Séverine 3

SEVERINE
Chapitre 3

J’ai mal dormi et nous sommes samedi, jour de repos, comment expliquer ou trouver une excuse pour retrouver mon oncle. Oh ce n’est pas l’envie qui me manque, si ce n’était que cela, d’ailleurs ce matin je suis sans culotte sous ma jupe et j’ai bien fait, car rien que de penser au sexe de mon oncle, j’ai la vulve qui palpite et qui coule, plusieurs fois dans la matinée j’ai du aller aux toilettes pour éponger mon sexe.
Matinée passée est arrivé l’heure du repas que j’ai eu du mal à préparer, ayant toujours à l’esprit le rendez vous de fin de journée, et plus l’heure approchait plus la pression montait.

Au cours du repas Marc m’a demandé ce que j’allais faire cet après midi. Je lui ai répondu : « je vais sûrement faire du ménage et du repassage, après avoir conduit les s à leurs activités sportives »
« Tu pourrai me faire une course pour moi au magasin de bricolage ? »
« Oui bien sûr si je peux te trouver ça !!!! ».

Et début d’après midi je part conduire les s pour leurs activités et je me rend au magasin de bricolage, je trouve rapidement ce dont j’ai besoin, et en sortant du magasin je téléphone à Marc pour le prévenir que je n’ai pas trouvé ce qu’il voulait, et que je me rend en ville à 15 km dans un autre magasin.
« Ok on fait comme ça si les s téléphonent j’irai les rechercher !!!! »

Et je fonce vers la maison de mamie. La voiture de mon oncle est déjà là. J’entre, et je me déshabille dans le couloir, je ne sais pas où se trouve tonton, est-ce que comme hier il est à l’étage ?

Mais non !!!! Il est dans la salle à manger. Quand j’entre dans la pièce, tonton et déjà nu aussi.
« Tu as failli être en retard, surtout que l’on a du travail… couches toi sur la table on a du débroussaillage à faire »
Je me couche sur la table, tonton met un coussin sous la tête.
« Allez écarte les jambes et vite si tu veux que je te baisse après !!! »
« Après quoi ? »
Et là j’entend vibrer la tondeuse.

«Tu ne bouge pas je vais te tondre la vulve que l’on puisse voir ce que l’on fait, et au moins tu seras vraiment à poil !!! »
Après avoir passé la tondeuse partout, tonton a pris une glace et m’a montré mon sexe tondu, je lui ai dit : « Ca fait salope ? »
« Attend ce n’est pas fini, je veux ta fente toute lisse et pas comme une brosse à dents !!!! »
Il est parti quelques instants et je l’ai vu revenir avec une bassine d’eau et un nécessaire de rasage.
J’ai failli jouir au passage du blaireau et du savon à barbe sur ma vulve, le savon mentholé m’a donné un peu de fraîcheur, ce qui m’a calmé momentanément.
Tonton m’a rasée en plusieurs fois, et pour finir il m’a fait mettre à genoux pour bien me raser l’anus.
Après le rinçage et l’essuyage, j’ai eu une bouffée de chaleur quand sa main a pris tout mon sexe.
Tonton après m’avoir de nouveau mise sur le dos, il me prend les jambes les met sur ses épaules, il prend mes petites lèvres et les étire de façon à ce qu’elles dépassent de mes grandes lèvres, il att son téléphone et prend plusieurs photos.
« Putain ça va être super sur mon site de cul !!!!! Tu vas me faire le plaisir de tirer tous les jours sur tes belles babines pour bien les allonger j’aime quand ça dépasse de la chatte !!!!!»
« Mais tu bandes déjà tu as déjà le clito tout gonflé, je vais te le branler tu vas prendre un putain de plaisir, je vais te bouffer la fente avant de bien te fourrer !!!!! »

Tonton se penche sur mon ventre je sens son souffle sur ma vulve nue, et puis sa grosse langue commence par lécher mon petit trou, j’en tremble de plaisir, et elle remonte lentement le long de mon périnée, j’ai hâte qu’elle arrive à l’entrée de ma grotte de femelle en chaleur, et quand mon oncle s’introduit dans mon vagin , et qu’il suce mes parois, je sens mon sexe se vider de tout son jus, et tonton lape ma fente pour ne pas en perdre une goutte, sa barbe et sa moustache me chatouille et me picote la fente ce qui décuple mon plaisir.

Et enfin il fini par prendre mon bouton entre ses lèvres, l’aspire pour bien le faire sortir de sa cachette, mon dieu c’est dingue, et quand il le mordille je pars en poussant un grand cri, et ma fente gicle tout son miel que tonton s’empresse de récolter.

