Ce Soir Je Suis Sa Chienne

Avant propos:

Ayant grandement apprécié ses écrits, j'ai sollicité Carole M, auteure sur ce site, pour écrire à deux ce récit. J'ai repris le flambeau d'un premier auteur avec lequel elle a commencé cette histoire.
Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d'entraîner l'autre dans son univers, d'exprimer avec ses mots son regard sur la scène.
Nous avons pris beaucoup de plaisirs à écrire cette histoire et nous espérons que vous en prendrez autant à la lire.



Ce soir je suis sa chienne


Ce scénario écrit à deux est une initiative d'un lecteur comme vous. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d'entraîner l'autre dans son univers, d'exprimer avec ses mots son regard sur la scène.

Nous avons pris beaucoup de plaisirs à écrire cette histoire et nous espérons que vous en prendrez autant à la lire.

Léa :
Voilà déjà 3 mois que Lucas est mon amant. Il est l'homme qu'il me fallait pour enflammer à nouveau une sexualité flétrie par dix années de mariage. Notre relation a été volcanique dès le début.

Par SMS pour commencer. Devant ma réceptivité Lucas n'a pas tardé à me raconter ce qu'il allait me faire et je n'étais pas en reste. Il a eu toutes les informations nécessaires pour réussir notre première rencontre, m'apporter les sensations fortes perdues avec mon mari. J'ai affiché sans détour ce qui me manquait : quelqu'un pour réveiller pleinement mon côté salope docile. Un dominant capable de me combler, me rendre sienne, me posséder entièrement.
Un vicieux sachant m'entraîner là où je ne serais jamais aller seule, pour me faire découvrir des orgasmes dans des situations plus folles les unes que les autres. Puis nous avons baisé une première fois, comme des fous. Il s'est montré particulièrement à la hauteur de mes attentes, si bien qu'enchaîner est devenu une évidence.

Nous jouons vicieusement l'un avec l'autre depuis des semaines, moi dans le rôle de la salope soumise, lui dans le rôle du dominant qui repousse mes limites chaque jour, en satisfaisant mon plaisir. Les deux premiers mois ont permis de bien nous installer dans nos rôles respectifs, de lui ouvrir toutes les portes, et ce soir son SMS est clair : “Rendez-vous à 20h sur mon parking. Enfile une mini-jupe bien ras du cul, facile à retrousser. Un petit haut léger à bretelle qui s'ouvre entièrement sur le devant. Des talons hauts. Pas de sous-vêtements.”
Je retrouve Lucas devant sa voiture, l'embrasse avec gourmandise avant qu'il m'ouvre la portière.
- On va où ?
- Ça c'est une surprise, mets ce bandeau sur tes yeux…

Il me tend un joli loup noir et nous roulons vingt minutes sans que je puisse voir où nous sommes, où nous allons. Puis il commence à caresser mes cuisses, remonte jusqu'à ma chatte.

- Ouvre ton haut sous tes seins et écarte bien les pans..

Lucas :
Bien que plus qu'agréables, les quelques semaines écoulées ne sont pour moi qu'une mise en bouche, même si d'autres y auraient déjà vu le franchissement de nombreuses barrières morales. Léa représente ce que je n'aie plus connu depuis tant d'années et se montre on ne peut plus prometteuse. Prometteuse dans l'assouvissement du moindre de mes vices et de ce dont j'ai été tout aussi frustré qu'elle-même selon ses propres aveux.

Je ne peux pas nous imaginer cantonnés à ce que nous vivons déjà. Je souhaite qu'elle se sublime sous mon autorité, qu'elle étincelle dans la débauche et que peu à peu elle s'abandonne totalement sous mon joug. Salope docile, oui, mais plus encore je la veux également Chienne, Roulure, Traînée. Qu'elle soit tout ce que je ne manquerai pas d'exiger peu à peu d'elle pour en faire le parfait objet sexuel “multiprise”.

Aussi il m'est apparu comme le plus naturel du monde de commencer à la faire sortir du confort des chambres d'hôtel dans lesquelles je la besogne déjà au gré de mes pulsions.
Je crains plus que la peste qu'elle ne finisse par se complaire dans une banalité adultérine indigne de tout le potentiel que je pressens en elle. Il ne faut pas tarder à peu à peu la mettre sur le chemin de la dépravation à laquelle j'aspire la voir, chemin au fil duquel je ne doute pas qu'elle s'épanouira.

Ce soir encore elle n'a pas manifesté la moindre réticence à s'affubler selon mes désirs. Bien plus que provocante, je la voulais indécente et obscène, telle une Pute prête à l'usage qui n'aurait qu'à minima caché la marchandise. Je la voulais telle qu'elle fasse bander à en rompre un âne mort ou que le moindre vieillard ou grabataire ne songe qu'à se ruer sur cet appel à la saillie. Et je dois dire que je ne suis pas du tout déçu, elle est exactement comme je veux qu'elle soit. Du coup dès son arrivée c'est moi qui déjà trique ferme.

J'ai des idées bien arrêtées quant à son devenir à mes côtés, ou plutôt à mes pieds. Pour autant, l'expérience me dicte de prendre mon temps et de ne pas brûler les étapes. Lui masquer les yeux pour cette sortie est tout autant pour la surprendre, faire travailler son imaginaire, et lui donner de l'assurance dans ces autres lieux où je compte progressivement la mener.

Tout à ma conduite, je ne résiste pas à l'envie d'explorer les trésors à peine cachés et de lui ordonner d'en déballer une autre partie, ne voulant pas être le seul à profiter de ces richesses. Ma main s'immisce entre ses cuisses à la fois par envie et par la volonté de contrôler son état, si tant est que j'ai besoin d'être rassuré à ce sujet. Je ne cherche même pas à jouer avec son clitoris et vais directement à ce qui m'intéresse. Et je ne suis pas déçu ! Quasiment à l'aveugle deux de mes doigts n'ont aucun mal à envahir ce qu'il me plaît tant d'enfiler de ma queue. Elle est plus que prête sans que je sache précisément ce qui là fait tant mouiller dans cette mise en scène… il faudra s'y intéresser. 

