La Belle Saison 2

Après la fin de soirée avec Nathalie, je crains un moment qu’elle ne se montre trop collante avec moi, mais elle attaque sa saison en pro, sans la moindre remarque ou attitude dénotant la proximité que nous pouvons avoir. Rapidement, je me rends compte que cette aventure semble n’avoir été qu’une passade et elle ne s’intéresse plus à moi.
Un jour, à la fin du service de midi, Flora, vient me voir et me demande si je peux l’amener à Ceret, le village proche, où elle a quelques courses à faire. N’ayant rien de prévu, j’accède à sa demande. Je suis déjà dans ma voiture quand je la vois arriver, changée, vétue d’un jean qui moule un fessier bien rond et ferme, et d’un chemisier noué sur son nombril, qui met en valeur une poitrine ferme avec un décolleté qui plonge bas entre ses seins opulents.
Arrivés, je la dépose près d’une supérette en lui donnant rendez-vous dans un café proche.
A la terrasse du café, je retrouve Christophe, le chef cuisinier de la station avec qui j’ai sympathisé dès mon arrivée. C’est un gars d’une quarantaine d’années, pas très grand(1,75m) qui a le type latino avec sa peau mate et bronzée et son épaisse chevelure noire.
« Alors, tu bois tout seul ? » lui dis-je
« Ben, non, puisque tu es là » rétorque t’il avec finesse
Je m’installe et commande un café. Ce bistrot est devenu notre QG, et nous nous y retrouvons régulièrement. Cependant, je suis étonné de le voir seul car il est de la région et connaît beaucoup de monde.
« En fait, j’attends ma femme qui est chez le coiffeur, elle doit me ramener à la station avant de rentrer. »
« Tu es marié, toi ? »
« Oui, et depuis pas mal d’années déjà. »
« Tu ne m’en as jamais parlé. »
« C’est juste que ces derniers temps, nous étions plutôt en froid, et j’étais retourné chez mon père, mais ça a l’air d’aller mieux, et elle est très amoureuse en ce moment. »
« Tant mieux pour toi. »
« Oui, enfin c’est bien quand on est raccord au même moment.

»
Nous sommes interrompus par Flora, qui nous rejoint, un petit sac contenant ses achats, à la main. Nous passons un moment à discuter en sirotant nos boissons dans la fraicheur relative de la terrasse ombragée, puis Flora demande si nous pouvons y aller.
Sur le chemin de retour, elle me dit qu’elle trouve Christophe sympa.
A la station, je dégote une place à l’ombre. Flora m’invite à prendre un rafraichissement dans son appartement. Son studio donne du même côté que le mien, mais il est en boût de batiment, et sa terrasse protégée par une haie de thuyas, n’a pas de vis à vis. Elle nous ouvre sa porte, et je retrouve inversé, la même disposition que mon studio, inversée.
« Installe toi sur la terrasse, je prépare une citronnade » me dit elle.
Sur la terrasse, une table et trois chaises d’un côté, et deux transats de l’autre ; l’équipement standard.
Quelques minute plus tard, elle arrive avec un petit plateau qu’elle dépose sur la table. Elle a oté son jean.
« Il fait si chaud. Je passe mes après-midi à lézarder » explique t’elle en nous servant à chacun un grand verre de boisson fraiche. Puis elle va s’installer sur un transat, et enlève son débardeur. Elle est maintenant juste vétue d’une mini culotte blanche qui tranche avec sa peau dorée. Elle att un flacon d’huile solaire et commence à s’en étaler sur les jambes, puis sur le ventre et les seins dont les tétons se mettent à pointer. Elle se protège le visage et boit une longue gorgée de citronnade avant de fermer les yeux, se laissant aller à la caresse du soleil.
Je suis de plus en plus à l’étroit dans mon short, et la citronnade ne suffit pas à refroidir mon ardeur. Je décide d’imiter Flora, et vais m’allonger sur le second transat après avoir enlevé mon tee-shirt. La morsure du soleil est intense, aussi je m’enduis consciencieusement de lotion protectrice. J’ai à peine terminé que Flora se retourne sur son transat et me demande :
« Tu veux bien me tartiner le dos ? »
Je commence donc à l’enduire en commençant par les épaules et en descendant le long du dos, jusqu’à atteindre la lisière de sa culotte blanche que je repousse un peu du bout des doigts.
J’entreprends ensuite de couvrir ses jambes de crème, depuis les pieds, en remontant jusqu’à ses fesses. Elle pousse des soupirs d’aise sous mes mains, ce qui me pousse à lui dire
« tu pourrais aussi bien te passer de cette culotte et faire un bronzage intégral ; ça t ‘éviterait de la tâcher. »
Sans un mot, elle soulève son bassin et fait glisser le morceau de tissu, dont je me hate de la débarrasser.
