La Pk Andre 10
LA P K ANDRE
Ep 10 : LA PREMIERE FOIS
Ce texte n'était pas prévu, l'histoire devait s'arrêter à la fin de l'épisode 9. Mais un lecteur me laissait ce commentaire juste après l'épisode 8 ( le jour même de sa parution ) : '' Hâte de lire le récit du premier god '' . Il avait raison ! Je n'avais pas prévu de parler de cet événement mais il n'est pas encore trop tard pour palier à cet oublie ( André n'est encore parti en retraite, il est seulement sur le départ ) ! Donc
Entreprise étrange d'une puissance économique incroyable la Purity Keeper Companie
Toutefois travailler pour cette compagnie ou un de ses dirigeants demande quelques petits sacrifices
Voilà mon histoire est finie. Je vais bientôt partir en retraite, jeune retraité, en pleine forme, ma santé physique est excellente, dans un autre cadre professionnel j'aurais dit exceptionnelle mais quand on travaille pour la PK comme c'est mon cas depuis des années, on ne fume pas, on ne boit pas ( ou très peu ) on fait du sport, on mange bien
En un mot on réuni toutes les conditions pour préserver sa santé et, à moins d'être frappé par la maladie, on cumule toutes les chances de vieillir bien
C'est mon cas, ma santé est excellente !
Je parts avec un capital en plus d'une bonne retraite, Mr Bob a tenu sa promesse d'éditer mon livre, et il ne se vent pas trop mal
Je parts avec bien des souvenirs, oh vous imaginez bien que je ne les ais pas tous raconté dans mon livre
Je ne suis pas sûr que Mr Bob aurait édité, il aurait certainement été très amusé mais n'aurait certainement pas édité ! Au fait de vous disais que les dirigeants de la PK ne se livraient pas aux débordements sexuels auxquels nous on se livrait
Ce n'est pas tout à fait exact
Mr Bob, comme je vous l'avais dit ne porte pas le dispositif ! Il l'a porté quand il était plus jeune, à l'université. A l'université PK on n'a pas le choix ou alors on va dans une autre école.
Eh oui c'est aussi ça la PK
Mais c'est de moi que je voulais vous parler. Dans les semaines qui suivait ma dernière libération, celle des quatre semaines, je me retrouvais de plus en plus en manque. Je n'étais pas le seul mais mes camarades savaient se détendre avec leur jouets.
C'était un dimanche, je venais de faire une séance dentraînement particulièrement importante, physiquement j'étais en forme un peu fatigué mais ça c'était normal, en sueur mais ça aussi c'était normal
Je me retrouvais dans la salle de bain, Ben y était déjà !
Moi : Ça va toi ce matin ? Tu ne fait pas ta séance d'entraînement ?
Ben : Mais j'en reviens, et toi tu étais ou ?
Moi: Pareil, je suis parti tôt, et j'ai fais une longue séance.
Ben : Tendu ?
Moi : Oui, tendu, pas facile
Je baissais les yeux, ma cage de chasteté avait tendance à se relever, il y avait toujours de la pression là dedans. Je remarquais que pour Ben c'était la même chose.
Ben : Je connais une solution mais je ne sais pas si tu
Moi : Vas y, on verra bien !
Ben me prenait alors dans ses bras, il me savonnait le corps, il était déjà recouvert de savon qui moussait un peu partout sur son corps et tout particulièrement sur son entre-jambe. Il était beau, il avait la peau douce et ma queue se manifestait encore plus, ça devenait presque douloureux
Moi : C'est pas comme ça que tu vas me calmer tu peux me croire.
Ben : Laisse moi faire !
Moi : Mais on ne peut rien faire avec ce truc. Tu le sais bien !
Pour me faire taire il ne trouvait pas d'autre moyen que de m'embrasser. Ses lèvres étaient douces, nos deux langues se caressaient. Ma cage de chasteté se relevait et se balançait par accoues au rythme des battements de mon cur qui devenaient plus forts.
Je me serrais contre lui. J'étais toujours convaincu que c'était une mauvaise idée mais
Je n'arrivais pas à le lâcher
Il me recouvrait de caresses, j'en faisais de même et je sentais son dispositif de chasteté qui se relevait et se balançait également
Tout comme le mien. On ne s'inquiétait pas des autres qui pourraient entrer dans la salle de bain à tout moment
Ce ne serait pas la première fois qu'un d'entre nous en surprenne deux ( ou plus ) dans une telle situation.
