Les Routiers Sont Sympas - Chapitre 13

LES ROUTIERS SONT SYMPAS Chapitre 13
Fontaine, j’ai bu de ton eau. - 3

Dans cette chambre ou nous devons dormir ensemble, pour la première fois, après avoir quittés nos vestes et blousons, nous sommes dans les bras l’un de l’autre. Nous nous embrassons longuement, langoureusement.
D’une main caressante, je trouve et je défais les boutons de son corsage. Je le fais glisser le long de ses bras et le laisse choir par terre. Son soutien-gorge me cache ses seins à la peau lisse. Je les devine bien ronds et bien fermes... Mes mains caressent son dos et sa poitrine ainsi découverts.
Je lui souffle à l’oreille : 
« Enlève-moi ma chemise... caresse-moi... Fait-moi ce que je te fais... »
Timidement, maladroitement, elle suit mes conseils... Je dégrafe son soustif... Je caresse ses seins nus, ils se raidissent, ses tétons pointent fièrement... Tout en lui baisouillant et léchant son visage, son cou, ses épaules, je descends sur sa poitrine... Mes mains, tout en caressant son dos, trouvent le bouton qui retient sa jupe... Je le défais, fais glisser la fermeture Éclair... La jupe se dépose en rond autour de ses pieds... Seule sa petite culotte blanche me cache son intimité...
- « Baisse moi le pantalon... » Je l’aide à ouvrir la boucle de la ceinture... Elle accompagne la chute du falzar au sol en se baissant tout en m’embrassant et léchant la poitrine... Elle s’arrête au niveau du nombril...
 « Tu peux descendre encore... »
Je ne peux pas... Je n’ose pas... »
C’est vrai que je bande dur... Mon slip a pris la forme de mon sexe qui est plaqué contre mon ventre...
J’aide Élodie à se relever... Je la prends dans mes bras, l’embrasse longuement tout en la faisant reculer pour s’assoir sur le bord du lit.
Je me baisse pour la déchausser et lui enlever ses socquettes... J’en profite pour me mettre pieds nus...
Me relevant, je lui soulève les jambes pour l’allonger sur le lit.

.. Je m’allonge à son côté.
« Élodie, dis-moi que tu n’a pas envie de faire ça ! Mais ne me dis pas que tu n’oses pas ou que tu ne peux pas... Tu as entendu Yvette et Michelle, tu as entendu les commentaires de la cassette, il faut se laisser aller, il faut oser... En amour, on peut tout faire du moment que c’est pour donner et avoir du plaisir il n’y a rien de sale... »
Tout en parlant, je lui ai pris une main et l’ai guidée pour la poser sur mon sexe. Au contact, elle a eu un bref mouvement, instinctif, de recul comme si elle s’était brulée. J’insiste, je lui fais fermer les doigts autour de mon membre, elle se laisse faire et reste en place...
Je pose ma main sur son entre-jambe... Je sens que sa culotte est mouillée à cet emplacement... Je caresse sa vulve à travers le tissu. Elle mouille de plus en plus...
« Caresse-moi aussi...
Comment ?
Comme ça... »
De mon autre main je la guide, lui fait faire, lentement, des mouvements masturbatoires... Elle continue seule...
« Tu aimes ?... Ça te fait plaisir ?
Ouiiii... Ta main me fait chaud entre mes cuisses et dans tout mon bas ventre...
C’est ton plaisir qui monte... Je sens que tu mouilles de plus en plus...
J’ai peur de gicler comme les autres fois...
Surtout n’ai pas peur... Pour le moment ça ne risque pas... Tu n’es pas assez excitée... Nous allons prendre une douche... On verra après... »
Sur ces paroles, on s’embrasse, on va à la salle de bains, seulement vêtus de nos slips...
Sous la douche, avant d’ouvrir l’eau, je passe les pouces de mes mains sous l’élastique de sa culotte. Je la fais descendre. J’accompagne cette descente en m’abaissant... Je découvre la toison noire de sa vulve... Des perles de cyprine brillent en reflétant la lumière... La culotte enlevée, je pose ma bouche sur cette autre bouche chaude et accueillante. Je l’embrasse, ma langue en profite pour aller chercher une lampée de suc d’amour. Debout, je murmure :
« Fais-moi pareil.
.. Enlève-moi le slip... »
Elle s'exécute... Se sentant libéré, mon phallus se raidit davantage... Il grossit de quelques millimètre de plus... Élodie, malgré sa surprise, pendant quelques secondes, ne le quitte pas du regard. Voulant se relever, en posant mes mains sur ces épaules, je la retiens accroupie et lui dis :
« Tu peux lui faire la bise... C’est la première fois que tu la vois... Elle aime être embrassée... Il lui tarde de te donner du plaisir...
Elle est bien grosse... Jamais tu vas me la rentrer dedans...
C’est bien Élodie, tu commences à avoir moins d’appréhension... Qu’est-ce qui te fait penser que je vais te la rentrer dedans ?...
C’est bien comme ça qu’on fait l’amour ?...
C’est pas obligé...
Je croyais... J’ai beaucoup à apprendre... »

