Moi, Marié !

La visite de son nouveau duché de Normandie a duré quelque temps, plus que prévu aussi j'eu le temps de concrétiser l'achat du petit hotel particuler débouchant sur la rue de la Ferronnerie. Je l'avais visité avec le tabellion et il était en effet fort bien entretenu, y ayant peu de meubles mais beaux assez. Comme convenu le tabellion avait auparavant fait signer la vente et remis les boursicots aux ayant droits laissant blanc mon nom et titre qu'il a vite complèté pour finir. Le premier mois écoulé, ma pension royale de baron arrivat et comme je me trouvais avec quelques pécunes, je chargeais ce personnage de trouver un honnête juif pour faire fructifier ce qui restait du don du roi. Placè au denier 15 mon capital fructifierais de même que mes deux entremetteurs qui toucheraient leur part convenue d'avance. Il y avait quelques inconvénients à la noblesse, n'ayant point le droit de choisir son travail. Seuls pouvait être nobles les possesseurs de verrerie ou de navires.
Il me fallait maintenant trouver la perle rare, LA femme .Le Duc revenu avant que j'emménage je lui relatais les faits depui son départ, de mon futur aménagement,et de mon mésaise à trouver une douce pucelette aimante, de bonne lignée mais point trop. N'aimant pas venter plus haut que mes fesses. Après s'être esbrouffé, Le Duc s'ouvrit à moi. Le quartier ou tu as acheté est destiné à être rattaché vivement à Paris et tu as fait bonne affaire. Pour les filles, tu n'as que l'embarras du choix si tu n'est pas regardant sur la dot. Il y a aussi les filles qui ont fautées et qui ne peuvent trouver mari acceptant leur fruit, enfin quelques filles de parents sans fils qui veulent rapprocher la belle de la cour.
Que pensent elles y trouver je ne sais y ayant plus de bougres que d'honnêtes ouailles. Un conseil également que le roit te fait bailler par moi, fais toi assidu à ta paroisse. Les curés sont de bon entregent et pourraient t'aider dans ta recherche. Je suppose que tu me prends Nicolas?
J'eu de prime un sourire réprimé puis plus sérieusement , oui monseigneur il m'est de bonne usance.


