Fantasmes En Cascade

- Mais enfin chérie ce n’est pas un drame, quasiment tout le monde, hommes et femmes se masturbent c’est tout à fait normal, cependant je m’excuse de t’avoir surpris dans cette posture intime
- Imagine la honte pour moi, tu aurais dut annoncer ta venue
- Et alors ? tu étais allongée sur la balancelle cuisses écartées, dont une pendante, je ne pouvais prévoir que tes doigts travaillaient ton clitoris ? tu as jouis au moins ?
- Non, j’étais prête, à une seconde prés
- Quel dommage, veux-tu recommencer ?
- Ce ne serait pas pareil... tu le fait toi aussi ?
- Bien sûr, mais si je le fait devant toi j’aurais peur moi aussi que tu me juge mal
- Tu penses à quelque chose ou à quelqu’un à ce moment-là ?
- Effectivement je pense à quelque chose et à quelqu'un
- J’en étais sure, c’est qui ? avoue !
- Mais c’est toi chérie, par contre si je te dis pourquoi tu risques de te fâcher
- Non, je vais rester calme, dis-moi tout
- A condition qu’après tu fasses la même chose ?
- C’est d’accord
- Bien, une ou deux fois par semaine, souvent entre midi et deux, je suis seul dans mon bureau, je sors ma queue et ferme les yeux, là je te vois avec un homme ou plutôt une masse informe, sans visage, qui passe sa main entre tes cuisses que tu écartes volontairement, vu ton expression il te fait un bien fou, alors tu l’enlace et l’attire à toi sur notre lit conjugal, il sort une bite énorme qu’il t’enfile avec force, comme un coin qui fait éclater une bille de bois , les expressions de ton visage sont multiples ,il cogne, cogne de plus en plus fort, tu l’enserre de tes quatre membres pour l’empêcher de se retirer au moment ultime, enfin il se bloque sur toi pour te gaver de sperme… vous êtes secoués de spasmes interminables , un jus visqueux s’écoule de ton vagin enflé, c’est à ce moment-là que j’éjacule entre mes doigts, ensuite je suis serein pour bosser
- Ce n’est donc pas une femme qui occupe tes pensées ???
- Mais non voyons ! tu es la seule femme de ma vie, à toi de me confier ton jardin secret
- C’est quuuee pour moi c’est bien réel … mais seulement depuis peu
- Ha ? je ne comprends pas
- Jure-moi de ne pas te fâcher ?
- Me fâcher ? je bande déjà !
- L’autre jour je nettoyais les fraises au fond du jardin quand une envie de faire pipi m’as prise, ça m’embêtais de revenir à la maison, j’ai regardé autour de moi avant de relever ma jupe et baisser ma culotte, ça me faisais un bien fou, mais lorsque j’ai relevé la tête pour prendre un mouchoir et m’essuyer j’ai vu le voisin à travers la haie plutôt clairsemée à cet endroit, a peine dix mètres qui n’avait apparemment rien perdu de la scène
- Le père Jamin ?
- Oui
- Ce n’est pas un drame, le pauvre homme ne doit plus bander
- Ça c’est ce que tu dis … il manipulait lentement un vrai gourdin deux fois plus gros que le tien, même étant découvert il ne s’est pas arrêté
- Il se masturbait devant toi ?
- Oui et le pire est que je suis restée tétanisée, je ne pouvais plus bouger, j’avais toujours les cuisses écartées une main sur ma chatte
- Non ? !!! ça duré combien de temps ?
- Impossible à dire, jusqu'à ce qu’il éjacule en poussant un long soupir, alors il m’a adressé un sourire et un merci avant de ranger son matériel et tourner les talons, j’ai pu finir de m’essuyer… enfin presque…
- Enfin presque quoi ?
- Je me suis aperçue que j’étais trempée
- Ça t’avait fait mouiller ?
- Énormément, je me suis assise sur la balancelle pour.

..
- pour te masturber ?
- C’était ma première fois, mais très intense, depuis je n’arrête pas d’y repenser, je viens donc sur la balancelle régulièrement pardonne moi chéri
- Tu n’as pas tenté d’y revenir ?
- Non, pourtant chaque matins je l’entends tousser, comme pour me donner un signal
- Demain matin t’y reviens
- Quoi ?
- Je serais là pour t’encourager, il faut absolument que tu réalises ton fantasme si tu veux qu’il disparaisse
- Quel fantasme d’après toi ?
- Qu’il te prenne carrément
- Tu ne serais pas jaloux ?