« Tu as intérêt à bien m’enduire les fesses, sinon, ce soir, je ne pourrais plus m’asseoir »
Inutile de dire que je m’applique aussitôt à étendre de la lotion sur ses fesses pleines, application qui se transforme rapidement en un massage de ses deux globes. Je triture les masses rondes et elle me facilite la tache en ouvrant le compas de ses jambes, me laissant l’accès à l’intérieur de ses cuisses. Mes mains écartent les deux masses de ses fesses, et je découvre son anus, et un peu plus bas son sexe a peine couvert de poils, qui semble déjà humide. Après m’être essuyé les mains sur une serviette, je glisse mes doigts dans son sillon, et viens froler l’entrée de sa vulve qui s’ouvre sous ma caresse. N’essuyant aucune rebuffade, je commence à masser sa chatte qui s’ouvre, et y engloutis un doigt. Un deuxième doigt vient compléter ma caresse, puis un troisième. Elle a soulevé son cul pour s’offrir encore plus à mon intromission. Je fais aller et venir mes doigts en elle qui mouille abondamment.Je garde deux doigts dans sa chatte pendant qu’un troisième vient perforer son anneau frippé.
Elle me repousse et se retourne d’un coup.
« On va un peu loin pour de l’huile solaire » me dit elle avec un sourire.
Cependant ses deux mains ont accroché mon short qui est tiré vers le bas, avec mon boxer, et mon chibre jaillit à l’air libre, aussitôt empoigné par la donzelle, qui le dirige vers son sexe. D’une seule poussée je m’enfonce jusqu’à la garde dans cet étui accueillant, provoquant tout juste un soupir. Je commence à la limer de plus en plus fort à grands coups de reins.
Elle a les jambes bien écartées et sa laisse faire, mais ne participe pas. Je m’obstine, la prends, ressort, reviens, lentement, vite, doucement, fort, jusqu’à faire claquer mon ventre en rythme contre sexe, sans obtenir de réaction notable.
Etonné, je m’interromps.
« Un soucis ? ça ne te plait pas ? »
« Si j’aime bien » dit elle « mais ça ne me fait pas grimper aux rideaux. »
« On va voir. Retourne toi ! » je lui ordonne.
Bonne fille elle se retourne sur le ventre et tend son cul vers moi. Je n’ai pas à tatonner longtemps pour trouver l’entrée inondée de sa cavité, preuve qu’elle y prend quand même quelque plaisir.
La levrette n’obtient pas davantage de réaction. Je sors mon sexe largement lubrifié par ses sécretions et viens poser mon gland sur son petit trou. Elle comprend, un peu tard mon idée, et quand elle proteste j’ai déjà enfoncé mon gland et franchi la barrière du sphincter
« Aie, non, ça fait mal ! »
Je n’en ai cure et commence à la bourrer sans ménagement
« Aie ! salaud, tu me défonces ! ahhhh ! »
Mon va et vient me projette de plus en plus profond dans ses entrailles, entrainant des cris de douleur et de protestation. Je suis bientôt abuté en elle, lui ramonant le fion sans ménagement, bien au chaud dans cette gaine étroite, les deux mains crochées dans ses hanches. Petit à petit, le passage s’assouplit, et je coulisse plus librement dans son intestin.
Ses piaillements de douleur s’estompent et elle ponctue juste mes mouvements de halètements, jusqu’à ce que, n’y tenant plus je lui inonde l’intérieur de quelques giclées de lave en fusion.
Peu a peu, la tension redescend, et nos corps se désemboitent. Je remets mon short, tandis qu’elle reste, à plat ventre, le cul encore ouvert par mon passage.
« Salaud, tu n’avais pas le droit de faire ça ! »
« Je voulais susciter une réaction ; ça a marché »
« En m’enculant à sec, évidemment ! »
« Dis moi que tu n’as pas aimé ça.
»
« Je ne l’avais fait qu’une fois avant, c’est trop douloureux »
« ça n’est pas ma question » dis-je insistant.
« C’est douloureux…et, différent » murmure t’elle sans se retourner.
Le soir , alors que nous nous apprêtions à diner, Christophe arrive, avec à son bras une superbe blonde aux yeux bleus qu’il nous présente comme sa femme Patricia.
Celle-ci, après nous avoir salué, prend rapidement congé. Avant de partir, elle confie à Christophe :
« Ne rentres pas trop tard, j’ai mon string qui me tiens chaud. »
« Enlèves le chérie, on gagnera du temps. »
Une fois sa dulcinée partie, il m’avoue qu’il va devoir rentre de bonne heure ce soir pour se mettre dans les bonnes graces de Patricia, car il a prévu une petite soirée , demain soir avec une nouvelle Kiné. Il me propose de les accompagner.
Le lendemain soir, une fois le service terminé, je laisse mes serveuses s’occuper de ranger , et je rejoins Christophe, qui me présente Joelle, Une ravissante brunette à la peau mate, et au regard noir pétillant de malice. Afin de ne pas tenir la chandelle, j’ai invité Marie-Pierre, une des réceptionnistes, une grande fille blonde, assez jolie, mais sans doute un peu stricte. Elle est vétue d’une robe blanche assez classique qui s’arrète sous le genou. De son côté, Joelle porte une robe noire, assez courte, boutonnée sur le devant, qui met en valeur son bronzage.
