Collection Zone Rouge. Les Copines (1/1)

• Attends Susy, mon portable sonne.

Je décroche.

• Oui, c’est moi, pardon, tu veux me voir, tu as un problème et tu souhaites m’en parler.
Non pas chez moi, que diraient les gens si l’on te voyait seul chez la meilleure copine de ta femme, ou es-tu ?
Dans 15 minutes au café près de la Nation et le cours de Vincennes.

La tuile, que me veut son mari, Susy est mon amie depuis la plus tendre enfance, nous sommes montées à Paris, elle a épousé Roland, plus précisément, je lui ai fait épouser Roland, car il avait de gros moyens et ma copine pouvait rester libre de son temps.

• Je m’absente quelques minutes, ton mari veut me voir, tu as compris qu’il voulait venir ici, je vais voir ce qu’il me veut.
• Agnès détache-moi, je vais rentrer à la maison.
• On verra ça après que tu auras appris ce que ton mari me veut, Abdou a la clef, il sera content de te trouver à sa merci, tu vas t’éclater.
• Laisse les clefs des menottes.
• Nullement, je fais simplement un aller-retour.

Habillée, je quitte l’appartement, comme je l’ai déjà dit, Susy est mon amie et mon souffre-douleur, toute petite, je faisais d’elle ce que je voulais, à l’âge de raison, nous sommes devenues amantes, j’aimais l’attacher dans la grange de sa grand-mère, l’a dénudée et lui sucer la chatte.
Elle aussi a pris goût à nos jeux et nous sommes rapidement devenues les lesbiennes du village.
Pour fuir le candir a-t-on, j’ai décidé de rejoindre Paris, j’ai bien senti que Susy avait envie d’autre chose que de ma chatte, j’ai acheté des godes, ainsi qu’un gode ceinture.
C’est avec lui que nous nous sommes dépucelés, j’ai aimé me faire défoncer et eu de nombreux amants, jusqu’à en faire mon métier, je suis escorte ce qui me permet de vivre en travaillant quand je le veux.
J’ai eu peur de faire franchir le pas à Susy, j’ai décidé de lui trouver un mari, j’avais souvent des clients qui voulaient venir chez moi, mais comme elle habitait avec moi, je devais refuser.



C’est Roland que j’ai choisi l’ayant rencontré dans un vernissage où l’un de mes clients fortunés m’avait convié, il voulait que je m’ouvre à la culture, mais j’ai surtout vu que c’était un moyen de rencontrer des hommes fortunés.
Roland est un peu benêt, concernant les choses de la vie, mais assez intelligent pour avoir un poste important au ministère de l’Intérieur.
J’avais pris son numéro, je l’ai appelé et nous avons convenu de nous revoir au restaurant, j’ai amené Susy, il a semblé déçu au début, j’ai tout fait pour qu’un rapprochement ait lieu.
Je leur ai fait croire à une urgence en déclenchant l’appel automatique de mon portable, je les ai quittés, j’avais de toute façon rendez-vous pour une passe tout près de là.
Quand je suis rentrée, j’avais gagné, Susy et Roland était dans son lit, il était en elle alors qu’elle était en levrette, j’ai repoussé la porte, après avoir rangé mon pognon dans le petit coffre que j’ai dans ma chambre, je suis allé me coucher.
J’arrive place de la Nation, j’habite à côté, je suis venue à pied.

• Roland, que t’arrive-t-il, pourquoi veux-tu me voir.
• Je vais être directe, je crois que Susy me trompe.
• Pardon, tu es fou, elle est amoureuse, comme jamais, qu’est-ce qui peut te faire penser ça ?
• Il y a deux mois qu’elle fait ce qu’il faut pour éviter de faire l’amour, j’ai essayé plusieurs fois, mais chaque fois elle a une bonne raison pour se refuser, par exemple, elle a eu ses règles trois fois dans la période.

Deux mois, c’est juste après que je lui aie fait rencontrer Abdou et Bakar deux magnifiques noirs, car elle se plaignait que Roland était nul à la baiser et avait une petite bite.
Abdou avait été un de mes clients, la nature l'avait bien pourvu, j’ai fini par en faire un ami et un amant, il m’a dit un jour qu’un de ses amis était chez lui et qu’il avait des dimensions identiques à la sienne.
J’ai voulu en avoir le cœur net et depuis ce jour, souvent, je me fais prendre en double pénétration.

Partie carrée avec Susy, elle était elle aussi satisfaite de se faire prendre par la chatte et l’anus, anus que j’avais lui aussi défoncé avec mon gode ceinture.
De là à se refuser à son mari, quelle conne, c’est malin, il a des doutes.

• Tu dois te tromper, j’ai vu Susy hier après-midi dans notre salon de thé.

Je mens bien sûr, chaque jour, elle se fait défoncer par nos deux blacks chez moi, pendant que je vais dans un palace parisien faire la pute.

• Si elle avait eu un amant, crois-tu qu’elle se serait gênée de me le dire, elle me dit tout, idem pour moi dans l'autre sens, nous avons simplement parlé chiffons, elle m’a demandé ce que je pensais si elle achetait une parure sexy pour te séduire et où elle devait aller pour en trouver.
• Je dois me faire un cinéma, mais essaye tout de même de savoir s’il y a quelqu’un, j’en serais beaucoup affecté, je l’aime à en crever.
• Bien, tu m’excuses, j’ai un rendez-vous.