Nous étions recouverts de savon, nos bras semblaient se mélanger et parcouraient le corps de l'autre, glissaient sur la peau de l'autre avec force et passion.
Moi : C'est pas une bonne idée je te dis ! Là moi ça ne me calme pas, ça serait plutôt le contraire. J'ai un peu mal à la queue ...
Il m'embrasait avec encore plus de force, comme pour me faire taire. Ça marchait ! Ses mains glissaient vers mes fesses, il me tirait vers lui puis me soulevait sur sol. Ben est plus costaud que moi, beaucoup plus. Je me pendais à son cou et passais mes jambes dans son dos, s'il n'avait pas porté de dispositif il aurait pu me prendre dans cette position, il n'aurait eu qu'à m'empaler sur sa queue et c'est en fait ce que mon cul réclamait, espérait
Je me laissais aller même si je savais qu'il n'y avait aucun espoir. Ses doigts se glissaient entre mes fesses, il y déposait une grosse dose de savon. Il insistait d'avantage, avec plus de fermeté. Un doigt s'imposait sur l'ouverture de mon anus, le contournait, s'attardait dessus et finalement appuyait fort
Je serrais mes jambes autours de Ben et mes bras autour de son cou. Son doigt rentrait, j'avais le souffle coupé, c'était bon, aucune douleur
Ben ne forçait pas plus qu'il ne le fallait, un doigt, juste un ! Il le retirait, l'enfonçait de nouveau.
Il faisait tomber plusieurs serviettes sur le sol et avec beaucoup de douceur me déposait dessus, son bras dans mon dos, son autre bras sous mes fesses, son doigt dans mon cul. Ma position, et ça me surprenait, n'était finalement pas si désagréable que ça
Il m'embrassait sur le torse avec une grande tendresse, moi , je ne faisais plus rien
Je me laissais faire. Ma queue protestait toujours avec la même vigueur. Elle voulait sortir. J'avais par moment la très agréable impression que j'allais éjaculer, c'était une sensation qui venait de l'intérieure de ma queue, de mon urètre. C'était terriblement bon j'éjaculais
Non ! En fait rien ne venait ! Sauf le plaisir qui montait !
Ben m'avait stimulé l'anus pendant un bon moment quand il retirait son doigt. Je me sentais bien, la pression avait baissé dans ma cage de chasteté mais elle était toujours aussi pleine, ma bite était en position '' grosse molle '' et prenait toute la place mais n'était plus sous pression. C'était beaucoup plus confortable. Je n'avais pas éjaculé mais je me sentais presque aussi bien que si je venais de la faire
Ben attrapait un gode qu'il avait sans doute prévu pour lui et le lubrifiait.
L'inquiétude montait dans ma tête
Ben : Tu me fais confiance ?
Je faisais oui de la tête, mais je n'osais pas ouvrir la bouche. Je me demandais quel gode il avait choisi. J'imaginais déjà une douleur intense mais je ne bougeais pas. Dans ma tête c'était un peu la panique, dans mon corps tout allait très bien, seul mon cur battait de plus en plus fort.
Je sentais une pression contre mon anus. Je serrais les fesses. Ben se penchais au dessus de moi et me disait : '' Calme toi, et détend toi, tu vas voir .
Douleur ? Un peu oui ! Mais je savais qu'il fallait que je me détende. Ben ne bougeait plus. Mon cul se contractait et douleur, je me concentrais pour me détendre et ce n'était plus qu'une sensation intense, j'avais l'impression que mon cul allait se déchirer, je faisait confiance à Ben. Au bout d'un moment je me décontractais de nouveau. Ce n'était pas vraiment douloureux, c'était la peur de la douleur plus que la douleur elle même !
Mon cul était distendu, dilaté, élargi comme je n'aurais jamais imaginé que c'était possible. Je sentait le gode s'enfoncer encore, il devait être au niveau du nombril et rapidement je le sentais appuyer contre estomac
C'était dingue, j'encaissais ça, je ne m'en aurais jamais cru capable mais j'encaissais. Au final je sentais la main de Ben qui appuyait contre la base du gode, il l'avait rentré en entier et ne bougeait plus.
Je n'avais plus mal, j'avais peur. Mon anus était tellement étiré qu'il pourrait se déchirer à tout moment, je n'osait plus bouger. Je voyais de nouveau le visage souriant de Ben qui se penchait sur moi. Il me donnait un baiser, juste un tout petit baiser de rien sur les lèvres. D'un geste violent je passais ma main derrière sa tête et le retenais. C'est un baiser de passion, de fous que nous échangions alors.
