Première Soirée Royale
A notre arrivée en son hôtel et le bel émoi que l'annonce de mon élévation au rang de baron avait provoqué, le duc de Joyeuse m'a prévenu que dorénavant, appartenant au roi , je devrais me méfier de tous les courtisans. L'honneur que je venait de recevoir allait faire des jaloux non par le titre mais parce qu'un manant à peine décrassé (je ne parle pas de nettoyage) Etait élevé ainsi et serait au plus prés du roi à son coucher. De purs mâles auraient pris ma place quite à perdre la virginité de leurs fesses.
Joyeuse (il m'avait dit de l'appeler ainsi étant de sa mesnie et proche au plus que je puisse l'être) m'a averti que le roi était assez mal allant , ne faisant que peu d'exercices, il prenait plaisir à écouter ceux des autres, n'allant jamais plus loin que la familiarité de parole. Je devrais l'amuser en rendant mes aventures moins sombres qu'elles avaient été.
Dans son hôtel il avait comme gardes de robustes suisses qui n'étaient pas abonnés à nos jeux , vivant entre eux et allant aux étuves quand le besoin de la chair se faisait senir. Ils trouvaient là d'acccortes ribaudes aux larges tétins qui leur rappelaient leur pays natal. Vivait aussi à l'hôtel mais dans une autre aile, son épouse Marguerite de Lorraine -Vaudémont parente lointaine du roi de Lorraine et demie soeur de la reine de France. Le duc ne faillait pas de la visiter régulièrement. Mariage sans doute heureux mais infructueux le duc préférant les fesses au con. Une quantité de petites gens s'occup aient de petites taches sans gages mais avec la certitude de dormir à l'abri et le ventre plein.
Nicolas le petit page faisait partie de ces petits personnages familiers, quasi inutiles sinon au déduit des gentilhommes de la mesnie (la maisonnée). Il se mit de lui même à mon service et le trouvant babillard , gai et propre, j'acceptais sa compagnie qui me permettait souvent de commettre des impairs. L'honneur du duc rejaillissant sur nous , nous nous devions d'être aussi chatouilleux que lui sur de petits propos sans conséquence mais qui pour lui équivalait à un chamaillis se terminant par un duel.
Nicolas avait aussi l'avantage de me chauffer le lit, et réchauffer mon vit de ces orifices toujours disponibles ainsi que mes fesses quand elles se trouvaient insatisfaites. Le drôle aimant le lit et tout ce qui va avec. Ma vie de courtisan a commencée au Louvre ou il fallait absolument se montrer et être vu. Sans être connu comme archi mignon tel le Duc , le fait d'être quasi le dernier à voir le roi le soir me faisait jalouser. J'entendais de fraîches caillettes et de solides matrones parler entre elles , pas fort mais j'avais une bonne ouie et de temps en temps je prenais un malin plaisir à leur demandait qui les foutaient, elles. Cela m'a valu des cris de poules effrayées et quelques duels mais étant le plus souvent l'offensé ,je pouvais choisir le fleuret avec lequel je piquais si souvent que j'ai été appelé la guèpe. Je ne tuais point mais mettait ainsi !es adversaires hors de combat. J'ai fini par être tranquille mais j'anticipe.Le premier soir après m'être fait reconnaître par le valet de lit.Celui ci,le plus intime, savait en principe tout du roi mais on ne lui posait jamais de question. Il était adamentimement (termme très ancien ayant rapport à la dureté du diamant) fidèle au roi et ne parlait jamais en mal de sa majesté.
Je suis au courant .Le roi va être là sous peu je l'ai dévétu il y a peu.
Coment cela? Le roi est nu dans les couloirs?
Il a eu un fin sourire sans me répondre.
En fait il est entrè sans bruit et ce valet d'or lui a bassiné (réchauffer un lit avec une bassinoire remplie de braise chaude) le lit en vitesse.Il s'y est glissé avec un soupir d'aise.
La grand merci à toi, tu peux nous laisser que j'entende le baron.
