Le Bon Jouet
Ça fait un moment que lon ne sest pas vu. Les images de nos derniers ébats hantent mes pensées et provoquent à chaque fois des réactions dans mon corps et ma queue. Ce soir-là nous étions libres, en mode vanille. Nous avions fait lamour dans un rythme commun, tour à tour maître et soumis. Maître de nous-même, soumis à nos envies et nos pulsions. Mes mains glissant sur tes courbes délicieuses, ta langue goûtant la mienne au cur de nos ébats explosifs
je pourrais décrire mille et unes images comme celles-ci. Mais ce nest pas le sujet de cette histoire.
Depuis le début de nos relations épisodiques, nous avons gardé contact par messagerie. Un petit jeu sest même installé et la frustration créée par les mots ne rendent nos retrouvailles que plus intenses. Ce matin-là, un mercredi, au réveil dune nuit habitée par les fantasmes dont nous avions discuté la veille par messages, je reçois le symbole tant attendu. La chaîne, un petit emoji si lourd de sens. Celui que nous avions choisi pour symboliser le début de la mise au service, le début du jeu de domination. Et cette fois cest à mon tour. À mon tour de me plier à tes désirs. À mon tour dobéir à tes ordres et daccepter ma condition de soumis. À mon tour de tappeler maîtresse et de soumettre mon corps et mon esprit à ta volonté. La simple vision de ce symbole tant attendu me fait frissonner et cette sensation saccentue avec les mots que tu y fais suivre. Immédiatement tu marque le coup, tu timpose en position dominante. Tu me préviens que mon corps, ma queue et mon cul sont désormais tout à toi et que la jouissance mest interdite. Que tout plaisir même infime que je déciderais de me donner sans ton accord mest interdit. Si tu savais comme jattendais ça. Comme jattendais de ressentir cette frustration. De me mettre dans ce rôle que japprends de plus en plus à apprécier.
Bien évidemment je réponds que je suis à tes ordres et je ponctue toutes mes réponses par un « maîtresse ».
Le rendez-vous est fixé au vendredi soir. Trois journées à attendre. Trois journées de supplice mental, mais également trois journées pour me préparer à être un bon soumis. Pendant tout ce temps on joue. Tu mexcite volontairement, tu me demande de choisir et de tenvoyer des images, des photos. Lorsque mon esprit est accaparé par autre chose, mes révisions, la télé, tu te rappel à moi par une photo ou une image qui exprime ton envie de mavoir à tes pieds. Et comme je partage cette envie. Tu me donne également des exercices. Je dois me masturber pendant 20 min sans jouir. Je dois me pénétrer le cul avec le gode que tu as choisi pour moi. Parfois tu me laisse jouir, parfois pas
mais à chaque fois tu as le contrôle et à chaque fois jobéis. Cest un accord tacite, un investissement personnel qui ne requiert aucunement de se voir. Certes, cest moins intense que lorsque ta voix guide mes gestes et que tes mains et ta bouche effleurent mon corps, mais le jeu en vaut la chandelle et de me savoir à ta merci suffit à mexciter pendant cette trop longue mais délicieuse attente.
Le jour J arrivé je nen peux déjà plus. Toute la journée mon esprit est occupé par ma maîtresse.
Comment va-t-elle shabiller cette fois ? Qua-t-elle prévu pour soccuper de moi ? Est-ce que je vais être le bon soumis obéissant quelle désire ? En tout cas je ferais de mon mieux. Tu nas pas accès à mon corps, mais tu sais que mon esprit est déjà à toi. Que sans aucune lutte il sest plié à ta volonté. Quil est déjà à genoux devant toi, prêt à obéir.
La journée file. Et lheure arrive. Je reçois mes instructions et je les lis fébrilement. Mon corps tremble presque. Un mélange dappréhension et dexcitation. La peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas me contrôler.
Dhumer le parfum de ton plaisir et de voir ton regard habité par les pulsions sexuelles que tu veux me faire subir. Tes instructions sont simples : je dois être prêt à 22h. Tous les accessoires mattendent sur la chaise, prêt à lemploi. Je dois attendre ta venue à genoux, la tête sur ton lit et le cul bien exposé face à la porte de ta chambre.
