Manu S'Invite (3)
Aline, ma compagne, et sa fille Angèle ont programmé un week-end à Londres en vue de bien profiter des soldes. Le vendredi soir, de Nantes, cest une simple formalité de se poser en à peine deux heures à Coven Garden et Regent Street. A bas le Shuttle et vive Ryanair, quand ça marche ! A laube de mes soixante ans, jaime assez me retrouver seul et disposer de quelques jours et quelques nuits de pleine liberté. Un temps ouvert à toutes formes dimprovisation et à toutes possibilités détonnement.
Pendant le trajet, sachant que nous allions disposer denviron une heure pour dîner, Angèle a proposé à sa tendre amie Manu de nous rejoindre à laéroport Nantes-Atlantique, plus précisément au Grand Comptoir, un restaurant inspiré des grandes brasseries dans une atmosphère plus actuelle satisfaisant grandement sa clientèle de passage. Manu nest pas une étrangère avec nous, loin sen faut. Depuis plusieurs mois, elle sintègre sans minauderies inutiles à nos soirées libertines domestiques. Sans que ce soit systématique, elle se joint volontiers aux câlins coquins de notre couple en fin de soirée. (Voir parties 1 et 2). Manu est jeune, très ouverte sur le monde et elle trouve dans notre foyer une écoute et une ambiance de liberté (ou libertine
) quelle na jamais connu dans son cercle familial. Son physique mémoustille facilement.
Après lenregistrement des bagages, nous nous retrouvons tous les quatre autour dun plateau de fruits de mer dont loption a fait rapidement lunanimité. Aline me renouvelle les dernières consignes pour que la maison reste intacte tout le week-end et prodigue des conseils de prudence quant à la partie de chasse aux canards prévue dimanche matin autour dun étang privé, proche du parc régional de Brière. Attentif, mais pas trop, aux attentions de ma très chère, je laisse trainer une oreille du côté des filles qui échangent sur leurs désarrois réciproques. Le sujet récurrent du moment tourne autour de la faiblesse de loffre en matière de garçons un peu décoincés, capables de les faire grimper aux rideaux.
- Jen suis au stade où je ne demanderais même pas quil me respecte, exprime Manu, quil me prenne pour sa pute, mais quil me prenne, putain ! Quil me prenne !
- Je sens que tu es prête à mordre Manu, tu as vraiment faim, ma chérie, rétorque Angèle.
Je ne rebondis pas sur cette indiscrétion et me contente de rassurer Aline en reprenant sur un ton badin la conversation, plus précisément en évoquant les mystères des pavillons de chasse hantés par des elfes en fin daprès-midi. Assez rapidement, le repas tire à sa fin et je me retrouve déjà en train dembrasser mes voyageuses, aussitôt après avoir pris congés de Manu.
Sur le chemin du parking, je vois briller au loin dans la nuit dautomne lenseigne bleue de lOcéania, un hôtel relativement bien classé assurant un service de qualité. Une idée de vieux fou me passe par la tête : me taper Manu dans une vaste suite de lhôtel Océania. Sans réfléchir, je saute sur mon téléphone pour vérifier les disponibilités daccueil. A mon grand regret, de vastes suites, point du tout. Mais la formule « Chambre Confort Triple », avec un grand lit et un canapé convertible, semble modestement sen rapprocher. En à peine dix minutes je suis à laccueil et deviens lheureux locataire éphémère de la chambre 512, au cinquième étage. Ne disposant daucun bagage, je prends lascenseur les mains dans les poches, si on peut dire.
Spacieuse et éclairée dune douce lumière tamisée, je suis tout de suite convaincu que ces lieux feraient laffaire de mon projet coquin. Il ne me reste plus quà diriger la belle jusquà lantre du loup. Heureusement, depuis la dernière escapade des deux filles à Amsterdam, je dispose du numéro de Manu dans mon répertoire.
Je tente un SMS racoleur, mais bien à propos :
- Recherche petite pute, genre suggar-baby, dévouée et discrète. CH 512. Hôtel Océania. Aéroport.
Une poignée de secondes plus tard, le « cling » de ma messagerie minterpelle :
- Jean-Christophe, je te rappelle que nous avons « échangé » nos numéros.
