La Pk Andre 07

LA P K ANDRE
Ep 07 : ENCORE DEUX SEMAINES


Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie … Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices …

On m'a fait jouir cinq fois ce samedi après midi … Je dis '' on m'a fait '' car je ne me suis pas masturbé, pas caressé, pas stimulé d'aucune manière. Il y avait toujours un volontaire pour me faire plaisir, me tripoter, me sucer ou m'offrir son cul … C'était le pied ! Le jour suivant, le dimanche, c'était pareil, ils étaient tous déchaînés, ils m'ont fait juter six fois ! C'était un record pour moi, six fois dans une journée, trois ou quatre je ne dis pas mais six … Je n'avais jamais joui comme ça … ! ( Oui bon d'accord, je sais je me répète … Ça va j'ai compris ! ) …

Le lundi matin j'étais presque soulagé de me retrouvé dans ma cage. Enfin … Presque … Ce serait pour trois semaines cette fois ci. Trois semaines, c'est énorme, mais le lundi je pensais surtout à me reposer les couilles et la bite … J'avais tout de même juté dix fois en moins de deux jours !

L'esprit tranquille je reprenais le boulot, je retrouvais Ben et Richard tous les jours dans le potager, Richard était le nouveau jardinier, je croisais régulièrement les nouveaux dans la journée et le soir on se retrouvait tous un petit moment avant de dormir. On échangeait nos impressions, nos expériences. On se racontait aussi notre parcours, comment nous étions tous arrivés là …

La semaine passait vite. Le samedi qui venait c'était de nouveau Ben qui était libéré après deux semaines et les deux nouveaux pour terminer leur première semaine d’accoutumance. Richard lui avait décidé de ne pas le retirer, il ne l'avait pas retiré depuis cinq ans et choisissait de le garder … Il faisait partie de ceux qui portaient déjà un dispositif de chasteté à leur arrivée …

On s'amusait de la cérémonie du retrait du dispositif.

Comme je vous l'ai expliqué, le système est automatique. Chacun se présentait devant l'appareil, appuyait sur un bouton, l'appareil reconnaissait l'empreinte digitale des capteurs faisaient le reste et le dispositif se déverrouillait tout seul …

Ben qui comme vous le savez n'est pas timide passait en premier, il retirait son truc et se retournait vers nous avec un grand sourire, il s'amusait à balancer sa queue de gauche à droite, après deux semaines de confinement elle se déployait rapidement et pendait lourdement. Richard ne cachait pas son plaisir de voir une aussi belle pièce. Moi je l'admirait, j'aurai aimé … Mais ça me faisait peur … Il faut me comprendre je ne m'étais jamais fait enculé et là, il y avait de quoi faire peur, même à des gens expérimentés et gourmands …

Richard n'avait pas peur lui ! Il était le premier à genoux devant Ben qui avait à peine le temps de réagir. Rapidement Richard suçait la bite à Ben qui le laissait faire, qui bandait et qui lui enfonçait sa queue dans la gorge sans scrupules … Ben affichait un large sourire de satisfaction, retenait fermement la tête de Richard, le tirait vers lui en avançant son bassin. J'étais surpris de voir avec quelle facilité Richard avalait la queue de Ben.

Plus timides, les deux suivants Lionel et Raphaël suivaient. Mes quatre autres collègues ne traînaient pas, ils les attrapaient par le bras et les entraînaient sous la douche en leur faisant des câlins. Je regardais ça avec un certain amusement et je suivais. On s’agglutinait autour de nos camarades en les caressant, en se caressant, en se glissant l'un contre l'autre, en se frottant l'un à l'autre …

La peau est douce, ma cage était sous pression, une semaine sans pouvoir me toucher, sans pouvoir bander, sans pouvoir me faire un petit plaisir … Une semaine … ! J'aurais fait n'importe quoi pour pouvoir m'amuser comme la semaine précédente. J'avais juté dix fois mais cette semaine ça ne risquait pas de se produire …

Ben avait attrapé un plug, un de ces truc de bizarre, la première fois que je l'avais vu je m'était demandé comment ça pouvait marcher ce truc … Mais là ça devenait très clair, il lubrifiait son plug et se l'enfonçait dans le cul.
Une grimace au moment ou la partie la plus large passait, puis une air détendu qui ne cachait pas un certain plaisir. Le plug qu'il avait choisi était de grosse taille, il devait faire dans les sept centimètres de large …

Richard ne mollissait pas et Ben en profitait pour lui enfoncer sa queue bien à fond dans la gorge en tirant son visage vers lui et en donnant des coups de bassins. Ben était surpris par la facilité avec laquelle son partenaire encaissait et ne se retenait plus. Richard avait le visage rouge et était en larme, il ouvrait sa bouche autant qu'il le pouvait et encaissait. Il poussait des cris gutturaux et respirait fort, comme il pouvait, il reprenait son souffle et relevant la tête …

Richard : Je veux que tu m'encules !

Je me trouvais au milieu du groupe, on me caressait le dos, le torse … J'en faisait de même. Je m'accroupissais et suçais la première queue qui arrivait à ma portée, je ne savais pas à qui elle était, il y avait deux possibilité, mais je m'en moquais ! Je la suçais avec plaisir, je faisais très attention avec les dents, comme on m'avait expliqué. Elle était de belle taille mais restait dans la norme, je parvenais à la gober sans trop de difficultés. Quand le gland finissait par toucher ma gorge je me retirais pour reprendre mon souffle, aussitôt quelqu'un me prenait ma place.

