La Pk Andre 08
LA P K ANDRE
Ep 08 : IL FAUDRA SE DECIDER
Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie
Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices
La semaine qui suivait était longue. Il ne se passait pas une journée sans que je ne ressente cette pression dans ma cage de chasteté. Dix fois par jour, cent fois par jour je bandais. C'était sans espoir mais ma queue ne le savait pas, ne voulait pas le savoir
C'était sans espoir, ma queue protestait, elle semblait savoir qu'elle ne sortirait bientôt plus de cette cage et elle n'acceptait pas cette éventualité !
Le soir avant de m'endormir était le pire moment de la journée. J'étais tendu et j'avais du mal à m'endormir. Quand le week-end arrivait il ne fallait espérer aucune libération, pour personne d'ailleurs
J'avais passé une première semaine verrouillé, avait suivi une seconde période de deux semaines, suivait la troisième période de trois semaines, j'en était là !
Mes camarades suivaient la même période d'essai mais comme nous n'étions pas arrivés en même temps
Je devais encore attendre jusqu'au prochain week-end. Ce n'était peut être qu'une impression mais il me semblait que c'était plus dur, plus long bien sûr mais plus dur aussi !
Le samedi midi je retrouvais tous mes camarades sous la douches, ils étaient souriants, et plaisantaient joyeusement. J'en faisais de même mais dans ma cage de chasteté c'était la pression, une forte pression comme je n'en avais pas encore connue. Toujours en rigolant, ils se faisaient des câlins. Je m'écartais rapidement, c'était encore pire pour moi ! C'est pas comme ça que j'allais me calmer
Je préférais sortir faire un peu de sport, là au moins je dépensais de l'énergie et ça me faisait un bien fou !
Le soir, ils avaient décidé de sortir les bouteilles. Discrètement on avait fait des courses, chacun faisait entrer discrètement un gros pack de bière
C'était pas interdit, si on était saoul il ne fallait pas se faire remarqué aussi on avait décidé de ne pas sortir de notre quartier
Le soir on se laissait aller
Sous les effets de l'alcool, même en quantité raisonnable, on se lâchait tous les uns après les autres
C'est Ben qui commençait et se retrouvait à poil.
Denis me lançait alors quelque chose que je rattrapais
C'était un gode ! Il avait choisi le plus petit de sa collection. Je le gardais dans la main. En fait j'avais envie de l'essayer, je me souvenais du plaisir que j'avais ressenti quand on m'avait glissé un doigt dans le cul. C'était bon et j'ai éjaculé instantanément. Mais je n'osais pas. Les autres eux osaient
Et ce spectacle ne me calmait pas. L'un s'enfonçait un gode de taille moyenne, il était suivi par un autre puis encore un
Richard avait choisi un gode de grosse taille, il m'avait bien semblé l'autre jour avec Ben qu'il aimait bien les gros calibres. Ça me faisait peur le truc qu'il avait choisi, ça me faisait peur mais ça me faisait envie
Je le regardais avec avidité, j'aurais aimé lui défoncer le cul. Ma queue poussait de toutes ses forces contre sa prison, je respirais fort, le gode entrait doucement et Richard faisait une grimace, fermait les yeux et soufflait fort. Le gode entrait finalement sur toute sa longueur, près de vingt cinq centimètres
C'est pas pour débutants ce truc ! J'avais envie de me prendre un gode, j'avais envie de pouvoir me prendre une truc pareil dans le cul. A voir la tête qu'il faisait, ce devait être l'extase !
Je tripotais mon gode dans la main avec force, un peu comme on le fait avec ces espèces de petits bidules chinois anti-stress. Vous savez c'est machins, je ne sais pas comment ça s'appelle, on les malaxe, on les serre dans la main, on les tord
Il paraît que ça calme
Et bien moi vous pouvez me croire ça ne me calmait pas vraiment.
Je finissais par remarquer Raphaël, il était dans son coin lui aussi, un peu comme moi et ne semblait pas vraiment à son aise.
En fin de soirée quand tout le monde commençait à s'endormir je n'avais pas joui, pas éjaculé non plus. Raphaël me disait en allant se coucher que pour lui c'était pareil, nous devions être les seuls
Le dimanche qui suivait était frustrant, encore plus frustrant. C'était plus calme, les garçons ne passaient pas la journée à jouer avec des godes, ils passaient une journée normale, sport, repos, détente, sortie en ville
Enfin, tout ce qui constitue une journée de repos normale pour ne pas dire banale.
La semaine qui suivait annonçait une panique
Nous étions tous convoqué le lundi matin. Tout le personnel sans exception était au garde à vous dans le grand hall d'entrée
On nous annonçait la visite d'un personnage important de la PK
Il fallait préparer la suite présidentielle. Dans une maison normale on aurait appelé ça une chambre d'amis
Ici c'était une suite, il y avait une chambre, une salle à manger avec un coin salon, un bureau, une salle de bain
Je ne l'avais pas encore vue celle là
Elle était en marbre rose ( c'est simple ce n'est pas rare, ça n'existe plus ! ), bain moussant, baignoire douche ( ça c'est normal je sais mais là
c'était pas du normal
)
La maison dans son ensemble était luxueuse mais là ça dépassait tout
Il est vrai qu'à cette époque je n'avais pas encore vu le chambre du boss ! Il y avait aussi une seconde chambre dans la suite présidentielle, au cas où je ne sais pas quoi mais au cas où
Le mercredi le personnel de service était appelé dans le hall d'entrée
Oscar nous passait en revue, on devait être parfait. Notre patron Mr Sébastien Laclaque était dans son bureau quand on annonçait une voiture
Une Rolls remontait l'allée devant la maison, elle s'arrêtait juste devant l'entrée, deux valets se précipitaient pour ouvrir les portières, ils ouvraient une portière arrière mais personne n'en sortait, les deux portières avant s'ouvraient
Les deux valets rectifiaient leurs positions.
