Un Réveillon Pervers (5 Et Fin)
De retour dans la salle, l'ambiance n'avait pas faiblie, elle était même montée en intensité, trois filles dansaient quasiment nues sur le comptoir n'ayant conservé que leurs chaussures, bas et strings et deux garçons qui eux n'avaient que leur string. Je savourai un jus d'orange tandis que les garçons se rafraichissaient avec une bière. Dans mon dos, un inconnu me massait les fesses, je me retournais même pas pour savoir qui était cet audacieux, Tony me palpait la poitrine imité par Alban alors qu'Hugo se postait en observateur et comme moi regardait la fille qui ondulait sur le comptoir s'accroupissant cuisses écartées offrant à hauteur des yeux la vision de son string arachnéen que des doigts avides s'empressèrent d'effleurer, la fille allumait par quelques mots ses admirateurs qui à présent avaient crocheté la minuscule lingerie, elle se redressa suivie par les bras et mains levés qui serpentaient sur ses jambes et cuisses. La fille toujours aussi sensuelle faisait mine de descendre son string faisant monter la tension des garçons qui se pressaient de plus en plus aux pieds de la fille et par delà nous compressant en même temps. Sur le comptoir elle continuait son show abaissant son string jusqu'au ras de sa fente dévoilant son ticket de métro avant de se tourner et exposer ses fesses la ficelle du string pendant entre ses cuisses.
L'audacieux, derrière moi, avait retroussé ma petite robe sur les hanches, et plusieurs mains se pressaient sur mes fesses. J'en montrais presque tout autant que la fille du comptoir, mais elle était au dessus de toutes les têtes alors que j'étais juste dans la pénombre et l'anonymat de la foule. Elle savait capter l'attention de ceux qui était à ses pieds, même mes trois lascars avaient le regard rivé sur elle et ayant même abandonné les caresses sur ma poitrine. Sur le comptoir la fille avait remonté son string sous la désapprobation son public, pourtant le voile de tulle du string ne cachait quasiment rien.
Sur le comptoir, la fille venait de descendre son string à mi cuisse, puis se retourna offrant sa croupe bien galbée se pencha l'espace d'une poignée de secondes faisant profiter son public de la vision de sa fente et de l'illet de son anus sous les acclamations et réflexions hautes en couleur ! Tony ayant parlé à ses camarades me dit :
- Allez viens on va te baiser !
Il n'y avait aucune classe dans ses propos, mais juste ce que je voulais entendre. Un des caresseurs demanda où est ce qu'on allait, la réponse d'Hugo ne dû pas le satisfaire, mais à moi oui. Sur le coup j'ai eu peur qu'il les invite à nous suivre. Comme mes trois compères, je regardais une dernière fois la fille sur le comptoir, à présent positionnée face à ses admirateurs, légèrement accroupie et cuisses écartées, elle offrait aux regards avides l'intégralité de son minou. En regagnant la sortie et le vestiaire, je retrouvais sur mes pas l'intérimaire, déçu que je parte. Il profita tout de même pour me caresser une dernière fois les seins les fesses et ma fente poisseuse de ma cyprine, souda sa bouche à la mienne pour un court mais intense baiser et me confia qu'il espérait me revoir et pourquoi pas au boulot lors d'une future mission intérimaire, ou ailleurs. En réponse je restais évasive avec un "peut être qui sait ?".
Le trajet ne fut pas long, Tony avait su maintenir mon excitation en ébullition par ses caresses. Le petit appartement dAlban était meublé du strict nécessaire et en désordre, mais je nétais pas là pour faire un état des lieux.
Sans quon ne me demande quoique ce soit, ma bouche gobait celle qui me faisait face alors que mes mains branlaient lentement les deux restantes. Ils invertissaient leur place pour profiter à tour de rôle de ma bouche, chacun cadençant son rythme en me maintenant dune main agrippée à mes cheveux. Les deux que je branlais me trituraient la poitrine, tordant et pinçant mes tétons tout en malaxant les seins. Hugo se pencha et glissa sa main entre mes cuisses, joua en virtuose avec mon clito avant de menfoncer de doigts dans le vagin pour me le pistonner et annoncer à ses comparses :
- Elle est trempée cette salope, Alban elle dégouline sur ton carrelage !
- Tinquiète on va la défoncer cette chienne, elle nattend que ça !
Hugo me fit me redresser, écarta mes jambes et pliée en avant je continuai de sucer et branler Tony et Alban qui me caressaient les seins alors quHugo samusait à faire entrer la télécommande de la télé dans ma chatte pendant que son pouce testait lélasticité de mon illet. (Je nai jamais su si elle avait pu refonctionner après être entrée profondément en moi et avoir été engluée de ma cyprine.) Il nen fallait pas plus pour me faire décoller et de les supplier de me baiser que je les voulais tous les trois à la fois.