A l’aller, nous nous installons, Christophe et moi, à l’avant de ma voiture tandis que les deux filles s’assoient à l’arrière. Après trois quart d’heure de route nous arrivons à Saint-Cyprien. Christophe nous entraine dans un restaurant sur le port, où nous passons un excellent moment sur la terrasse du premier étage, nous délectant de fruits de mer et de rosé frais, tandis que la foule des touristes défile inlassablement un étage plus bas. Les demoiselles apprécient leur soirée. Joelle, avec qui j’ai trouvé une connivence est prise d’un fou rire communicatif, et nous nous esclaffons pendant de longues minutes devant les deux autres ébahis. J’ai l’impression que Marie-Pierre est un peu vexée et pense que nous nous moquons d’elle, mais je m’empresse de la rassurer. Suite au repas, nous partons pour une marche digestive et nous mélons à la foule. Heureusement, dès qu’on sort de la zone du port, il y a moins de monde, moins de lumière aussi. Joelle se fait plus chatte, et se rapproche de Christophe. Ils échangent fréquemment de petits bisous. De son côté Marie-Pierre garde ses distances, malgré mes tentatives d’approche.
Nous nous posons bientôt sur un muret, face à la plage. La discussion s’est éteinte. A quelques mêtres de moi, Christophe se fait plus entreprenant . La robe de joelle a maintenant plusieurs boutons dégrafés, et il glisse ses mains sur ses seins presque entièrement découverts. Voyant qu’elle ne regimbe pas, il remonte le bas de la robe, découvrant les cuisses de la belle, et les caressant.
Marie-Pierre, fait mine de ne rien voir, les yeux obstinément fixés sur la mer, où, vu l’obscurité, il n’y a rien à voir. Je la prends par le cou, et me rapproche, mais quand j’essaie de l’embrasser elle se dérobe.
Un peu plus tard, quand nous regagnons la voiture, Christophe et Joelle s’engouffrent à l’arrière, et Marie Pierre vient s’asseoir à ma droite.
A peine sur la route, la musique de l’autoradio est souvent couverte par les gloussements de Joelle, et des bruits de tissu froissé. Un coup d’œil au rétroviseur, et je peux constater que la robe de joelle est maintenant totalement ouverte, sans pourvoir en percevoir davantage. Ces deux là ne doivent pas s’ennuyer. La proximité de cette activité sexuelle a tendance à m’exciter. A ma droite, Marie-Pierre garde les yeux rivés sur la route, mais elle ne peut ignorer ce qui se passe dans l’habitacle.
Dans la lueur diffuse du tableau de bord, j’envoie ma main sur son genou, mais elle la repousse. Un peu frustré, je me concentre sur ma conduite, mais les bruits de succions venant de l’arrière m’obsèdent de plus en plus. Je retente ma chance, et là, elle laisse ma main sur son genou. Pendant quelques instants, je ne fais rien, puis, je commence à masser sa cuisse en partant du genou. Elle n’a pas bougé, mais sa respiration s’accélère.. Je passe ma main sous le tissu pour atteindre la peau nue, au niveau du genou. Prudemment, je recommence mon massage, remontant la robe sur sa cuisse, sans qu’elle tente de me freiner. Je pousse mon avantage et glisse mes doigts vers l’intérieur de la cuisse, en remontant vers sa fourche. Mon travail de fourmi semble payer, et je la sens se détendre. Petit à petit ses cuisses s’écartent pour laisser passer mes doigts, qui viennent bientôt buter sur le tissu de sa culotte en dentelle. J’entreprends un long massage de son mont de vénus jusqu’à son sexe, et je sens le tissu s’humidifier. Sans rompre le charme, je remonte pour passer sous l’elastique du slip. Elle s’écarte largement, et mes doigts viennetnbientôt patauger dans sa vulve noyée de désir. J’introduis un doigt en elle, et viens l’investir le plus profondément possible. La place est chaude et largement ouverte, aussi j’ajoute un second doigt. Je commence à la branler, d’abord doucement, puis de plus en plus vite. Son bassin se soulève pour venir au devant de mes doigts. Sa respiration s’accélère, et d’un coup sa main vient se crisper sur la mienne, la plaquant sur son sexe, tendue à l’extème.
Elle se détend d’un coup avec un soupir et sort ma main de sa culotte avant de rajuster sa jupe. A aucun moment elle n’a tourné la tête vers moi.
Quand nous arrivons à la station, une fois le véhicule stationné, Christophe et Joelle nous saluent avant de s’éloigner. La robe de Joelle ne tient plus que par deux boutons et dévoile largement ses appas sous le réverbére. Une fois qu’ils se sont éloignés, je propose à Marie-Pierre de venir prendre un dernier verre chez moi. Elle me rétorque qu’elle a passé une soirée agréable avec nous, mais qu’il ne faut pas croire qu’elle va se transformer en pute pour autant. Après une chaste bise, elle s’éloigne et me plante là.
J’ai connu des jours meilleurs.

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