Oh putain ! Là, je me sens con. Même très con. Tellement con que je nose pas donner suite. Je suis pris au dépourvu. Je navais pas du tout imaginé ce scénario. Je ne sais plus quoi faire, je décide donc de prendre mon temps et de réfléchir un peu avant de répondre.
Jen suis encore à mes déductions et mes calculs vaseux quand le téléphone de la chambre retentit. Cest laccueil :
- Monsieur Delmas, votre nièce vient darriver, souhaitez-vous que nous laccompagnions jusquà votre chambre ?
- Bien sûr, bafouille-je maladroitement.
Je ne sais plus où me mettre, Manu va entrer dans cette chambre où je fais figure de gros balourd et mon esprit est maintenant très éloigné de mes fantasmes de tout à lheure.
Deux coups à la porte. Jouvre et Manu sintroduit en mimposant un regard dominateur.
- Bonsoir tonton, lance-t-elle.
Le liftier séclipse avec un demi-sourire en disant long sur ce quil pense de la situation et nous voilà face à face dans cette immense chambre.
- Tu nétais pas encore partie ? Ou tu as fait demi-tour, lui demande-je
- Jétais en train de faire le plein à la station et il y avait une belle queue. Je dois tavouer que ton SMS ma pliée en deux. Franchement, ça fait un peu vieux schnock. Tu ne pouvais pas faire plus simple ?
- Je sais, cest un peu ridicule, mais javais une grosse envie et peu dinspiration
.
- Jai beaucoup ri, mais en même temps, ta proposition salace me permettrait de daborder un fantasme récurant pour moi, presque obsessionnel ces derniers jours, ou ces dernières nuits plutôt. Je me demande en effet ce que cest que se mettre dans la peau dune fille qui se vend à un gars qui ne lui plait pas et je minterroge sur mes capacités à tenir le cap dans ces circonstances particulières.
- Nous sommes donc faits pour nous entendre, dis-je en linterrompant, ravi de la tournure des événements.
- C est bien une petite pute que tu veux ce soir, rien à voir avec la douce amie de ta fille Angèle, eh bien, soit, je suis ta petite pute, dit-elle en se débarrassant de sa doudoune au col de fourrure. Tu me laisses la salle deau cinq minutes ?
- Bien sûr, je ten prie.
Sa désinvolture me fait déjà bander. Cette fille me surprend de plus en plus chaque jour. Elle na même pas vingt-cinq ans et elle a laplomb dune maitresse femme. Son talent, à entrer dans un rôle et une situation nouvelle, est sans pareil (voir les parties 1 et 2). Bien que nous ayons déjà fait intimement connaissance, cest une nouvelle Manu que je côtoie ce soir. Les bruits de la salle de bain me laissent imaginer le soin quelle est en train dapporter à ce corps qui me tourmente de plus en plus souvent, et de plus en plus intensément.
Elle sort, juste vêtue de son T-shirt lui descendant à peine au ras de la foufoune et laissant dépasser ses longues jambes fines. Ses longs cheveux roux sétalent sur ses épaules et tombes jusquà la naissance de ses seins.
- Alors, tu fais ton timide ? Tu nas même pas pris la peine denlever ta veste. Approche un peu mon grand garçon, lance-t-elle en effrontée. Tu as pensé à mon petit cadeau ?
Nez à nez, ou presque, je tente de lui rouler une pelle.
- Je nembrasse pas, tu as pensé à mon petit cadeau ?
- Ton cadeau ?
- Cest deux cents euros ce soir, Jean-Christophe.
- Mais je nai pas cette somme sur moi.
- Tu as combien ?
Je fouille dans la poche arrière de mon jean et fais linventaire de mon portefeuille.
- Cent vingt-cinq euros, Manu, ça peut aller ?
- Tu verras bien jusquoù ça peut aller, conclut-elle.
Je lui dépose les cent vingt-cinq euros sur le meuble de chevet, Manu les recompte et les glisse dans son sac à main.
Manu revient vers moi, comme à un chat arriverait sur une proie quil sait captive et avec laquelle il espère samuser un peu avant de mordre dedans.
- Je nembrasse pas, Jean-Christophe, une pute nembrasse pas, cest la règle. Dailleurs, tu le sais bien, ne fais pas linnocent. Ne me dis pas que tu nas jamais cédé à la tentation.
