souffla Marie-Laure, jaime te voir comme ça, jadore tentendre, gémir. »
Elle accéléra le rythme, et jeus limpression que mon cerveau explosait. Elle me sourit dun air moqueur, et se pencha sur moi, membrassant la bouche, puis le cou, le buste, les seins quelle dévora avec intensité, puis le ventre, sans jamais ralentir le rythme de ses doigts qui allaient et venaient en moi à fond.
Elle me sourit et dit :
« Avoue que tu aimes être ma chienne, pas vrai ? »
Je me redressai dun coup, piquée au vif. Je la saisis par les hanches, et la plaquai contre le matelas. Je minstallai sur elle, et à mon tour, me mis à la chevaucher, frottant mon intimité contre la sienne, allant et venant à fond, la baisant comme je le ferais à un mec. Jallais à fond, bien décidée à la sonner, et me venger après avoir été si malmenée. Marie-Laure au début me tenait par les hanches, pour ralentir mon rythme, et me regardait droit dans les yeux en signe de défi. Mais au bout dun moment, le rythme de mes assauts sintensifia, et le plaisir en nous ne fit que monter encore et encore. Marie-Laure fut bien vite incapable de se contenir, et commença ne plus pouvoir soutenir mon regard provocateur et dominateur. Elle se mit à renverser la tête en arrière, et à gémir sous leffet du plaisir, puis, sa prise sur mes hanches faiblit, et elle finit par me lâcher, et me laisser totalement maîtresse de la situation. Elle ne put que se laisser aller, étendue contre le matelas, tandis que nos minous se frottaient lun contre lautre, encore et encore, au rythme de mes coups de reins. Tout en la baisant, je malaxai ses énormes seins, ravie davoir une telle poitrine à disposition, ravie de dominer ce corps de rêve. Le plaisir devenait ingérable, et me rendait encore plus sauvage. Je me mis à lui donner des gifles, sous leffet de la folie qui semparait de moi.
« Alors, dis-je entre deux gémissements, qui est la chienne de qui ? »
Marie-Laure ne me répondit pas, mais le petit regard de soumise quelle me lança valait tous les discours du monde. On finit par jouir toutes les deux, et mon orgasme me donnait limpression que chaque cellule de mon corps explosait de plaisir. Je meffondrai sur le matelas, essoufflée, comblée.
« Cétait
cétait incroyable, souffla Marie-Laure hors dhaleine. »
« Ouais, confirmai-je. Je crois
que même en comptant les mecs tu dois être un de mes meilleurs coups. »
On sembrassa langoureusement, puis je me blottis contre elle, et nous ne tardâmes pas à nous assoupir.
Voilà, c'est la fin de ce chapitre, dites moi ce que vous en avez pensé, est-ce que cette histoire vous plaît ? J'essaye, avec l'histoire des vacances de Laure et Katherine, de vous proposer des récits plus narratifs, et donc plus longs et plus développés que d'habitude. Dites moi si ça vous plaît ! Et n'hésitez pas si vous avez des suggestions.
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