Peut-être a-t-elle saisi que nous étions à présent sur l'autoroute au bruit des camions que je m'évertue à dépasser le plus lentement possible pour le plus grand plaisir des routiers qui savent profiter de l'aubaine.
Je peux presque voir leurs yeux s'écarquiller et briller. Nul doute que leur ferme attention n'a d'égale que celle de leur bite.

Le moment m'apparaît bien choisi pour prévenir Léa de la situation et faire un premier test.

- Montre à nos amis routiers, ces pauvres travailleurs laborieux, que tu n'as pas plus froid aux yeux qu'au cul !. Retrousse bien ta jupe, écarte largement les cuisses, et incline davantage ton siège.


Léa :
Plus aucun doute, nous roulons bien sur une autoroute et où que nous allions Lucas a l'intention de s'amuser avec des routiers. Des rustres qui sont enfermés seuls dans leur cabine la plus grande partie du temps, réputés pour être bien souvent de sacrés chauds lapins. Un choix qui pourrait m'affoler, mais il n'en est rien, bien au contraire. La situation m'excite au-delà du raisonnable. M'installer en position semi-allongée pour remonter ma jupe haut sur mes hanches, me mettre en position pour clairement afficher ma chatte, répond à mes propres désirs d'indécence. J'imagine tous ces camions doublés, les regards fugaces vers notre habitacle, la concentration nécessaire pour pleinement profiter du spectacle. J'ai envie d'être impudique à souhait, de montrer ouvertement la bonne salope qui demande de la queue, sans la moindre ambiguïté possible. L'idée d'alimenter les rêves de quelques camionneurs, de les faire bander comme des taureaux, qu'ils se branlent et éjaculent en s'imaginant me baiser dans tous les sens, n'est pas pour me déplaire. Je soulève mon chemisier au-dessus de mes seins, les caresse avant de descendre une main pour me doigter, sans la moindre retenue, sans que Lucas me demande quoi que ce soit.
En temps normal j'aurais ouvert un à un les boutons de mon décolleté, mais l'idée de devoir éventuellement les refermer plus tard sans l'intervention de Lucas me semble totalement inadaptée aujourd'hui, inconcevable. Ce soir je me suis conditionnée pour être traitée en chienne et je fais tout pour que Lucas en est aucun doute.
Mon corps lui appartient, selon ses désirs, ses ordres, pour faire de moi son jouet sexuel. Cela nécessite une part importante d'abandon, une totale confiance en mon amant pour aller chercher de nouveaux plaisirs au-delà de mes limites actuelles, avec le bon dosage. Que mon chemisier redescende par la gravité en me relevant est une chose. Être amenée à me rhabiller sans une demande explicitement de Lucas en est une autre, incompatible avec ma posture désirée ce soir. Dénuder entièrement mes seins de ma propre initiative impliquerait l'assumer jusqu'au bout, où qu'on aille, jusqu'à ce que Lucas en décide personnellement autrement. Cela fait partie de mon contrat moral pour ce rendez-vous au statut de bonne salope soumise, offerte. En rajouter m'appartient, en acceptant les conséquences, mais dans l'autre sens mon lâcher prise doit être total pour me plier sans aucune initiative contraire à une volonté qui va au-delà de la mienne. Ma tête est en ébullition. Sous le joug de Lucas il y a peu de doute sur la tournure que va prendre cette sortie, tout de moins sur le fond. En revanche il y a tellement de possibilités quant à la forme…. Je suis dégoulinante.
Impossible de définir si nous allons vite ou doucement, mais notre vitesse semble régulière. Impossible de savoir s'il y a beaucoup de camions, ou encore si on m'a vu, me voit en ce moment. Enfin jusqu'au double coup de klaxon juste à notre droite. Là, le doute n'est plus possible, un mec se rince l'œil. L'effet est immédiat. Mes mains se montrent plus actives, mes gestes plus francs, plus amples, plus démonstratifs. Lucas me glisse deux doigts dans la bouche et je les suce avidement pendant que je me fais jouir sur le siège avant de sa voiture, sous le regard d'un inconnu…
Je me sens prête à tout et refrène les mots qui me brûlent les lèvres, mon envie de sperme, de queues...

Lucas :
J'aime les initiatives, pour peu que celles-ci aillent dans mon sens, et de voir Léa ainsi enchérir sans que je n'aie eu le moindre mot à lui dire fait plus que me satisfaire. Je le prends comme un gage donné pour la suite, une invitation à ne pas hésiter à me lâcher. Nous avons déjà dépassé une certaine forme d'exhibitionnisme ludique pour entrer dans le dur et même ce routier qui nous apostrophe semble s'en rendre compte.
J'ôte mes doigts de sa bouche après qu'elle les ait largement sucés comme l'aurait fait de ma queue la première pute venue et, d'une voix posée et ferme, je lui ordonne de les remplacer par les siens.

- Vas-y ! Montre nous explicitement avec tes doigts ce que tu es et ce qu'il te faut !

