Ma Randonneuse Adorée
Depuis plus de deux mois, Eric ne rate pas une seule randonnée.
Certes, il aime la région, ses paysages, la marche sur les sentiers de découverte mais surtout il est obsédé par une petite femme mince juste ce quil faut, ronde juste là où il faut et très conviviale avec un air sage qui donne envie de la dévergonder.
Rapidement il apprend quelle est mariée, quelle est jeune retraitée, a 62 ans et quelle sennuie ferme chez elle.
Son mari étant incapable de la satisfaire et étant une femme sérieuse et une épouse fidèle, elle a trouvé ce club de randonnée et ses visites hebdomadaires à sa mère comme paliatif.
Eric sarrange souvent pour marcher derrière elle, regardant ses fesses onduler à chaque foulée. Il y a encore quelques temps, Sylvie portait un short moulant et légèrement transparent qui ne laissait presque rien ignorer de ses rondeurs appétissantes mais depuis quelques semaines elle sobstine à ne porter quun pantalon mi-long et une chemise très amples !
Malgré cela, après chaque randonnée, Eric simagine seul avec Sylvie mais jusquà présent il na osé que lui adresser les banalités de co-randonneur.
Il na jamais été très doué avec les femmes.
Aujourdhui cest décidé il va la « draguer ».
Au terme de la randonnée, Eric ose lui offrir de partager un rafraichissement au café de la place du village.
Sylvie accepte de bon cur et souvre à lui comme soulagée.
Il apprend que cest son mari qui lui impose de shabiller ainsi car il lui semble inconvenant quelle expose ses formes aux hommes composant son club de randonnée.
- Tu y vas pour randonner, tu ny vas pas pour aguicher les hommes ! lui a-t-il dit.
Comment peut-il penser quun homme ait lidée dadmirer les fesses de sa femme moulées dans un short étroit ?!!!
Lors de la conversation Eric luia pris la main, tendrement et Sylvie se laisse aller et semble apprécier le pouce de son nouvel ami qui lui caresse le dos de sa main fine.
Le temps semble suspendu et cest à regret quils se quittent sur un chaste baiser.
Avant de se quitter, un sursaut de courage et Eric linvite à une partie de géocaching pour le lundi quà son plus grand étonnement Sylvie accepte sans hésiter.
Encore un week-end interminable.
Le lundi à 14h, Sylvie est présente au rendez-vous et Eric linitie au géocaching dans le parc de la mairie. Occasion rêvée pour repérer les coins tranquilles qui pourront peut-être abriter dautres jeux.
Vêtue dun pantalon blanc moulant laissant entre-apercevoir sa petite culotte et dun teeshirt blanc imprimé, Sylvie est craquante. Elle ne semble pas avoir de soutien-gorge
Comme un imbécile, il se contente de laccompagner dans la recherche du « trésor » sans oser la toucher, lembrasser.
Ce nest quau moment de la quitter quil se décide.
- Sylvie
tu me plais
jai peur de tout gâcher mais jai envie de toi.
Sylvie ne répond pas. Elle se colle contre lui et lembrasse amoureusement.
- Imbécile
tout ce que je tai dit de moi et mon mari ne ta pas suffit ? tu ne comprends pas que jai besoin dun homme ? un vrai !
- Sylvie
- Tout ce temps perdu !!!
Eric lenlace tendrement et leur baiser se prolonge.
- Il faut que jy aille mon chéri
à jeudi
Quand Eric arrive au point de rendez-vous le jeudi, mauvaise impression.
Sylvie est de nouveau affublée de son pantalon et chemise larges.
Ce nest pas aujourdhui que je pourrai me rincer lil se dit Eric surtout quen sapprochant delle Sylvie se montre distante.
Je suis sûr quelle me prend pour un nigaud se dit-il mais Sylvie le rassure aussitôt :
- Pas devant les autres
on se retrouve après la randonnée dans le parc de la mairie.
Autant dire que la rando parut très longue à Eric !