Notre patron accompagné des nos deux hôtes entraient dans le hall, on faisait les présentations
Sebastien Laclaque : Je tiens à vous présenter, pour ceux qui ne connaîtraient pas nos hôtes, Luc Brosso et son compagnon Bob. Mais au fait bob, tu n'as pas de nom de famille ? Je n'ai jamais entendu personne t'appeler autrement que Bob !
Bob : Continue donc à m'appeler Bob et ne te complique pas la vie ! Mais je vois que Oscar est toujours parmi nous ! Vous allez bien Oscar ? ( En lui serrant la main ).
Oscar : Très bien Monsieur Bob, pour vous servir, je suis très heureux de vous revoir !
Luc : Heureux de vous revoir Oscar ! ( En lui serrant la main également )
Nos deux hôtes avaient l'air très sympathiques. C'étaient deux personnages très importants dans la hiérarchie de la PK !
SL : Mais tu as encore changé de voiture !
Bob : En ce moment il n'arrête pas ! C'est la troisième depuis le début de l'année !
Luc : Bob tu te moques de moi !
SL : Mais qu'est-ce qui s'est passé avec les deux autres ? Le réservoir était vide ?
Bob : Il trouve que c'est plus simple que de faire le plein ! ( en retenant un fou rire ).
Luc : Mais c'est fini tous les deux ! C'est quelque chose ça ! Tout ça parce que j'ai acheté trois Rolls cette année, et elles ne sont même pas de la même couleur !
Ils nous saluaient tous avant de passer au salon bibliothèque avec notre patron. Oscar nous avait averti que les hauts directeurs de la PK étaient absolument charmants et très respectueux du personnel à leur service ! C'était vrai ! Je restais pensif sur ma situation, je portais à l'essai un dispositif de chasteté depuis moins d'un mois et demi. Eux le portaient en permanence depuis
Des années
C'est même eux qui l'avaient inventé
Ils s'installaient dans la suite.
Nos deux hôtes devaient rester quelques semaines, Mr Luc préparait le scénario d'une émission télé et Mr Bob s'installait dans le bureau, je ne sais pas ce qu'il faisait lui, il semblerait qu'il gérait des entreprises, je n'en sais pas plus
J'étais un peu déçu par le comportement de ce Mr Bob. Il était charmant, très courtois mais
A la PK ils étaient un peu hypocrites, un de leur directeur ne portait même pas le dispositif qui faisait leur renommé
Oscar m'expliquait plus tard que Mr Bob n'était pas membre du conseil d'administration, ne travaillait pas pour la PK et n'en était même pas actionnaire
C'était le compagnon de Mr Luc qui, lui non plus, n'était pas membre de la PK en fait. C'était le frère du PDG. Lui, Luc, possédait et dirigeait un groupe de chaînes de télévision, gros producteur d'émissions, et patron de presse ! Ils étaient amis de notre patron de longue date et c'est à ce titre qu'il étaient reçus dans cette maison
Le quotidien de la maison reprenait. Le matin je voyais Ben et Richard au potager. Mr Luc devenait un habitué de la piscine, il s'y rendait tous les matins. Je peux vous confirmer qu'il portait un dispositif de chasteté en métal. Je l'ai en effet croisé plusieurs fois
A la piscine il sembarrassait pas d'un maillot de bain ! Son ami Bob non plus
Mais lui ne portait pas de dispositif de chasteté ! Il y a des privilégiés
Et j'essayais de ne pas me faire remarqué quand j'admirais sa lourde queue qui pendait et se balançait devant lui à chacun de ses mouvements.
Le week-end arrivait. Le week-end des trois semaines
Les trois derniers arrivés étaient libres également, pour eux c'était le week-end des deux semaines
On était trois, Richard ne retirait pas son dispositif. Trois mecs en rut face à cinq mecs en manque ! Le samedi après midi était chaud.
Je passais mon temps à poil tant que je quittais pas notre quartier, une partie de mes camarades également, pas seulement les deux qui pouvaient bander librement, les autres aussi
Il ne se passait pas une heure sans qu'on me tripote la bite, ou qu'on me la suce. Je prenais bien le temps d'en profiter, je jouissais et jutais au premier coup de langue
C'était le manque, ça faisait trois semaines et trois semaines c'est long. Le second, je l'enculais et cette fois je mettais du temps avant de jouir
Le dimanche soir j'avais bien profité des ces heures de liberté, je ne m'étais pas branlé, cinq garçons en manque étaient prêts à me faire plaisir. C'est tout juste si on ne me proposait pas de me la tenir quand j'allais pisser
C'était pareil pour les deux autres qui étaient comme moi ! J'avais défoncé le cul des cinq mec qui étaient toujours sous clé. J'étais content ! Mes deux autres camarades ne s'étaient pas retenus non plus et il y en avait donc cinq qui en avait pris plein le cul
Mais ils le cherchaient un peu !
C'est donc sexuellement repu que je mettais à nouveau ma cage de chasteté le soir, je préférais dormir avec
Bien sûr j'aurais pu attendre le lendemain matin, je n'étais pas obligé de la porter avant de reprendre mon service mais là j'avais ma dose. C'était la dernière ligne droite, les quatre semaines, un jour et demi de liberté puis
Là il faudra se décider, j'avais un peu peur de la décision. Ce soir là tout allait bien mais dans un mois
Et dans l'année à venir
?
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