De la main, et du mieux que je peux, je tente de lui faire passer le message de nous rejoindre à la première aire venue. L'homme semble me comprendre, du moins si j'en juge au large sourire qu'il arbore. J'accélère un peu en quête d'autres amateurs, frustré que je suis de n'avoir pour l'instant que si peu d'échos. Léa le ressent-elle lorsque mes doigts la fouille de nouveau, plus brutalement, plus nerveusement ? Que m'importe, j'use et j' de ce dont j'ai la pleine et entière propriété. Je la veux à mille lieues d'une quelconque sécheresse, fut-elle passagère, je la veux prête à ce que je déciderai qu'il advienne, parce que je l'exige, parce que je sais que c'est ce qu'elle désire au plus profond de son ventre et de son âme, parce qu'il ne fait aucun doute qu'elle est faite pour cela.
Un autre de ces mâles tant espérés semble manifester un grand intérêt à ce qu'il voit lorsque je le dépasse en traînant un peu sous sa cabine. Il semble rustre à souhait, idéal pour la suite,  et déjà jurer comme un porc seul dans sa cabine. Au cas où il aurait le moindre doute sur les dispositions dont fait montre la salope qui est à mes côtés, je la branle plus vivement, plongeant jusqu'à la garde deux de mes doigts tandis que je lui enjoins de bien faire comprendre ce qu'elle veut.

- Fourre tous tes doigts et astique les bien à fond en tournant ton visage sur la droite ! Montre à quel point tu as faim de bites pour te ramoner le gosier !

La réaction du type est immédiate, il semble vociférer dans l'habitacle du camion, sans doute n'en croit-il pas ses yeux, sans doute bande-t-il comme un âne et peut-être même se paluche-t-il en voyant cette traînée aux trous ne demandant qu'à êtes emplis. A lui aussi je fais signe de s'arrêter dès que possible, et si j'avais pu lui faire comprendre d'inviter quelques-uns de ses collègues, je ne m'en serais pas privé tant cela m'aurait épargné cette conduite erratique que je n'apprécie pas beaucoup. 
Il faut dire que maintenir une certaine attention à la route tout en besognant la pute trempée qui s'en est remise à moi, surveiller du coin de l'œil qu'elle ne baisse pas un instant en obscénité tout en racolant le tout-venant n'est pas chose aisée. C'est risqué, je le sais, c'est même inconscient, mais le vice l'emporte sur la raison. Trop longtemps j'ai été privé de ce genre de femelle que plus rien d'autre que l'assouvissement de nos plus bas instincts ne compte à présent.
Soudain je vois les premiers panneaux indicateurs de la prochaine aire et je ralentis un tant soit peu pour regarder dans mon rétroviseur si les deux sympathiques camionneurs ne suivent pas de trop loin. J'ai un doute sur mes capacités d'explication. Ceux-là sont chauffés, prêts, mais s'ils ne s'arrêtaient pas il me faudrait faire mon marché là, une fois sur place. Non pas que cela me dérange beaucoup de présenter la marchandise aux amateurs, mais ce genre de formalités ça va bien cinq minutes et il est grand temps d'entrer dans le vif du sujet, ou plutôt de la sujette.
Arrivé enfin à la hauteur de cette terre promise de péchés, je déboîte et entre doucement sur le grand parking, garant la voiture entre deux semi-remorques déjà arrêtés, derrière la station et hors de vue du gérant. Je ne veux pas lui faire un procès d'intention, mais étant de tenir son fond de commerce autant l'écarter de l'équation.
Une fois le moteur éteint, je continue à farfouiller d'une main le con de cette bonne salope de Léa, tandis que de mon autre main enfin libérée des contraintes routières, je m'amuse avec la pointe de ses mamelles, les étirant, les vrillant afin de leur donner meilleure apparence tout en m'assurant du bon maintien du chemisier.

- Il te faut être présentable pour nos invités ! Je te veux afficher meilleure tenue ! Une tenue digne de la roulure que je vais faire de toi !

A peine ai-je eu le temps de terminer ma phrase que mon attention est attirée par le bruit significatif d'un gros cul qui se gare non loin de nous. Je ne sais pas si c'est un des convives qui vient festoyer ou si ce n'est qu'un autre routier. Très vite je suis rassuré, le premier des deux s'avance vers la voiture, sourire aux lèvres et la queue déjà au garde à vous du peu que je puisse en juger. Je me tourne de nouveau vers Léa.

- Tes premières couilles à vider arrivent. Il semblerait que ça va être ta fête…

Léa :
Après m'avoir pleinement excitée avec ce préliminaire tonitruant, Lucas m'abandonne, sort de la voiture. Sa portière claque et je n'entends plus un bruit pendant plusieurs longues secondes, reste les yeux bandés, seule, à me caresser en grande partie dénudée.

Sans rien changer à ma position, à ma tenue, j'attends. Que fait Lucas ? Est-il parti en repérage du lieu ? Discuter avec une personne ? Faire autre chose ? Puis ma portière s'ouvre. Toujours le silence, un temps d'arrêt qui me laisse imaginer mille possibilités avant que sa voix résonne enfin.

- Tu as assez joué avec tes doigts et il est temps de te donner plus consistant. Tends moi la main, on va te trouver un lieu à la hauteur d'une salope de ton envergure.

La formulation claque tandis que Lucas m'aide à me relever, att rapidement les deux extrémités de mon chemisier qui allaient redescendre pour me les fourrer dans la bouche, maintenir ma poitrine bien exposée, avant de boudiner ma jupe en ceinture autour de mon ventre. Il ôte absolument toute décence à ma tenue et se colle à moi pour me faire avancer en me pelotant copieusement le cul.

- Ne vous inquiétez pas Messieurs. On fait juste faire à notre salope un petit tour qui ferait pâlir la dernière des putes, et une fois tout le parking informé de sa présence nous nous en occuperons comme il se doit..

Il ne mâche plus ses mots, avec une excitation très perceptible, une volonté affichée de mettre le feu autour de nous, de briser toutes les barrières, les miennes comme les leurs. Il me guide pendant que nous avançons lentement, avec un parcours incohérent où nous tournons tantôt à gauche, tantôt à droite. Au début en silence, puis sous quelques exclamations crues. 