16h30
tout le monde se congratule pour ce bon moment et chacun séloigne pour rentrer chez soi.
Tout le monde sauf Sylvie et Eric.
Il la suit à distance pour ne pas attirer lattention.
Le parc de la mairie possède de nombreux recoins discrets, idéals pour flirter comme on disait dans le temps et cest là que lentraîne Sylvie.
Elle regarde inquiète autour delle pour vérifier que personne ne peut les voir et se colle contre lui pour un baiser très très langoureux.
- Je ny tenais plus ! lui dit-elle.
Pendant ce baiser Eric teste la fermeté de ses fesses : hummm quel régal !!!
Sans se lâcher, ils sallongent sur lherbe et Sylvie le regarde en riant avec un air mutin :
- Jai bien vu que ma tenue tavait déçu mais tu sais pourquoi
dailleurs jai fait en sorte de me faire pardonner. Déboutonne ma chemise mon chéri.
En effet. Sylvie sest faite pardonner : au bout de deux boutons, le paradis, pas de soutien-gorge et des seins ronds, fermes, doux, aux tétons dressés cernés de fines aréoles quEric sempresse de téter.
Un à un, les boutons sautent sous les doigts fébriles dEric qui finit par écarter la chemise dévoilant un torse à peine hâlé trahissant labsence dexposition au soleil sur lequel il promène longuement ses lèvres avant de sortir sa langue pour goûter le ventre et le nombril au goût légèrement salé sans doute dû à la sueur de la randonnée.
Elle le laisse ouvrir son pantalon et y glisser une main fiévreuse qui lui caresse tendrement sa petite motte bien taillée. Les doigts dEric glissent sur la petite fente si convoitée, une fente humide qui suinte le désir mais quand il veut lui baisser le pantalon, elle refuse catégoriquement :
- Pas ici Eric, pas maintenant !
- Tu ne vas pas me laisser dans cet état lui dit-il
Gênée, lair inquiet mais passablement excitée, Sylvie regarde autour pour sassurer de la tranquillité des lieux et lui propose une fellation pour ne pas « le laisser dans cet état ».
Bien que peu porté sur cette pratique, il ne se fait pas prier et baisse son short.
- Quel engin ! lui dit-elle en riant.
Et aussitôt elle se met à louvrage. Divine !
En quelques minutes Eric décharge dans sa bouche avec son accord et elle avale tout pour ensuite le décalotter et continuer à le sucer jusquà faire disparaitre toute trace de sperme.
Un dernier baiser sur ses lèvres parfumées de liqueur masculine et elle remet un peu dordre dans sa tenue tandis quEric remet son short.
Il est temps de rentrer lui dit-elle car cela fait plus de 40 minutes que la randonnée est terminée.
- Eric, mardi mon mari sabsente pour deux jours
- Oui ?... répondit-il sans oser croire à sa chance.
- Tu serais libre ? tu pourrais venir le matin, nous passerions la journée ensemble
- Oh oui !... je marrangerai.
- Jespère que tu seras en forme mon chéri.
- Que dirais-tu dune petite partie de géocaching lundi après-midi pour nous mettre en forme ?
- Moui
répond-elle sans conviction.
- Jai repéré un parcours très tranquille et même si lon ne trouve pas la cache je suis sûr de trouver un trésor.
- Hummm
un trésor ?
- Oui. Même sil est bien caché
Sylvie sourit car elle na plus de doute sur le genre de chasse au trésor que lui propose Eric.
- Ok pour lundi mon chéri.
Et elle se pend à son cou pour lembrasser amoureusement.
Le lundi peine à venir mais la récompense est là.
Sylvie toujours inquiète avait tenu à ce quils se rencontrent sur un parking désert de la forêt des grandes landes.
Lendroit est agréable, isolé, tranquille mais à des kilomètres de ce quavait prévu Eric.
Quà cela ne tienne ! Au diable le géocaching. Son trésor est déjà là !
Descendus des voitures les deux amants senlacent fiévreusement.
- Jai une couverture dans le coffre chérie.
