Après L'Orgie

L'orgie puisque s'en était devenue une était un peu alimentée par des boissons aphrodisiaques et beaucoup par les actes licencieux que tous ici trouvait normal. Le signal de la fin pour moi fut donné par Nicolas venu me chercher au milieu de succubes . Aidé d'un valet il m'a retiré de la bouche d'un homme en vertugadin qui avait perdu ses appats féminin et dévoilait une poitrine plate et glabre. J'avais mal aux génitoires et c'est nu ayant perdu mes hardes dans le doux chamaillis qu'ils m'ont emmené à ma chambre. A eux deux , ils m'ont mis dans un de ces grands baquets pour le bain et une fois le valet parti, Nicolas m'a lavé, un peu comme une mère et beaucoup comme un amant jaloux mais compréhensif. Avec une éponge, luxe inconnu pour moi pour cette pratique il m'a débarassé des restes de luxure séchés ou encore humide.
Ah Nicolas! Le roi m'a vu ce soir et je ne vais pas à son coucher, par contre j'ai une faim de loup, cet exercice m'a vidé de mes forces animales.
Restez là je vais vous trouver de quoi templir votre gaster (estomac). Il a filé comme une flèche, je n'ai qu'à peine vu ses fesses à son départ de la chambre. Sortant d'une orgie telle, je ne pensais qu'au sexe et même sous son haut de chausse je devinais deux beaux globes musclés. L'eau était bien encore chaude quand il est revenu accompagné d'un autre drôle dresser une table dans un coin. Simple planche sur des tréteaux mais recouvert d'un linge blanc . Les fumets des patés et oublies m'ont fait lever nu pour en saisir un et le gloutonner au grand ébahissement du jeune drôle; surement nouvellement venu de ses provinces. J'ai remarqué son coup d'oeil sur ma mentule mais la bouche pleine je n'ai pu qu'esquisser un souri. Nicolas l' a chassé d'un: dehors coquefredouille.
Serais tu jaloux Nicolas?
Non point Monsieur le baron mais il appêtait un peu trop votre ventre et ce qui en est l'attrait.
Sèche moi que je puisse manger , j'ai de l'eau qui coule de partout.


A cette tâche il était à son affaire et se servant de plusieurs linges et frottant ou caressant les diverses parties de mon corps , j'ai fini comme écrevisse sortie de l'eau chaude. Une fois des chausses passées , une chemise et un haut de chausse il a mis devant le tréteau un des fausteuils sur le quel je me suis affalé et sans prendre de petites fourches J'ai glouti je crois un poulet entier. Nicolas debout à coté servant du vin et n'oubliant pas de se restaurer aussi mangeait quelques patés en croûte, qui à la vue de sa mine devait être délicieux.
Quelle heure est il Nicolas ? J'entends encore du bruit dans la cour.Il est allé voir à la fenêtre.Monsieur il y a là un des messagers royaux et le Duc le reçoit . Il descend de cheval et c'est étonnant , le messager lui lit un manuscrit avec des sceaux et le Duc me paraît fort en joie.
Le messager repart je crois que le Duc a reçu une bonne nouvelle.
Peu de temps après Joyeuse est entré, tout faraud.
Titou je n'en reviens pas, tu es ma bonne étoile, d'ordre du roi il vient de me bailler le gouvernementt de la Normandie. Ah dieu bon , notre roi sait récompenser ses amis, ne doute pas d'être élevé aussi et d'avoir quelques terres bien à toi , comme Nuelles. Nous fêterons cela demain et j'irais visiter ma province le lendemain à la fraîche avec quelques compagnons. Je te laisse l'hotel à notre despart. Il te faudrait trouver un chez toi, en ville et proche du Louvre. Ce soir tu ne vois pas le roi mais parle lui demain. Je l'aurais ja vu pour le remercier dans l'après dîner. Il est reparti annoncer à tous la nouvelle après m'avoir donné une forte brassée. S'il m'en souvient nous étions en 1583 au moment des vendanges. <je voyais Nicolas pensif contre la fenêtre.
Et bien Nicolas à quoi penses tu?
En soupirant il m'a dit avoir du regret le jour ou j'aurais maison à moi dans la ville.
Mais pourquoi donc Nicolas , si c'est le cas tu devrais te réjouir?
Oui mais je devrais vous voir partir à regrets.

