Severine Chapitre 2
SEVERINE
Chapitre 2
Je suis rentrée chez moi auprès de mon mari et mes s, mais avec toujours à lesprit ce qui venait de se passer ; toute la soirée je nai fait quy penser, que devais-je faire ?
Ne pas repasser demain chez mamy
Y passer pour dire à mon oncle que ça nétait quune erreur et que nous allions oublier ça.
Ou bien retourner pour me faire baiser, parce quen fait cétait ça, je métais faite baiser par mon oncle et que même si cest un oncle par alliance cela demeure un e.
Au moment de nous coucher mon mari, Marc a voulu me faire un câlin, jai refusé prétextant un mal de tête.
Mais ce nest pas pour autant que jai dormi, ressassant sans cesse les trois questions que je me posai depuis que jétais rentrée.
Au matin les s partis pour le collège ou le lycée, et Marc déjà parti au travail.
Dans la salle bain nue devant la glace je navais toujours pas fait mon choix, mais seulement pris la décision de ne pas mettre de soutien gorge et seulement un string comme sous vêtements. Un chemisier pas trop transparent, et une jupe au dessus du genou, et puis mon manteau, et direction le boulot.
Matinée pas facile lesprit toujours en questionnement.
Le midi chez mes parents ma mère me fait remarquer que je me suis faite plus sexy que dhabitude, ce à quoi je lui réponds que cest le début de lété et quil flotte déjà un air de vacances.
Sitôt le repas fini je repars au travail, toujours pas la tête à ça, mais laprès midi est calme au bureau, et je peux réfléchir un peu, peser le pour et le contre, en définitif cest mon sexe qui décide, avant de partir je vais aux toilettes et je constate que le souvenir de ce qui sest passé la veille, continu de mettre en émoi ma vulve, lèvres gonflées, vagin déjà en fusion, je ne remet pas mon string et trente minutes plus tard je suis dans la voiture pour rejoindre mon oncle.
Jarrive, je referme la porte derrière moi il me semble quil ny ai personne, pourtant la voiture de mon oncle est garée devant la maison, je me déshabille dans le couloir et je me met à la recherche de mon oncle.
Je passe par la cuisine, personne, je vais jusque dans la cour, je ferme les yeux un instant et je me revois dans les bras de tonton, son gros sexe au fond de mon ventre, jen ai des frissons, je passe devant lescalier qui mène à létage, jentends siffler en haut, tonton doit être là haut, du moins jespère que cest lui.
Jarrive dans une des chambres, tonton est en train de repeindre le plafond, il est torse nu et en jean. En me voyant entrer nue il me dit : « bon sang ten as vraiment envie, tu vas voir tu vas devenir ma petite salope attitrée !!!! »
Je mallonge sur le lit jécarte les jambes pour bien lui offrir ma source.
Tonton est descendu de son escabeau et il a retiré son jean, son sexe est déjà à moitié bandé, et jen ai déjà follement besoin !!!!
Tonton monte sur le lit et commence par me caresser, en commençant par les pieds puis il remonte sur mes mollets quil masse de façon très sensuelle.
Jai fermé les yeux je veux savourer pleinement ce moment, et je sens ses mains glisser lentement vers mon sexe, elles sont juste entre mes cuisses effleurant ma chair tendre au point que jen ai des frissons.
« Regarde-moi quand je te baise, je veux voir tes envies et ta jouissance dans tes yeux !!!!! Je veux que tu ais conscience que cest ton oncle qui te baise !!!!! ».
Jouvre les yeux juste au moment où ses mains prennent possession de ma vulve.
Je reçois comme une véritable décharge électrique, et ses doigts explorent chacun de mes plis intimes, en nomettant aucun recoin, sauf mon clito qui nattend que ça, je ressens un désir impérieux que mon oncle le caresse, le fasse sortir de sa cachette, quil en éprouve la raideur, quil le pince, le suce, je crois que je vais devenir folle, en tout cas je ne regrette pas dêtre revenue.
Je nai quune envie, que tonton me suce, me baise, me fasse jouir.
« Bouffe moi le sexe comme hier !!!! »
« Oui ma petite salope je vais te faire jouir, et bien profiter de ton beau petit cul !!! ».
Et aussitôt mon oncle plonge tête la première entre mes cuisses, et sa langue râpeuse prend le relais de ses doigts dans ma chatte ; sa langue fouille tous mes recoins secrets, et puis il aspire mon clito entre ses lèvres.
« Arrrrh !!! Cest trop bon tonton, oh oui mange ma fente je vais jouir !!!!! »
Et au moment où je pars, il colle ses lèvres sur lentrée de ma grotte, avalant tout le nectar qui en surgit.
