Lexi 5 Suite : La Langue De Hamza
La vie du camp est routinière entre gardes et nomadisations. Les gardes on semmer
et les nomadisations, on à la trique sans pouvoir se soulager faute dintimité !
Larrivée de David, et des perspectives sexuelles quil moffre, rend le quotidien encore plus insupportable. Nuit et jour, je pense à sa teub. Nous dormons dans le même toukoul mais la proximité des autochtones ne permet pas de se laisser aller comme je le souhaiterai !
Finalement, lors dune nomadisation, je saisi la nécessité dune reconnaissance sur un campement dissident dont nous avons ordre de rencontrer le chef aux fins de palabres pour nemmener que David et un goumier local prénommé Hamza. Le choix de ce dernier ne doit rien au hasard. A de nombreuses reprises, il a attiré mon attention avec son regard de biche, ses traits fins et sa tendance à laisser ses doigts vous caresser la main ou le bras à la moindre occasion. Au trio, jadjoinds mon chien « Grosspir » (ne me demandez pas pourquoi, jen ai hérité ainsi à mon arrivée !).
Notre escapade est programmée sur deux jours. Pour loccasion, nous employons un VLRA, petit camion tout terrain, insubmersible dans le désert. Après trois heures de piste, de sable et de navigation aux instruments, nous dénichons notre objectif. Il sensuit de logues heures de discussions avec le chef du campement. Nous parlons de tout, de rien, surtout pas de lessentiel. Nous nous jaugeons, nous écoutons les silences de lautre dans lesquelles se trouvent les réponses que je dois rapporter à ma hiérarchie. Nous déjeunons chichement, comme toujours dans le désert. Finalement, il moffre un café « maison ». Pendant que les grains grillent sur la plaque dacier, il finit par lâcher lessentiel de linfo dont jai besoin : la raison profonde de son mécontentement envers les Français. Il exprime un des cas de figures pour lesquels javais été briefé. Je savais quoi dire et jusquoù aller pour le rassurer et, ce faisant, préparer les conditions de son retour dans le giron tricolore.
Nous reprenons la piste. Après une heure de conduite, nous installons notre campement, dans larrondi dun talweg, juste sous la ligne de crête. Lendroit idéal pour observer les environs sans sexposer inutilement aux regards. La nuit tombe vite, en moins de 10 minutes, nous nous retrouvons dans le noir. Nous nutilisons aps de lampe. Habitué à vivre ainsi, notre vue à tôt fait de sadapter à lobscurité qui rapidement devient moins instance.
Nous sommes installés cote à cote David à ma droite, Hamza à ma gauche et Grosspir le chien gambadant autour de nous.
Le rôle de Grosspir est simple : avertir dune présence étrangère, difficilement décelable pour lêtre humain la nuit mais immanquable pour un chien comme lui. En effet, dans le désert, il y a toujours quelquun
et souvent là où on ne lattend pas !
David, Hamza et moi, discutons de tout et de rien. Hamza prend part à la conversation, ce qui est relativement rare entre cadres blancs et autochtone, surtout dans les discussions didées. Tout y passe, lindépendance prochaine du pays, le cout de la vie, lavenir des uns et des autres, de ce que la France fait rêver les gens dici
Lorsque loccasion se présente, joriente la discussion sur les femmes. Japprends que Hamza est marié depuis lâge de 11 ans, quil a consommé le mariage à 15 ans et quil a été engagé par lArmée Française vers 16 ans. Il a maintenant 22 ans. Je le chauffe un peu sur son épouse quil ne voit aps souvent. Très vite Hamza entre dans le jeu « Tu sais chef, je sais comment faire sans femme ». Il marque une pause puis ajoute «
toi et le chef David aussi, vous savez faire sans femme ». Bingo ! javais vu juste. Hamza est autant amateur de teub que de femme. Jen profite pour me rencarder un peu sur sa situation « Dis-moi, Hamza, tes coreligionnaires ne sont pas très compréhensifs sur ce genre de chose pourtant ! ». Hamza éclate de rire « tu sais chef, cest comme chez vous, il y a ce que lon dit de faire et il y a ce que lon fait
faut pas se faire prendre ! ».
Ce faisant, Je profite de la clarification apportée par Hamza sur ses pratiques sexuelles pour lui passer un bras autour de la taille. Hamza se laisse aller légèrement contre mon buste. Après avoir envoyé David à son tour de garde, je glisse mes mains contre son torse, titille ses seins et fini par glisser vers sons exe.
Sa queue nest pas énorme, 15 cm environ, avec 3 cm à 5 cm dépaisseur. Sa bite nest pas cylindrique mais forme un bel ovale sur toute la longueur. Je la caresse doucement, puis lui masse les couilles. Je le sens de plus en plus raide de la bite. Mes doigts se glisse vers sa raie fessière quil contracte. Bon, Hamza nest pas trop « « sodo » a priori. Cela na rien détonnant sous cette latitude.
Ma bouche se rapproche de son oreille « Hamza, suce-moi ». Hamza ne répond pas mais prestement il vient placer sa bouche à hauteur de mon sexe quil sort avec dextérité et avale sans hésitation. Il sensuit une longue et délicieuse fellation. Hamza alterne succion sur le gland, avalement de ma teub et lèche sur les couilles. Lexercice dure plus de 15 minutes. Je sens le plaisir monter. Hamza balade maintenant ses mains sur mes fesses. Régulièrement il passe un doigt sur mon entrée annale sans aller plus avant. De temps en temps, il se salive le doigt pour rendre plus agréable la caresse sur lanneau.
Je suis maintenant au bord de lextase. Je souhaite que le plaisir éclate et dans le même temps, jaspire à ce que cela continue éternellement. La liqueur séminale se fait de plus en plus abondante et fréquente. Hamza ne manque pas de sen rendre compte. Bientôt ma bite se raidit encore plus. Brusquement Hamza enfonce son doigt dans mon cul, sans violence mais sans ménagement excessif. Instinctivement, après un bref raidissement, je fléchis un peu des genoux ce qui a pour effet de permettre une introduction plus profonde encore. Dans le même temps, un violent spasme me saisit le bas ventre et ma queue inonde la bouche Hamza de longs et épais jets de foutre.
« Chef, tu jutes fort, jaime pas trop ton yaourt. Tu aurais pu prévenir. Tu me fais la chose aussi ? ». Tout en disant cela, Hamza sessuie la commissure des lèvres. Je me dis que sa pipe est denfer et quil mérite une réelle reconnaissance. Dans la foulée, lidée me vient « Hamza, je toffre le cul de David. On va le rejoindre à sa garde et tu lui bourres le cul. ». Ce faisant, en émettant cette idée, je prends le risque que David ne soit pas daccord. Aussi, je réfléchi à la meilleure façon darriver à mes fins pour que David accepte la queue de Hamza dans son beau petit cul. Je sais quil a déjà été défloré. Cependant, je juge plus prudent dvertir Hamza « tu le bourres bien mais tu ne lui casse pas la boite à caca ! sinon, je moccupe de toi et tu ne pourras plus monter à dromadaire avant longtemps ».
Quelques secondes plus tard nous sommes aux cotés de David qui est surpris par notre arrivée
. (Suite à venir !)
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