Être offerte en pâture à plusieurs queues bien pleines pour être baisée sans retenue, soumise, est un vieux fantasme. Pour autant je n'en mène pas large. La peur et l'excitation se mélangent. Lucas est le premier à avoir eu tous les critères pour m'entraîner jusqu'ici, à avoir perçu l'étendue de mes prédispositions, à y être pleinement compatible et avoir su dissocier la femme de la chienne. En dehors de nos jeux il est tendre, respectueux, drôle, brillant. Il me fait l'amour. Dans nos jeux il est un maître délicieusement exigeant, qui sait adresser franchement, directement, l'objet sexuel qu'on apostrophe à renfort de mots crus, qu'on baise à loisirs dans tous les sens, seul ou à plusieurs, qu'on dirige totalement sans la moindre concession avant de l'avilir jusqu'à la transformer en vraie chienne offerte.

Nous déambulons quelques petites minutes avant que Lucas m'arrête, retire mon bandeau. Nous sommes au beau milieu du parking réservé au poids lourd et trois routiers sont devant nous, à se rincer l'œil au pied de leur cabine. Je n'ose pas me retourner pour savoir ce qu'il en est derrière nous, sur le chemin que j'ai dû mener en long et en large.

Lucas m'observe, satisfait, s'approche pour se coller contre moi, m'embrasser avant que sa main claque sèchement ma fesse droite.

- Direction les toilettes des hommes ma belle. Droit devant, en bougeant bien ton cul pour que ces messieurs prennent du plaisir à mater ce qu'ils vont fourrer.

Lucas :
Quel plaisir de voir le cul de Léa rouler devant nos yeux. Les miens et ceux des routiers qui nous suivent. J‘entends les discussions et les rires graveleux. Au mois deux d'entre eux sont étrangers, je crois reconnaître une langue slave. Je jette un coup d'œil derrière moi. Ils sont cinq, les deux que nous avons appâtés sur l'autoroute et trois autres qui nous ont rejoints sur le parking. En échange de la docilité de Léa, je sais que je lui dois protection et je ne veux surtout pas la placer dans une situation dangereuse. Le fait que ces hommes ne se connaissent pas a priori, me rassurent. Ils sont là pour satisfaire leurs besoins de nomades solitaires, trop heureux de cette opportunité.

A l'approche des toilettes nous croisons une femme, les yeux écarquillés devant la tenue de Léa. Elle va pour protester mais se tait et tourne les yeux devant le groupe imposant d'hommes visiblement excités. Arrivée devant le bloc sanitaire Léa a un instant d'hésitation. Je fais une rapide inspection des lieux afin de m'assurer qu'ils sont vides. Je m'approche et lui glisse à l'oreille :

- Voilà un endroit parfaitement adapté pour te faire vivre une expérience comme tu aimes. De bonne petite chienne offerte en pâture. Avance jusqu'au centre de la pièce et installe toi face à la porte, à genoux, le chemisier entièrement ouvert avec les pans bien sur le côté, loche offerte et les mains dans le dos..

Elle s'exécute aussitôt suivie par les routiers qui forment un cercle autour d'elle. Avec un fort accent, l'un d'eux m'interpelle:
- On peut y aller Patron ?
- Elle est à vous ! Pas de pénétration sans préservatif !


Léa :
Au moment d'entrer dans ce lieu par définition réservé aux hommes mes jambes se dérobent légèrement, l'adrénaline monte. Longer les urinoirs alignés me fait prendre conscience de toute l'indécence de ma présence dans cette pièce. Combien de queues ont été déballées, là, à moins d'un mètre de moi, devant tous ces emplacements ? Imaginer des hommes face à chaque bac, la queue à la main, me trouble profondément.

L'endroit est nouveau pour moi, en revanche être présentée en bonne salope soumise avant d'être offerte l'est moins. J'aime ça. C'est différent à chaque fois, en fonction des partenaires, de l'ambiance, des envies, de mon état d'esprit, et bien entendu de mon amant qui reste le maître du jeu. Cette orgie de queues je la désire et la perspective d'une bonne baise dans les règles, de beaux orgasmes en mode chienne, m'a réveillée à plusieurs reprises cette nuit. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis caressée entre le moment où Lucas m'a présenté l'idée de cette sortie et le moment où il m'a bandé les yeux. Des images puissantes remontaient dès que ma main s'engouffrait entre mes cuisses. De belles queues sans tête, toutes bien raides, bien gorgées de sperme, pour me pourfendre, me maculer de jus d'homme.
Je m'avance au centre des toilettes, me retourne pour voir arriver les cinq mâles en rut qui nous ont suivi, avant de m'agenouiller comme ordonné, mes bras derrière le dos pour afficher mon entière mise à disposition. Je n'aurais jamais pris une telle initiative seule, et c'est là que réside tout le piment de ma « soumission » à mon amant. Elle rend tout possible, même ce que je n'aurais pas osé imaginer.
Très vite l'espace autour de moi se remplit, devant, derrière, à droite, à gauche. Certains pantalons sont déjà pleinement déformés par une queue visiblement trop à l'étroit, mais personne n'ose encore ouvrir la danse. C'est fréquent. Il faut un premier pas pour qu'ensuite tout le monde suive. Une ultime demande d'autorisation, orale ou visuelle, est souvent de rigueur. Aujourd'hui ne fait pas exception et la confirmation de Lucas acquise toute va ensuite très vite.

Celui qui s'est installé bien en face de moi est le premier à déballer sa queue avec empressement pour la jeter dans ma bouche. Ce profil là je le connais, il va probablement jouir assez vite avant de disparaître. Le second qui commence à se caresser juste à côté doit être du même acabit. La surprise viendra probablement des deux routiers qui restent pour l'instant tranquille à mes côtés, qui ne se contenteront probablement pas d'une simple fellation volée à la va vite. Mais je pressens que le marqueur de cette sortie sera l'homme qui me fixe avec un grand sourire entendu, encore en retrait, à côté de mon amant. Je suce ma première queue en le regardant, en essayant de le cerner un peu plus, avec un regard malicieux à l'intention de mon amant qui quant à lui se délecte déjà de la situation actuelle.