- Mais Manu, cest différent entre nous, je tai déjà embrassée et tu ne ten es jamais plainte que je sache.
- Cest toi, Jean-Christophe, qui a donné le ton en passant commande, je ne dérogerai pas à mon engagement, petite pute, tu voulais ; petite pute, tu auras.
Manu défait un à un les boutons de ma chemise en me collant à chaque fois un bisou dans léchancrure, elle sort du pantalon le pan de mon vêtement et semploie ensuite à libérer un à un mes poignets. Dans cette position, je ne vois plus son visage, enfoui sous ses cheveux ramenés sur le devant. La boucle de ma ceinture ne lui résiste pas longtemps et me poussant un peu, je massieds au bord du lit, elle tire sur les jambières du pantalon et me laisse en slip-chaussettes. En inclinant son buste jentrevois ses deux tétons par lencolure du t-shirt et malgré tout, à cet instant même, je dois reconnaitre que je ne bande plus beaucoup parce que je suis en train de mesurer le ridicule de la situation. Casanova devait sy prendre autrement. Pas bégueule, elle reste à genoux pour rouler méthodiquement une à une mes chaussettes.
Je suis là, tel un puceau dans le doute, à regarder cette nymphette méplucher. Satisfaite de cette première étape, en partant de mes genoux, elle remonte ses mains à lintérieur de mes cuisses avec une lenteur perverse. Elle sait que je sais où elle va. Je sais quelle sait que jen crève de désir. Dailleurs, mon boxer se dilate un peu sur le devant et, passant par une jambière, elle att le tube qui pointe maintenant son nez. Enfin, non, elle ne latt pas, cest juste ce que je croyais, ou ce que je voulais un peu trop fort. Elle lécarte de la main droite en passant dessous et se saisit de mes couilles en feu. Sa main est plutôt petite, mais elle a de la poigne, elle me les prend à la base et les tire vers le bas, vers elle donc. Elle simmisce entre mes genoux et se rapproche de mon centre de gravité du moment.
Elle sort mon zob de la main gauche, le relève et enfourne un testicule comme elle goberait un grain de Chasselas sur la grappe et elle le triture avec ses lèvres et sa langue, non pour en extraire immédiatement les saveurs, seulement pour accélérer la production du jus fécond. De lun, elle passe à lautre et ce, avec une aisance surprenante. Des bourses, elle remonte vers la base de la hampe en mordillant la peau par endroit et en mordant aussi à pleine gueule tel le chien qui veut rapporter son os. Elle bave abondamment et émet des bruits de succion intempestifs. Sa langue sattarde le long du frein et titille toutes ses terminaisons ultrasensibles et loge enfin mon gland dans sa bouche humide. Bizarrement, ayant remonté sa main, elle souffle projetant de faire gonfler le prépuce le recouvrant encore, et ça marche. Elle découvre ensuite la partie charnue afin de mieux la lécher et la téter.
Cest bon. Au-delà de toute espérance. Elle me pompe proprement, méthodiquement, avec douceur et fermeté. Quand elle fait une pause, elle crache sur lobjet et améliore encore mes sensations. Tant et si bien que je sens lorage gronder, des éclairs me traverser la tête. Manu sen rend compte immédiatement et me serre maintenant à deux mains la base de la verge et contient au mieux ma jouissance. Prudente, elle cesse de me pomper.
- Il faut en garder pour toute la soirée, nest-ce-pas, Papy ? Quand le chasseur ne dispose que dune cartouche, il faut la réserver pour le plus beau gibier, sexclame-t-elle en riant.
Tout en concluant cette phase préliminaire, Manu se relève et vient sallonger sur le lit. Elle est reposée et souriante, son t-shirt ne lui recouvre plus que sa frêle poitrine, ses genoux sont relevés, les cuisses à demi-fermées.
- Un père de famille, bourgeois qui plus est, ça doit baiser en missionnaire, me demande-t-elle
- Ça peut aussi se faire comme ça, réponds-je sans conviction en me glissant à quatre pattes pour la surplomber.
Je mattarde sur son pubis et tenter une léchouille maladroite :
- Je te remercie de lattention, mais réserve plutôt ça à ta femme, pour moi, ça ira comme ça.
- Jai tellement envie
.
- Eh bien, vas-y, donne le meilleur de ta personne et quon en finisse.
