Sous La Fourrure

Je savais qu’en venant chez toi ce dimanche, tu allais vouloir profiter de la situation. Je ne cesse de penser à toi et à ce que nous avons fait. Je veux être raisonnable mais tu m’as rendu folle. Je n'ai jamais été baisée comme cela, souillée, je ne pouvais m'imaginer que tu étais ainsi. Tu me dis que tu en as toujours envie que je suis la belle mère parfaite. J'ai l'impression maintenant que tout le monde me regarde et que c'est écrit sur mon front, "je suis une grosse salope qui aime se faire baiser par son gendre!!!!"
Depuis je n'arrête pas de penser a dimanche dernier, quand tu m'as demandé de t'aider à remonter les bouteilles de la cave, quand je pense a ce que tu m'a fais dans la cave, me remonter ma jupe, me prendre debout adossée à ces caisses poussiéreuses découvrant mon porte jarretelle, tu étais comme un fou, quand ton sexe s'est planté en moi
me tenant une de mes cuisses en l'air avec ton doigt qui rentrait dans mon anus
Et lorsque tu as joui sur la bouteille, et me demandât de lécher pour ne pas laissé une trace... Pour rire ensuite en voyant ton beau père servir cette bouteille à tes invités.

Avant de partir tu me demandes de te rejoindre le lendemain chez toi « ta fille va faire du shopping avec ses copines, mets ton manteau de fourrure avec juste ta plus belle guêpière en dessous »

J’arrive chez toi. Tu m’ouvres et refermes la porte. Tu me saisis dans l’entrée, et passe une main en dessous de mon manteau de fourrure. Tu découvres mes bas et ma guêpière noir. Ta main passe en dessous de mon tanga et s’empare de ma chatte à pleine main. Tu me doigtes, un doigt qui explore mon entre jambes puis un second. Tu commences à me pistonner rapidement avec tes doigts. Ton autre main me bâillonnant pour qu’on ne puisse pas entendre mes gémissements. Tu m’as relevé une jambe afin de mieux me pénétrer de tes doigts. Je suis folle, je tiens sur une jambe tout en me faisant masturber par ta main experte.

Cela dure longtemps que tu réussis à me faire atteindre un premier orgasme.

Tu me pousses ensuite vers le salon, me bascule sur l’accoudoir du canapé. Tu enfonces ton doigt dans mon clito à nouveau il remue en moi à nouveau pendant que ta langue rentre dans mon petit trou. « J'adore ton manteau de fourrure Patricia, et ton cul à un tel parfum hummmmmmmm ».
tu m'applique de grande claque sur ma croupe. Le manteau est relevé sur mon dos jusqu'a me recouvrir ma tête
« Patricia j'adore te bouffer le cul ». Tu enfonces un petit doigt, avec ta langue en plus, je sens que tu as sorti ton sexe que tu frottes contre ma croupe. « Tu ne m'as pas dit bonjour belle maman ».
J'essaye de protester, mais tu me relèves et m’ordonnant de sortir ma langue. Je te tends ma langue, que u suces comme un serpent. Ta main s'est a nouveau glissée dans ma culotte
Ça t'excite, grosse pute avoue, J'adore manger ton cul
Jérémy j'ai honte, tu veux m'humilier, j'ai besoin que tu me prennes maintenant, que tu t'enfonce en moi

Tu me craches dans la bouche et m'embrasses goulûment, en remettant ta main dans ma culotte
tu me prends ensuite par les cheveux et me baisse la tête, je me retrouve en face de ton gros sexe
ouvre ta grande bouche belle maman, Tu vois comment tu me fais bander… tu vas gouter ton gendre, tu aimes que je te l’a mette dans la bouche
J’ouvre pudiquement a bouche, mais tu t'enfonces brutalement, tu me tires par les cheveux, tu me dis que tu veux te vider une première fois avant de m’enculer et me forçant à te sucer.

je te suce, tu m’en mettre partout, je te suce, te lèche, te butine, te mordille, te lape. Tu mets ton sexe entre mes deux grosses mamelles, tu me dis que mes gros seins on du en produire déjà beaucoup de lait. Que je suis une bonne laitière. Ton portable sonne, tu réponds. C'est ma fille. J’entends sa voie. Je veux me sauver, mais tu me retiens par les cheveux et tu me fais signe de la tête de continuer et me bâillonne a nouveau avec ton membre.

