Chantage Et Soumission
"C'est quoi ce bordel? André! Tu déconnes! Tu essayes de me faire chanter maintenant?!"
"Je n'essaie pas, Émilie, je le fais! Tu pensais pouvoir tricher à l'examen de fin d'année avec ça? C'était trop facile, mais maintenant avec ce document je te tiens! Tu vas m'obéir ou je te dénonces et tu seras virée!"
Émilie ne pouvait pas croire cela; son meilleur ami, André, son pote, avait découvert son forfait et maintenant il voulait la faire chanter. Elle s'en voulait d'avoir laissé traîner la feuille polycopiée sur son bureau. André était tombé dessus et il avait compris immédiatement l'avantage qu'il pouvait en tirer. Il avait le papier en main; tous les sujets, toutes les questions du test de fin d'année étaient imprimés dessus. Sans cela, elle n'avait aucune chance de réussir l'examen. Elle n'avait jamais bossé de l'année, et sans une bonne note à l'examen, elle était virée. Émilie avait accepté de sucer la bite du pion pour obtenir les sujets, mais quel autre choix avait-elle? Et comment faire confiance aux gens si même André la fait chanter?
Et d'abord, que va-t-il exiger, ce petit fumier? Assise sur le lit, Émilie dévisage André, supputant ses chances de retourner la situation en sa faveur. Elle le connait depuis trois ans, il n'est pas bien méchant, pas bien malin non plus, mais il était là en face d'elle, espérant Dieu sait quoi pour son silence. S'il avait su y faire, il l'aurait mise dans son lit depuis longtemps, mais c'est un nerd, maladroit et timide avec les filles, mais mignon quand même. Finalement, elle décida qu'elle devait juste jouer sa chance et tenter de comprendre ce que voulait André.
"OK, André, c'est bon, tu me tiens, on va faire ce que tu voudras. Si tu promets que jamais personne ne pourra voir ce papier, tu peux faire de moi tout ce que tu veux. Alors, dis-moi ce que tu veux, qu'on en finisse!"
Émilie était attirante et elle le savait. Elle savait aussi, comme la plupart des filles, se pencher au bon moment pour attirer le regard du garçon sur ses atouts, sa poitrine et ses fesses.
"Je veux un rendez-vous pour sortir un soir avec toi, Émilie."
"Un rendez-vous? Sérieux? Tout ça pour ça? Tu veux juste un rendez-vous pour sortir avec moi?"
"C'est ça, un rendez-vous, samedi, vers 21H. On ira dans ce bar de jazz que tu aimes tant. Mais je veux te voir dans une tenue sexy. Une robe courte, des talons, tout ça, quoi ..! Qu'en dis-tu?"
Émilie ne s'attendait pas à ça, mais elle appréciait ce club. Quel pouvait être le fantasme du garçon? Se montrer au bras d'une jolie fille devant ses potes pour qu'ils arrêtent de se foutre de lui en le traitant de puceau? Rien de compromettant, ils pourraient danser un peu et même flirter, elle n'est pas bégueule, et personne ne saura jamais quelle avait triché.
"D'accord André, j'accepte. Samedi soir, tu viendras me chercher et nous irons au club. Mais tu promets. Tu détruiras ce papier à la fin de la soirée?" André hocha la tête avec enthousiasme, manifestement excité que son plan ait fonctionné.
"OK, à samedi. Maintenant, file d'ici, je t'ai assez vu, enfoiré!"
Émilie a passé le reste de la semaine à réviser selon le plan remis par le pion, sans plus se préoccuper de ce qui l'attendait samedi soir. Dans l'après-midi du samedi, André lui a envoyé un texto, lui précisant ses instructions sur sa tenue vestimentaire. En s'examinant dans son miroir, elle se dit qu'elle ressemblait plus à une pute qu'à une étudiante. Soudain, les exigences du garçon éveillaient ses craintes.
"Je suis un homme de parole, Émilie. À la fin de la soirée, je détruirai les preuves, mais seulement si tu es docile et obéissante toute la soirée.
Malgré son indignation, Émilie savait qu'elle n'avait pas beaucoup de choix en se préparant. Ce petit salaud voulait l'exhiber comme un trophée, une poupée docile qu'on promène sous les yeux des mâles en rut, envoyant un message du style:
"T'as vu la salope que je me tape?"
Mais la femelle qui sommeillait en elle voulait bien paraître. Peut-être qu'elle pourrait le séduire et s'en sortir facilement pour finir la soirée rapidement. Elle a exagéré son maquillage en se faisant des yeux de biche et en peignant ses lèvres rouge vif.