Toute à mon observation je suce presque machinalement la queue impatiente. Un membre de taille moyenne que je peux avaler entièrement sans difficulté, et la première surprise vient de ma gauche. L'homme regroupe mes cheveux avant de les empoigner pour descendre ma tête jusqu'à ce que mes lèvres touchent les couilles de celui qui baise ma bouche.

- Talentueuse en plus à ce que je vois...


Lucas :
Les mots… Léa adore depuis toujours les mots. Compliments ou grossièretés, crus ou ampoulés, criés ou susurrés à l'oreille, les mots ont toujours eu un effet détonnant sur sa libido.

L'homme dont la queue a disparu dans la bouche de ma salope préférée, ferme les yeux et donne de petits coups de reins frénétiques… Au dernier moment, le second protagoniste tire les cheveux de Léa en arrière, la privant de sa rasade de sperme. La queue, dans un dernier soubresaut, éjacule dans une courbe qui va s'écraser sur le menton, la poitrine.

Léa me regarde fièrement. Elle adore faire gicler les hommes en un temps record, performance mêlant expérience, technique et fougue.
Dans ces cas là, elle sait qu'elle a le pouvoir.

Elle se tourne vers la seconde queue découverte et la branle doucement tout en l'approchant de ses lèvres. Un engin d'un tout autre calibre.

Elle est entrain de prendre le dessus sur l'assemblée. Mais aujourd'hui je ne veux pas qu'elle mène les opérations. Je la veux en pute soumise, obéissante et vicieuse.

- Continue à sucer et relève ton cul à hauteur de queue. Mets le bien à disposition.

Elle se relève en prenant appui sur les cuisses de l'homme qu'elle pompe, sa jupe est retombée sur ses fesses.

- Soulève ta jupe… fais voir tes trous, les cuisses bien écartées.

D'une main, elle découvre son cul rond. Elle est vulnérable dans cette position. Son équilibre est précaire d'autant que le même qui un moment plus tôt, la tenait par les cheveux, maintient à la fois son bras et la jupe relevée dans son dos.  

N'étant plus maîtresse de ce qui se passe derrière elle, elle se concentre sur la grosse queue qui coulisse dans sa bouche. Vu l'entrain avec lequel elle la gobe, je sais qu'elle a encore de la marge… J'aime bien lui baiser la bouche, voir ma queue recouverte d'une épaisse salive.

Je jette un œil sur sa fente, et je vois qu'elle est trempée, des gouttes ont même dessiné un chemin luisant sur ces cuisses. Elle doit être dans un état d'excitation maximal.

L'homme dans la bouche de Léa s'active et s'enfonce de plus en plus vite. Il grogne, s'agite, pose les mains derrière la tête et jouit dans un râle sourd :

- kurwa !!
Pas besoin d'être diplômée es langue, pour en connaître la signification.

Je vois Léa déglutir en même temps que son joli popotin remue, appelant le mâle à la saillie. Le polonais donne encore quelques coups de reins accompagnés de spasmes puis se retire, la queue décorée de son jus d'homme.  

Le spectacle est total. Je suis excité au plus haut point.

- Nettoie-le ! Tu ne vas pas laisser notre ami souiller son pantalon.

Elle attire à nouveau l'homme à elle et d'une langue agile happe les coulées le long de la queue, jusqu'à qu'il soit parfaitement nettoyé.

L'homme ayant joui, veut reprendre sa liberté privant ainsi Léa de son point d'appui. Anticipant le problème, je vais prendre sa place devant elle, de manière à ce qu'elle puisse se tenir à moi. Elle lève les yeux, me sourit. Son regard exprime son envie de jouir, son envie d'être prise comme une chienne. Son cul nu fait des huit dans une danse sans équivoque.  

Un des deux hommes qui jusque là observaient, s'approche et commence à défaire son pantalon, quand celui qui restait en retrait à mes côtés prend la parole.

- J'ai une demande un peu spéciale : Laissez moi rougir ces fesses ! Est-ce que je peux ?

Visiblement, il s'adresse à Léa. Mais aujourd'hui c'est moi qui décide.
  
Léa :
Lucas att mon visage par le menton et le tourne vers lui avant même que je puisse répondre. Il me regarde droit dans les yeux, et surveille l'expression de mon visage avant d'intervenir d'une voix  claire, posée.

- Pourquoi es-tu ici ma petite pute ?
- Pour être baisée dans tous les sens, en avoir partout.
- Parle plus fort et explicitement, que tout le monde l'entende cinq sur cinq. Tous tes orifices sont-ils en libre service pour vider leurs couilles ?
- Oui, ma chatte, ma bouche, mon cul. Pour être bien remplie, bien ouverte par de bonnes queues, jouir sous l'assaut de plusieurs hommes virils. Je suis là pour être saillie comme une pute, fessée comme une soumise. Traitée comme une chienne. Pour vider toutes ces couilles et avoir du sperme partout.
- C'est bien. Je vois que tu as parfaitement compris ce que j'attendais de toi. Et ces messieurs ont-ils bien pris les choses en main - en ce sens ? A la hauteur de ta mise à disposition ?
- Pas encore.

Lucas me sourit, lâche mon menton pour cette fois balayer l'assistance du regard pendant qu'il sort sa queue toute gonflée d'envie. Il att ma tête à deux mains pour l'empaler littéralement sur sa bite, la guider à sa guise, m'imposer son rythme, son amplitude.
Il me baise la bouche, sans concession, jusqu'aux couilles.

- Ma jolie soumise n'a pas déambulé comme une pute autour de vos remorques, ne s'est pas livrée à vous dans les chiottes d'une aire d'autoroute, la bouche déjà pleine de sperme, la chatte et le cul à hauteur de queues, pour que vous demandiez ensuite l'autorisation. Elle est là pour montrer qu'elle sait être un bon garage à bite dans toutes les conditions. Son comportement explicite attend en retour un traitement a minima proportionné et il serait regrettable de la décevoir. Prenez les rênes et dominez là. Faites lui vivre une expérience mémorable en mode bon vide couille, crûment, explicitement.