Allons ne pense pas une minute que je vais te laisser ici. Tu me suivras je suis fort attaché à toi.
Vrai monsieur le baron?
As tu besoin de preuve de mon attachement? Il est l'heure et je suis las. Dévêt moi et bassine les draps .
Il a obéi ,un peu marri quand même mais une fois installé douilletement, je l'ai regardé avec un souri. Qu'attends tu pour te dévêtir et me rejoindre?
Ce fut fait si rapidement qu'on eu cru à qielques magies. J'eu le temps quand même de le voir. Fesses fermes , sexe assez épais maugrée qu'il ne soit pas dur et belles génitoires pendantes.
Tu te laves souvent Nicolas? Je parle de ton vit.
Oui Mr le baron.
Es tu bien de mon espèce qui adore le vit des hommes ainsi que leurs fesses?
J'en suis sur autrement que ferais je ici dans cet hotel!
As tu l'appêtit de gloutir mon vit?
Je n'ai pas eu de réponse, il s'était enfoui sous les draps et je sentais sa bouche et sa langue. Je n'ai pas eu à le questionner plus. Maugrée ma fatigue il m'a fait jouir assez vite , son habileté réelle à se servir de la langue était un régal. Je me suis tourné sur le ventre, aimes tu autant les fesses avec ta langue?
La encore il n'a rien dit, sa langue occupée à passer entre mes lobes fessiers, écartant mes fesses pour bien mouiller le trou que nous avons de commun avec les femelles. Enfi sans rien demander il est remonté contre moi, j'ai senti sa mentule raide se frotter sur mon cul et une fois trouvé le passage il a laboué comme le galapian qu'il était. Fils de paysan dégrossi, trop versé dans la luxure il préférait les fesses aux champs. Il a réussi à me faire rendre grâce l'implorant de jouir ce qu'il a fait aussitôt.
Je me suis retourné sous lui et vit contre vit je l'ai fait rejouir en même temps que moi. Après l'orgie cette fois j'étais sec. Reste cette nuit Nicolas.
Peux je Mr le baron vous appeler Titou dans ces instants?
Oui dans ceux la seulement mais demain au réveil c'est moi qui t'investirais.

Dors Titou, j'aime aussi ce coté là.
Je me suis endormi comme souche. Il avait tiré les courtines et l'hotel était relativement silencieux, y étant tant de monde qui oeuvrait , qui pour les chevaux qui pour la cuisine, enfin pour toutes les tâches qu'une maisonnée comme celle du Duc exigeait.
Au réveil j'ai profité de son demi sommeil pour caresser les beaux lobes fermes de ses fesses et après avoir vérifié qu'au moins un morceau était réveillé , j'ai investi la place si mal défendue que je n'ai eu nul besoin de barguigner pour labourer ce champ. Etant plus fort que lui du vit j'ai aimé les petits cris qu'il poussait. A c'teure il aimait mon sexe à la folie sans aucun doutes. Il griffait le drap mais tendait ses fessses vers moi , véritable appel d'amour et je n'ai pu qu'aller au bout de mon plaisir. Une fois dégagé il s'est blotti contre moi comme un oisillon sous les ailes de sa mère, reprenant vent.
Pour dire vrai Nicolas j'aime assez ton petit corps si bien fait pour mes besoins.
Il s'était ragaillardi et m'a regardé avec des yeux de biches . Je vous laisse aller sur la chaise , je vais chercher quelques viandes et verdures pour reprendre toutes vos forces. Il a enfile un haut de chausse et passé sa chemise dedans , volant vers les cuisines comme Mercure, messager des dieux.
Je suis sorti du lit et vêtu d'une chemise que j'ai retroussée je me suis installé sur la chaise pour me vider, le bren est passé facilement après les excès de la soirée et j'ai attendu son retour , pensant ja à ma journée.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!