Vingt-et-une-heure pétante, Émilie descendit sur le trottoir. Quelques mecs qui passaient par là se sont retournés pour la mater, ce qui l'a troublée. Émilie se sentait tigresse prête à consommer sa proie jusquà l'arrivée dAndré. D'un coup, la pesanteur du chantage lui retombait sur les épaules, minant sa soif de conquête.
Elle s'approcha de l'auto pour ouvrir la portière, mais elle était verrouillée. La vitre côté passager s'est ouverte et André s'est exclamé:
"Tu es superbe, Émilie. J'aime ton style. As-tu la culotte assortie à ta tenue?"
"Oui, c'est ce que tu voulais! Tu ne penses pas que je vais te la montrer ici? Déverrouille la porte et laisse-moi entrer!"
"Oh, j'aime cette idée! Oui, Émilie, soulève ta robe, petite pute, et fais moi voir ta culotte, et ta docilité."
"Quoi? Tu n'espères pas que je montre mon cul au milieu de ce parking? Casse-toi, André, je ne marche pas!"
Mais Émilie s'est vite rendu compte qu'elle n'avait aucun contrôle sur la façon dont la nuit allait se passer.
"Bien, je t'explique alors!" André sortit son téléphone, montrant l'écran à Émilie. "Voilà, j'ai préparé ce texto explicatif avec la preuve en pièce jointe. J'appuie sur "envoyer", il part sur le téléphone du directeur d'établissement, et tout est fini, Émilie.
Aussi sidérée que soit la jeune femme, elle était déterminée à obtenir la destruction du document. Se reculant, elle souleva sa robe au-dessus de la taille, révélant une culotte en dentelle rouge vif sur sa chair dorée. Alors qu'elle tournait sur elle-même, des acclamations et des sifflets fusaient du bâtiment derrière elle et montraient clairement que les garçons pouvaient voir ce qui se passait.
Son visage s'empourpra de honte et elle lui cria: "Ouvre, crétin!"
Quand elle entendit le son de la porte se déverrouiller, elle monta rapidement et André démarra en direction du bar.
Quand ils sont entrés dans le bar, André la tenait par la taille, remontant nonchalamment sa robe, et il l'a promenée ainsi tout autour de la salle, montrant aux consommateurs présents la fesse de sa cavalière. Ensuite, il l'a dirigée vers une table bien exposée, près de la piste de danse. Ils se sont installés sur la banquette sous le regard concupiscent des mâles en rut qui lorgnaient les jambes d'Émilie. Le serveur apporta les boissons commandées. André, parfaitement à l'aise, hochait la tête en suivant le rythme de la musique, tandis qu'Émilie, assise à côté de lui, était agacée par un mélange de colère et d'embarras.
"Tu n'avais pas besoin de m'humilier comme tu l'as fait en pleine rue, André. Ni de montrer mon cul à tous les gens qui traînent ici!"
"Oh détends-toi, poulette, personne ne connaît personne ici, et demain ils auront tout oublié, sauf toi et moi! Si c'était si désagréable, n'oublie pas que tu as une longue nuit devant toi. Au fait, j'aime bien ta culotte. Très sexy, enlève-la!"
Le souffle coupé, Émilie aurait voulu hurler, elle aurait aimé griffer ce visage souriant et s'enfuir par la porte, mais l'image du téléphone l'arrêta. Elle calma sa colère et se tortillant sur le faux cuir de la banquette, elle commença à faire glisser sa culotte le long de ses jambes magnifiques.
"Non! Hé! Ho! Stop! Poulette! Pose-la bien à plat sur la table. Bien étalée. Et soulève un peu ta robe, que tes fesses nues reposent sur la banquette. Je veux que tout le monde ici sache que tu es une petite salope assise sans culotte."
Avec un soupir, Émilie fit ce quil demandait, imaginant que personne ne la remarquerait. De toute façon, le bar était peu éclairé, Émilie ne connaissait personne ici, alors quelle importance?
Mais juste au moment où elle a étalé sa culotte, la serveuse est revenue avec d'autres boissons, elle a regardé le vêtement sur la table, puis a sourit en dévisageant Émilie. En attendant qu'André la paye, la serveuse détaillait Émilie qui pouvait lire le jugement dans ses yeux. "Elle pense que je suis une salope! Je suis victime d'un maître-chanteur, connasse!"