Je prends le temps de bien me laver, de préparer mon corps pour cette soirée de supplices, de jeux et de plaisir. Puis je pars suffisamment tôt pour prendre un peu davance. Je préfère tattendre que de me stresser. Le trafic est fluide à cette heure et le rythme de lautoroute me permet de faire le point. Dimaginer la suite des événements. Enfin dessayer, car à chaque fois tu me surprends un peu plus.
Arrivé chez toi mon estomac se serre. Et si je la croise dans lentrée ? Si je suis hors du timing que tu avais prévu ? La réponse me parait évidente mais me laisse tout de même une petite sensation de stress très excitant. Je me jetterais à genoux à tes pieds et attendrais tes instructions. Mes joues rougissent à cette pensée et, ne réfléchissant pas plus, jentre sans sonner. Tu as laissé la porte ouverte pour moi. Jentends la douche couler, signe que je suis dans le timing. Je laisse mes chaussures et ma veste à lentrée et je me précipite dans ta chambre. Elle est prête pour la soirée. Les draps sont propres, la lumière est tamisée et tous tes accessoires sont sortis et ordonnés sur la commode, sauf ceux que je dois enfiler directement qui mattendent sur la chaise.
Je me déshabille prestement et tente de contenir une érection. Lodeur de la pièce, la vue de tous ces instruments de douce , savoir que tu es juste là prête à prendre possession de moi méchauffe lesprit. Je respire calmement et commence par enfiler ma cage de chasteté pour ne plus avoir à me préoccuper de ma queue.
La sensation est agréable, je fais quelques vas et viens comme ça, accroupis les fesses écartées.
Mon pénis cherche à se tendre mais la cage remplit bien son uvre et réprime mon envie presque douloureusement. Jenfile alors le plug, doucement, lentement. Je profite de chaque centimètre qui me pénètre. Je laisse mon anatomie shabi à lengin en faisant de long va et viens jusquà lenfoncer complètement. Un soupir de soulagement et de plaisir séchappe de mes lèvres en le sentant me remplir. Jattache alors les bracelets et le collier bien serré et me met en position dattente. Le temps passe lentement, mon esprit est rivé sur la sensation du plug, sur mon sexe comprimé et sur toi. Je ne résiste pas à lenvie et je joue avec le plug en tattendant. Je le retire et le renfile, je le fais tourner pour bien le sentir. À chaque fois ma queue cherche à se dresser et à chaque fois elle est retenue. La frustration commence à faire perler quelques gouttes de liquide séminal au bout de mon gland.
Puis tu arrives. Je tentends venir de loin. Jentends tes talons claqués sur le sol. Ce son suffit à me mettre en émoi. Ma tête chauffe, je suis même sûr que mes joues rougissent et mon corps tout entier se tend. Tes pas se rapprochent, je sens la porte souvrir derrière moi et ton regard me scruter. Tu vérifies dun coup dil que tout est en place.
Tu ballade alors tes mains gantées de cuir sur mon corps. Je sens ta poitrine frotter sur mon dos.
Tu portes semble-t-il un ensemble en latex. Cest froid et doux. Ta bouche et ta langue me provoquent encore plus de frissons en jouant dans mon cou. Tantôt doux, tantôt passionnés tes baisers me rendent fou. Tu me retourne alors face à toi, toujours à genoux. Tu me laisse profiter du spectacle. De ton visage légèrement maquillé arborant un sourire coquin et dominateur. De tes épaules nues et de tes seins bombés par lensemble en latex. Je ne peux évidemment pas manquer la clé que tu y laisse pendre au bout dune chaine. La clé de ma chasteté, de ma privation. Tu vois mon regard sy attarder et tu te penche un peu en avant pour men faire profiter un peu plus, pour me donner encore plus envie. Je voudrais me jeter entre tes seins, les lécher et les sucer toute la nuit
mais je reste en place et ton sourire sélargit à la vue de mon sexe qui sagite dans sa cage à ces pensées. Mon regard descend ensuite sur tes jambes guindées dun porte-jarretelle des plus sexy qui se terminent sur des talons rouges accordés à ton rouge à lèvre. Cet aperçu na duré que quelques secondes, mais a suffit à échauffer mon esprit encore plus. Tes mains reprennent leur balade sur mon corps et tu membrasse passionnément. Nos langues se mêlent, jouent et expriment à elles seules toute lenvie qui nous anime.