Je crois bien être tombée dans les pommes, cest ça la montée au septième ciel !!! Quand je reviens à moi, tonton est à genoux entre mes jambes, mes pieds reposent sur ses épaules et il frotte lentement son gros sexe le long de ma fente, bousculant mes petites lèvres et retroussant mon clitoris.
« Ca y est, réveillée, je peux te la mettre à fond ? »
« Oh oui prend moi !!!!! »
Alors mon oncle a posé son gland juste à lorée de ma grotte, et lentement centimètre par centimètre il sest enfoncé dans mon vagin, me faisant sentir cette pénétration lente comme pour me faire goûter son gros sexe, et me faire sentir combien il prenait possession de mon corps, combien maintenant je lui appartenais entièrement.
Jétais devenu sa chose, puis jai senti son sexe tout contre ma matrice, sa queue avait envahi tout mon sexe, dilatant mes chairs, je me sentais comme écartelée.
La bouche grande ouverte jessayais de trouver de lair, un grand coup de rein de tonton ma fait comprendre quil était au fond de mon ventre, jai mis une main sur mon pubis, pour constater que même si tonton était au fond de moi, il restait encore quelques centimètre de queue en dehors de mon ventre.
« Tinquiète pas ma jolie je vais tout te mettre, jusquaux couilles, tu vas être bien pleine !!!! ».
« Oh oui prends moi, baise moi, oh quest ce quelle est grosse !!!!!! »
Puis mon tonton a commencé à frotter sa grosse tige dans mon vagin, goûtant chaque parcelle de mes muqueuses, je coulai comme une fontaine.
Penché sur moi il sest mis a téter mes seins aspirant mes tétons et quand il sest avisé de me les mordiller, tandis que son mandrin me barattait la chatte, à chaque fois que son gland revenait au bord des mes lèvres, je sentais que mon vagin aspergeait son sexe, mes cuisses, ainsi que les draps, je navais jamais ressenti autant de plaisir, une sueur érotique a couvert mon corps, et une montée de plaisir ma envahi, une vague partie de mes reins a déferlé autant vers mon bas ventre que vers mes seins, je tremblais de tout mon corps, javais limpression de flotter, et jai crié mon plaisir quand jai senti mon oncle participer à mon orgasme, en marrosant de sa semence depuis mon ventre jusquà mes seins.
Quand jai enfin recouvré mes esprits, tonton me regardais couverte de traînées de sperme sur tout le ventre, et il a pris ma main la posée sur mon corps en me disant : « Etale bien tout ça va te faire du bien et parfumer ton corps de petite salope !!!! Quand tu auras fini de te parfumer rejoins moi en bas que je te lave le cul comme hier !!!!!».
Le temps de reprendre pied dans la réalité, je viens à nouveau davoir un rapport sexuel avec mon oncle, et jy ai pris du plaisir, beaucoup de plaisir, lui aussi quand je constate mon état.
Toute honte bue je rejoins mon oncle dans la salle à manger ; il est là il mattend avec la bassine deau chaude, et sans même protester je monte sur la table, les bras derrière moi et arquée sur mes jambes, de nouveau je lui offre mon corps.
Et la toilette au combien sensuelle a recommencé, les doigts écartant mes lèvres tuméfiées et sensibles, dautres doigts fouillant mon vagin en changeant souvent deau.
Et après ce rinçage jai eu droit à la masturbation de mon clitoris, jusquà ce que je pousse un cri de démente sous leffet du plaisir. Puis tonton me lave le reste de mon corps et messuie tendrement. Je suis encore tout abasourdie, et après quil eu retiré la bassine, je suis restée assise sur la table, les jambes écartées comme si ma vulve avait besoin de respirer.
« Tu peux te rhabiller, et je te vois demain !!!! »
« Non demain je peux pas cest samedi et je reste à la maison avec Marc et les s »
Tonton sempare de mes tétons et les tord violement. Je hurle de douleur et jai les larmes qui me coulent.
« Je tai à demain cest compris ?tu es à moi maintenant et je veux que tu mobéisse, on est OK ? »
« Je vais voir » (entre deux sanglots).
« Demain même heure, et jaurai une surprise pour toi, mais ne tinquiète pas je sais que tu vas pouvoir venir allez file !!! »
Jai remis mes vêtements et je suis partie en pensant à ce que je devrai inventer pour être là demain, mais ses derniers mots ne sont pas faits pour me rassurer, mais je suis déjà soumise à ses désirs je ne pourrai plus men passer.
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