2eme Acte
Mon aventure avec le jeune Marocain avait été , spéciale, douloureuse, intense.
J'avais eu un peu de mal a m'en remettre psychologiquement et physiquement. J'avais un peu peur que mon mari ne remarque quelque chose.
J'avais encore plus peur que quelqu'un lui demande qui nous avait rendu visite un soir, sans savoir que lui même n'était pas présente et que c'était moi, la vieille mamy qui avait invité un jeune pour une partie de jambes en l'air.
Il ne remarqua rien, comme souvent et personne ne vint lui raconter quoi que ce soit si bien que 3 mois plus tard, cela me semblait bien loin derrière moi.
Je n'avais plus eu de nouvelles du gars, j'avais bloqué son numéro et j'avais prit quelques distance l'air de rien avec mon amie. Effacé sa vidéo pour ne plus la regarder et le temps faisait ainsi son temps, me poussant vers ma routine.
De temps en temps, je pensais encore a cette rencontre, surtout quand j'allais dans ma cuisine. J'avais du mal a croire que j'avais été la, appuyée contre un plan de travail, un gars prenant son pied derrière moi sauvagement, me traitant, comme une vide couilles.
L'été approchait et nous avions décidé d'aller avec deux couples d 'amis passer quelques jours a la mer. Je n'en n'avais pas vraiment envie, ils étaient du genre ennuyeux.
Mais bon, il fallait bien que je bouge un peu.
Sur place, nous avions loué un grand chalet dans un camping. L'endroit était paisible, a proximité de la plage. Beaucoup de familles avec des s, le temps était bon, il y avait du soleil.
Quand nous allions un peu a la plage, je me surprenais a regarder les jeunes hommes en maillot, j'essayais d 'imaginer la taille et la grosseur de leur sexe.
Je m'étonnais également de passer l'air de rien devant quelques groupes, essayant de remarquer si un d'eux me regardaient, si un d'eux se disait peut-être qu'il se taperait bien une vieille pour voir ce que cela fait.
Je faisais cela par jeux, curiosité, sans imaginer un seul instant que je me retrouverais dans les toilettes publiques avec deux jeunes mâles en chaleur, tout cela n'était que fantasmes et rêveries.
Au camping, le soir, nous dinions sur la terrasse, discutions avec d 'autres personnes, de tout et surtout de rien.
Ces quelques jours étaient monotones.
Le matin du dernier jour, je me suis levée très tôt, vers 6 heures, je n'arrivais plus a dormir.
Je suis sortie et je me suis dit que j'allais aller au village a pied pour aller chercher le déjeuner. Juste a la sortie du camping, je croisais un gars qui y travaillait, la cinquantaine, surement un homme a tout faire. Il s'occupait des poubelles, de remplir les frigos du restaurant, ce genre de choses.
Je ne l'avait pas croisé beaucoup mais a chaque fois, il avait l'air ivre.
Il me salua, je fîs de même et je continuais ma route, le village était a 10 minutes de marche.
Quelques instants plus tard, une camionnette arrivait a mon hauteur, c'était le gars en question.
Il me demanda ou j'allais, me dit alors que la boulangerie en question n'ouvrait qu'a 7heures 30, qu'il pouvait me déposer a une autre plus loin.
Je refusais poliment mais il insistait avec comme argument, qu'il n'était pas un violeur. Je refusais encore, il finissait par s'en aller. Il était maintenant 7 heures et la boulangerie était ouverte, j'avais bien fait de refuser.
Sur le chemin du retour, la camionnette était a l'arrêt sur le côté de la route. Je passais a côté en me demandant ce qu'il allait encore me dire.
En passant, il ouvrait sa fenêtre et me dit qu'il c'était trompé apparemment sur l'heure d 'ouverture.
"Regarde ce que j'ai ici" me dit il.
Je regardais par reflex et je constatait qu'il était occupé a se masturber.
" Pas un violeur mais vous vous masturbez devant moi ?"
" J'ai envie si tu es consentante bien sur"
Je n'en revenais pas qu'un employé, sorte son engin devant une femme en disant qu'il a envie, comme n'avait t'il pas peur d'avoir des problèmes.
Je pouvais aller m'en plaindre a la direction.
En pensant a tout cela, je n'avais pas encore bougé, j'étais toujours a la fenêtre.
"Tu veux regarder ? tu aimes ?"
Après tout, depuis le marocain, je n'avais eu qu'une relation avec mon mari et encore ! Une pénétration qui avait duré moins de 45 secondes, ici, je ne faisais que regarder, même si le gars ne me plaisait pas.
Vu que je restais plantée la, il n'avait pas de raisons de s'arrêter. Sa tige était longue et fine, il se branlait avec vigueur.
"Tu veux monter ? Viens t'assoir hein"
J'hésitais un peu, j'ouvrais finalement la porte et prenais place.
"J'ai pas de femme depuis 2 ans, tu m'as plu quand je t'ai vue"
"Pas besoin de flatterie, je ne suis qu'une vieille bobonne"
"j'aime bien, je te trouve sexy"
Il continuait de se branler en gémissant comme un porc.
Son membre était bien dur, je n'en voyais pas tout les jours. Je portais une robe, j'écartais les jambes.
"MMMM j'aime tes cuisses, montre ta culotte"
Je ne faisais pas tout de suite, je regardais un peu partout s'il y avait quelqu'un. Je remontais finalement ma robe pour laisser voir ma culotte, il se penchait un peu en avant pour bien voir.
"Joli, t'es une coquine toi, j'en étais sur quand je t 'ai vu passer, tu veux on va derrière ?"
"Non, continue comme ca"
" j'ai trop envie, viens derrière"
Je ne voulais pas, je me penchais un peu et j'engloutissais sa queue dans ma bouche, une de ses mains alla sur un de mes seins qu'il pressait fort.
Cela ne dura pas plus d'une minute, je sentais son sperme envahir ma bouche et je l'entendais gémir une bonne grosse fois.
J'ouvrais la portière et je crachais son sperme.
" Faut rien dire a mes patrons" Dit il en remettais son membre en place.
" On est parti vers 13h, je ne dirai rien et on ne se verra plus"
je sortais de la camionnette, je continuais ma route.
Une fois de retour, nous avons déjeuné, préparé nos affaires et nous sommes rentré chez nous.
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