Tout en parlant le rythme donné par Lucas s'emballe. Son plaisir monte rapidement, son excitation se décuple.

- Vas-y. Bave bien sur ma queue. Tends ton cul bien relevé qu'on te le fasse rougir un peu. Écarte bien les cuisses. Montre ta rondelle.

Lucas me connaît bien. Il sait qu'à ce stade, ma chatte est dégoulinante d'impatience d'être prise par une bonne queue. Il pourrait directement demander à ce qu'on réponde à mon attente, être plus intrusif, mais le charme de ce type d'expérience vient de la diversité et il a trop d'expérience pour commettre cette erreur. Il se contente d'orienter par touche pour poser le cadre, les limites, tout en laissant naître progressivement la singularité du groupe. Il sait que je n'aime la fessée qu'à petite dose, juste pour accen mon côté offerte, soumise, sans apprécier le mélange douleur et plaisir, mais aussi qu'il faudra que mes fesses soit bien rougies pour ce petit monde se lâche ensuite librement. 

L'homme s'approche. Une première claque tombe, assortie d'un

- Voyons voir jusqu'où tu es une bonne chienne. Cambre toi et caresse toi pendant qu'on s'occupe un peu plus sérieusement de toi..

Lucas :
Enfin un mec à la hauteur. Le ton, les mots employés sont juste, fermes et ne souffrent d'aucune contestation. Ce mec là ne joue pas, c'est un dominant. Et ça fait des lustres que j'attends ce moment, que je cherche une personne avec qui je puisse échanger et partager ma belle Léa, ma pute soumise.

Bien sûr, nous en avons rencontré des ‘dominants', des auto-proclamés qui n'avaient soit aucune expérience, soit se limitaient à insulter, à donner deux trois fessées, petit prétexte à une partie de jambes en l'air sans imagination, pressés de retrouver leur famille dès leur petite affaire terminée.

Je lui montre mes deux mains ouvertes pour lui signifier ‘vas-y elle est à toi !'

Léa ne semble pas avoir entendu la demande du nouveau venu. Une nouvelle claque vient rougir sa seconde fesse.

- Je t'ai dit de te cambrer ! Et paf une troisième. Et je t'ai dit de te caresser.

Léa a parfaitement compris à qui elle avait affaire. Elle s'arque au maximum, tendant son cul d'une manière obscène. Puis elle glisse une main entre ses jambes, perdant un de ses points d'appui, s'enfonçant encore plus ma queue au fond de sa gorge. Je ressens son grognement lorsqu'une nouvelle fessée vient équilibrer la rougeur des deux fesses. Le salaud, il y va franchement, ou alors il a l'art de faire claquer.

- Regarde moi ce cul de guenon en chaleur… Vu sa couleur, il ressemble plus à un cul de babouin maintenant.

Léa lève les yeux, la bouche toujours bâillonnée par ma bite, la main toujours ostensiblement active dans sa chatte.  Je connais ce regard implorant, qui me supplie de la laisser prendre son plaisir… C'est rare qu'elle soit aussi excitée pendant une fessée, je sais que ce n'est pas vraiment sa tasse de thé, mais là elle semble complètement subjuguée par la puissance de ce type. Peut-être que le fait de se sentir aux mains de deux vrais dominants, lui fait réaliser un fantasme qu'elle pensait ne pouvoir jamais atteindre.

- Non, ma petite pute… tu ne jouis pas pour le moment.

Les fessées continuent à pleuvoir…

- Et dix ! Ça suffit pour le moment ! Mmmmm Ton cul est bouillant ! Viens mon pote ! À toi ! Je te laisse sa chatte.

Et notre ami s'écarte pour laisser la place au dernier participant. Celui-ci ne se fait pas prier et investit d'un seul trait la moule dégoulinante qui s'offre à lui.
Léa laisse échapper un grognement sourd, je la sens trembler des pieds à la tête, impatiente qu'elle était de recevoir quelque chose dans son ventre.

L'homme n'y va pas par quatre chemins et après avoir empoigné les hanches de ma soumise, il la baise avec force, la pilonnant comme si sa vie en dépendait.

- Vas y ma belle ! Jouis ! Éclate-toi ça ne fait que commencer pour toi !

Léa n'attendait que ces mots pour se laisser aller. Je me dégage de sa bouche afin qu'elle puisse exprimer sa jouissance.

- Oh…. Ouiiii ! Encore vas-y plus fort ! Ne t'arrête pas , vas-y ! oh ouiii

J'adore voir, entendre Léa jouir. Mais là nous sommes en extérieur et je ne voudrais pas ameuter tout le voisinage. Je tire sur ses cheveux, glisse ma queue contre ses lèvres et m'enfourne à nouveau au fond de sa gorge. Ces derniers cris meurent sur ma queue et la font vibrer.

Le baiseur après un ultime assaut, se retire, et le temps qu'il ôte sa capote, le fesseur att Léa et la retourne :

- Prends sa queue et viens recueillir la marque de ta débauche, à genoux, visage bien tendu.

Léa a à peine le temps d'empoigner le sexe gonflé de plaisir qu'une longue giclée blanche jaillit et vient éclabousser son visage, son cou, ses seins. Un véritable geyser de foutre. Je vois dans les yeux de Léa  une lueur de plaisir, de défi quand elle croise les yeux de celui qui vient de l'asperger. L'homme qui a pris les choses en main, ordonne:  

- Vas-y, nettoie-moi tout ça, petite chienne. Tu aimes ça salope, tu en as partout et j'espère que ton amant te fera assumer cette trace jusqu'à ce qu'il décide de te redéposer chez toi. Allez, sors ta langue et lèche bien, régale toi sans avaler.