Alban massura quils allaient bien soccuper de moi et que je me souviendrai très longtemps de ce premier janvier ! Pour les exciter encore plus, (comme si ils en avaient eu besoin) je les défiais en leur disant :
- Je suis votre chienne, baisez moi, enculez moi, prenez moi par tous mes trous comme une pute !
Il nen fallu pas plus pour déclencher la débauche des trois mâles qui durant une grosse demi-heure me labourèrent sauvagement les uns après les autres tout en me claquant les fesses.
Dès que les deux se mirent en mouvement plus ou moins accordé, Hugo menjamba et menfourna sa bite dans la bouche. Mes cris étaient étouffés pas sa queue qui me baisait la bouche sans douceur, je bavais sous lardeur quil mettait tout en minsultant copieusement. Je dû subir cet assaut durant quelques minutes avant que ces messieurs décident de changer de position. Alban glissa de mon vagin à mon anus et mencula profondément, Tony se retira pour laisser Hugo prendre sa place mais gardant la même position, une fois Hugo introduit et bien penché en avant, Tony avança vers ma fourche tant bien que mal en bougeant ses fesses lune après lautre, il avait peu despace, il arriva tout de même à positionner son gland conte ma chatte sous la queue dHugo, en forçant il arriva à faire pénétrer quelques centimètres de son membre.
- Mais comme ils font dans les films de cul pour faire une triple ? lança Hugo désappointé.
- Ce sont des pros tout simplement. Lui répondit Tony.
- Pas de bol, pour une fois quon a une salope qui se laisse faire et qui en redemande ! Rétorqua Alban.
Du coup, ils repassèrent à quelque chose de plus simple, chacun occupant un de mes trois orifices. La fatigue dune nuit blanche additionnée à leur excitation leur fit rendre les armes, le premier fut Tony dans ma bouche suivi dAlban dans mon vagin imité de près par Hugo qui marrosa copieusement le rectum et je jouis durant son éjaculation. Cette fois jétais anéantie, juste une poupée de chiffon abandonnée de toute ses forces, mais savourant son plaisir.
Une fois remise de cet état semi-comateux, je les remerciais en les embrassant, je renfilais mon collant et ma petite robe, chaussais mes escarpins et leur demandais de me raccompagner. Avant de rejoindre mon domicile, nous échangions nos numéros de téléphone, je ny tenais pas plus que cela, mais ça mévitait de les supplier de me reconduire et cela leur laisser un espoir de me revoir.
Dehors, il faisait grand jour, la légère froidure nous fit frissonner. Dans la voiture, Tony profita de ces derniers instants pour encore me caresser, je my prêtais volontiers et même abondant à son délire de faire un gang-bang, le fantasme fut communicatif et Hugo et Alban y ajoutèrent leurs grains de sel. Ils me voyaient déjà dans un entrepôt abandonné au milieu dune vingtaine de mecs assoiffés de sexe, pour finir dégoulinante de sperme. Arrivés au pied de mon immeuble, ils me proposèrent de monter avec moi, je refusais gentiment en prétextant que mon compagnon devait être rentré. Sur le trottoir, ils membrassèrent chacun leur tour tout en me caressant une dernière fois. Tant pis si un ou des voisins, couche-tard ou lève-tôt (cest selon), mapercevaient avec ces trois amants qui narrêtaient pas de menlacer et de membrasser, risquaient de me faire une sacrée réputation, je ne regrettais pas cet instant et ceux qui lavaient précédé.
Je mengouffrais dans mon immeuble, après leur avoir fait un dernier coucou de la main. En montant les escaliers, je sentais leur sperme sécouler de ma chatte et de mon anus pour finir par se répandre dans les mailles du collant. Je ne pus mempêcher de de me dire que je métais comportée comme la pire des salopes, mais en plus javais aimé ça !
A peine entrée dans mon salon, je jetais mon manteau sur un fauteuil. Après avoir bu un grand verre deau, je fouillais mon sac à main, pour en sortir mon téléphone et appeler Eric pour lui dire que jétais rentrée. Après plusieurs sonneries, je tombais sur sa messagerie. Je regrettais de ne pouvoir lui parler directement, je lui laissais le message suivant : « mon amour, je viens tout juste de rentrer, il me tarde de tavoir contre moi, jai beaucoup de choses à te raconter, je pense avoir dépassé tes espérances, rentre vite mon chéri, ta chienne salope tattend docilement. Je taime ! ». Je mallongeais sur le canapé, couverte dun plaid, mon esprit revivais cette nuit torride tout en me laisser tomber dans les bras de Morphée. (Tiens et un de plus).
Ce qui est certain jallais avoir de quoi lui raconter à mon homme, avec pour preuve les traces de ma débauche sur ma robe et mon collant. A n'en pas douter cela allait dégénérer en un beau et bon moment bien coquin.
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