Collection Histoire Courte. Le Journal (1/1)
Qui est là à cette heure, si vous êtes un démarcheur, passez votre chemin, jai tout ce quil me faut.
Madame Huguette, vous pouvez avoir confiance, cest Luc, votre voisin, je vous apporte le journal.
Luc, mais ta maman me la déjà donné hier en fin de matinée !
Cest celui du jour, il arrive à 6 heures, papa va le chercher, prend un café et va le lire sur la terrasse, à 7 heures maman se lève, déjeune en le lisant, elle la terminé, je vous lapporte.
Merci Luc, mais moi aussi je me lève, je suis en peignoir et pas présentable.
Je vois mes parents en peignoir tous les matins, jai lhabitude.
Bon, je touvre.
La porte souvre, la clenche se commandant à distance, madame Huguette a toujours été pour moi notre voisine, son fils Adrien, un peu plus vieux que moi, a souhaité mettre cette sécurité avant de partir épouser Françoise sa fiancée.
Jétais invité à leur noce, elle était habillée tout en blanc, cela me faisait bander, jai dû me contenter dune pignole dans mon lit le soir.
Entre, Luc, aimes-tu le café, je viens de le faire passer !
Oui, madame Huguette, jen bois depuis peu et jai appris à aimer.
Viens dans ma cuisine, regarde comme je suis attifée, jaime être en tenue décontracté le matin, jai le temps, je commence mon travail à 14 heures au poste daprès-midi.
Je le sais madame Huguette, vous êtes dans la même équipe que maman, papa voudrait quelle change dhoraire, mais largent supplémentaire que cela lui rapporte, est nécessaire surtout pour payer mes études.
Jai oublié de te féliciter, bravo pour ton bac.
Avec mention « bien », jai loupé le « très bien » de deux points, mais aucun problème, je rentre en fac à Nice, je vais faire médecine.
Mon fils aussi voulait faire médecine, il a fait sa première année, mais a dû reconnaître que cétait dun niveau trop haut pour lui, il a fini par faire kiné, mais tu le sais, vous étiez copain.
Maintenant il est à Cannes avec Françoise sa femme, il travaille dans un cabinet, il pense devenir le patron dans quelques années, la femme qui la embauchée va prendre sa retraite, elle va lui vendre son affaire.
Quant à Françoise, elle reste à la maison, elle espère avoir son premier le plus vite possible, elle veut pouponner jeune.
Françoise, rien que son nom me rende tout chose, cétait une copine denfance, elle aussi, elle a un an de plus que moi, je marrangeais pour aller chercher notre pain à la même heure quelle.
Quand jai appris quelle sortait avec Adrien et quils allaient se marier, je suis devenu le plus malheureux des amoureux déçus.
Maintenant, depuis ce jour maléfique pour moi, cest maman qui recommence à soccuper du pain et je me pignole en pensant à elle.
Tu as bien grandi Luc, beau comme tu es, tu dois faire des ravages !
Pauvre conne, je rêve de ta belle-fille, je suis toujours puceau, jaurais pu lui dire ça, mais depuis quelques minutes, mon centre dintérêt est ailleurs, son peignoir cest un peu ouvert et sa poitrine mapparaît jusquau début de sa vallée.
Je sens que cette vision me fait bander, je dois dire que si jai apporté le journal ce matin, cest parce que je sais que Françoise vient laider certains jours et quil lui arrive de dormir chez sa belle-mère.
Jespérais quelle soit là, dommage, bien sûr, le journal, cest un alibi, mais jai dit la vérité, maman venait de le finir quand je lui ai dit que je lapportais à Huguette avant daller faire mon jogging.
Madame Huguette, je peux vous demander un service !
Quand tu étais petit, tu me disais Huguette, oublies madame.
Huguette, jai un service à vous demander, votre vêtement, cest ouvert et me montre le début de votre poitrine, jaimerais la voir, vous seriez la première.