Léa lèche ses seins qu'elle remonte avec ses deux mains. Sa langue recueille la semence blanche et fait disparaître le tout dans sa bouche avant de recommencer.

- Tu en as encore sur le cou. Le reste tu n'y touche pas..

Il tend la main, récupère le sperme autour de son cou et glisse les doigts dans sa bouche.

- Lèche… ouvre ta bouche et garde-la ouverte. Montre la pleine de sperme, la tête fièrement levée. Regarde dans les yeux tous ces hommes que tu as vidés, qu'ils se rendent compte combien tu aimes ça.

Les deux hommes qui ont joui précédemment se rapprochent, leurs sexes à nouveau bandés.
L'homme dominant réitère l'opération plusieurs fois, recueillant tout le sperme jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus aucune goutte.

- Je te dirai quand tu pourras avaler.

Les deux hommes se branlent énergiquement devant cette femme magnifique qui les défient du regard, bouche ouverte, en attente de l'offrande. Les deux glands violacés donnent des signes imminents de jouissance.

- Approchez tous les deux… Approchez. Et toi, ouvre bien qu'ils se vident les couilles directement dans ta bouche.

Je suis sûr qu'elle est entrain de prendre son pied et je trouve mon alter ego vraiment à la hauteur des événements, directif, inspiré et en phase avec Léa.  

Le premier à jouir met son gland congestionné au bord des lèvres de Léa, et la main velue vient comprimer la queue faisant s'écouler du sperme à gros bouillon dans la bouche. Il essuie son gland maculé dans le cou de Léa et a juste le temps de se retirer avant que son comparse se mette en place prêt à ajouter sa dose.

Léa est au bord de la jouissance, je le sens. Je m'accroupis à coté d'elle et lui murmure à l'oreille :

- Alors petite chienne, tu prends ta dose aujourd'hui.

Disant cela, je lui enfonce deux doigts dans la chatte. Ça rentre comme dans du beurre fondu.

Elle tremble de la tête aux pieds, c'en est peut-être trop pour elle. C'est le moment que choisit l'homme au dessus d'elle pour gicler au fond de sa gorge. Elle est obligée d'avaler pour ne pas .

- C'est bien petite pute. Avale tu l'as bien mérité tout ce bon jus.

Alors qu'elle déglutit petit à petit, je sors les deux doigts de sa chatte et les enfonce dans son cul avec la même facilité. Elle est ouverte, comme une chienne en chaleur. Elle n'a plus la force de crier et s'effondre en avant, son cul maintenu en l'air par mes deux doigts profondément enfouis.

Je me tourne alors vers l'homme dominant.

- Son cul est à toi ! Je crois que tu l'as bien mérité !  


Léa :
On ne naît pas chienne, on le devient au fil de ses expériences, en fonction de ses amants, de son appétit sexuel. Ensuite il y a tellement de construction différente, des plus bénéfiques aux plus nocives, que je ne peux parler que de la mienne. J'ai acquis progressivement une grande capacité à assumer des situations anticonformistes jugées dégradantes, à avoir un vrai recul sur moi en dehors du carcan de notre société. Ça me donne accès à une palette de plaisirs particulièrement large et intense. Pour autant je ne suis pas tout le temps chienne. Il y a des périodes, voir des moments. Il y a aussi différents degrés qui dépendent de la situation, de l'ambiance générale, de la volonté qui anime les protagonistes.
Ce soir je suis CHIENNE, jusqu'au bout des ongles – des griffes-. Une bonne petite pute avide de sperme, de queues dans tous ses orifices, d'orgasmes donnés et pris. Un garage à bites entièrement disponible dans toutes les positions, à la totale disposition des envies de mon maître.

La phrase de Lucas à peine terminée, je pose ma tête contre le carrelage pour ouvrir mon cul à deux mains, l'offrir.

- C'est ça que vous aimez hein !! Une bonne chienne qui accède sans sourciller à toutes vos demandes. Alors soyez comblé, je m'assume en vraie gourmande docile et j'aime qu'on repousse mes limites pour aller au bout de vos fantasmes. Régale toi de la scène mon chéri : ta bonne petite pute en libre service dans les chiottes d'une aire d'autoroute, qui offre son cul ouvert à deux mains alors qu'elle est déjà dégoulinante de sperme.

Ils ne sont plus que deux à ne pas avoir joui en moi, mais pas des moindres. A peine installée une queue vient pousser en douceur mon sphincter, l'ouvrir pour se frayer un chemin millimètre par millimètre directement au fond de mon cul après juste un léger aller retour à l'entrée. Il y a là de l'expérience et une volonté affichée d'imposer sa domination en me plantant bien dès la première pénétration : j'aime. Un gémissement de plaisir m'échappe à la perspective de la chevauchée prometteuse qui va suivre et le retour ne se fait pas attendre. Un premier coup de butoir ample vient me soutirer une incitation supplémentaire à continuer, suivi d'un deuxième rapproché qui fait claquer nos deux corps imbriqués.
  
- Oh oui ! Elle est définitivement bien dressée et faite pour le plaisir.
  
Bien dressée je ne sais pas et il me semble qu'il me reste encore mille expériences totalement folles à vivre. Faite pour le plaisir : certainement. Ce dominant m'offre une sodomie d'anthologie, virile, qui m'amène jusqu'à l'orgasme à elle seule.

Lucas :
J'adore voir Léa se déclarer.  Déclarer sa soumission, déclarer sa « chiennitude », et mettre ses actes en concordance, s'ouvrir à ses fantasmes enfouis, ouvrir ses fesses,  s'ouvrir physiquement et psychiquement. Pendant qu'elle déclamait sa soumission, elle plongeait son regard dans le mien, un regard d'appartenance et de confiance totale. « Con-fiance, je te confie mon âme et mon con.»