Sans prévenir tu mets fin à ce baiser et tu te redresse pour saisir une laisse sur la commode. Tu fixe la laisse à mon collier et tire dessus en mordonnant de me relever. Je mexécute et main dans le dos je subis lassaut de tes baisers qui, partant de mes lèvres, descendent très lentement vers mon entre-jambe. Tu laisse ta langue si habile se glisser entre mes lèvres et le long de mon cou, puis titiller mes tétons. Je laisse échapper des soupirs au rythme de mes frissons, pour te montrer comme tu mexcite. Te voilà maintenant accroupie devant moi. Les yeux rivés dans les miens tu lèches goulûment la cage qui retient mon sexe. Tu me dis à quel point tu voudrais lavoir en bouche, la goûter tout en caressant mes testicules, mes fesses et mon anus avec tes mains. Tu joues avec mon corps, tu me frustre avec tes mots et tes gestes
. Et jadore ça. Tu prends toute la cage dans la bouche. Je te vois me sucer mais je ne sens rien. Cest tellement frustrant. Jai envie de bander, de saisir ta tête et de sentir ta langue chaude et humide sur mon sexe. Je voudrais te baiser la bouche, te jouir sur le visage et les lèvres
. Mais je nen fais rien. Ce soir mon plaisir, mon corps, mon être tout entier est à toi et à toi seule. Je me contente de soupirer, de gémir ma frustration alors que tu continue de jouer de ta langue sur mes parties intimes.
Tu te redresse alors pour membrasser et mordonne de tenlever ton string. Je mexécute immédiatement, impatient de tobéir. Une fois ce bout de tissu tombé tu saisi une de mes mains et, tandis que lautre tient mon menton pour fixer mon regard au tien, tu la glisse entre tes jambes.
Ta chatte est trempée. Je joue avec deux doigts, les balade sur ton sexe, me glisse entre tes lèvres et sur ton clitoris. Ton regard vacille légèrement et tu mordonne de te pénétrer. Je glisse alors deux doigts en toi et commence des va et vient lent et profond. Après seulement quelques minutes de ce manège je sens un liquide chaud couler sur ma main, signe que tu prends ton pied. Excité par cette constatation jaccélère encore le mouvement pour te faire jouir vraiment.
Une fois rassasiée tu stop ma main et la porte à ta bouche. Ta langue lèche mes doigts, ton regard toujours rivé au mien, avant de venir membrasser encore pleine de ton goût délicieux.
Dun ordre sec tu me fais me remettre à genoux et tu tinstalle sur le lit. Assise au bord du lit tu mordonne de te lécher en commençant par tes pieds. Tu sais que cette pratique mexcite.
Sans être particulièrement fétichiste, cette position, ce rabaissement physique et mental me rendent fou. Je mexécute donc immédiatement et mes mains saisissent délicatement ces magnifiques talons rouges que je mefforce de lécher et de baiser avidement. Je sens ton regard braqué sur moi alors que je mapplique sans savoir le fond de tes pensées. Jaime espérer que ça texcite de voir ma soumission. De me voir agenouillé à tes pieds, les baisant avec application, et la queue dans une cage soumise et ridicule. Quand tu juge que cest assez tu me fais me redresser et, allongée sur le dos, tu écartes largement tes cuisses, moffrant ainsi la vue sur ta vulve trempée de plaisir et dexcitation. Tu saisis ma tête et mordonne de te lécher. Je mexécute comme le bon soumis que je suis avec envie et excitation. Tes soupirs et tes gémissements me motive comme jamais et je my jette à corps perdu. Ma langue goûte à ta vulve. Lodeur mélangée de ta douce excitation et de ton plaisir piquant provoqué par mes doigts envahit ma bouche. Je men délecte à mesure que ma langue explore ce sexe offert. Tes mains se plonge dans mes cheveux.
Tes pieds dardent mon dos avec leur talon pour que jappuie encore plus mes caresses ou que ma langue se glisse entre tes lèvres gonflées. Tes gémissements saccentuent au fil des minutes.