- Tâte le volume de ma jalousie …
- Touche la sécheresse de ma chatte
C’est ainsi que le lendemain à la fraicheur, Mélanie est allée le cœur battant la chamade au fond du jardin… sans petite culotte , elle chantonne pour se donner du courage et signaler sa présence , d’où je suis je peux observer les déplacements du père Jamin, l’homme sort de chez lui en robe de chambre, il aperçois ma femme qui se baisse pour faire semblant de ‘jardiner’ , genoux écartés face à la haie, Jamin vient de défaire la ceinture de son vêtement qui, inévitablement s’ouvre, il s’approche silencieusement de la haie afin d’avoir la meilleure vision possible sur l’entrejambe, il tousse lorsqu’il s’aperçois que Mélanie ne porte rien dessous, l’homme prend sa bite en main et commence une lente masturbation ,ma femme, de temps à autre, lève sournoisement les yeux pour voir la trique prendre du volume ,la mienne est déjà au beau fixe !
Soudain, comme la première fois, jambes écartées, Mélanie se redresse et relève sa jupe, dévoilant carrément ses fesses, je vois un jet doré fuser en direction de Jamin qui pousse un cri
- Hooo merde ! c’est pas possible de voir ça !
- Hooo ! c’est vous Jamin ? pardonnez-moi mais mon envie est trop forte
- Ne t’arrête surtout pas c’est mauvais pour la santé
- Même si je voulais je ne pourrais pas, je vois que vous aussi avez une grosse envie ?
- Tu me fous la trique mignonne, y’a trop longtemps que je rêve de ta chatte
- Ah bon ? il ne faut pas rester comme ça, vous allez faire une apoplexie
- Je peux venir te voir ?
- Venez, j’ai fini
- Ne t’essuie surtout pas …
Comme dans un rêve je vois Jamin franchir la haie et se mettre à genoux devant Mélanie qui avance son ventre afin de se faire lécher par la langue pointue qui lape les dernières gouttes a même la source, même au-delà … agrippé aux cuisses féminines l’homme fend la chatte de ma femme qui est agitée de spasmes, obligée de se tenir à la tête pour ne pas vaciller
- Ohhh vas-y Jamin c’est trop bon, enfonce bien ta langue je vais jouir
- Mmmuuummmmmmuuuuummmmmm
Entre les cuisses de l’homme accroupi je vois le membre, le même que celui de mes masturbations, tressauter comme s’il cherchait une faille pour s’y réfugier
Trop excitée ma femme succombe a la jouissance et tombe elle aussi à genoux, machinalement sa main se dirige vers la queue énorme pour la branler, Jamin est rouge de plaisir, pourvu qu’il ne fasse pas une attaque, sachant que je regarde Mélanie hésite à avaler un morceau de queue, mais l’envie est la plus forte, ma femme suce notre voisin avec délectation, c’est à son tour de se tenir à la tête féminine et marquer la cadence , jusqu'à ce qui se raidisse et ouvre la bouche pour laisser échapper son plaisir, Mélanie rougi en essayant de tout absorber, le surplus coule sur son corsage , réveillée et honteuse elle s’enfuie vers la maison ignorant ma présence, je la retrouve nue dans la salle de bain
- Ça va chérie ?
- J’ai honte de ce que je viens de faire, ça ne me ressemble pas
- Tu plaisante ? c’était sublime !
- Tu espérais qu’il me saute ?
- Comme l’homme que je vois dans mes masturbations, ainsi notre fantasme, puisque c’est le même, serait caduc
- Jusqu’au prochain ?
- Nul ne peut prédire l’avenir …
- En attendant je n’oserais plus aller dans le jardin
- Inutile puisque c’est Jamin qui va venir ici
- T’es fou ? quand ?
- Ce soir pour l’apéro
Notre voisin ne savait pas trop comment il devait prendre cette invitation, sans doute avait-il peur que je lui fasse des reproches ou pire, mais lorsqu’il a vu Amélie alanguie dans la balancelle et cette mini robe au large décolleté son visage s’est illuminé
- Je ne vous dérange pas au moins ?
- Au contraire, notre invitation est murement réfléchie
- Ah bon ?
- Asseyez-vous prés de ma femme Jamin, ne tournons pas autour du pot, Amélie a envie de vous
- Envie d’un vieux con comme moi ?
- Vous avez un physique qui l’a laissée rêveuse, depuis quelques jours ma femme vient sur cette balancelle pour se caresser
- Si je vous disais que pour moi c’est la même chose …je n’arrive pas à trouver le sommeil
- Alors il n’y a qu’un seul remède qui guérira tout le monde, faites-lui l’amour
- Devant vous ?
- Devant moi, c’est la seule contrainte, à toi de décontracter notre voisin chérie
- Voulez-vous que j’ôte ma robe Jamin ?
- Tu ne dois pas avoir grand-chose dessous ?
- Rien, absolument rien …regardez ….
- Merde alors …
- Vous avez le cœur solide voisin ?
- Encore tout neuf !
- Alors il n’y a aucune contre-indication
- Je peux lui ouvrir les jambes ?
