Médecin De Service Pour Visites À Domicile. - Chapitre 1, Suite
Un médecin dopérette propose des visites gynéco plutôt hard et à domicile
Pour bien comprendre et suivre les propos de ce récit, il convient davoir présents à lesprit les points et les mesures, détaillés dans le Chapitre 1 (début), points 1 à 4.
CHAPITRE 1 - suite :
5 le Protocole : suite des mesures et examens plus intimes : " On entre dans le vif du sujet "
Dautres mesures vont être obtenues par des mises en position très particulières de la patiente, dont lune de mes préférées est celle dite du " cul entre deux chaises ", que je vous décris maintenant : sur deux chaises se faisant face (ou éventuellement deux tabourets) écartées lune de lautre denviron 50 à 60 cm, je fais monter la patiente, nue de préférence, un pied sur chaque chaise. Puis, je lui demande de saccroupir ainsi, les fesses ouvertes au-dessus du vide (Photo 06). Même si de ses mains elle se retient au dossier de chaque chaise, je la fais mettre "en sécurité" en la faisant retenir par 1 ou 2 hommes, placés derrière elle, qui assurent ainsi sa stabilité
Dans cette position, je vous laisse deviner ce que donne à voir la dite patiente et où va aller se placer " le docteur " pour faire ses mesures et son auscultation ! (Photo 07)
Sont réalisées alors de nouvelles mesures qui concourent à établir par exemple : " le coefficient de rétention des bites ", également " lindice de proéminence de la vulve ", formules où entrent dautres paramètres très importants comme : " le coefficient de féminité ". On déterminera aussi : " lindice des attributs extrêmes " ou encore le " coefficient de propension à se masturber ". Ce dernier étant révélé par lexamen précis et particulier des petites lèvres et du clitoris de la patiente, nous y reviendront plus loin
Suite à ces mesures, ou avant elles, selon les situations, " le docteur ", fait un examen minutieux et détaillé de lentrejambe ouvert, quil inspecte et détaille à loisirs à laide de sa lampe frontale et de sa loupe très grossissante.
Par principe le docteur décrit toujours ce quil voit à la patiente et à lentourage, voire à lassemblée, pendant que lassistant prend scrupuleusement des notes...
Il va sans dire que laspect, la forme et la taille du clitoris, petit organe caractéristique des attributs féminins et dune importance extrême dans le plaisir sexuel de la femme, ainsi que les petites lèvres, font lobjet dun examen des plus attentifs. Nous y reviendrons
Une fois prises ces nombreuses et délicates mesures, on peut ensuite " passer à table ", cest-à-dire que lexamen peut se poursuivre sur la table aménagée comme indiqué plus haut. Mais je dois dire que le plus souvent je laisse la patiente dans cette position dite : " du c
entre deux chaises " pour continuer lauscultation
Concernant cet examen, on peut introduire de nombreuses variantes, cela dépend pour beaucoup de la patience et de lambiance qui se crée autour : impossible de les énoncer toutes ici et puis limagination est au pouvoir ! Sachons seulement que ces variantes ont été construites à partir de diverses situations vécues ici et là
Je décrirai quelques-unes dentre elles lors des récits à venir, signalés plus haut
On poursuit donc lexamen de façon plus intime avec les instruments traditionnels : spéculums et autres engins (Photo 08), mais aussi et surtout avec des " doigtages " et des " languottages " qui donnent des informations sur le " volume du garage à bites " de la patiente, sur son " coefficient douverture avant dilatation ", et surtout sa " capacité de dilatation de la cavité vaginale", dite aussi " cavité connale "
On établira également : " le coefficient de recouvrement des lèvres " (grandes et petites) qui entre dans la formule précisant le " coefficient daccès au trou (sous-entendu au trou à bites !) "
Une autre série de prises dindices va permettre de fournir " le coefficient dexcitation de la patiente ", dans lequel entrent des données issues des cinq organes des sens, en essayant de savoir la part que prend (ou non) chacun deux dans lexcitation sexuelle de chaque patiente, lorsque celle-ci va jusquà lorgasme
Dans ce coefficient intervient également le " degré dérotisation ", propre à chaque patiente
On noubliera pas non plus de faire aussi une étude sérieuse des sécrétions de la patiente, sur deux niveaux :
- dabord, la façon dont ces sécrétions intimes sont émises : allant du " mouillage de la moule " où un liquide léger humecte le trou et lintérieur des lèvres, à la décharge violente et incontrôlable des femmes-fontaines, en passant par les différentes formes et aspects de lécoulement en nappes ou par des jets éjaculés ; façons qui caractérisent " les formes de mouillage " de chaque patiente
- puis ces sécrétions sont ensuite observées et étudiées pour en définir : la nature, la consistance, laspect, labondance, le goût, etc.
- Ces deux facteurs pondérés lun par rapport à lautre, permettent de définir " les modalités de jouissance humide" de la dame.
Il sera aussi nécessaire de procéder à létude du rapport de la patiente avec léjaculation et le sperme du mâle partenaire : cela va de lavaleuse qui aspire et gobe léjaculation à sa sortie du membre, à la lécheuse du foutre quand il est étalé sur le corps, en passant par tous les intermédiaires possibles, du type de celle qui vient absorber le sperme quand il est expulsé par les trous dautres femmes qui se sont fait baiser ou enculer juste avant
Vérifier aussi le niveau dintérêt de la patiente pour la cyprine de ses semblables
Le protocole comprend aussi une ̏ Option Gode ̋. Pour cela, jemporte toujours avec moi, petits matériels et instruments, allant du gode tout simple, au ̏ sex-toys ̋ les plus sophistiqués, en passant par les ̏ rabbits ̋ et autres objets des plus raffinés
(Photo 09). A la saison, jai aussi dans mon attirail quelques légumes : carottes, concombres, bananes, voire quelques aubergines
Enfin il sera toujours indispensable de procéder aussi à une " analyse durine " de la patiente. Là, je ne détaille pas, chacun sait davance comment sy prendre
On indiquera simplement que sur ce moment de lexamen, il y a comme dans le point précédent, deux éléments à prendre en compte :
- non seulement la récupération de la matière première et lanalyse à laquelle on va procéder (couleur, aspect, odeur, saveur, teneurs diverses, etc.) ;
- mais aussi lobservation précise et détaillée de la miction de la patience
Celle-ci peut se tenir debout pour se soulager, mais la position vue plus haut, du " cul entre deux chaises " est particulièrement propice (pro-pisse !) à une observation approfondie du phénomène ; ou dans tout autre position de son choix.
Seule condition : cette miction doit être parfaitement visible et doit pouvoir être parfaitement observée (Photo 10). Le récipient de collecte est tenu à bon niveau par lassistant, en fonction de la position choisie. Il nous est même arrivé de filmer ce moment pour montrer à une patiente, surtout si elle pisse particulièrement mal, la véracité du diagnostic. Manuvre utile en cas de traitement nécessaire pour améliorer cette miction
Toutes ces observations fournissent beaucoup déléments qui entrent dans les critères qui permettront détablir un classement entre les patientes dune même soirée, concernant les différentes " modalités de miction "
Au passage, il faut quand même savoir quau moins une femme sur deux, urine mal, voire très mal : jets pas droits ou fractionnés, ou qui coule sans vigueur, ou bien qui arrose lintérieur de lune ou lautre cuisse, parfois les deux, ou encore dont lurine sépanche en arrière après avoir inondé le trou de derrière ; bien dautres déviances sont encore possibles !
A suivre
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