La pression de tes mains se fait plus forte. Tu mordonnes dutiliser mes doigts et jobéis. Deux doigts, puis trois se glissent en toi à la recherche de tes points sensibles. Jaligne la fréquence de cette pénétration avec celle de ma langue pour que ces plaisirs ne fassent plus quun. Je suis quasiment en apnée lorsque tu éjacule à nouveau. Ta cyprine dégouline de mon menton, alors que tu tout ton corps se relâche sous le plaisir. La main dans mes cheveux tire ma tête en arrière alors que tu te redresse pour membrasser, pour lécher mes lèvres et y goûter ton plaisir.
Tu me fais ensuite prendre ta place sur le lit. Tu me fais me mettre à quatre pattes et tu mattache les mains dans le dos, la tête collée au matelas. Tes mains caressent mon corps alors que tu embrasse mes fesses de ta délicieuse bouche. Délicatement tu retire le plug toujours enfoncé en moi. Tu joue avec, le retirant et le remettant par à-coups. Les sensations menvahissent et lidée de ce qui va suivre mexcite encore plus. Ta langue se glisse alors à la place du jouet. Elle est chaude, douce et humide. Je la sens joué autour de mon anus et sy glissé. Les sensations sont dabord étranges, entre retenue et gêne puis laissent la place à des sensations délicieuses. Je profite de ton appétit en accompagnant tes coups de langue de mes gémissements. Je suis véritablement soumis. Mon cul offert, les mains et les pieds liés. Les yeux fermés je me contente de mon rôle et de vivre linstant, de moffrir pleinement. Tes caresses sarrêtent et tu te relève pour aller chercher quelques choses. Lorsque tu reviens la sensation est cinglante. Une fessée sabat sur mon cul dressé. Avec un fouet tu me caresse et me frappe sans prévenir, doucement et durement à la fois toujours à la limite de la douleur, jamais dans linsupportable. Tu me traite de chien. Desclave soumis à sa maîtresse. Tu me rappel mon rôle ici à mesure que tes coups se font plus secs. Je te sens tinvestir dans ton rôle pleinement, tu profite de ton pouvoir.
Lorsque tu as fini de jouer tu laisse mon cul sensible un instant, le temps de téquiper. Jentends le harnais glisser sur tes jarretelles et les sangles se serrer autour de tes hanches. Je sais ce qui mattend et ma bite palpite dans sa cage à cette idée. Tu reviens vers moi doucement.
Ta langue se glisse de nouveau entre mes fesses que tu tiens écartées avec tes mains. Elle descend jusquà mes testicules et je relève mon cul au maximum pour que tu puisses accéder à mon sexe.
Tu saisis la cage dune main et la tire à ta langue que tu darde par louverture. Je la sens sur le bout de mon gland. Jen voudrais plus. Tu goûtes à mon excitation, à ma frustration qui y goûte abondamment.
Tu passes ensuite devant moi et maide à ma redresser sur mes genoux. Debout devant moi, tu me laisse profiter de la vue de ton sexe en plastique. Ce gode-ceinture violet que je commence à bien connaître est dressé devant mon visage. Tu le saisi dune main et de lautre viens chercher ma tête fermement pour le glisser entre mes lèvres. Je mapplique à le sucer comme une vraie queue.
Comme si tu pouvais ressentir ce que je lui faisais, comme si je voulais que ta queue jouisse dans ma bouche. Le rouge me monte aux joues à nouveau. Cette pensée me met mal à laise mais elle ne quitte pas mon esprit à mesure que je salive sur ce gode. Ma langue monte et descend le long de cette tige de plastique et ma bouche lavale goulument sous ton regard amusé. Lorsque tu en as assez, tu me replaque la tête sur le matelas après mavoir embrassé et vas te positionner derrière moi. Je sens le lubrifiant couler froidement entre mes fesses. Tu lapplique sur mon anus, puis tu en enduis ton sexe artificiel avant de le plaquer devant mon petit trou. Lentement tu lenfonce en moi. Tu reste attentive à mes réactions. Je sais que tu ne veux pas me faire mal, malgré ton envie de me défoncer comme la salope que je suis à cet instant. Je le sens glisser lentement, centimètre par centimètre et je soupir de plaisir. Mes sens sont altérés, mon corps ne mappartient plus et la sensation dabandon me bourdonne dans la tête. Mon cul reçoit facilement ton gode et tu tactive de plus belle. De longs et lents va et vient ponctués de courtes et intenses accélérations me font gémir. Tu pilonne mon cul dressé, le harnais frottant sur ton clito. Tes mains me tirent les cheveux en arrière, me tiennent les hanches pour mieux me baiser, me dominent complètement. Je sens ta respiration qui saccélère en même temps que tes coups de bassins. Je suis à toi, mon cul appartient à ma maîtresse.