- Oui
Cinq minutes plus tard, ils sont au cur de la forêt, bien à labris des regards, la couverture étalée sur le sol.
Nerveusement, Eric déboutonne la chemise de Sylvie sans cesser de lembrasser sur la bouche tandis que sa maîtresse lui a descendu le short et le boxer pour lui branler la queue déjà dressée.
La chemise descend sur les épaules de Sylvie découvrant ses seins libres de tout soutien.
Elle sagenouille devant Eric et lui administre une fellation royale. Sa menotte lui caresse doucement les couilles alors quelle aspire la hampe avec gourmandise.
Elle sait y faire et sarrête à temps pour éviter léjaculation.
Eric la saisit par les épaules, la redresse, lembrasse et lui déboutonne le pantalon.
À son tour, tout en lui léchant les seins, le ventre, le nombril, il sagenouille et lui baisse sa petite culotte.
Le visage à hauteur du pubis de Sylvie, Eric lui empaume les fesses et lattire contre son visage.
Il se frotte avec délice contre les poils soyeux de sa jolie motte odorante. Il hume avec délectation ce parfum de femme si enivrant.
Il lui soulève une cuisses et lui aspire la vulve avec gourmandise, se délectant du nectar suintant du vagin étroit de sa maîtresse.
Ny tenant plus il la renverse sur la couverture et sous les encouragements et les invites de Sylvie il la pilonne sauvagement jusquà ce quelle hurle son orgasme.
Il la regarde pantelante, la chatte maculée de sperme, le visage illuminé de plaisir.
- Mon amour, viens contre moi
ouiii
. Comme ça
Je taime
Savourant la douceur du corps de sa maîtresse, Eric se love contre elle et se laisse béatement caresser.
Sylvie le cajole, lembrasse, lui dit des mots damour, les mots dune femme trop longtemps délaissée et ignorée par son mari.
Ils nont même plus envie de baiser
ils ont dépassé ce stade et ils sendorment dans les bras lun de lautre.
Presque une heure sest écoulé quand Eric est réveillé par la douce fellation de Sylvie.
- Allez ! il est bientôt lheure mon amour
jai envie que tu me fasses lamour une dernière fois
Eric ne se fait pas prier et renverse Sylvie pour laimer fougueusement.
- Tu vas me chérie !
Sylvie sourit.
- Oui mais ce serait une belle mort, non ?
- La plus belle ma chérie.
Il est temps de rentrer. Les deux amants se rhabillent à regret et rejoignent leurs voitures.
- À demain mon amour.
- A demain ma chérie.
Et Eric regarde séloigner Sylvie. Demain
hummm oui, demain
.
Mardi 8h. Eric par précaution prend un « Cialis » pour ne pas risquer la panne.
Une heure plus tard il est devant le portail de Sylvie.
Quand elle lui ouvre le portail, il a le souffle coupé. Vêtue dune robe rouge à pois blancs et fines bretelles, moulant délicieusement son corps, Sylvie semble navoir rien mis dessous. Toujours pas de soutien-gorge
et apparemment pas de marque délastique au niveau de la culotte.
Sylvie le fait rentrer rapidement pour, lui dit-elle, éviter le regard des voisins et ce nest que dans le couloir quil peut réellement lui dire bonjour comme elle le mérite.
Après sêtre embrassés et caressés, Sylvie lentraîne au salon où Eric la prend en photo assise sur le canapé.
Cela semble lennuyer et elle lui demande darrêter.
Tant pis
Eric abandonne à regret son appareil et rejoint Sylvie sur le canapé.
Un sourire enjôleur illuminant ses lèvres, elle lui ouvre les bras et Eric sy abandonne avec délice.
Totalement offerte, Sylvie embrasse goulument son amant sans repousser la main indiscrète qui remonte sous la robe le long de sa cuisse pour confirmer la première impression : Sylvie est nue sous sa robe.
- Tu na pas de culotte coquine !
- ça tennuie chéri ? tu aurais préféré me retirer ma petite culotte ?