Après quelques danses pendant lesquelles André s'est beaucoup amusé avec sa courte robe, la faisant remonter presque constamment,
ils sont retournés s'assoir. André faisait la conversation et Émilie commençait à se détendre. Elle était déterminée et voulait récupérer son document. Alors qu'elle discutait gentiment, essayant d'endormir la lubricité du garçon, celle-ci se réveilla brusquement.
"J'ai hâte de te baiser ce soir, Émilie."
"C'est ça le prix que je dois payer? C'est ça que tu voulais? On aurait pu le faire directement dans ma chambre, pas besoin de tous ces préliminaires! Viens! On rentre, tu me baises et basta! Je récupère mon document!"
"Je t'ai amenée ici Émilie, parce que je suis amoureux de toi. Je voulais que tu passes un bon moment, mais si tu me détestes, alors nous allons juste passer à l'étape suivante. Masturbe-moi, branle-moi, ici, au milieu de ce bar bondé de clients."
Pendant qu'il parlait, Émilie le voyait s'affairer sous la table. Jetant un regard, elle découvrit qu'il avait défait sa ceinture et les boutons de sa braguette et qu'il sortait sa queue à moitié dure, attendant ses bonnes grâces.
Émilie, dans un soupir, presque un sanglot, tendit la main et saisit sa viande, serrant brutalement avant de la caresser lentement.
La tige devint raide et André baissa la tête, appréciant la caresse experte d'Émilie.
Clairement, la fille avait de la pratique et elle mettait ses compétences à profit, espérant le calmer en le faisant éjaculer.
Ils étaient assis côte-à-côte, Émilie masturbait le manche d'André, prenant le temps de frotter sa paume sur le gland turgescent et d'utiliser le liquide pré-éjaculatoire comme lubrifiant pour le faire venir.
"Tu fais ça bien, t'es bonne, laisse-moi te rendre la politesse!" La main d'André s'était également glissée sous la table et s'était posée sur la cuisse d'Émilie. Elle continua à le branler tandis qu'il palpait sa chair, n'offrant aucune résistance quand le garçon glissa sa main entre ses cuisses, les écartant d'un geste volontaire, pour s'emparer de sa chatte. Tandis qu'il glissait ses doigt dans la fente, il s'enquit: "Tu dois bien t'amuser salope, ta chatte est trempée."
Il avait raison, Émilie était confuse. En colère et honteuse, mais elle était aussi incroyablement excitée par la domination qu'André exerçait sur elle. Soumise à la volonté du mâle, son corps réagissait. Sans un mot, elle fit glisser son bassin en avant, jusqu'au bord de la banquette, ouvrant ses cuisses, encourageant André à la pénétrer davantage, ce qu'il était plus qu'heureux de faire, glissant deux puis trois doigts dans son intimité suintante.
Les deux amants passèrent un moment à se peloter, mais Émilie perdait la bataille et elle le savait, sa chatte affamée réclamait le membre viril qui pouvait la soulager. Elle ressentait le vertige qui l'avertissait de la proximité de l'orgasme. Dans sa volupté, elle avait cessé sa caresse, mais André ne semblait pas s'en soucier. Se concentrant pour la faire jouir, il la baisait brutalement, trois doigts martyrisant sa chatte et le pouce frottant son clitoris. Il voulait qu'elle ait un orgasme, ici, devant les yeux des consommateurs éberlués. Et il a obtenu ce qu'il voulait, Émilie rejetant sa tête en arrière, bouche ouverte, yeux clos, gémissante et geignante, tandis que son corps entier tremblait sur la banquette à côté de lui.
Émilie était d'une lascivité incroyable. Elle n'avait jamais connu un tel orgasme, même avec ses jouets vibrants, et elle ne s'y attendait certainement pas d'André! Languissante, elle s'appuya contre le garçon, posa sa tête sur son épaule et lui tendit ses lèvres en murmurant:
"Chéri, tu es merveilleux!"
Elle se laissa entraîner dehors, oubliant sa culotte sur la table. André la conduisit avec son bras passé autour de sa taille. Elle se laissait conduire, collée à son amant, soumise, se moquant de savoir si on voyait ses fesses ou non.
Dehors, elle sattendait à ce quil l'entraîne vers le parking, mais il se dirigeait vers l'arrière du bâtiment.
"André? Qu'est-ce que tu fais, la voiture est par là!"
"Je sais où se trouve la voiture, mais je ne peux plus attendre. Il faut que je te baise maintenant!"