Lorsque tu commence à fatiguer tu tarrête et te retire lentement. Mon cul en redemande, il voudrait qui tu ty amuse encore, que tu profites de lui à profusion. Mais tu en as décidé autrement et tu me délie les mains et me fait mallonger sur le dos. La bite en plastique toujours dressée, tu saisis la clé qui pendait entre tes seins et délivre ma queue de sa cage. Elle se gonfle alors sous ton regard coquin à mesure que le sang y afflue enfin. Pendant ce temps tu attaches mes mains au-dessus de ma tête et me glisse un bandeau sur les yeux. Totalement aveugle et privé de toute liberté de mouvement je me concentre sur les sens quil me reste. Je tentends ôter le harnais et ton ensemble. Jimagine tes magnifiques seins ainsi libérés pointer dexcitation.
Je goûte lodeur de ton plaisir dans ma barbe et sur mes lèvres. Je sens les liens qui me maintiennent les membres et mon sexe fraîchement libéré qui palpite. Tu reviens sur le lit et tu joue avec ma queue qui nattend que ça. Ta main viens la caresser doucement. Puis ta langue la parcours, glisse des mes testicules à mon gland. Elle joue avec le frein, goûte lexcitation qui perle de mon sexe. Enfin, ta bouche gourmande lavale en entier. Je frémis. Je perds pied totalement et je ne me rends même pas compte de mes gémissements. Tu accompagne chaque va et viens de ta main. Tantôt serrée, tantôt relâchée. Rapide puis lente. Douce ou passionnée.
Tu alterne, change de rythme selon ton envie. Tu joue avec mon plaisir le sens venir et le gère à la perfection, à me rendre fou. Moi, ton esclave, ton jouet.
Quand tu es finalement rassasiée, tu enjambe mon corps frémissant. Tes mains continuent à me branler. Tu viens membrasser et me souffler à loreille à quel point tu aime me savoir à ta merci.
Dun coup tu tempale sur ma queue dressée. La sensation est intense, délicieuse. Tu te laisse pénétrer jusquau bout, jusquau fond. Après seulement quelques va et viens je suis déjà en train de lutter pour retenir ma jouissance. Lexcitation, la frustration sont plus fortes. Tu le sens à mesure que mes gémissements saccentuent et que ma queue durcie en toi, mais tu nes pas décidée à me laisser jouir aussi facilement. Tu te retire donc et, enjambant mon visage, viens coller ton sexe sur ma bouche. Je ne fais pas prier pour le déguster. Ma langue sy glisse à nouveau. Mes lèvres aspirent ton clitoris tandis que ma langue joue avec. Je ne veux que ton plaisir. Je veux être un bon esclave et faire jouir ma maîtresse encore et encore. Tu te lâche sur mon visage.
Plusieurs jets accompagnent ta jouissance dans un râle de plaisir.
Évidemment, faire jouir ma maîtresse ne ma pas calmé. Loin de là. Après avoir retenté de me chevaucher tu décide de me punir pour ne pas réussir à gérer mon excitation. Tu me détache et mordonne de mexcuser. Je sais ce que tu attends et sans me faire prier je me jette à tes pieds.
Assise au bord du lit tu me regarde de nouveau te lécher les talons, les chevilles. Embrasser passionnément tes pieds. Une fois mes excuses acceptées, tu ménonce ma punition. Tu mordonne de me ruiner sur tes talons. Je saisis mon sexe et commence à me branler, toujours à genoux à tes pieds. Tu positionne ton pied gauche sous mon gland et le caresse même du bout de ta chaussure.
