Alice - Le Chapelier Fou
Alice ne sétait pas trompée : une table de pique-nique est dressée dans lherbe, entourée de quelques chaises. Un homme en haut-de-forme gesticule en courant autour de la table, imité par deux autres congénères. Lhomme au chapeau laperçoit : Hé, venez donc prendre le thé avec nous !. Alice sapproche de la table. Lhomme tire galamment une chaise à son intention, et la fait asseoir, pendant que les autres continuent leur sarabande en la dévisageant dun air vicieux.
« Jaime mon thé avec un nuage de lait, pas vous ? » Napercevant pas de lait sur la table, Alice se dit quelle va devoir se remettre au travail, comme avec la statue. Elle cherche des doigts la braguette de lhomme et déboutonne son pantalon.
« Non non ma jolie ! Je ne suis pas de marbre moi, mais jai dautres envies... » Il se dirige vers une grosse boîte à chapeau posée par terre, louvre et en sort une machine étrange, composée de deux sortes de tubes translucides reliés par des tuyaux à une bouteille en plastique. « Quest-ce que cest que cet attirail ? » se dit-elle.
Le chapelier se rapproche delle, et ouvre le haut de sa robe, découvrant ses seins généreux. Alice aime quon la complimente sur sa poitrine, elle est consciente que cest un de ses meilleurs atouts. Elle se laisse donc faire, titillée par la curiosité, et lenvie. Lhomme saisit un de ses seins à pleines mains, et fixe un des tubes au mamelon ; il procède de la même manière pour lautre. Alice comprend alors : il veut la traire, comme une vulgaire vache laitière ! Alice refuse dêtre traitée ainsi : elle est une héroïne de conte après tout, pas un jouet sexuel pour fantasmes avilissants ! Elle sempare dun tube, le dégage de son téton (ça fait un plop ! comme une ventouse sur une vitre) et se relève brutalement, prête à en découdre avec le chapelier sil le faut. Mais les deux comparses se sont rapprochés delle et lempoignent sans douceur, pour la rasseoir de force.
Lair se vide dans les tubes et elle sent ses mamelons aspirés, elle les voit se déformer au travers des parois de verre. Elle sait quelle aura des cercles rouges marqués sur la peau après cet exercice. La machine aspire, aspire, et elle sent quelque chose se produire : du lait sort de ses seins et passe dans les tuyaux ! Le chapelier chante et danse, la bosse de son pantalon trahit son enthousiasme. « Laissez donc un peu de mou à cette demoiselle, messieurs, quon samuse un peu ! » Les deux autres relâchent la pression et laissent Alice se relever. Ils lui font faire le tour de la chaise, se placer derrière celle-ci et la font se pencher par-dessus le dossier. « Penchez-la un peu plus en avant
parfait, on ne bouge plus ! » Le chapelier prend position derrière elle, lui caresse la croupe, passe un doigt sur son anus. Il lui donne une claque sur les fesses. « Y a de quoi samuser, ça cest sûr ! Tenez-la bien vous autres ! » Alice entend le bruit de la fermeture éclair de sa braguette, et sent sa bite contre son cul. « Un peu de thé peut-être ? » dit-il en lui vidant une demi-tasse de thé tiède sur les fesses. « Voilà qui devrait suffire ! » et il presse son sexe contre lanus dAlice. Il se tient aux montants de la chaise et force le passage, sur quelques centimètres seulement. Alice pousse un petit cri, mais il se retire tout de suite
pour rentrer à nouveau, plus brutalement et profondément cette fois. Bloquée contre la chaise et maintenue de force par les deux hommes, Alice ne peut pas se dégager. Elle subit les assauts répétés, encore et encore.
Elle sent toujours ses tétons aspirés par la machine, elle est tiraillée de toutes part. Elle doit admettre en même temps que ce nest pas désagréable, la retenue-même de lhomme lexcite. De plus, elle est plutôt fière de voir que la bouteille sest remplie presque au tiers dun lait venu de ses propres seins ! Le troisième homme se saisit alors dun des toasts présentés sur la table, en adressant un regard complice à son comparse. Alice sent que lhomme derrière elle reprend de plus belle, et au bout dun moment se raidit. Il éjacule et se retire avant la fin, juste à temps pour tartiner le toast dune petite flaque de sperme. On lui porte le toast à la bouche, elle comprend facilement ce quon attend delle ; cest un jeu quelle connaît bien. Elle saisit de ses dents la tartine, et la déguste calmement en fixant lhomme dans les yeux. Celui-ci se masturbe joyeusement, et est visiblement satisfait de sa soumission, il lui caresse la tête, puis att ses cheveux et lui envoie son sperme au visage.
Alice sent quon la relâche et sécroule à terre, épuisée. Le chapelier arrête alors la machine, la détache de ses seins endoloris. Il laide même à se rhabiller, et linstalle sur une chaise.
« Rien de tel quun nuage de lait bien frais dans un darjeeling ! Ma chère, puis-je me permettre de vous servir ? »
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