Luc, mon petit, tu es puceau, dommage que je sois trop vieille pour toi !
Non, Huguette, depuis que je suis en âge de bander, je pense à toi, ça doit être dur de vivre sans homme depuis le décès de ton mari.
Cest loin dêtre facile tous les jours, viens là contre ma poitrine, jignore si tu te masturbes, je le fais de temps en temps, quand mon intimité me travaille.
Je dois tavouer quen ce moment, je suis un peu chamboulé, caresse-moi les seins.
Jai suivi son conseil, elle est debout près de moi, je me précipite dans ses bras, baiser la voisine, copine de ma mère, cest un bon plan pour se faire dépuceler, le journal, bien sûr, ma servi de prétexte.
Faute de grive, on mange des merles, faute des seins de Françoise, je me ratt sur ceux dHuguette les prenant dans ma bouche.
Elle a tout ce quil faut de la femme mûre, qui est faite pour être cueillie, elle est encore bandante à presque 50 ans, sa poitrine commence un peu à se flétrir, cest loin dêtre disgracieux surtout quavant quelle ait le temps de réagir, je défais sa ceinture.
Mince, elle est pudique, se balader la chatte à lair le matin, doit passer au-dessus delle, quimporte, ma main se glisse entre tissus et chaires, sa toison est à moi, elle est du genre à la garder.
Cest le moment où elle cède, descendant lentement le long de mon corps, ses mains au passage descendent mon pantalon de survêtement faisant sortir ma queue, qui pour la première fois se retrouve dans sa bouche.
Ses mains layant accompagnée vers le sol se retrouvent lune sur ma hampe lautre sur mes testicules.
Je dois faire un effort surhumain pour garder mon sperme en moi, jy arrive, il me faut prendre une initiative, jaurais le temps de me faire pomper dans les temps futurs.
Mon plan réussissant, je compte bien revenir tous les matins dans les jours prochains, même si cela moblige à me lever de bonne heure pendant mes vacances avant la fac.
Je veux garder mon avantage, je sais que sa chambre est à létage, si je lentraîne, elle risque de reprendre pied, je descends sa culotte, je lui passe derrière elle, jécarte ses jambes, elle sappuie sur sa table.
Cest bon dentrer dans une chatte bien baveuse, je glisse en elle dune seule poussée, cest fait, jai perdu mon pucelage, je suis un homme, je suis lhomme.
Quand jentends sa gorge émettre des sons rauques, je sais que cest dans la poche ; je peux prendre le risque.
Viens à létage !
Je lui prends la main, elle ôte son pied de sa culotte qui traîne au sol et me suis, arrivé dans sa chambre, le lit est déjà fait, peu importe, je la renverse sans ménagement, ma bouche venant lui sucer le clitoris.
Luc, cest bon, tu es le premier à me sucer la chatte, mon mari me le refusait, oh ! tu es fou, nous sommes fous, je suis folle, mais continue.
Je baise Huguette tous les matins depuis 15 jours, je lenculerais bien, beaucoup de copains en parlent, mais je suis respectueux de son âge et du cadeau quelle ma fait, si ça doit se faire cela viendra naturellement.
Ce matin, mon journal en main, je sonne.
Qui est là, que voulez-vous, si vous êtes un colporteur, passez votre chemin, jai tout ce quil me faut.
Cest la voix de Françoise qui me répond, elle est là, hélas, si Huguette est avec elle, impossible de baiser lune devant lautre, ce matin je vais faire un noeud à mon mouchoir, pardon à ma bite.
Cest Luc, ton copain, je viens apporter le journal à ta belle-mère.
Luc, je suis content de tentendre, ma belle-mère est partie avec mon mari voire une amie à lhôpital, je touvre, je suis en peignoir, tu excuseras ma tenue négligée.
Qui peut dire que dans ma vie, je manque de chance, je pousse la porte, le loup entre dans la place, comme Huguette, met-elle une culotte sous son peignoir.
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