Rue Queûwe Curé. Légende 4.
Monsieur le curé était mort
Le nouveau curé était arrivé. Avec le vieux curé, il était plus facile « daller à confesse ». Il connaissait ses paroissiens, ses paroissiens le connaissaient. Chacun connaissait les défauts de lautre, et ceux du vieux curé étaient connus de tous
La bonne chère, les mains baladeuses et le bon vin étaient ses péchés mignons
Ce qui lempêchaient le plus souvent dêtre trop sentencieux au regard de ses propres faiblesses à lui.
Avouer ses bêtises à un homme quon ne connaissait pas, semblait plus compliqué. Et monsieur le curé devait insister pour que ces ouailles se décident à venir lui raconter leurs petites histoires dans le confessionnal. Comme cela tardait, monsieur le curé menaça de sanctions dures pour se repentir de ses péchés. Mais cela continuait à tarder
Il ny avait cependant pas le choix. Tout bon chrétien se devait de se rendre au confessionnal deux à trois fois par an
Ce nouveau curé était là depuis près dun an et les paroissiens dont il avait entendu les bêtises se comptaient sur les doigts dune seule main. Il finit par convaincre en menaçant du purgatoire ! Et les premiers fidèles, davantage des paroissiennes dans un premier temps, se décidèrent à avouer leurs fautes devant le tout-puissant ou du moins son représentant sur terre.
Monsieur le curé navait pas menti. Pour se repentir les sanctions furent sévères. Sévères et surprenantes voire complètement inattendues. Pour quelques menus péchés que le précédent curé sanctionnait de quelques prières le soir, voire de la préparation dun bon gâteau quil fallait lui porter afin que lui, ne le porte ensuite dans une famille pauvre (mon il !), le nouveau indiquait une série importante de tâches à réaliser au profit de la paroisse, sanctions quil pouvait commuer en
fessées
Oui. Cétait bien cela. Pour se repentir de ses péchés, monsieur le curé proposait la fessée, quil était prêt à pratiquer lui-même, malgré ce que cela lui en coûtait ! Les premières paroissiennes se résolurent aux tâches pénibles voire dégradantes.
Le village allait mal
Au vu des pénitences proposées par le curé, les gens hésitaient à se rendre « à confesse ». Mais ceux qui ny allaient pas se sentaient mal de ne pas être en ordre avec Dieu et avec leur âme. Et petit à petit chacun y passa. Et parfois, au vu des peines imaginées par le prêtre, certains décidaient de choisir la fessée. Ce furent dabord des hommes qui bravèrent la main de lhomme dEglise. Ce furent de belles humiliations, mais qui semblèrent rester dans lordre de lacceptable. Les hommes devaient baisser le pantalon, et le curé abattait sa main sur le caleçon. 100 fois le plus souvent
Puis lhomme devait se mettre à genoux à même le sol, le pantalon baissé et réciter une heure de chapelet. Cétait dégradant, mais cela restait cependant dans lordre de lacceptable. Et puis, après cette mauvaise grosse heure passée, lâme était lavée, et le cur était à nouveau léger. Restait à affronter le regard des autres. Ce qui finalement nétait pas si difficile. Ces autres y étaient aussi passés, ou alors ils savaient que ça allait être leur tour. Petit à petit les pénitences ne furent plus que dune seule sorte. Des fessées
ou des fessées. Ce furent les femmes qui résistèrent le plus longtemps, une pudeur bien légitime rendant difficile leur déshabillage. Mais quand elles se décidèrent enfin, ce fut bien de déshabillage dont il fut question. Si les premières purent garder leurs culottes, cela ne dura que peu de temps. Monsieur le curé exigea les fesses nues.
Si lune ou lautre commença par refuser, la pression morale fut telle quelles finirent toutes par accepter. Et ce furent des culs nus, jeunes ou vieux, fermes ou gras, aimables ou antipathiques qui reçurent les taloches dites « divines ». Les femmes recevaient cependant habituellement moins de coups que les hommes, mais la prière qui sen suivait durait le même temps avec la honte supplémentaire que le cul restait nu
Si dans les premiers temps, on parla sous cape de ces pratiques étranges, cela passa vite, et après quelques mois, les fessées de monsieur le curé faisaient partie de la vie du village.
Monsieur le curé semblait dans un premier temps satisfait de son travail. Mais cela ne dura pas
La vie devenait trop banale. Les hommes ou les femmes venaient se confesser, ils et elles se déculottaient, recevaient les claques, priaient puis se reculottaient. Il fallait faire évoluer les châtiments. Ce furent les hommes qui subirent les premiers suppléments. Monsieur le curé leur demanda de baisser également le caleçon, les laissant la biroute à lair, sous lil curieux de Jésus qui observait de sa croix. Les femmes qui, jusquà présent, ne dévoilaient que leurs postérieurs furent elles aussi contraintes de baisser leur culotte devant lautel, monsieur le curé sasseyant derrière elles face à leurs fesses, appréciant ce qui apparaissait au fur et à mesure que les vêtements glissaient. Jésus aussi était curieux. Certaines se demandèrent même si le bout de tissu qui ceinturait les hanches du crucifié navait pas lun ou lautre soubresaut. Mais cela aurait été un miracle
Monsieur le curé raffinait ses plaisirs. Il augmenta le nombre de fessées au cul de certaines femmes, se proposant ensuite, pour atténuer la douleur de leur passer un onguent qui calmait la douleur. Les femmes acceptaient à contre cur mais serraient les fesses. Monsieur le curé leur demandait cependant de se détendre, et si la demande orale ne suffisait pas, quelques tapes supplémentaires finissaient de convaincre.
