Collection Black. La Femme Du Caïd (1/1)

• Tu sais que si je dis à Jef que tu me caresses les seins, il va rentrer dans une rage folle et que ta vie tiendra à presque rien, surtout sous son toit.
• C’est à moi que tu dis ça salope, regarde derrière toi, le grand écran, il donne une information qui t’intéresse.
• En quoi un fourgon blindé qui vient de se faire braquer m’intéresserait.
• Tu es plus pute que je le pensais, tu sais très bien que c'est ton mari qui est le chef du commando qui l’a braqué.

Je la retourne, la prenant par la taille d’une main, collant mon sexe sur ses fesses, je me saisis de la télécommande et je monte le son.

« Le voyez, le fourgon attaqué par quatre malfrats est toujours immobilisé, par chance, il y a seulement un mort, mais les sacs de la recette que les convoyeurs avaient été chercher, après le concert du grand rocker Jimmy au stade de France avaient disparu.
Si je m’exprime parlant d’un mort et que je parle de chance, c’est que c’est un des agresseurs des convoyeurs qui a été mortellement blessé, vous voyez sa dépouille qui va être emportée par la police pour autopsie.
De notre envoyé spécial sur les lieux Benoît de Saint-André. »

Je passe ma main sur la chatte dénudée de Claudy, la jolie rousse dont je suis l’amant, ayant son peignoir ouvert.

• Dis-moi que tu ignorais que Jef montait un coup quand tu as convoqué ton chauffeur et ta voiture pour 8 heures.
Dis-moi que c’est ma grosse queue que tu attends dans ta chatte, tu sais que Jef est indemne, le mort que j’ai vu allongé avant la coupure de la caméra était Jacques le pied-bot, j’ai eu le temps de voir sa chaussure orthopédique.
• Continue à me caresser, je l’avoue, j’ai aidé à monter le coup, c’est ma copine Ariette qui m’a parlé de son copain qui avait reçu une convocation de ses employeurs pour un transfert d’argent top secret.
• Tu vois, on y vient, tu sais comment Jef opère, il braque, avant d’aller à Saint-Maur se planquer dans la cave de sa mère en attendant que l’affaire se tasse, on en apprend des choses en presque trois ans de conduite dans votre limousine.


• Laisse tes doigts entrer dans mon tabernacle, on est mieux ici dans cette pièce que sur le siège arrière de sa limousine, même si c’est plus spacieux qu’une 2 cv.
• La 2 cv a un avantage, j’ai pratiqué quand j’étais jeune, les suspensions aidaient quand je baisais mes premières amourettes à les faire démarrer.
• Arrête tes souvenirs, c’est exact, j’ai vu le créneau pour que tu me prennes comme tu le fais dans sa voiture, pourquoi crois-tu que je suis nue sous mon peignoir.
• Parce que tu es une pute qui aime ma grosse bite noire.
• Bien sûr, je l’aime ta bite, depuis le premier jour ou je t’ai vu après que Jef t’a embauché, ce con ayant été recalé au permis.
J’ai vu ton pantalon et la bosse était très prometteuse, certes, j’ai mis longtemps à t’inviter à me rejoindre sur le siège arrière, mais j’en suis très satisfaite.
Embrasse-moi avant que je te pompe, tu aimes quand je te pompe mon gros loup.

Gros loup, c’est comme ça qu’elle m’a appelé le jour où elle a franchi le pas, dans la limousine, il y a une vitre entre mes patrons et moi, ils me donnent des ordres par un système de téléphone intérieur.
Ce jour-là, elle a voulu aller voir les petits oiseaux dans le bois de Vincennes, arrivé dans une contre-allée, peu fréquentée, j’ai reçu l’ordre d’arrêter la voiture et de venir à l’arrière.
C’était la première fois que j’ouvrais la porte arrière et que je montais alors que l’un d’eux était là.
Là et bien là, rousse et à poil, plus de robe, nue comme au jour de sa naissance.
Quand je me suis assis et que j’ai vu sa main s’approcher de ma braguette, j’ai su le risque que je prenais, si le Jef aimait prendre les affaires des autres, surtout en monnaie trébuchante, sa femme était chasse gardée.
Il me l’a dit souvent, les rares fois où nous avons parlé en tête à tête, sa Claudy, c’est tout, il est fou amoureux, il est prêt à mourir pour elle, même, il m’a aussi dit que si elle le trompait, il lui éclaterait la tête.