Je te suce pendant que tu lui parles. Je veux te faire jouir, j'accélère. « Tu n'arrives pas a joindre ta mère ? ».
Je continue, tu me baise la bouche, je sens que tu vas partir. « Je ne sais pas ou elle est, elle n'est pas passée ».
Ton sexe sort, ca y est les premiers jets… Tu jouis sur mon visage…. En grognant….tu m'en mets partout.
Tu raccroches, Il y en a sur le sol que tu m'obliges à lécher.

Tu me relève et me pousses dans la cuisine…toujours en manteau. « Mets les gants mappa et lave moi la vaisselle…J'adore te voir avec du sperme sur le visage »
Je commence a nettoyer, c'est tellement sale et tu es derrière moi, je sens que tu bandes toujours fort
« Écarte ton cul avec les gants »
tu m'as soulevé mon manteau a nouveau, mes fesses apparaissent … ton sexe se positionne devant mon anus.
Comment peux tu être encore si dur ???
« Tu sais ce que je veux... ??? hein Patricia tu vas me donner ton cul, je vais t’écarteler belle mère !!!! »

ahhhhhhhhhhhhh

tu t'enfonce, ca y est tu me sodomises…je suis remplie de ton sexe dans mon gros cul.

Ouiiii ça rentre... Ta fille m'a toujours refusé ». Ca y est tu te mets a me pistonner. « Je suis bien dedans…nettoie la vaisselle, pendant que je t'encule Patricia… t'aime ca belle maman… Regarde moi avec mon sperme sur ton visage… C'est divin ! Tu aimes la queue de ton gendre ?
oui j'aime ta queue
Prends ça ! Je te pistonne

Tu continue a m'enculer de plus en plus fort pendant que je continue de nettoyer, Une jambe posée sur levier, tu me pistonnes !!!! Tu accélères, tu me défonces… j'en peux plus. Je tombe dans l'évier, mon manteau trempe dans la vaisselle sale. Je te sens à nouveau venir. Tu sors enfin ton sexe. Tu m'ordonnes de m'agnouiller, je sens que tu vas a nouveau jouir sur mon visage…ca y est des grands jets…tu m'inondes…partout…partout…tu places ta queue dans ma bouche pour que je te nettoie
Ouiiii belle maman, hummmmmm…tu es une belle salope !!!! Relève toi !!! oui je sais que tu aimes cela !!!! Je veux que tu rentres chez toi avec mon foutre sur ton visage
oui je suis ta chose ton objet, ton jouet, ta grosse salope, ta belle mère, ta chienne

Je sorts de ton appartement encore recouverte de ton foutre.
J’attends l'ascendeur pour me rendre au parking. Je sors toujours par la pour éviter de tomber sur ma fille. Je marche au travers des voiture. Quand soudain je sens des bras forts qui m'entrainent vers un coin sombre entre 2 voitures. J'essaye de crier mais une main se presse sur ma bouche. « Tais toi Patricia, tu me fais trop bander poufiasse j'ai encore envie de te troncher ». Tu me pousses vers le coffre d'une voiture. Remonte mon manteau pour atteindre mon entre cuisse. « Je vais te prendre debout comme une pute qu'on paye. » Tu enfonces ton sexe encore gluant en moi au travers de ma culotte. Comment peux tu être aussi dur après déjà 2 éjaculations. Comment est ce possible ?????
Tu me ramone vite rapidement me soutenant mon gros cul d'une main et pétrissant mes seins de l'autre. Ta langue joue avec la mienne comme un lézard. Tu me parles me dis des choses cochonne, m'insultant. Je vais à nouveau jouir. Toute ma vie j'ai attendue et espérer d'être un objet de tant de désir. Quel amant, tu es mon maitre. Je suis ta chienne, ta poufiasse, ta cochonne ta grosse pute mameleuse... ta belle mère Patricia. Tu vas jouir encore ... je te sens venir.... OUIIIIIIIIIIIIIII CA Y EST ..... Tu te répands à nouveau sur mes cuisses mes bas, tu m'obliges de tout nettoyer avec mes doigts et d'avaler.....
Je suis enfin rentrée chez moi recouverte de sperme ...

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