Monsieur le curé devenait maître en la matière. Les pénitences se diversifiaient encore. On aurait pu croire que ce fut en fonction des péchés commis, mais il apparut à lanalyse que les différences avaient dautres causes. Du moins pour les dames. Cétait davantage le physique qui orientait les punitions.
Comment se diversifiaient ces punitions ? Monsieur le curé aimât mettre certains et surtout certaines de ces paroissiennes complètement nus et nues. Il aimât aussi se produire en public, invitant quelques personnes de la haute société du village à assister à certains châtiments.
Il souhaitât parfois se faire remplacer dans la punition. Quelques femmes reçurent alors comme châtiments de punir quelques hommes.
Isabelle était la plus jolie fille du village. Et comme elle était jolie, elle « péchait » beaucoup avec de jeunes hommes
Et comme elle était jolie, monsieur le curé aimait particulièrement la voir à la confesse. Et comme elle était jolie, monsieur le curé aimait lui ordonner de se mettre nue. Et comme nue, elle était encore plus jolie, monsieur le curé aimait tourner et encore tourner autour delle pour en admirer tous les détails. Et comme elle avait le cul joli, monsieur le curé aimait lui claquer longuement les fesses. Et comme le cul rougi était tout aussi joli, il aimait le calmer en lui passant doucement la pommade apaisante sur les fesses. Et comme le spectacle était joli, il aimait glisser sa main entre les fesses, entre les cuisses. Et comme il était fier de ce quil produisait, il aimât inviter dautres personnes à regarder avec lui. Mais comme elle était la plus jolie du village, il nautorisa personne à la toucher, les notables se contentant de regarder, de bander dans leurs braies ou de mouiller leurs culottes.
Comme il aimait plaire à ses notables, il punit Marinette et Thérèse, mais aussi Nicole et Antoinette, qui reçurent des fessées de la main de certains de ces bourgeois. Michel ou Etienne de même. Mais de la part de la femme du notaire, de la femme de linstituteur, de la femme du docteur.
Comme elle avait « fait des efforts » et commettait « moins de péchés », Isabelle eut la chance de parfois recevoir moins de fessées. Elle eut aussi loccasion de proposer ces services pour punir lun ou lautre mâle du village. Elle choisit bien la garce. Les plus beaux, ceux qui lavaient fait souffrir, ceux qui lavaient snobée. Et elle aimait se retrouver avec lun de ses hommes dans lEglise, accompagnée de Monsieur le curé. Monsieur le curé leurs demandait de se mettre nus. Les supplications pour que cela se passe sans la présence dIsabelle étaient vaines.
Quelques uns des villageois ou des villageoises eurent le déplaisir dêtre fessés en public. Seuls quelques-uns et quelques-unes y furent fessés par dautres personnes que monsieur le curé.
Un jour, Claire fut elle aussi déshabillée devant le notaire et son épouse, linstituteur et le pharmacien. Si sur le moment, elle nosa rien dire. Elle jura de se venger. Et quelques jours plus tard, après que lune ou lautre fille eurent reçu leurs roustes mensuelles, Claire suivit monsieur le curé avec quelques amies. Et elles le virent sortir son sexe dur de dessous sa soutane puis se masturber quelques secondes pour arriver très rapidement à lextase. Monsieur le curé navait pas eu le temps de ranger son engin quelles étaient devant lui, le regard méprisant. Il essaya bien de les menacer. Mais elles lavaient décidé ainsi. Elles ne se laisseraient pas, elles ne se laisseraient plus faire. Monsieur le curé fut attaché sur une chaise le pantalon toujours baissé et la soutane relevée. Les filles coururent annoncer dans le village que monsieur le curé avait été surpris sastiquant le cierge et quil allait assumer une confession publique, sa confession publique. Le village entier se rassembla sur la place de lEglise. Une table fut disposée sur laquelle on hissa monsieur le curé, le pantalon toujours baissé, ne protégeant sa pudeur que par la soutane qui avait elle retrouvé sa place. Claire prit la parole et annonça le début de la confesse. Monsieur le curé rechignait. Claire posa alors les questions. Le même style de questions précises et un peu perverses que monsieur le curé aimait à poser dans le confessionnal. Et monsieur le curé se confessa. Devant tout le village. Claire lui demanda alors la pénitence infligée dans de pareilles conditions. Monsieur le curé tenta bien les « notre père » ou les « je vous salue Marie », que Claire reçut avec un ricanement qui se propagea à la foule rassemblée. Il tenta alors la punition corporelle à sinfliger personnellement : le cilice. Le rire collectif repartit de plus belle. Claire lui rappela quun péché était un péché et que le tarif devait être semblable pour chaque paroissien fut-il instituteur, notaire ou curé. Claire harangua la foule. Mais personne nosa dire le nombre de fessées qui était infligées par monsieur le curé suite à laveu de masturbation ! Claire menaça monsieur le curé de prendre la décision de pénitence elle-même si lecclésiastique ne prenait pas ses responsabilités. Sans résultat, monsieur le curé refusant de prononcer un verdict. Claire annonça donc sa décision. Monsieur le curé recevrait une seule fessée