- Je vais le faire avec plaisir, vient me brouter Jamin
Sans se soucier de ma présence l’homme s’agenouille entre les cuisses pour accéder au fruit offert, il n’a pas assez de doigts pour visiter l’entrejambe, dans un soupir de satisfaction sa langue prend le relais, Mélanie se positionne et guide la tête afin de profiter au maximum du cunnilingus, réceptive elle se laisse très vite submerger par l’orgasme, ma queue désormais sortie et décalottée j’observe ce couple illégitime, Jamin reprend respiration en s’essuyant la bouche et tâte sa braguette déformée
- Je vois que tu t’es mis à l’aise
- Faites-en autant Jamin, il n’est pas bon de couper la circulation sanguine de son sexe, je suggère que nous allions maintenant dans la chambre
- Je peux donc encore profiter de ta femme ?
- Et elle de toi !
Les deux amants pressés trottines nus dans le couloir, Mélanie occupe le milieu de la couche, bras en croix jambes pendantes, le voisin se débarrasse de sa chemise, je m’aperçois que ses poils n’ont pas entièrement blanchis, ma femme trop impatiente de se faire ‘monter’ ou ‘démonter’, c’est selon, évite la fellation en lui tendant les bras, le membre vient de se soulever à l’horizontale visant la fente craquelée, luisante de mouille
- Vient Jamin …
- J’arrive ma biche, pardonne-moi si je m’y prends mal, ça fais une éternité que je n’ai pas baisé
- Ça ne s’oublie pas, donne-moi ta bite, je vais te guider
En douce j’ai sorti mon smartphone en position vidéo… accroupi derrière l’homme je ne peux rater la pénétration… à part la paire de testicules qui pendouille, il n’y a pas d’autre solution que de la soulever a la main …
- Qu’est-ce que ??
- C’est moi Jamin, je soulève vos baloches qui bouchent ma vue
- Ok fiston mais ne t’avise pas de chatouiller mon trou du cul !
- Loin de moi cette idée, je suis moi-même vierge !
- Vas-y Jamin enfile toi dans ma chatte
Et là c’est l’apothéose, le gland n’a aucune difficulté à s’introduire repoussant et arrondissant les lèvres de chaque côté, l’homme marque un temps d’arrêt et recule légèrement, faisant minauder Amélie qui croyais qu’il allait tout lui mettre d’un coup, les fesses du mâle se contractent, je présage le pire …
- Attention ma poule je vais te pénétrer …
- Oui ? HHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIII !! j’ai toute sa bite !!! je suis ouverte chéri c’est trop gros !
- Ça fait mal ?
- NNNNNOOOOOONNNNNNNNNN !!!! c’est trop booooonnnnnnn, baise-moi Jamin !!! Jamin ??
Couilles ou pas je ne vois plus rien, les deux amants sont collés comme deux animaux, ils ne bougent plus, les respirations sont hachurées, du coup je m’inquiète …
- Ça va chérie ? ça va Jamin ?
- M’en parles pas je viens de décharger …
- Ce n’est pas grave, ça arrive après tant de temps d’abstinence, le temps que tu rebande et c’est reparti
- Ma gaule ne faibli pas, j’ai juste été surpris, on y va poupoule ?
- Défonce-moi maintenant
Du coup je soulève à nouveau les couilles pour voir le piston huilé de foutre en action, une bague de mousse se forme à la base, Amélie couine plus qu’elle ne geint, fatigué de la position il prend ma femme par la taille se redresse et la soulève, assise sur la queue sa moule n’est plus qu’une lézarde difforme, courageuse ou gourmande elle trouve la force de se soulever afin de retomber lourdement, chaque fois plus fort, c’est la jouissance qui la commande je crains le pire lorsqu’elle redescendra sur terre, heureusement Jamin la bloque afin qu’elle ne bouge plus , cette fois c’est lui qui éjacule car des paquets de foutre tombent sur le parquet, soulagé et aussi fatigué il soulève sa proie pour se désaccoupler et la jette sur le lit
- Merci pour cette excellente soirée, j’ai mon compte je vais rentrer …
- Moi pas
Je me jette comme un affamé entre les cuisses de Mélanie pour boucher le trou de ma queue afin de stopper l’hémorragie de sperme
- Merci chéri c’était super bon avec Jamin, mais c’est fini, je ne me masturberais plus en pensant à sa queue
- Tu penseras à quoi alors ?
- A deux grosses verges mon amour !!!!
Nous avons fait l’amour tendrement, lentement, puis, apaisés je lui ai fait visionner mes prises de vues …
- Il possède quand même un truc de ouff ! mais à présent mon anus est jaloux …
- Tu vas donc continuer à te branler sur la balancelle ?
- Trouve-moi vite deux hommes chéri …..