Une fois le valet sorti, j'ai vu qu'il n'avait pas encore la crème sur ses mains.Prends le coussin et mets toi tout près. (avoir l'honneur du coussin était un privilège rarement accordé. Il avait l'avantage de ne pas se douloir sur le frais du plancher et de sa dureté) Raconte moi un peu tout ce qui t'es arrivé.
Il m'interrompais de temps en temps comme lors du refus de notre curé de me baptiser ou lors du moment ou ma mère fut obligé de vendre son devant pour vivre. La suite après le décès de ma mère l'a plus intéressé. J'ai du m'interrompre souvent pour expliquer comment et pourquoi j'avais, moi, été choisi pour faire la soupe. Pour être franc comme il me l'avait demandé j'ai dis que j'étais un des rares galapians du port à me laver partout tous les jours et que mes vêtements déchirés laissaient plus voir ce que la pudeur réprouve mais je n'étais pas le seul. Un officier inconnu de moi ayant quéri si je savais faire la soupe j'ai dit oui et ai été aussitôt embauché. Autant sur ma tête, mes fesses et mon vit que pour la soupe que j'avais vu faire sans plus.
Tu montrais donc cela à tous
Par force majesté et je n'étais pas le seul.Toulon n'est pas une ville pour les s seuls comme je l'étais , seule ma grande taille me garantissais des malfaisants.
Tout est donc grand chez toi?
On le dit majesté.
Approche encore un peu. j'ai senti sa main se glisser dans mon haut de chausse, si douce, qu'elle a eu l'effet de toutes les mains, fussent elles royales. J'ai subi (quel vilain mot venant de mon souverain) une royale branlette que j'ai du au final.
Pardon majesté.
Alors Titou tu ne rends pas service à ton souverain?
il avait écarté les draps et le priape faisait une belle bosse à sa chemise de nuit.Sans plus attendre j'ai plongé bouche en avant sous la chemise découvrant un membre certes moins épais mais tout aussi raide que nombre de mes connaissances.Il caressait ma tête dans le moment.Soupirant d'aise. Ah si ma reine savait faire ça! J'avais ouï mais cela n'est plus jamais sorti de mes lèvres. Il a eu un soubresaut soudain en se répendant dans ma bouche. J'ai avalé la royale semence et l'ai vu tel qu'il était .Souffrant des reins, il ne pouvait que fort peu monter à cheval et s'adonner aux plaisirs royaux de la chasse.
Oui Titou, je vais bien dormir grâce à toi.Tends moi la main, il a retiré de l'auriculaire un rubis pour le passer au doigt qui a plu. Surtout pas de remerciements tu me fâcherais.Va et fait venir mon valet qui doit attendre pour les crèmes de nuit.
A part 4 gardes plus attentifs à qui entrait je n'ai rencontré personne et j'ai rejoins Nicolas à la porte piétonne du Louvre. Main sur votre épée monsieur j'ai entrevu des ombres des plus vaunéantes.Maugré que nous étions montés, deux ou trois plus téméraires ont tentés de nous barrer la route mais le premier ayant tâté de ma lame, le passage s'est ouvert et nous avons rallié l'hôtel de Joyeuse sans autres embûches.
Tout le monde dormait sauf nos suisses et nous sommes montés à ma chambre. Une fois assis une faim abominable m'a pris, à peu que je ne défaille. Nicolas a filé aux cuisines et comme une flèche est revenu avec quelques mises en gueule et un poulet roti froid.
Nous avaons fait un sort au total et Je le suis relevé pour que Nicolas remplisse son office de me dévêtir.
Qu'es ce là monsieur l'odeur de semence et l'humidité est elle due à une rencontre coquine?
Ne soit pas effronté et cesse ce babillage. Fais ton office rapidement veux tu! Il s'est tu et rapidement a bassiné le lit dans lequel je me suis étalé. Je me suis endormi si vite que je n'ai pas senti sa venue contre moi.
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