Ils avaient à peine tournés le coin du bâtiment qu'André la plaqua contre le mur. Il commença à dévorer sa bouche passionnément, une main sur sa nuque, l'autre entre ses jambes. Émilie était submergée par la passion, accrochée à ses épaules, l'embrassant en suçant la langue que le jeune homme fourrait dans sa bouche. Elle le désirait, toutes les mauvaises pensées du chantage avaient disparues et elle avait besoin de son membre planté dans sa chatte.
"Viens, André, je suis prête! Prends-moi!"
Émilie se retrouva instantanément face au mur, André l'ayant retournée en utilisant ses cheveux comme poignée. Sa main toujours sur son pubis, il cambra la fille en éloignant le bas du corps du mur et souleva sa robe pour l'exposer à quiconque se promenait dans l'allée pour voir. Dégainant rapidement son membre de sa braguette, il l'enterra dans sa chatte en un seul coup. Émilie plaqua ses mains contre le mur de brique, poussant son cul en arrière pour profiter de toute la longueur du membre d'André. Le claquement des chairs couvrait les gémissements de la fille tandis qu'André frappait sa chatte à grands coups de bite.
Lâchant la robe qu'il avait remonté bien au-dessus de la taille, il passa le bras autour de son corps pour s'emparer de sa chatte et masser son clitoris, désireux d'augmenter son plaisir. Emportée par l'ivresse de sa volupté et son tempérament de feu, pendant qu'André la baisait comme une pute, Émilie savourait chacun des coups de boutoir qui labourait sa vulve, et ses cris aigus résonnaient dans la ruelle sombre deux fois plus.
"Je viens, Émilie, je veux jouir sur ton visage, tu m'entends? Je vais balancer mon sperme sur ta gueule!"
Dans son état d'ivresse sexuelle, Émilie était ravie de faire ce qu'il voulait, elle se jeta au sol, ouvrant la bouche, tirant la langue, les yeux levés vers lui tandis qu'il se branlait sur elle. La vue d'Émilie agenouillée sur le sol, en adoration devant ce mâle qui la comblait était trop forte pour André qui éjacula bruyamment. Il tirait une grande quantité de sperme sur son visage, recouvrant ses yeux, ses lèvres, son front et son nez. Sortant son téléphone, il prit quelques photos de la belle fille couverte de sperme en pensant qu'il pourrait peut-être monnayer ses faveurs par un nouveau chantage.
"Tout va bien ici?"
André se retourna pour voir un agent de sécurité en uniforme du bar les regardant tous les deux, André avec sa bite toujours sortie et Émilie essuyant son visage.
"Ouais, mec! Tout va bien! Je viens juste de me taper cette pute!"
"Mademoiselle? Est-ce que ça va? Ce type n'a pas utilisé la violence envers vous, hein?"
Avec du sperme plein les cheveux, Émilie comprit à quoi elle ressemblait et réalisa qu'elle pouvait facilement causer des problèmes sérieux à André, mais décida de ne pas le faire.
"Non, monsieur, tout va bien. Nous nous amusions. J'apprécie quand il me traite comme une poule!"
L'agent de sécurité les regarda alternativement et grogna quelque chose en haussant les épaules, puis tourna les talons et s'éloigna. Les deux amants se sont rapidement nettoyés et se sont dirigés vers la voiture. Ils restèrent tous les deux silencieux jusqu'à ce qu'ils arrivent sur la route, quand André a finalement pris la parole.
"Un accord est un accord Émilie, je vais te rendre ton fichier dès notre retour. Et merci de ne pas avoir essayé de me mettre en difficulté avec ce garde. Ce soir, tu as été incroyable, mais je suppose qu'on ne va probablement pas se revoir, n'est-ce pas? Pourtant, je peux t'assurer que je suis réellement amoureux de toi et que je te désire plus que tout au monde!"
Pendant qu'André parlait, lui confiant ses sentiments et son désir de la revoir, Émilie restait silencieuse, jouant avec ses cheveux.
Elle réfléchissait aux événements de la semaine écoulée. Au début, elle était en colère, mais plus André l'avait contrainte à agir comme une pute bon marché, plus ça l'avait excitée. Émilie réalisait brusquement qu'elle en voulait encore, elle voulait être soumise aux désirs de son homme, tant qu'André continuerait à la rabaisser et à la baiser comme il l'avait fait ce soir.
"Non, André, je nai jamais ressenti un orgasme aussi violent avec qui que ce soit, alors si tu me promets de me dominer et de m'asservir encore comme ce soir, on se reverra la semaine prochaine."
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