Du Sable, Du Cul, Des Bites Et Du Sperme
Dans le bus qui va à la plage, je me tiens près de la sortie. Plusieurs garçons de mon âge viennent de monter. L'un d'eux vient s'asseoir sul siège, juste derrière moi. Un autre se plante devant moi, semblant attendre le prochain arrêt. Soudain, je sens un frôlement derrière moi. Le mec assis, venait de me passer la main au cul. J'allais me déplacer quand le mec debout me barra le passage. Trois autres gars s'étaient rapprochés pour cacher la scène. Celui qui était assis tirait sur les jambes de mon short. Il glissa ses doigts jusque dans mon slip. Il saisit ma bite, qui durcit sur le champ. Celui qui était devant moi, se colla à moi, et glissa sa main dans mon short, jusqu'à mon slip. Il se pencha à mon oreille, et me souffla :
- Tu sais que t'as un beau cul ? Mieux qu'une chieuse...
Pour savoir si il est bon, on va l'essayer d'abord. Et voilà que lui aussi glissa sa main dans mon short. Il glissa un doigt sur ma raie, à travers le slip. Puis, il rentra sa main dans le slip et m'enfonça son doigt dans le cul.
Il se pencha de nouveau.
- Tu devrais pas mettre de slip, c'est plus bandant au toucher...Mets tes mains aux poignées, je veux que tout le monde voit ton cul. Parce que quand tu vas me sucer, ils verront plus tes cheveux. Après, ils verront plus ton cul, mais ta bite. La mienne sera dans ton cul.
Le mec assis se leva et rejoint le groupe. Il me tourna vers la porte. Celui qui semblait être le chef de la bande m'attrapa par les bras. Il me courba vers sa ceinture. C'est le moment où son copain décida de baisser mon slip. Le chef avait sorti son membre et le tendait vers ma bouche. J'essayai de me débattre, mais ses acolytes m'ont rappelé que je n'avais pas le choix.
Une voix me sussura à l'oreille :
- C'est pas maintenant qu'il faut te débattre, c'est tout à l'heure, quand on te foutra à poil sur la plage.
Je n'ai pas pu répondre. Le chef m'avait enfoncé sa bite dans la bouche. Il m'avait attrapé par les cheveux et faisait glisser mes lèvres sur sa queue, de plus en plus vite, de plus en plus loin. Quand il eu joui, il me retourna et me la mis dans le cul. Son copain en profita pour me glisser la sienne dans la bouche. Un autre s'approcha et glissa sa queue dans ma main. Un copain à lui descendit mon slip jusqu'à mes pieds et me l'enleva.
Arrivés là où ils voulaient, ils m'ont tiré par les bras et fait descendre du bus. On m'avait remis mon slip. Arrivés sur le sable, un d'eux me tira par les cheveux. Mon seul vêtement était mon slip. Pas pour longtemps, un des gars tira dessus, et cette fois, le déchira. Alors ce fut la curée. C'était à qui voulait se faire sucer, ou m'enculer.
J'étais à quatre pattes dans le sable, épuisé. C'est alors que le chef eut une idée. Il en leva sa ceinture et commença a me fouetter.
- Suces ! cria-t-il
Je n'avais pas cessé depuis notre arrivée. mais ce cri était surtout destiné à ameuter les badauds. Au premier coup de ceinture, j'avais déjà une bite dans la bouche. Elle me parut encore plus grosse. Mais le plus important, ce fut la sensation. Je prenais du plaisir. Mes lèvres plongeaient jusqu'aux poils des pubis des mecs, et je jetais mon cul contre leurs cuisses. J'avais du sperme partout. Dans la bouche, dans le cul, sur le dos, le ventre, partout.
Le chef se pencha de nouveau à mon oreille :
- Tu devrais être content, d'autres amateurs s'amènent...
Je ne sais pas le sperme de combien de mecs j'ai pris dans le cul. Mais, si j'avais été reproducteur, je crois que j'aurais créé une autre race.
Soudain, je me suis réveillé. Je m'étais endormi dans le bus. C'était le chauffeur qui me secouait la cuisse pour me signifier de descendre.
Eberlué, je bredouillai quelques mots :
- Excusez-moi, dis-je, je rêvais.
- Ca devait être un sacré rêve, parce qu'il en reste des traces.
Le chauffeur montra le sol et mon entrejambe. Pas de doute possible. Sous le siège, c'était du sperme, Sur mon short, j'espère que c'est le mien, de sperme.
Quand je suis rentré chez moi, j'ai pris une douche. J'avais mal aux fesses. Je me suis regardé dans une glace et j'ai vu l'état de mon trou du cul. Je n'avais donc pas rêvé. J'ai compris, plus tard, que le chauffeur m'avait réveillé sur le chemin du retour.
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