Cette dernière réflexion ma énervé, voire même dégoûté. Je passe mon genou droit, lui écarte les jambes et je suis prêt à lembrocher. Manu me stoppe en me montrant un préservatif à enfiler.
Jacquiesce, estimant en effet que ce serait plus logique et prudent ainsi. Jenfile donc le condom et reprend ma position antérieure. Manu écarte les cuisses en vraie professionnelle, sa tête est inclinée sur loreiller, à demi-cachée dans sa crinière, elle ferme les yeux. Jenfile son con avec violence et elle accuse le coup en couinant de douleur et en esquissant une grimace. Ses mains sont de part et dautre de son corps inerte. La parfaite étoile de mer. Si ce nétait la jeunesse de ses tissus et de ses chairs, ma bite serait carrément dans le mou. Baiser une vache endormie doit donner plus de sensations. Du coup, je me mets à la limer comme un forcené, sans penser à rien dautre quà la giclée quallaient produire mes couilles enflées. Je souffle tel un buffle escaladant une colline, je transpire, je pousse des reins et la petite prend cher. Jaccélère le rythme voulant en finir et ça marche plutôt bien, vu quà ce stade, je bloque tout et accélère les derniers va-et-vient. Je sais que dans deux, trois tours, maximum, les chiens seront lâchés.
Manu a suivi ma manuvre et profite dun petit moment dinattention de ma part, sesquive et me fait déjanter totalement. Je tape dans les draps et me rabote le gland, heureusement protégé par le latex, sur le coton bien sec du drap. Jen gueule de douleur, ou de frustration, je ne sais plus.
- Cent vingt-cinq euros. Je crois que le compte est bon, me lance Manu, se dérobant sur lautre moitié du lit avec un sourire carnassier.
- Tu déconnes, Manu, ou tu es une vraie salope ? Pas maintenant, cest dégueulasse de ta part. Même une vraie pute ne ferait pas ça à un client.
- Pour deux ou trois cents euros, bien sûr que non, mais pour cent vingt-cinq, je suis sûr que si !
- Je te paierai tout à lheure, promis, ce sera la même chose.
- Non, tout est payable davance. Va voir à laccueil, avec ta CB, je crois que tu peux retirer des espèces.
- Non Manu, je ten supplie, ne me fais pas cette vacherie.
- Jean-Christophe, tu voulais garder des souvenirs de cette soirée, quelle devienne inoubliable. Tu peux compter sur moi. Va chercher tous les euros qui correspondent à lidée que tu te fais dun moment exceptionnel, sinon, tintin
Ne voyant aucune négociation possible, je mapprête à renoncer et à renvoyer Manu dans ses appartements. Mais lenvie de cette pute improvisée est plus forte que toute pudeur. Je renfile un à un mes vêtements et mes chaussures, je prends ma CB et je me retrouve à laccueil devant un veilleur de nuit légèrement embrumé, sosie de Mister T. Jessaie de faire bonne figure et de ne pas montrer mon embarras en lui demandant de me dealer quelques billets. Il explose dun rire tonitruant et me montre du doigt le GAB installé juste derrière la porte de lascenseur, sous lescalier. Jaurais facilement pu éviter de me ridiculiser !
Pourvu des précieux sésames, je retourne au 512.
- Je nai que deux billets de cent euros, il ny avait pas mieux, mexcuse-je en entrant.
- Les gros billets ne membarrassent pas tant que ça et jai les moyens de toffrir la contrepartie, ne tinquiète pas mon gros lapin, me rassure Manu qui semble somnoler à plat ventre. Mets-les directement dans mon sac à main.
Je mexécute et me dessape sans attendre. Je suis consterné, ma bite est chamallow, petite et bleu pâle. Va-t-elle se remettre de toutes ces émotions ?
Constatant après moi le désastre, Manu, certainement apitoyée, me lance :
- Je reprends les affaires en main, Jean-Christophe ?
-
?
Sans attendre ma réponse, Manu se retrouve debout face à moi, la main sur ma pauvre misère de queue. Elle sapproche au plus près de mon visage et se met à me bouffer littéralement les lèvres et la langue. Je ny comprends plus rien. Au fil de ce royal baiser, tant espéré, elle me branle lentement dun va-et-vient dune grande souplesse. Le double effet Kiss-cool est flagrant, jarbore derechef une bite de cervidé en rut. Elle prend son temps, Manu est une artiste, elle aspire, elle lèche, soffre même de minauder en femelle amoureuse et me glisse à loreille :
- Cricri, tu pourrais me faire jouir pour le même prix ?