Je n'en doute pas, apprends lui doucement aussi les arts de la guerre au cas ou. Il me tendit la main et je me génuflexais cérémonieusement mais il me releva et d'une forte brassée: Va Titou je te suivrais de loin.
J'emménageais donc et selon la mode parisienne mon adresse devint l'hotel face à la boulangerie du bon pain à dextre de la porte hérissé avec une tête noire.
Hérissée elle le fut peut être dans le temps par les clous pour renforcer le bois mais elle était ce jour bellement refaite en beau bois verni et diantre qui voudrait me trouver aurait du mal. La tête de bois noir était toujours au dessus.
Je fis adjoindre au droit des écuries un petit logis pour mes trois suisses qui m'avaient volontier suivis et un petit logement donnant sur ma porte cochère par un fenestron remparé de fers. Un des anciens domestique reçu l'office d'ouvrir ou fermer l'huis en fonction du quidam qui demandait l'entrant. Il possédait une pièce personnelle pour manger et dormir
J'avais peu de visite et je sortais moi même le plus souvent le soir pour le coucher du roi, et un peu pour fréquenter une des écoles d'escrime italienne pour y apprendre ce qui manquait à mon titre de noblesse. Je saillais hors seulement suivi de Nicolas, lequel j'avais assemblé pour tirer à un jeune valet qui de même apprenait à manier l'épée pour aider son maître.
Je faisais de rapide progrès dans cet art avec ce maître italien. Le temps passait doucement entre le Louvre, mon chez moi et les leçons. Un gautier vint un jour, assez bien mis demandant à me parler. Sous le sceau du secret il me dit connaître une grande dame qui étant malengroin d'un grand péché au vu de son église noulait un mari noble et garni assez en cliquaille. Je vis assez vite que le gautier était le père de la donzelle à quelques manières dont il parlait (fort bien ) de la dite femelle fautive. Le poussant plus outre je quis de lui son titre et j'ai été fort surpris qu'elle fut un rang au dessus de moi.
Le brave homme ne voulait pas devoir voir sa fille déchoir et me sachant si près du roi il m'informa que si le roi me poussait l'affaire serait faite. Je demandais malgré tout à voir la donzelle et ce que je vis dans sa carosse me plut fort. Maugré son embarras elle me semblait ne pas regarder l'homme comme un malfaisant et j'augurais fort bien d'elle.
Je convins d'un rendez vous rapide, désirant prendre avis du roi avant de décider.
Le soir même je le vis au coucher pour le dérider des tracas du jours par mes gausseries sur les faits de la cour. Il vit bien que j'avais question à poser mais par malice pris le temps avant de quérir de moi ce qui failllais.
Je lui contait alors le qui et le quoi du problème. Il fut réjoui car il connaissait cette vicontesse assez bien , la jugeant fort dévergognée et de savoir qu'elle serait foutue par un ex moins que rien l'a amusé au possible. Ah ma taille, (il se servait de ce mot pour me parler parfois) tu es si divertissant que la prochaine fois que je te verrais le jour, je t'appelerais vicomte des Sauvages. Pour ta gouverne je suis passé par ce col plusieurs fois pour relier Lyon à Roanne comme quand je suis venu monter sur le trône de France. Tu recevras les droits de passage ainsi que de quoi étoffer ton domaine de Nuelles ou je ne doute pas tu emmèneras ta belle pour se vider discrètement de son fruit. Le mariage devant être rapide j'y assisterais pour montrer un petit la faveur dont tu jouis.
Ce soir là le roi surement en joie de mon conte me fit la faveur de jouir deux fois, la première après une excitation buccale qu'il adorait mais arrétait au dernier moment ayant conscience de ne pas donner sa maladie . La deuxième uniquement manuelle mais réciproque avant qu'il ne me faille sortir hors , un page venant l'accomoder pour la nuit et nettoyer la royale semence.
Je donnais rendez vous au père de la donzelle pour fixer le montant de sa dot qui devait être élevé, prenant la fille et le fruit.
Le montant qu'il m'annonça n'était point petit et comme c'était leur seul , je relèverais le titre à sa mort ainsi que des terres y attenant, pas très loin de Paris. Je le conviais d'être là le surlendemain quand je rencontrerais le roi en son Louvre.
Henri ce soir là après avoir fait le tour des personnes de sa connaissance me salua avec un petit gaussement dans l'oeil d'un bonsoir vicomte prononcé clairement avant de se retirer.
Je me tournais vers mon futur beau père. Cela vous sied t il.
C'est parfait il ne reste plus qu'a finaliser le contrat promptement. Je lui donnais l'adresse de mon tabellion, ayant fort envie de connaître mieux la femme sous la fille. Une semaine suffit à finaliser et rédiger l'accord et fixer la date du mariage.
J'eu l'honneur de la présence du roi avec ses deux fidèles archi mignons. Chevreuse me servant de père et de témoin. Les trois forts réjouis de ce bon tour joué à la Ligue.
Les grands partis, j'avais prévu une sorte de banquet rue de la Ferronnerie. Une solide normande bataillais avec son potager et sa cheminée depuis la veille. J'avais découvert dans la cave des fîuts à demi pleins de fort bons vins de Bordeaux et le ton est vite monté dans la gaité et la gausserie. Enfin, la repue terminée et chacun rentré dans sa chacunière je demandais à ma femme de se laisser dévêtit par une jeune fille retenue pour cela. Nicolas de son coté me mettant nu. Toujours aussi gaussant il m'a souhaité une nuit assez tracassante.
Dans la chambre allongée nue sans vêtements aucun, elle m'attendait avec ce que j'ai compris être de l'impatience. Son oeil s'est attardé sur mon guilleri et d'un sourire elle m'a ouvert les bras. Celui qui m'a était moins fort qe le votre monsieur et j'ai cependant bien aimé la façon de me forcer à la chose.
Tu aimes donc être pour être enconé?
Oui monsieur, j'ose vous le dire , j'ai aimé.
Alors foin des batifoleries et obéis à ton maître. Mets toi à 4 pattes que je voie de même façon tes fesses et ton con.

Je n'avais jamais possédé de femelle mais toute obéissante, n'étant plus pucelle elle pris la pose. Allez monsieur, à la cavalière! Son devant gonflé disait assez l'appétit qu'elle avait de mon dard et je l'ai enconnée d'un coup la faisant crier mais point de douleur.Je nageais dans ses humeurs féminines et je ne l'ai pas trouvée si serrée.
Comment fais tu pour être autant ouverte?.
Sans vergogne elle m'avoua que ne s'attendant point à un braquemart si fort et raide elle se doigtait l'oiseau niché entre ses lèvres jusqu'à en crier.
Te doigte tu pareillement le cul?
Oh non mais je suis tout à vous monsieur et si vous y avez appétance il est à vous.
Ce n'était plus une femelle mais une succube prête à tout. Je l'ai plusieurs fois mis sur mon os et autant de fois elle a crié de joie.

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