Deux bises et retour chez moi, comme je le pensais, Abdou a retrouvé Susy, il la prend sauvagement, il a placé ses mains sous ses hanches et la soulevant fermement ses biceps tendus, sa verge est au fond de son vagin.
Elle hurle littéralement, merde, en temps normal, je lui mets une boule à bouche, car elle a des orgasmes dévastateurs, elle est capable d’ameuter le quartier, il est trop tard, elle a joui et lui aussi, je vois ses grosses lèvres émettre un son roque.

• Agnès, tu es là, je suis seul et je dois y aller, Susy est toujours aussi bonne, ta copine est une vraie salope, j’ai beaucoup aimé quand je suis entré qu’elle soit à ma merci, Bakar est parti à la préfecture renouveler son permis de séjour, vous serez là demain ?
• Tu verras bien, tu sais avec mon travail, je vis au jour le jour.

Abdou se redresse, la chatte de Susy est encore béante du pieu qui vient de la dévaster, elle ronronne encore de plaisir, il s’habille et quitte mon appartement qui est devenu un vrai baisodrome.


• Susy, Roland a des doutes sur ta fidélité, quelle conne, depuis que tu viens te faire sauter chez moi, tu te refuses à lui, c’était la dernière chose à faire.
• Si tu savais, il me baise mal.
• Crois-tu que tous mes clients me baisent bien, je suis une pute qui se fait sauter pour du fric, comme femme mariée, tu dois écarter tes jambes pour satisfaire ton époux, ton devoir conjugal fait, tu fais ce que tu veux de ton cul ?
• Tu as raison, ce soir, je lui demanderais de me faire l’amour.
• Et il fera le rapprochement avec notre conversation de la Nation lui apportant la preuve que je t’ai parlé de ses doutes.
Voilà comment tu vas agir, tiens, regarde dans mon tiroir, prends des sous-vêtements sexy et rouges, ils en raffolent, pourquoi Roland dérogerait à la règle.
• Si je veux sauver mon mariage pour continuer à vivre libre, prie pour que Roland aime les dessous sexy rouges.
• Avec cette parure, tu es sûr de le faire craquer, voilà ce que tu vas lui dire.

Voici ce que Susy m’a raconté au téléphone quand elle est rentrée chez elle.
Elle est passée chez le traiteur au bas de chez elle, elle avait les chandeliers et chandelles, quel homme resterait insensible à un repas aux chandelles.
Ajoutez à cela ma petite culotte rouge, mes Dim Up, et le soutien-gorge pigeonnant assorti lui remontant les seins, qui comme il est dit aurait fait bander un eunuque et l’affaire est dans la poche.
Quand Roland est arrivé, elle l’a embrassé fougueusement, il a été surpris, elle l’a attaqué sans lui laisser le temps de souffler.

« - Roland, je me suis mal conduite avec toi. »
« - Agnès t’a dit que j’avais des doutes sur ta fidélité et tu me fais le grand jeu pour m’amadouer. »

J’avais raison, il s’est méfié, elle l’a de nouveau embrassé en lui mettant la main aux couilles, c’était un geste nouveau pour ce couple.

« - Tu te trompes, j’ai manqué de courage pour te dire que j’ai eu un petit problème gynéco, je suis allée en voir une, elle m’avait demandé de retarder tout rapport jusqu’à ce que ce petit problème entre en ordre.

Les analyses que j’ai faites ont montré que c’était un champignon, je suis guérie, elle me l'a dit tout à l’heure, excuse d’avoir manqué de courage de tout te dire, j’avais peur que tu penses que j’avais ramassé cette saloperie en te trompant. »

Comme tous ces cons de bonshommes, Roland a tout gobé, il l’a baisé sur la chaise de la salle, comme sa main qu’elle lui a mise au paquet, il l’a aussi surprise.
Depuis le début, de leurs rapports, ils baisaient exclusivement dans leur lit, elle m’a même dit que pour la première fois, il l’avait réellement fait jouir, différemment d’Abdou et Bakar, mais jouir quand même.

Pour aider leur couple, j’ai eu une idée, il fallait mettre du piment dans leurs rapports.

• Roland, serais-tu libre demain en fin d’après-midi, peux-tu te libérer pour 16 heures, j’ai une amie qui voudrait tromper son mari et connaître les joies de l’adultère.
Je suis sûr que toi aussi, tu voudrais bien goûter à ce plaisir, viens chez moi à 16 heures 30.

Le lendemain, je suis fébrile, mon idée va-t-elle fonctionner, Roland est à l’heure, je lui ouvre la porte.

• Roland, mon amie refuse d’être reconnue, tu vas entrer dans ma chambre qui est dans le noir complet, tu montes sur le lit, la chienne est en position de levrette ses mains attachées aux barreaux de mon lit.
Tu montes dessus et tu la prends, je lui ai mis une boule à bouche, tu verras, elle est chaude du cul et démarre au quart de tour, soit à la hauteur.
Tu bandes où il faut que je t’aide !
• Inutile, fais-moi confiance, j’y vais, merci de satisfaire l’un de mes fantasmes.

Quand j’appuie sur le bouton commandant l’ouverture du volet roulant dans ma chambre, force est de constater que Roland pilonne sa femme comme un malade, elle hurle à travers sa boule des cris étouffés.

• Voyez mes amis vous aviez les mêmes envies, éclatez-vous, j’ai un rendez-vous qui m’attend.

Quand je quitte mon appartement, Roland a dû enlever la boule à sa femme, car j’entends.

• Vas-y, vas-y, plus fort, vas-y, défonce-moi.

Je devrais monter une boutique de relation entre les hommes et les femmes, je suis certaine que c’est là, la fonction d’une prostituée !

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