Il ne me faut que 2 min pour être au bord de la jouissance. Mon corps frémis. Je voudrais mabandonner à ce plaisir, me branler et jouir fort. Mais tes ordres étaient clairs et jarrête les stimulations avant de dépasser le seuil de la jouissance. La frustration est intense. Pendant quelques seconde je vacille sur le fil du plaisir. Ma queue, ne demandant quun contact pour jouir, tremble dans lair. Tu as reculé un peu ton pied pour ne pas me stimuler. Cette seconde parait une éternité, puis le plaisir retombe. Mon sexe ainsi frustré laisse échapper quelques jets de sperme qui viennent contraster avec le rouge de ta chaussure. Tu mordonne alors de nettoyer mes cochonneries et mobserve lécher mon sperme avec avidité. Ma frustration est telle que je ferais nimporte quoi pour te satisfaire. Je ne sens même pas le goût de mon sperme et je le lèche jusquà ce que ta chaussure brille de nouveau.
Satisfaite, tu me fais asseoir sur la chaise. Tu sors alors un rouleau de film plastique que tu entreprends denrouler autour de mon corps me privant totalement du moindre mouvement. Tu remets le bandeau que tu mavais enlevé pour ma punition me rendant aveugle à nouveau. Seule ma queue, plus dressée que jamais, vibre de plus belle au son de ta voix. Tu me dis que tu vas tempaler sur moi. Que tu vas me baiser jusquà jouir et que jai interdiction de me laisser aller.
Suivant le geste à la parole tu menjambe et présente mon sexe à lentrée du tien. Tu le branle doucement de ta main en le frottant entre tes lèvres et sur ton clito. Puis de plus en plus fort jusquà gicler, inonder mon sexe de ta cyprine. Puis pris dune envie soudaine tu te recule pour le prendre en bouche. Je sens ma queue senfoncer au fond de ta gorge. Ta langue jouer autour de mon gland. Le plaisir est intense mais je tiens bon. Je ne veux pas décevoir ma maîtresse. Une fois mon sexe nettoyé de ton plaisir tu reviens sur moi et tempale dun coup dessus. Tes mouvements sont passionnés, tes cris sont puissants. Tu lèche mon oreille en y glissant à quel point tu apprécie ton jouet. À quel point je suis un chien obéissant. Ta jouissance ne tarde pas. Je sens ton sexe se serrer. Je dois redoubler deffort pour ne pas y penser. Comment occuper mon esprit alors que ma maîtresse est prête à jouir de ma queue ?
Je suis à deux doigts de craquer quand enfin tu te retires. Mon sexe est dressé, dur et palpitant.
Il doit luire de ta mouille, je la sens couler le long de ma hampe. Tu tagenouille devant moi.
Tu me dis que tu es fier de moi, que jai mérité de jouir tout en commençant à caresser ma queue.
Tu me dis que lorsque tu me donneras lordre, seulement alors je pourrais me laisser aller à mon plaisir. Tu te mets à jouer avec mon sexe. Avec le sexe qui tappartiens. Tu le branle, le prend en bouche, le lèche
tu tamuse à voir mes expressions se crisper à mesure que le plaisir monte.
Après de longue minute tu décide de me laisser venir. Il ta suffi de quelques mots. Tout en me branlant de plus en plus vite tu me dis que je peux me laisser aller. Que je dois jouir maintenant. Ces mots sont si doux à mes oreilles, si libérateur. Ta bouche sempresse alors de sucer mon gland lorsque que ma queue se crispe prête à décharger toute cette frustration.
Tu continue jusquà prendre la première giclée dans la bouche, puis tu te redresse et continue à me branler sur tes seins en laissant mon sperme séchapper de tes lèvres. Mon corps tout entier se tend, parcouru de picotement des pieds à la tête. Le cerveau encore engourdi tu me retire le bandeau des yeux pour me laisser admirer tes seins maculés de sperme et tes lèvres brillantes.
Tu arbore toujours ton regard coquin lorsque tu viens membrasser, la bouche encore pleine.
Nos langues se mélange. Je goûte à mon plaisir avec toi. Puis tu te redresse, et viens présenter tes seins à ma bouche. Je mapplique à les nettoyer. Les lécher, sucer ces magnifiques tétons comme pour les remercier du plaisir éprouvé. Une fois satisfaite tu me libère aussi bien physiquement que de mon rôle de soumis. Et nous nous écroulons sur le lit
éreintés, le temps dune pause avant la suite de la soirée.
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