La Rupture : 2Éme Partie
La rupture : 2éme partie
Sur le seuil, la blonde me sourit. Jai un vertige. Il a osé linviter ; quel salaud !
Je vacille. Je tombe en arrière. Un bras musclé me ratt par derrière, alors quune main fine saisit la mienne.
Je vais tomber dans les pommes. Dans le brouillard du début de lévanouissement, jentends la voix de mon sultan.
- Hélène, je te présente Claire, ma fille.
Sa fille, sa fille, bien sûr, mais quest-ce que jai été conne.
- Hélène, ça va ? Minterroge une voix féminine.
- Oui, oui, fais-je en reprenant pied, et tout de suite, je mens pour sauver la face
- Je nai presque rien mangé à midi pour me réserver pour ce soir, jai dû faire une hypoglycémie
Je me recule et le la contemple. Quelle belle fille élancée, et le même regard doux que son père.
- Je peux vous embrasser. Me propose t-elle.
- Oui, Oui bien sûr, et je tends ma joue.
Elle se penche et pose ses lèvres dessus.
Sa fragrance atteint mes narines. Ce nest pas lodeur de Pierre, mais plutôt sa version féminine, jinspire ce parfum délicieux. Mais elle se recule.
- Vous sentez très bon.
- Oui, comme mon père.
- Et ce beau garçon derrière vous, cest votre fiancé.
- Non, cest Antoine, mon frère.
- Suis-je bête, Antoine, vous ressemblez bien à votre père. Et prise dune idée subite.
- Vous membrassez,
Il sincline, il frôle mes lèvres et sarrête sur ma joue. Cest bien le fils de Pierre. Lui aussi porte une odeur naturelle délicieuse. Cest celle de mon amour, en plus juvénile.
Je les prends chacun par un bras et nous rejoignons le salon où nos invités font un sort aux zakouskis.
Le réveillon est fini, nos amis sont repartis. Les s dorment dans leurs chambres.
Pierre fait glisser la fermeture de ma robe.
- Je suis crevée mon amour, je ne suis plus bonne à rien ce soir.
- Moi aussi mon amour.
- Mais, on récupère et demain, on fête la nouvelle année dans la débauche.
Nous nous allongeons en petite cuillère lun contre lautre. Je trousse ma lingerie pour sentir son ventre contre mes fesses. Puis je lui confesse.
- Pierre, je suis contente de connaître tes s. Je marrête, puis je reprends.
- Javais déjà vu ta fille, un soir, quand elle sortait de chez toi.
- Je sais, je tai vue cette nuit-là. Me répond-il, je suis venu vers toi, mais tu as démarré trop vite.
- Heureusement que tu mas trouvée au marché.
- Ce nétait pas un hasard, je traversais le parking parce que jallais à ta boutique,
- Mais je tavais dit de ne pas me téléphoner
- Oui, mais tu ne mavais pas interdit daller te chercher. Tu me manquais trop.
Je me retourne, je le regarde dans les yeux et dun coup le bonheur me submerge, les larmes débordent. Je me colle à sa poitrine et je me laisse glisser dans le sommeil.
Et voilà, je vais commencer la nouvelle année dans les bras de mon amant retrouvé. Tout est rentré dans l'ordre.
Ou presque
- Mon chat, tu peux ranger les couverts et les assiettes du repas, et lancer le lave-vaisselle, Je redescends dans cinq minutes.
Je me suis apprêtée, et je viens de descendre lescalier, sans mes chaussures pour que le claquement de mes talons nalerte pas Pierre. Je me rechausse et je prends le plateau.
Depuis nos retrouvailles, nous avons fait et refait lamour de toutes les façons, mais je ne me suis pas encore donné totalement à mon seigneur. Cela fait maintenant plus de trois mois que je suis sevrée de ses attentions les plus poussées. Ce soir, je serai toute à lui. Je suis prête, je suis impatiente.
Jentre. Le clic-clac de mes talons lui fait lever les yeux. Je mavance un peu et je me mets à ge-noux devant lui.
Récit de Pierre
Elle pose un plateau sur la table du salon.
Ma douce sest apprêtée.
Un petit corset en cuir orné danneaux serre sa taille, les jarretelles qui en partent soutiennent des bas noirs. Pas de culotte évidement. Les anneaux de ses lèvres portent deux petits pendentifs dhabitude destinés aux oreilles. Conformément à mes désirs, elle nest pas complétement épilée, elle garde un ticket de métro, châtain, qui ne dissimule rien de son Néfertiti.
Rien ne cache, ni ne soutient sa poitrine. Par coquetterie, elle a passé un rouge léger sur ses aréoles pour mieux les mettre en valeur.
Elle a ceint son cou dune minerve de cuir. Sa belle chevelure est coiffée en queue de cheval.
Et sa bouche
Récit dHélène.
Mes chevilles et mes poignets portent des bracelets de cuir, munis de mousquetons.