- non
cest très bien comme ça.
Sylvie écarte les cuisses pour faciliter lexploration de son intimité.
- Tu es trempée !
- Tais-toi !... plus loin
oui
plus profond chéri... branle-moi
doucement
ouiiii, comme ça
.
Les doigts englués de sa liqueur damour, Eric fouille avec douceur le chaud fourreau de sa maîtresse lui arrachant des gémissements étouffés puis des cris plus aigus.
- quand je pense que je te croyais sage !...
- je suis sage
baise-moi ! maintenant !
Eric se redresse et baisse son short et son slip dans un même mouvement tandis que Sylvie sallonge sur le canapé, retrousse sa robe et écarte les cuisses.
- Viens chéri !
Il sagenouille devant le canapé, saisit les genoux de Sylvie et lui relève les cuisses afin denfuir son visage contre la chatte trempée de sa maîtresse.
Hummm, un régal
sa langue furette sur les lèvres intimes, force le passage, sinsinue dans létroit fourreau avant de venir titiller le clitoris de Sylvie.
Elle gémit, se tord, se cambre
- Arrête !!!... viens, je nen peux plus
baise-moi !!!
Le « Cialis » et lattitude provocante de Sylvie ont donné une érection quil croyait perdu et oubliant toute retenue, il sempale sur sa jolie maîtresse dun coup, la faisant crier de douleur, détonnement, de plaisir.
- Tu voulais ma queue ? la voilà salope !
- Oui, jaime que tu me parles comme ça
- Je comprends que ton mari naime pas te savoir habillée sexy !
- Laisse-le où il est !... Fais-le cocu
Baise-moi salop
Dun geste brusque, sans cesser de limer en elle, Eric lui baisse les bretelles de sa robe pour découvrir ses seins malmenés pas les secousses quil lui imprime.
Sans ménagement il les pétrit, tire les tétons, les lèche, les tète
Sylvie gémit, râle et crie tour à tour.
- Salop bourre-moi !... Plus fort !!! Ouiiiii
Excité par son langage ordurier, si loin de son physique de ménagère BCBG, Eric se déchaine sur elle et sécroule après avoir déchargé tout le jus de ses couilles en elle.
Couvert de sueur, il se dégage, écarte la robe et se délecte du spectacle de la chatte se vidant doucement sur la raie des fesses maculant bientôt la robe.
Cest Sylvie qui la première refait surface.
Elle se lève, tend la main à son amant et lentraîne dans la chambre, sur le lit conjugal.
Eric se défait de son teeshirt et contemple Sylvie qui ayant dégrafé sa robe, la laisse glisser langoureusement le long de son corps, dévoilant ses seins quelle caresse, provocante puis son ventre, son pubis sexhibent avant que la robe ne chu sur le sol.
Il admire son corps. Certes elle nest pas un mannequin mais pour lui, toutes ses rondeurs sont idéalement proportionnées.
Comme une chatte, Sylvie avance à quatre pattes sur le lit en ronronnant sans le quitter des yeux.
Elle lui lèche les cuisses, le mordille divinement, le caresse
colle son visage sur les couilles vidées, saisit la hampe de son sexe, la lèche par-dessous, sur toute la longueur, avant de gober avec gourmandise le gland encore parfumé par sa propre intimité.
Longuement elle lui fait subir une fellation digne des plus expérimentées courtisanes et redonne vie à cette queue tant convoitée.
- Prends-moi Eric
- Sur votre lit ?
- Oui cest encore meilleur !... Faits-le cocu
Quand je serai avec lui je mimaginerai dans tes bras, dans le lit
Entrecoupant la baise, les caresses, les baisers, les confidences, le temps file et 17h sonnent à la comtoise du salon.
- Reste encore chéri.
- Je ne peux pas
Ma femme
- Je veux que tu passes la nuit avec moi !
- Cest impossible
À regret Eric se lève.
- Tu ne vas pas rentrer chez ta femme comme ça !