Déception dans la foule, soulagement du curé
Mais de chacun de ses paroissiens. Hourrahs dans la foule, blêmissement du curé
« Et tout nu » termina Claire sous les applaudissements nourris. Monsieur le curé fut descendu de la table. On lui demanda de se mettre nu. Comme il refusait, Claire désigna 6 femmes pour le déshabiller. Ce quelles firent avec délectation, les mains baladeuses à souhait ! On lamena au centre de la place. On noua une corde à ses poignets, corde que lon attacha aux branches des deux arbres de la place pour quil fût bien exposé, et que ses fesses soient facilement accessibles. Claire menait le bal, et demanda que des cercles se constituent autour de la place. Plus de 300 personnes étaient présentes. Ce furent les plus jeunes qui eurent les premiers lhonneur de tâter des fesses de curé. Cest que le saligaud avait aussi profité des fesses de certains jeunes villageois à peine pubères. Et les claques commencèrent à retentir sur la place qui sétait naturellement faite silencieuse. On nentendait que le cul du curé et les reniflements de son nez. Mais personne navait pitié. Puis tout à coup, un bruissement dans la foule bruissement ponctué dun cri : « Il bande le salaud ! » Et effectivement, le sexe de Monsieur le curé se redressait virilement. « On double » cria Isabelle, vivement applaudie par la foule. Claire leva la main. On double, mais uniquement pour les femmes ! Cela fit rire tout le monde et tout le monde accepta. Et monsieur le curé continua à soumettre son cul aux coups, se présentant cependant de façon paradoxale : la mine pitoyable mais le zizi arrogant. La dernière claque retentit enfin. Cétait Maria une solide fermière qui lassena de façon puissante. Une des plus vigoureuses de la séance. On détacha les mains du prêtre. Claire lui tapota une dernière fois les fesses doucement mais de façon très méprisante, lui annonçant quil pouvait quitter le village. Il fit mine de reprendre ses vêtements. Mais la figure de Claire marqua avec évidence sa désapprobation. Il imagina se diriger vers son presbytère, mais même désapprobation de Claire. Ne sachant plus que faire, le curé regarda sa bourreau dun air implorant. Claire du doigt lui indiqua la route. Et le village de regarder son curé sen aller sur la route, la verge droite et le cul violacé. On nentendit plus parler de ce bonhomme. Enfin façon de parler bien sûr. Parce quon en parla encore longtemps dans le village. Mais personne ne sait ce quil est devenu. Certains disent lavoir aperçu dans un monastère
Claire et ses amies qui avaient découvert le saint masturbateur se remémorèrent souvent cette délicieuse histoire. Et quand Claire 40 ans plus tard, devenue maire-adjointe dû participer au choix de nouveaux noms pour certaines rues du village, ses amies la pressèrent de faire référence à ce curé pervers et à la pénitence quil avait eu à subir du fait de leur intervention. Les responsabilités de Claire lempêchaient dêtre trop coquine, mais lidée ne lui déplaisait pas. Elle était entretemps devenue mathématicienne, une vraie savante dans le village, et cest les maths qui lui permirent de trouver la solution mathématique à son problème
Alors, explications
Les maths inventent des mots il fut un temps où dans lhistoire des mathématiques, quelques mots barbares rencontrèrent un petit succès : isomètre, coplanaires, concavité
et autres barbaries
Il y en avait un qui navait pas survécu à lhistoire, mais qui plaisait bien à Claire ; cétait le ceuwé, qui était une autre expression pour exprimer la mise au carré dun nombre. Le ceuwé de 2, cétait 4, de 10, 100. Cest la logique dans laquelle sétait engagée Claire qui avait fait allusion à une prétendue formule dun prix nobel ce qui avait fortement impressionné ces collègues. Le collège à lécoute de la savante décida dappeler la rue Ceuwé QR qui selon Claire, permettait de calculer la distance entre une étoile filante et le soleil
Un pieu et poétique mensonge
ceuwé signifiait effectivement « le carré de », le maire lavait lui-même certifié
Le carré de quoi selon Claire ?
Dans sa tête, cétait évident. Monsieur le curé, mais aussi tous les villageois avait été des confessés quon fessait. Soit confessé². QR se muant rapidement en curé. Ce qui fit rue Ceuwé curé puis rue Queûwe curé, limprimeur de la plaque de la rue ayant simplement souhaité en améliorer lorthographe comme cela se passe parfois. CQFD.
Claire et ses amies, malgré leur âge avancé en rient encore
et elles aiment à faire chanter les jeunes du village « du haut de la montagne
descendait un gros cul
» « Un gros curé dcampagne
qui tenait son gros bout »
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