• Mon gros loup, tu rêvasses, je sais qu’on a le temps, Jef doit se faire câliner par sa maman dans son trou à ras, on est sur des deux jours qui viennent.

Je l’ai laissé s’agenouiller, ouvrir mon pantalon, je retrouvais là les gestes précis qu’elle avait faits dans la voiture et le moment ou elle avait aspiré ma verge, je comprends mieux depuis ce jour pourquoi l’on dit pomper un homme.
Je fais 25 de long pour 5 de large, de diamètre serait plus approprié, une petite différence, dans la voiture, elle a eu du mal à la sortir, 25 centimètres qui bandent déjà, c’est normal.
Dans cette salle à manger, il lui suffit de défaire ma ceinture pour voir mon pantalon tomber à mes pieds et ainsi atteindre l’objet de sa convoitise.
Pomper, ce fut la première fois dans la voiture, je l’aurais bien sauté, mais je me suis contenté de lui brouter la minette, il fallait qu’elle retrouve son homme, tient c’est drôle, près du stade de France.
Le stade ou de grandes affiches annonçaient le concert de Jimmy et de toute sa troupe de chanteurs, danseurs et musiciens, aujourd’hui en voyant à la télé, l’endroit ou le fourgon est arrêté couvert de balles, nous étions au même endroit.

• Tu vas enfin me prendre, oui, là sur notre table, je rêve de ta queue depuis la première fois ou je l’ai sucé et que j’ai avalé ton sperme, défonce-moi.

Malgré le risque, je fais tomber son vêtement, je la veux nue, je l’ai nue quand ma verge se présente là où les femmes aiment que l’on leur donne du plaisir, j’ai ma queue en main, je la promène sur sa chatte dégoulinante d’envie et d’un coup, je l’emmanche.
Je la prends par les seins et comme s’ils étaient les rênes d’un cheval, je la drive comme le ferait un cavalier guidant sa monture, elle répond à mes sollicitations sans rechigner, une vraie salope.
C’est elle qui donne de grands coups de cul pour s’empaler au maximum, je finis par perdre pied et lâcher la purée, juste après qu’un orgasme l’eût traversé.


• Viens reprendre des forces, j’avais prévu le coup, j’ai envoyé nos serviteurs en vacances pour la fin du week-end.

Je dévore, il faut dire que la table est de première bourre, Claudy vient sur mes genoux.

• C’est bien, tu es un bon étalon, viens dans la chambre.

Ce fut là mon erreur, si nous étions restés dans la salle devant l’écran, nous aurions entendu le flash d’info.

« De notre envoyé spécial Benoît de Saint-André, nous sommes à Saint-Maur devant la maison de la mère de Jef, le braqueur identifié du Stade de France, il a pu s’échapper, hélas sa mère telle Ma Dalton est sortie avec un fusil.
Elle a tiré sur tout ce qui bougeait, les forces de l'ordre l'ont abattue, mais en les retardant, ont permis à son fils de s’échapper. »

Hélas, ça nous a échappé, je prends ma maîtresse en levrette qui crie son plaisir, ma grosse verge lui défonçant la chatte, quand la porte s’ouvre.

• Salope, tu baises avec mon chauffeur.

Ces propos, prononcé par Jef ajouté à l’arme que l’on arme et la détente qui est appuyée, j’ai le temps de recevoir, le sang et la cervelle de celle qui meurt au moment de son orgasme.
Excusez, je vais vous quitter, la deuxième balle qu’il a tirée est à trois millimètres de mon cerveau, je décharge en criant de jouissan…

« De notre envoyé spécial Benoît de Saint-André, devant la maison de Jef le braqueur… »

Hélas, je suis parti au paradis des amants tués par le cocu.

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