Mes doigts glissent déjà dans sa moule trempée, je caresse son clito, et en passant, je mattarde à la lisière de son anus. Nous sommes toujours debout, affairés comme deux adolescents qui se découvrent. Chacun occupé à faire monter le désir de lautre. Mes mains remontent et éjectent le t-shirt. Ses seins contre ma poitrine pointent des tétons tendus denvie. Ma petite bedaine frotte son ventre plat et sa main ne se lasse pas de me branler le chibre. Je descends le long de ses reins et glisse vers sa raie dune infinie douceur, sa cambrure moffre de ce côté une rosette serrée à détendre. Son corps ondule, son bassin mappelle, elle passe ma queue entre ses jambes et me serre bien sans que je puisse la pénétrer aussitôt. Manu est à cheval sur mon sexe raidi à outrance et le couvre de ses sécrétions, elle semble le préparer à un office quelle imagine déjà, à une cérémonie dont elle maîtrise tous les codes. Je titille sans ménagement ses juvéniles nénés et, à force de sastiquer le minou sur la potence, elle se sent partir. Manu marrache la moitié du dos de ses griffes et elle jouit de manière très ostensible, en feulant, en râlant, en riant. Plus son orgasme samplifie, plus la pression de ses cuisses sur ma bite mon fait bander.
Manu finit par sapaiser un peu et me glisse :
- A toi, mon Cricri, je sais trop bien ce que tu aimes !
Joignant le geste à la parole, Manu sinstalle aussitôt au bord du lit, en levrette, les mains agrippant de part et dautre ses fesses pour bien mettre en évidence une moule rosée, superbe de jeunesse, surplombée par lil de Cyclope de son anneau tentateur. A ce stade, je perds pied, je perds la tête et ne sais plus à quel saint me vouer. Tout à lheure, Manu me menait à la baguette, dirigeait les opérations et la voilà en self-service, plus active que jamais. Je mouille la tête de mon zob dans sa fontaine de jouvence, je le glisse lentement, mais juste à moitié. Je ressors sans précipitation, revient sans empressement, peut-être un peu plus profondément, mextirpe de nouveau et me pose en sortant sur lentrée de la grotte interdite. En sentant mon approche, Manu se relâche et entrouvre lhuis qui ne résiste pas à ma poussée ferme et bien placée. Mon nud, calé dans lentrée, est accueilli par un long gémissement de ma partenaire, manifestation propice à ma stimulation. Je pénètre Manu jusquau plus profond. Je ne suis pas équipé comme un athlète, mais quand mes couilles frappent le fessier de la belle, je sens bien quelle y trouve son compte. Après cette prise de position affirmée, je lencule sans ménagement. Je défonce. Je sors-je rentre. Je rentre-je sors et Manu narrête pas de minsulter :
- Espèce de vieux salaud, tu en rêvais de reprendre ce cul de jeunette à linsu de ta femme. Tu bandes là, tu en veux de mon trou. Mais vas-y, ne fais pas ta mijaurée, décalque-moi ! Déchire-moi le fion, ne jouis pas pour linstant, laisse encore gonfler ta queue.
Je veux marquer une pause, le souffle commence à me manquer :
- Je te préviens, ne mollis pas, maintenant, il ny a quune issue, ça ne va pas être long, vas-y vieux porc, ta Manu va jouir, allez, tu vas pouvoir venir
. Allez, viens, viens maintenant, viens
.
Je nen peux plus, je me cabre et jenvoie en collant violemment ses cuisses aux miennes et en clouant son cul sur mon chibre. Je gicle deux ou trois fois plus quà laccoutumée, je linonde et je fléchis sur mes jambes pour me retrouver assis par terre, la tête entre ses pieds à ses pieds. Manu ma tué.
- Mon Cricri, est-ce que tu connais maintenant la différence entre un pute à cent vingt-cinq euros et une escort-girl à trois cent vingt-cinq euros ?
- Je men souviendrais, Manu, je men souviendrais.
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