Léa est face à moi, ses yeux plantés dans les miens. J'ai suivi la progression de la queue dans le cul de Léa, à travers son regard, d'abord interrogatif, comme si elle essayait d'évaluer la taille de la goupille qui allait l'emmancher, puis inquiet au fur et à mesure de l'avancée de l'engin, et enfin troublé, lorsque les hanches sont venues buter sur les fesses et que les premiers va-et-vient ont permis à la queue de prendre sa place et faire du bien.

Je n'ai pas vu ses fesses se contracter, comme quand elle veut abréger la sodomie, pompant la queue qui la transperce, prenant le contrôle de l'acte. Non là, je la sens complètement relâchée, ouverte, chienne, subissant le mâle dominant. Je sais que c'est ce qu'elle aime, et d'ailleurs elle ne tarde pas à jouir, les yeux grand ouverts, m'offrant son orgasme.

- La salope! Elle jouit aussi par le cul! Jamais vu ça, une salope pareille.

L'homme essoufflé râle une dernière fois, le sexe bien enfoncé entre les fesses, les reins secoués de soubresauts.

Je regrette qu'il ait joui dans sa capote, mais je sais que Léa aime qu'on jouisse dans son cul, qu'elle aime sentir l'homme s'emballer puis tressauter au fond de ses reins.

L'homme se retire, laissant Léa dans cette position de soumission ultime, les fesses en l'air et ouvertes.

Elle a passé tous les caps et désormais je sais qu'elle n'attend plus qu'une chose, qu'un nouveau mâle vienne la prendre, puis un autre et un autre.

- Regarde ça, elle est toujours ouverte, dit le dernier en lui claquant vigoureusement les fesses.

Et sans plus de précaution, malgré un membre long et épais, il encule Léa jusqu'à la garde. Celle ci est suffisamment ouverte pour l'accepter sans rechigner, et à chaque aller retour elle pousse un cri qui va crescendo.

Léa : 
J'ai rarement été aussi indécente et je ne boude pas mon plaisir, l'exprime librement. Les préliminaires dans la voiture m'avaient terriblement excitée et mon exhibition comme une vulgaire pute sur le parking des routiers m'avait mise dans tous mes états. Un début des plus prometteurs qui avait parfaitement stimulé mon côté très cérébral, mais qui restait à confirmer. La concrétisation n'est malheureusement pas toujours à la hauteur, surtout lorsqu'elle dépend du comportement d'inconnus piochés au hasard d'une rencontre dans un lieu banal. Aujourd'hui nous elle est en apothéose et j'ai arrêté de compter les orgasmes pris et donnés... .

- Alors ma chienne, est-ce que tu aimes ta sortie ? 
- Oui. Ils m'en ont bien mis partout, ils m'ont baisée comme la bonne petite pute que j'avais envie d'être pour toi ce soir. 
- Nous ne sommes pas encore au niveau de ton fantasme inassouvi, mais on s'en rapproche n'est-ce pas ! Ces messieurs devraient d'ailleurs l'apprécier à sa juste valeur. Raconte donc les images qui te font jouir lorsque tu te caresses. Ce sera ton cadeau final de remerciement avant de dire au revoir.
- Être amenée par mon amant dans un des derniers ciné porno encore ouvert et faire jouir les clients.
- Voyons Léa, tu peux faire bien mieux que ça. Nous avons tous vidé nos couilles dans ta bouche et tu es en train de te faire copieusement démonter le cul par le dernier mâle à avoir encore un peu de ressources. Assume et exprime-toi en bon vide-couilles que tu es, en les regardant droit dans les yeux... 
- Que mon amant et maître m'y entraîne et m'affiche en vraie chienne soumise. Qu'il prépare sa pute dès le couloir du cinéma pour me faire arriver dans la salle directement en nue salope, avec un collier, une laisse. Qu'il me fasse bien faire tout le grand tour, m'arrête devant l'écran,  au milieu face à la salle, pour se placer derrière moi et me faire compter les queues qui vont me baiser pendant qu'il me doigte d'une main, me donne deux doigts à sucer devant toute l'assemblée de l'autre… 
- C'est beaucoup mieux. Explique ce que nous appelons toi et moi « nue salope ». 
- Entièrement nue, avec des talons hauts, un porte-jarretelles qui met en valeur mon cul orné d'un rosebud au brillant couleur vif bien visible, pour afficher un orifice déjà bien ouvert, bien rempli. Un rehausse sein qui expose entièrement ma poitrine sur un plateau de dentelles, mon collier de soumise.

Lucas : 
J'aime pousser Léa dans ces retranchements, j'aime lui faire décrire ces envies, j'aime voir ses yeux se perdre dans ses fantasmes, entendre sa voix se casser, entrecoupée de gémissements provoqués autant par les coups de butoir de son partenaire que par les paroles qu'elle est entrain de prononcer.

Je me jure de lui faire vivre son fantasme bientôt, le plus difficile étant de dénicher un cinéma porno de nos jours …

Complètement emportée par son fantasme, elle ne peut poursuivre, sa voix se brise et se perd dans un cri que je connais trop bien, un orgasme qui la fait s'effondrer, l'homme qui la pilonne la suit, râlant sa jouissance profondément enfoncé dans ses fesses. 

Un moment de répit, puis Léa sort de sa torpeur. Elle me cherche du regard et me réclame. Je viens d'échanger mes coordonnées avec le mec dominant,Alexis, qui habite notre ville et je lui promets de l'appeler bientôt.

Je remercie les protagonistes de leur participation, fais un clin d'œil à Alexis, puis je prends Léa dans mes bras, et la soutiens jusqu'à la voiture dans le siège passager où elle s'écroule.

Avant de sombrer dans le sommeil, complètement épuisée, elle utilise sa dernière énergie :

- Tu es fou… je suis folle. Merci Lucas…

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