Richard s'était retourné et s'appuyait contre le mur, Ben appuyait avec sa bite contre son anus, il poussait et doucement je voyais l'anus de Richard se dilater, ses fesses s'écarter et la queue de Ben entrait lentement. Richard gueulait ! Il avait mal ? Il gueulait de plaisir ? J'avais du mal à le deviner, ça me faisait peur, je m'imaginais à la place de Richard … Et là … J'avais peur. Un doigt se glissait dans mon cul, instantanément je jutais ! Instantanément je jouissais … Pas autant que le semaine précédente mais je jouissais et c'était bon ! On peut donc jouir avec ce dispositif !

Ben se retirait puis s'enfonçait.
Il recommençait plus vite, il donnait des coups de bassin et Richard réagissait vivement à ce traitement, il en redemandait, Ben lui en donnait … Ben se lâchait, quand son ventre écrasait les fesses de Richard il donnait une forte pression, appuyait fermement ce qui arrachait un cri à Richard !

Je voyais couler quelques goûtes de sperme de la cage, je ne pouvais pas voir s'il éjaculait ou s'il jutais simplement. Le sperme était éjecté avec force ou coulait doucement … Je savais seulement car ça se voyait, c'était évident, il jouissait. Il respirait fort, il gémissait, il semblait pleurer presque. Ben ne se calmait pas il continuait avec force jusqu'au moment ou il criait de plaisir, il jouissait à son tour .

Je recevais une giclée de sperme sur la cuisse, je ne savais pas lequel de mes camarades venait de me gicler sur la cuisse, autour de moi c'était un amalgame de corps, de muscle, de peau, de lèvres, c'était chaud, l'eau nous arrosait tous. Je n'étais pas le seul à avoir éjaculé, je n'étais pas le seul à avoir joui, un des garçon, je ne sais même pas lequel c'était, était appuyé contre moi, il tremblait en me prenant dans ses bras, il respirait fort contre mon oreille et, je crois que c'était Raphaël qui se frottait avec intensité et douceur contre son dos … Il le sodomisait avec douceur et ce garçon qui me tenait fort dans ses bras éprouvait beaucoup de plaisir … J'aurais aimé me faire prendre comme ça, j'aurais aimé mais j'avais un peu peur . J'avais même complètement la trouille ! Ça doit faire mal ! J'en avais envie et j'en avait peur en même temps !

Je regardais dans la direction de Ben, il se retirait et je voyais sa queue ressortir du cul de Richard. Il bandait encore bien Ben, sa queue retombait doucement pour pendre lourdement entre ses cuisses. Il avait éjaculé ! Sans plus attendre il nous rejoignait sous la douche et très vite se retrouvait au centre de toutes les attendions.

Richard restait un moment là ou il était, il récupérait le pauvre.
Il finissait par nous rejoindre sous la douche, nous formions une grappe de mecs à poil qui se caressaient les uns les autres. Il y en avait toujours un qui se mettait à genoux pour sucer une queue.

On finissait bien par se calmer, surtout ceux qui pouvaient librement se masturber ou baiser leurs camarades, ceux là ils en profitaient. Ben enculait Denis au moment ou je sortais de la salle de bain, les deux autres avaient éjaculé au moins deux fois …

Moi j'avais juté une seule fois et c'était pas suffisant pour me calmer totalement, une semaine plus tôt j'avais joui dix fois dans le week-end, je savais que cette fois ci je serais loin du compte … J'avais passé une semaine entière ma queue confinée dans une cage de chasteté et je n'avais aucune chance d'être libéré. Je me sentais frustré en regardant Ben se lâcher sur le cul de Denis !

Dans ma tête c'était un peu la folie, je n'arrivait pas à savoir si c'était Ben que j'enviais de pouvoir cracher son jus librement dans tous les culs qu'il pouvait trouver ou dans toutes les bouches à sa disposition, ou bien si c'était Denis … Lui se faisait défoncer le cul avec plaisir, il se faisait dilater la rondelle à faire peur et semblait en tirer tellement de plaisir … Ça me faisait peur de me prendre un truc comme ça dans le cul mais j'en avais envie, j'avais envie de pouvoir me faire prendre comme ça !

Le reste de la journée et même la soirée, pour moi c'était l'horreur. Ma queue ne débandait pas dans sa cage, la cage devenait vite très petite, trop petite. Je me sentais à l'étroit, ce n'était pas douloureux. Je sentais seulement une contention permanente autour de ma bite, une pression douce et implacable. La sensation physique était plutôt agréable mais dans ma tête c'était un manque que j'éprouvais, une envie, un besoin. Quand je voyais Ben, Lionel ou Raphaël qui se baladaient à poil avec leur grosse queue qui se balançait fièrement devant eux, entre leurs cuisses, j'avais la tête en feu et le feu au cul.

Finalement c'était un enfer délicieux que je vivais ce week-end là ! Le lendemain, dans la journée je suçais les trois queues qui étaient libres … Pas en même temps, il ne faut pas exagérer … Mais je m'amusais un long moment avec chacun de mes trois camarades. Personne ne touchait à mon cul ! Et le soir j'avais le feu au cul, à la bite et dans la tête. Je n'ai pas très bien dormi, je venais de passer une semaine verrouillé, une semaine mais avant une avant-dernière libération il me restait encore deux semaines !

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