- Que
- Avec mon odeur
Je sais que ta femme ne fait plus attention à toi mais tout de même
Sylvie lentraîne dans la salle de bain et lattire dans la cabine de douche.
Avec une douceur extrême, elle se love contre lui, senduit de savon neutre avant de se frotter contre son corps. Ses mains douces courent sur son torse, caressent ses bras, lui saisissent les fesses.
Elle se colle contre lui, lembrasse amoureusement glissant mutine un doigt savonneux dans lanus de son amant.
- Hummm que cest bon !... Encore
- Hummm, mais tu aimes ça chéri
. Il faudra que jy pense pour demain
- Ouiii
- Embrasse-moi mon amour.
Leurs lèvres se collent, leurs langues vibrent lune contre lautre tandis que leurs salives se mêlent.
Après 30 minutes dune tendre toilette, Eric parvient tout de même à séchapper de cette prison dorée pour rejoindre le domicile conjugal.
À 20h, ny tenant plus il prétexte un programme télé inintéressant pour sortir et sempresse de rejoindre Sylvie.
Agréablement surprise et déjà en déshabillé, elle lentraîne aussitôt dans la chambre où ils font lamour encore jusquà 23h.
Elle est vraiment en manque
Comme lui.
Le lendemain Eric se présente de nouveau à 9 heures chez Sylvie et la journée ressemble fort à la veille.
À plusieurs reprises, Eric propose, supplie Sylvie de poser pour quelques photos mais elle reste inflexible : pas de photos !
- Surtout pas chez moi!!! Tu imagines si ta femme les découvre ?
- Cest pour te regarder même quand nous sommes séparés
- Ne tinquiète pas mon chéri, nous ne serons pas séparés suffisamment longtemps pour que tu moublies. Réplique-t-elle avec son sourire fripon.
Après une matinée de jeux sexuels, Sylvie et Eric savourent un moment de répit bien mérité, enlacés amoureusement quand le téléphone posé sur la table de chevet retentit.
Sylvie se penche et se retourne lair inquiet vers son amant.
- Cest mon mari
- Répond, sinon il va se poser des questions.
Sylvie décroche et répond de sa voix la plus naturelle.
- Oui mon chéri ?
-
- Pas grand-chose.
-
- Je navais pas très faim
je me suis contentée de sucer un « esquimau ». dit-elle en me regardant avec son air coquin.
Laissant Sylvie à son entretien avec son mari, Eric la couvre de baisers des seins au pubis avant de lui écarter les cuisses et lui manger la chatte.
Sylvie poursuit la conversation banale avec son mari, sefforçant de conserver une voix neutre malgré la langue qui lui fouille son vagin et lui agace le clito.
Il la vois se mordre les lèvres entre deux répliques.
Elle tente de le repousser pour reprendre un peu le contrôle de son élocution quand soudain elle sursaute.
- Tu es où actuellement ?...
-
- Limoges ?...
-
- Deux heures ?...
-
- Oui, à peu près
-
- Bien. Alors à tout de suite mon chéri.
-
- Oui, tu me raconteras tout ça
bisous.
Sylvie regarde Eric affolée.
- Mon mari revient plus tôt que prévu. Il est à limoges, sur la route
il sera là dans deux heures maximum.
- Merde ! Heureusement quil a eu la bonne idée de te prévenir !!!
- Tu as juste le temps de me faire lamour Eric. Il faut que je remette la chambre en ordre et que je me fasse une toilette.
- Une toilette ?... Tu crois quil va te regarder là où je pense ?
- Idiot ! Non mais je dois sentir le sperme avec tout ce que tu mas mis ce matin.
Trêve de bavardages
Eric se glisse entre les cuisses de sa maitresse et lhonore une dernière fois.
Un peu frustré, il laccompagne sous la douche pour une toilette érotique puis labandonne à regret.
Depuis, son mari est revenu
ça va être compliqué de se voir régulièrement
Heureusement il y a les petites séances dans le parc après les randonnées du jeudi et le « géocaching » du lundi.
Mais deux fois par semaine cest si peu !...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!