Elodie, Ses Fesses Et Mes Fantasmes
Je l'ai connue, elle avait 8 ans. Elle est la fille de mon beau-frère. Lui était chauffeur routier indépendant. Elodie, fille de fermier reconverti était distante et méfiante de tout homme étranger à sa famille. Deux ans plus tard, j'épousai sa tante. Quand elle a eu 16 ans, son père est mort dans un accident de la route. En conflit permanent avec sa mère, quand elle est devenue majeure, à 21 ans, elle a demandé à ma femme, de venir vivre avec nous. Nous avons accepté.
Au début, elle a décidé de m'appeler papa. Nous avons 38 ans d'écart. Au fil des années, elle s'est rapprochée de moi, me racontant ses petits malheurs. En 2017, ma femme et moi, nous somme séparés. Elodie était partie deux ans plus tôt, pour vivre avec son amoureux.
Je commençais à trouver le temps long, quand Elodie a débarqué de nouveau. Je n'en croyais pas mes yeux. De l'adolescente fugueuse, renfermée et méfiante, il ne restait plus rien. Elle était toujours aussi petite et menue, mais elle était devenue une jolie jeune femme, sexy. Elle portait des shorts moulant, montrant ses cuisses, jusqu'en haut. Son petit cul, autrefois discret et mignon, était maintenant contenu dans un vêtement en silicone, serré à mort. On eu dit une pute.
La première chose qu'elle m'a dit, quand j'ai ouvert la porte, c'est :
- Papa, je suis malheureuse...!
Et, contre toute attente, elle qui ne supportait pas que je l'approche, que je la frôle, ou la caresse, et encore moins que je l'embrasse, elle se jeta dans mes bras. Emu, je la serrai contre moi. A table, elle s'empiffra comme jamais, et me raconta, comment son copain l'avait mise à la porte. Elle avait appris, que sa tante et moi étions séparés, et s'était demandé si elle pourrait débarquer chez moi.
Elle pleurait comme une fontaine. Encore plus surprenant, elle me demanda si elle pouvait dormir dans mon lit, avec moi. Sans réfléchir, j'ai répondu oui.
Elle m'a dit qu'elle était épuisée, et qu'elle allait se coucher.
C'est alors que l'inimaginable s'est produit. Sa main caressa mes fesses, et elle se serra encore plus près. Puis sa main se glissa entre mes cuisses, et s'empara de mon sexe. J'allai la repousser, quand je constatai qu'elle était nue. Elle saisit mon pyjama et le fit glisser à mi-cuisses. Elle se glissa entre mes cuisses et prit mon sexe dans sa bouche. Ca faisait un petit moment déjà, que j'étais en érection. Elle passa ses bras sous mes genoux et releva mes cuisses. Elle lâcha mon sexe, releva la tête et me contempla. Ses yeux malicieux brillaient à la lueur de la veilleuse.
- Tu aimes ? dit-elle d'une voix amusée.
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- Tu crois que j'ai pas vu comment tu me regardais, quand je vivais ici ! Maintenant que ta femme est partie, il n'y a plus rien qui empêche !
- Elodie ! On a presque 40 ans d'écart !
- Et alors, d'après ce que je sens, dit-elle en saisissant mon sexe, il me semble que tu ne m'as pas oubliée. Avoues, que si ma tante n'avait pas été là, tu m'aurais peut-être sautée.
- Cest vrai. J'en ai passé des nuit à me branler et à rêver de ton petit cul, que j'arrachais ta culotte, que je mordais tes petites fesses. Je t'aurais pris en levrette. Je t'aurais bourré le cul. Mais avant, j'aurais fourré ma bite dans ta bouche minuscule.
Elle alluma la lumière, et, toute nue, elle me demanda :
- Je te plais autant qu'avant ?
- Tu es magnifique !
- Alors, rattrapons le temps passé !
Et elle se jeta en avant et pris ma bite entre ses lèvres.
Quand j'ai éjaculé, elle s'est retournée sur le ventre, et s'est allongée. C'est vrai que son cul était à croquer !
- Alors j'attends !
- Quoi ?
- T'as dis que tu rêvais de mordre mes fesses !
Ce fut divin. Ses fesses étaient fermes, sa peau lisse. J'ai les ai mordues à pleines dents.
D'abord, elle a ri, ensuite elle a crié. J'ai sans doute voulu la punir, d'avoir un si beau cul.
Aujourd'hui, chaque fois que nous faisons l'amour, je noublie pas de lui mordre les fesses. C'est notre rituel. Maintenant, elles sont rouges, et portent la marque de mes dents. Alors, elle se relève, empoigne ma bite, et s'asseoit dessus. Les années ne l'ont pas usée. Son cul est toujours aussi serré, et ma bite est comme étranglée, quand elle serre ses cuisses. J'ai poussé un cri quand j'ai joui dans son cul.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!