Je me suis moi-même bâillonnée avec un mors circulaire qui bloque mes mâchoires.
Je peux plus parler, ni mopposer à la pénétration de ma bouche. Ma nuque est bloquée par mon collier, je ne peux plus tourner la tête
Je suis intégralement disponible,
Depuis lépisode du meuble anglais, jadore cette sensation dêtre à lentière disposition de mon sultan. Mon visage, et ma bouche ne sont plus quun accessoire de plaisir
Je mouille à lidée que mon seigneur puisse introduire sa verge divine et m de son membre.
Dans mon fantasme, il menvahit, puis bouge ma tête davant en arrière, en poussant son vit jusquà ma glotte. Jattends avec impatience de sentir sur ma langue la palpitation de sa tige qui précède lexpulsion de son sirop.
Parfois, dans mon délire, jespère quil me fera don de son champagne doré.
Jai posé devant lui un plateau, avec les instruments que je désire subir : pinces, chaines, cravache, martinet, fouet.
Je baisse la tête en signe de soumission.
- Tu es folle. Fait Pierre en soulevant mon menton.
Puis il glisse sa langue à travers le mors.
Récit de Pierre.
La cérémonie commence, je pose un petit coussin devant moi.
- Agenouille-toi ma beauté
Elle sexécute,
- Tends tes mains.
Je saisis ses poignets, et je clique les bracelets qui les parent sur les anneaux du corset.
Je mempare de ses deux tétons et doucement, je les masse, et je les pinçote.
Jatt une petite pince circulaire, munie de petits picots à lintérieur. Je la pose autour de sa framboise gauche. Elle respire de plus en plus vite. Ses paupières se baissent.
Récit d'Hélène
Mes bouts ont doublé de volume. Pierre prend les pinces. Je sens les picots s'incruster dans ma chair. Mon bourreau serre doucement.
J'apprécie de plus en plus que ma poitrine soit travaillée. Jaime ce plaisir qui se mue doucement en supplice. Bouche ouverte, jhalète sous la souffrance qui croit.
Récit de Pierre
Je tourne la vis, scrutant la douleur sur le visage de ma belle. Elle rouvre ses yeux, elle aspire lair à grandes goulée.
Un battement de cils, jy vois un signe dapprobation. Je continue de la supplicier. Elle hoquète, un clignement de paupières, elle souffre, Encore un tour et je marrête.
Récit dHélène
Mon tortionnaire adoré vient de stopper lécrasement de mes tétines. Il a suspendu ma juste au bon moment : au-delà de ce que je peux supporter, mais en deçà de lévanouissement.
Ce salaud chéri me connait par cur.
Il me laisse me reposer. Je souffle.
Il att une courte chaine quil passe à travers la boucle de ma minerve. Il en crochète une extrémité sur une des pinces. Il tire légèrement sur mon sein droit et verrouille lautre bout sur mon autre mamelle.
Non seulement mes deux bouts sont pincés, mais ils sont aussi étirés.
Pierre maide à me relever, et glissant un doigt dans cet anneau dont il est le seigneur , il me guide derrière le grand fauteuil en cuir , face à la télévision.
Récit de Pierre.
Mon amoureuse est magnifique.
Elle a des jambes splendides affinées par la couture du nylon noir.
Aux chevilles, ses bas sont ornés de deux petits nuds. Le trait sombre remonte sur ses mollets bien tendus par les talons. Ses cuisses charnues tendent la lisière de ses cervinho.
Penchée en avant, elle déploie son cul superbe dans toute sa plénitude. Elle a dû se laisser aller un peu pendant notre séparation : ses fesses me semblent plus opulentes. Quimporte, ce fessier semble encore plus quavant, appeler le fouet et le martinet.
Je pose ma main sur la chair, au-dessus de la lisière sombre, je linsinue entre ses cuisses quelle écarte complaisamment. Je remonte doucement vers la fourche entrouverte. Un petit soupir me répond
Jai limpression de caresser de la soie. Puis je glisse mes doigts sur ses fesses, sa peau de pêche est dune douceur incroyable. Je continuerai bien, mais je dois lui donner ce quelle me demande.
Récit dHélène,
Jaime sentir les doigts de mon seigneur effleurer mon corps et surtout cette partie si tentante.
Mais je veux autre chose et je sais que mon amant va me la donner. Je me suis moi-même rendue muette. Pas de safe word, je suis à sa merci. Jespère quil sera sans pitié, je veux quil dépasse mes limites.
Doucement, il caresse mon glorieux popotin avec les lanières de mon instrument de préféré.
Je mouille dattente, je désire impatiemment cette fouettée.
Sa main se pose sur ma fesse, et la caresse. Jai la chair de poule. Jattends la fessée.
Rien
Jondule du croupion., comme si je le suppliais de commencer
Une première cinglée sabat. Enfin !