Mon oncle se relève et il pose sa grosse queue entre mes lèvres trempées, et coulisse lascivement sur mon sexe se frottant à mon clito bandé et sensible et lentement écartant au maximum l’entrée de mon vagin, il me pénètre doucement me faisant sentir combien il me dilate, combien il m’envahie et prend possession de sa nièce.
Et lentement comme bien me faire sentir chaque centimètre de son sexe, il s’enfonce dans mon antre féminin,

Mais je me fige j’entend du bruit dans le couloir, j’essaye de me désaccoupler mais mon oncle me retient en me disant « Tu ne bouge pas !!!!!Vas y rentre viens voir comme ta petite salope aime la bite !!!!!! »
Et je vois entrer mon mari, alors que je suis cuisses écartées et bien empalée par notre oncle, qui sort son sexe de mon vagin, laissant son gland juste entre mes petites lèvres.

« Tu vois comme elle aime la bite ta Séverine, et il lui en faut de la grosse, on compare mon neveu et si tu es mieux loti que moi je te la laisse, sinon sa chatte et tout à moi à partir de maintenant »

Je regarde Marc qui reste figé, moi je sais que comparé à tonton, il n’est pas gâté par la nature, et qu’avec mon oncle j’ai enfin trouvé le sexe dont je rêvai.

« Ok mon neveu maintenant ta petite Séverine est à moi, je la baise où je veux, quand je veux et comme je veux, je te laisse son petit cul, et tu ne touches plus à sa chatoune, sinon tu pers tout si elle vient avec moi, je sais que votre maison est à son nom, alors tu m’as compris, c’est déjà beau que je te laisse l’enculer !!!!! Maintenant tu regardes comme je vais bien la faire jouir !!!!!!
Tonton recommence à me pénétrer, dilatant à nouveau mon vagin détrempé par le plaisir, je regarde Marc qui lui regarde notre accouplement, cette grosse bite qui me taraude la chatte, et sans aucune gène je pars pour un orgasme inimaginable, avec tonton j’ai toujours l’impression que c’est la première fois que je fais l’amour, intérieurement c’est comme si je me faisais dépuceler, mais c’est pratiquement cela, mon sexe n’a jamais été aussi dilaté, écartelé, rien d’aussi gros n’a pris possession de mon ventre, et ce n’est pas la petite bite de mon mari qui maintenant se masturbe devant nous qui me contrediras.
Marc a déjà déchargé bien avant que je ressente un orgasme et bien avant que mon oncle ne m’injecte sa semence fertile dans l’utérus ; mon dieu que c’est bon de sentir son ventre se remplir de tout ce jus d’amour.
Nos méats l’un contre l’autre mon vagin plein de la grosse bite de tonton tout son sperme s’injecte dans mon utérus, je n’ai jamais ressenti cela, le sexe de mon mari s’écoule simplement, tandis que là je reçois une véritable injection se semence fertile.

Enfin au bout de quelques instants nous reprenons pieds dans la réalité, tonton toujours dans ma fente, mon mari la queue mole et moi en transpiration, dégoulinante d’une sueur érotique. Ce n’est pas très évident de retourner à la réalité, je viens de baiser avec mon oncle devant mon mari et pratiquement avec son assentiment.

Retour au calme je suis couverte de sueur, tonton me caresse les seins, et puis il me dit « allez ma belle, au lavage de fente !!!! Tu vas voir mon neveu comme elle aime se faire laver la fente après l’amour, je suis sur que tu ne lui as jamais fait ça !!!!!»
Tonton sort de mon sexe, et s’en va chercher la bassine d’eau tiède et puis comme depuis deux jours le rituel tant existant du lavage de mon sexe, mon époux regarde ce cérémonial, oui un cérémonial, celui qu célèbre la possession de mon corps par mon oncle, je suis à lui, je suis sa chose, son trou à plaisir.
Après ce rituel du lavage, où les doigts explorent mon sexe, où l’eau tiède calme à peine mes lèvres tuméfiées par un accouplement hors normes, du moins pour moi.

Après un lavage en règle où je me suis offerte de la façon la plus impudique à mon oncle, ce qui avait pour résultat de me fouetter les sangs, d’exaspérer ma libido, de me rendre folle, capable de toutes les turpitudes.
M’offrir à mon oncle devant mon époux m’avait fait franchir un cap de non retour, j’étais devenue la salope de mon oncle et je le resterais pour le reste de ma vie.

Après avoir bien trituré ma vulve et mon vagin mon oncle à dit à mon mari : « reprend ma petite salope, prend la par le cul autant que tu veux, mais sa chatte est à moi, et toi ma salope à lundi je te laisse le dimanche pour te remettre de tout ton plaisir »
J’ai remis mon manteau et j’ai repris ma voiture, avec l’appréhension du retour à la maison.