Je tenais Ben dans mes bras, doucement il retirait le gode, je hurlais. Ce n'était pas la douleur, c'était
C'était la panique, mon cul se déchirait comme je le craignais, c'était l'horreur, c'était pas vraiment douloureux mais c'était l'horreur, je sentais le sang qui coulait entre mes fesses. Ben l'essuyait sans s'affoler avec une serviette qu'il posait à côté de moi
Pas de sang ! Juste une grosse dose de gel ! Pas de déchirure ! Tout allait bien !
Ce que je ressentais était tellement intense autant que nouveau pour moi que mon cerveau s'affolait et s'inventait des situations alarmantes.
Tout allait bien! Ben retirait le gode, il était long, tellement long qu'il lui fallait un long moment, mais non là il le faisait entrer de nouveau
A ce moment je ne savais plus trop ce qui se passait, mais c'est à ce moment que le plaisir est devenu réel, c'est venu comme ça, sans prévenir, je jouissais pas la queue, j'éjaculais comme un fou, mon urètre était en feu mais pas un feu douloureux, mon cul était tellement dilaté que je ne comprenais plus si Ben enfonçait ou retirait le gode.
Le gode, c'était le plus gros et je ne comprenais pas comment ça pouvait passer, il entrait, il ressortait et Ben accélérait le mouvement. Je relevais la tête et regardais vers ma cage de chasteté, ma bite s'était ratatinée, la cage n'avait jamais semblé aussi vide, je n'avais pas éjaculé. Je me demandais ce qui se passais, je ne comprenais plus mes sensations, j'avais pourtant l'impression que
Mais c'est vrai que j'avais la cervelle en feu, et ce n'était plus ni la panique ni la peur qui me subjuguait
C'était l'extase
Mon cur allait exploser, je tremblais, je respirait fort, j'avais des gestes de convulsions, des gestes que je ne contrôlais pas, d'ailleurs je ne contrôlais plus rien mais
Nom de dieu c'était bon ! On m'avait dit qu'on pouvait vraiment jouir juste avec le cul. C'était vrai mais avant je ne savais pas à quel point. Je poussais un long gémissement, une plainte me dira plus tard Ben. Il jugeait alors que c'était bon, qu'il ne fallait pas me provoquer une crise cardiaque, il retirait le gode.
Je continuait à trembler un moment, je transpirais comme un fou. Il me fallait du temps pour reprendre mon souffle, j'étais bien et un long filet de sperme qui ne semblait pas vouloir s'arrêter coulait de ma cage depuis qu'il avait retiré le gode.
Moi : Tu m'as tué !
Ben : Mais non tu respires encore !
Il rigolait et avait l'air content de lui !
Moi : C'est fou ce truc, tu as l'impression que ça va déchirer
Et je l'ai bien senti quand il à touché mon estomac
Ben : Ton estomac ! Mais pourquoi pas tes amygdales pendant que tu y es ? Et pour ce qui est de déchirer
C'était la première fois pour toi c'est tout !
Il me montrait le gode, c'était le tout petit, moins de quinze centimètres de long sur à peine quatre de large
Voilà qui clôt cette histoire définitivement.
Je me permets puisque vous êtes encore là de faire un petit commentaire
Il y a peu je recevais une critique désagréable d'un lecteur
En gros il me disait que mon histoire était déplacée parce que ( je résume ) '' pas assez de scène de cul ! '' . Il parlait du texte '' Djé Episode 2 VOUS AVEZ DIT VACANCES ''. Je lui ai donc répondu que en effet
Mais que ce sont des histoires que j'écris, pas juste des scènes de cul pour le cul ! Que par conséquent il y en aurait plus ou moins selon les textes, selon les moment de l'histoire
Je viens de relire ce texte là ( plus haut ) et j'espère bien que cette critique il ne va pas me la reformuler pour ce dernier épisode de la série
La PK André ! Sinon je me lance dans la littérature pour s moi ! Et toc !
Un tout petit truc encore : Djé reviens pour une cinquième saison d'ici
Peu
N'hésitez surtout pas à me dire ce que vous pensez de mes histoires ( sauf si c'est pour me conseiller de me recycler dans la littérature pour s, bien sûr ! ). Lol. Eh oui c'est l'intervention d'un lecteur qui m'a fait écrire ce texte .
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