Un Barbecue Bizarre
Nous sommes lété dernier, le 15 août. Nous avons invité une vingtaine damis pour un barbecue à la maison, cest un petit rituel pour nous depuis une dizaine dannées maintenant. Jai dressé une magnifique table dans le pré derrière la maison. De ton côté tu taffaires au barbecue. Je porte une robe fuchsia légère. Le décolleté cache-coeur est plutôt plongeant et une ceinture marque bien ma taille. Je la porte avec des cordes vraiment hautes qui mobligent à me cambrer. Depuis cet hiver jai pris quelques kilos, mes hanches sont plus larges, mes fesses plus généreuses et mes seins plus lourds. Je suis devenue une femme avec des formes pulpeuses et un bon gros cul. Mais jassume. Et surtout je me suis aperçu que les hommes adorent ça et jen suis ravie.
Il fait un temps magnifique. Le barbecue se passe divinement bien. Tu bois des bières avec les mecs en grillant la viande et moi je papote avec mes copines en apportant les salades et les accompagnements. Y a un peu de vent et ça fait du bien vu le cagnard de ce mois daoût exceptionnel. Les bouteilles de rosé se vident à la vitesse grand V et les langues se délient. Les anecdotes coquines fusent. Tout le monde parle fort et rigole pour un rien.
Je rapporte à la cuisine des saladiers vides pour faire un peu de place sur la table avant le dessert. La fraîcheur de la maison mapaise et me rafraîchit. Je ne me suis pas aperçue que tu mas suivi. Tu menlaces par les hanches et me pose un baiser dans le cou. Ta main ségare sous ma robe. Elle remonte le long de lintérieur de ma cuisse quand tu te rends compte que je nai pas mis de petite culotte. Tu marques un temps darrêt de surprise puis tu introduis un doigt dans ma fente. Là cest moi qui suit surprise et lâche un petit cri de plaisir. Je regarde autour de nous si personne ne peut nous voir et me penche un peu plus en avant. Tu menfonces un deuxième doigt et me titille là où il faut. Oh putain, cest trop bon. Je suis toute mouillée en deux secondes.
Tu te colles à moi et resserre ton étreinte, ta main se faufile à nouveau vers mon sexe mais là tu tarrêtes sur mon clitoris et attaque à le caresser. Je sens ta queue bien dure contre mon cul. Merde, tu es trop doué, ma chatte est littéralement trempée. Tu me susurres à loreille « Viens, on monte sil te plaît. Je te baise en deux deux et on redescend tout de suite. Personne sen apercevra. Allez please ». Tu mentraînes dans lescalier et me pousse dans la 1ère chambre sans ménagement. Tu m'embrasses fougueusement puis me mets à quatre pattes sur le tapis, les coudes au sol et la croupe bien tendue vers le plafond. Jentends nos invités qui samusent dans le jardin. Tu retrousses ma robe jusquà la taille et magrippes solidement par les hanches. Tu me pénètres dun coup sec. Tout mon corps en frémit et je ne peux retenir un gémissement dextase. Tu attaques à me besogner lentement mais vigoureusement. Je me mords les lèvres pour ne pas crier à chacun de tes coups de reins. La porte souvre soudain et David apparait sur le seuil. Cest le nouveau mec de ma copine denfance, Alexia. Je me relève en prenant appui sur mes mains mais tu me repousses de toutes tes forces. Jai la poitrine et le visage écrasés contre le tapis et tu me maintiens dans cette position en appuyant de tout ton poids sur mes épaules en ayant pris bien soin de laisser ta bite en moi. « Désolé, je cherche les toilettes »
« Pas de soucis, tu peux regarder si tu veux mais ferme la porte derrière toi». Pardon? Jessaie à nouveau de me redresser mais en vain et tu reprends le pilonnage méthodique de ma chatte. Me voilà aplatie au sol, le cul à lair et relevé, en train de me faire baiser comme une chienne devant le copain de mon amie sans avoir vraiment le choix. Je retiens mes gémissements pour marquer ma désapprobation mais jai du mal car jaime trop ce que me fait ta queue dans cette position.
« Vas prévenir nos invités que je dois me changer car je me suis tachée en cuisine, je vais prendre une douche vite fait, jen ai partout ».
En retournant la tête, je vois par la fenêtre David tranquillement assis à côté de ma copine denfance comme si de rien nétait alors que, même pas cinq minutes avant, il me crépissait le visage de son foutre dégueulasse. « Toi tu ne perds rien pour attendre enculé».
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!