Pierre ne me ménage pas ; il me fait subir un panaché de cravache, de martinet, de tawse.
Mon cul me brule. Mes seins, étirés par les lests et ballotant sous mes ruades me lancent.
Je subis mon amour.
Jai mal, je geins en bloquant ma mâchoire. Les larmes coulent
Puis soudain, sous une fouettée plus appuyée, jai un flash, le safeword naurait servi à rien, mon amant saura sarrêter à mes limites. Je nai quà lui faire confiance.
Une cinglée gicle entre mes cuisses, Je me cabre, foudroyée par la brulure de mon clitoris.
Une pause, Pierre me relève doucement puis magenouille devant lui.
Il est nu, superbe, en pleine forme. Il sempare de ma queue de cheval et pousse mon visage vers son membre. Un instant, jai peur davoir choisi un anneau trop petit, et quil ne puisse pas passer à travers.
Il membouche, son gland sarrête un instant pour se faire caresser par ma langue. Puis il pousse sur ma nuque pour atteindre ma glotte. Jétouffe, il se retire.
Son membre me semble énorme. Il se recule.
Mon tortionnaire adoré me relève et me courbe à nouveau sur le fauteuil. Du coin de lil, je le vois semparer de la cravache.
La fin de mon supplice nest pas loin, mais jai une dernière épreuve. Je la désire depuis si longtemps. Demain en masseyant, je sentirai à nouveau la marque de ma possession.
Une caresse fugitive sur mon postérieur, puis une plus appuyée, je suis impatiente, je frémis
La tige flexible court sur toute la surface de mes rondeurs. Puis il ajuste sa visée en appuyant un peu au-dessus de la zone où les fesses et les cuisses se rejoignent, juste à lendroit où mon séant se pose sur mon siège. Lundi lassise sera douloureuse, je grimacerai en mappuyant dessus, puis au cours de la semaine, la sensation glissera de pénible à agréable, comme une sensation de chatouille. Et puis quand la marque sera résorbée, il me restera lattente et le phantasme dun nouveau marquage.
Dans ma tête, tout se passe au ralenti, dabord un sifflement puis la tige de la cravache sincruste dans ma chair avec une sensation de coupure. Puis la douleur si intense que jen ai le souffle coupé
Sans le bâillon, jaurais hurlé, puis comme un écho, le sang afflue vers la zone endolorie, je ressens une pulsation douloureuse à chaque battement de mon cur.
Je sens ma liqueur couler le long de mes cuisses, je mouille sous la souffrance. Ou est-ce le bonheur dêtre enfin totalement à mon amant adoré.
Je souffle, jessaye de maitriser lemballement de mon pouls.
Je nai pas le temps de récupérer, mon bourreau écarte mon cul, et pousse son gland sur mon illet.
Je me laisse envahir.
Voilà, jai les seins torturés, je suis liée, bâillonnée, fouettée, marquée, et enculée.
Quest-ce quune honnête femme peut rêver de mieux ? Je me donne totalement à mon homme, je suis heureuse
Sous ses coups de butoirs, qui me ramonent lanus et la douleur irradiant de ma poitrine, dans ma tête, jannone des mots sans suite.
- Baise ta salope de bourgeoise.
- Encule ta grosse pute.
- Envoie ta purée
La souffrance de mes seins, la douleur cuisante de mes fesses et le plaisir de mon enculage se té-lescopent, et un orgasme phénoménal explose dans ma tête.
Je mabats et je prends inerte de chaque côté du dossier.
Je sens sa main fraiche qui caresse mon fessier en ébullition. Puis elle se glisse vers ma poitrine et commence à libérer mes seins.
- Non, arrête, laisse-les-moi.
Pendant quelques instants, je reprends mon souffle, profitant de cette pause. Puis
- Emmène-moi au lit.
Il me guide et mallonge sur le dos, avec une délicatesse infinie, il desserre doucement les pinces, pour éviter lafflux brutal dans mes bouts. Puis il les masse avec un onguent adoucissant.
Puis il me roule sur le côté et me place sur le ventre
Cest mon moment préféré, après la fessée, quand il pétrit mes fesses et quil en profite pour ca-resser mes chairs intimes .
Ça ne loupe pas, ces attouchements réveillent un besoin damour. Il écarte mon posterieur et embrasse mon il de bronze , sa main se glisse dans ma fente.
Sa langue me pénetre, je me cambre, les yeux fermés jimagine le visage de mon homme senfoncant dans mon cul.
Je roucoule sous cette pénétration anale si douce. Un pouce décalotte mon clitoris et mon bourgeon dénudé. Je lache pied , je perds prise, un orgasme tout en douceur me balaie.
Il mabandonne, pantelante, je me mets en chien de fusil, il lance la couette sur moi et se glisse contre moi.
Je glisse dans le sommeil, demain ce sera dimanche cocooning, et sexe câlin.
Quel bon week-end !!!
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!