Elle m’embrasse le gland du bout des lèvres,... Elle se relève, j’ouvre l’eau, nous nous douchons en nous savonnant mutuellement... Pour l’habi à le toucher, je lui fais nettoyer mon chibre qui ne perd pas sa raideur...bien au contraire...
La douche terminée, essuyée, parfumée, Élodie va s’allonger sur le lit. Je me rase avant d’aller le rejoindre...
Discrètement, je glisse deux préservatifs sous l’oreiller...
Allongés côte à côte, nus, nous recommençons à nous toucher, à nous caresser, à nous embrasser.
« Élodie, tu aimes ce que nous faisons ?...
Oh !... Ouiiii ! J’aime... Je ne savais pas qu’on pouvait avoir autant de plaisir à faire l’amour...
C’est vrai que tu n’a pas eu beaucoup de chance avec les garçons que tu as connus... Ce que nous allons faire, ce n’est que le début de notre plaisir pour aller jusqu’à la jouissance... C’est ce qu’on appelle les préliminaires... C’est là qu’il faut se laisser aller, qu’il faut écouter les réactions de notre corps, prendre des initiatives, laisser faire l’autre du moment que ça fait du bien...
Avec le premier, je n’ai pas eu de plaisir... Avec les deux autres, j’en ai eu mais les giclées ont tout gâché.
..
N’en parlons plus... Oublie ce mauvais souvenir... Une nouvelle vie sexuelle s’offre à toi... Profites-en...»
Tout en parlant, je lui avais fait prendre ma bitte à pleines mains... Elle me la masturbait doucement...
D’une main, Je caressais, ses seins, faisais rouler les mamelons durcis entre mes doigts... L’autre main, posée sur sa chatte débordante de plaisir, caressait en faisant des allés et retours, sur sa fourrure, le long de ses grandes lèvres... Le majeur appuyant légèrement glisse entre ses chairs tendres. Au passage, il masse le petit bouton sensible qui ne tarde pas à gonfler et sortir de sous son capuchon...
Tout en léchant et bécotant je m’approche de cet entre-jambe si convoité.
Arrivé sur la place, des deux mains, j’écarte sa brune toison pour m’ouvrir la porte du paradis. J’ai une vue plongeante sur son gouffre du bonheur d'où sourde, en continu, la liqueur de la joie. Je ne peux pas résister à la tentation de m’y abreuver...
Je plaque ma bouche sur cette source pour en aspirer le nectar qui doit étancher ma soif. J’en avale une gorgée, puis une deuxième... Je fais pénétrer deux doigts frétillants dans sa grotte... Ma langue, pliée en forme de tube, aspire son bourgeon... Surprise par la soudaineté de mon action, Élodie reste sans réaction... Se cramponnant à mon pieu de chair, elle arrête tout mouvement... Son regard fixe ma langue qui titille son bourgeon... Son cœur s'emballe, j’en ressant les battements à travers la peau tendue de son bas-ventre... Elle a le souffle court, de plus en plus rapide... Des râles, allant crescendo, sortent de sa bouche entrouverte... Sa jouissance prend de l’ampleur... Tout son corps s’agite, tressaille, vibre...
Tout à coup, elle se cabre, se raidit... C’est l’épilepsie préludant l’orgasme...
Je n’ai pas le temps d’attr la serviette de toilette, mise à portée de main, que le premier jet claque contre ma figure. J’en ai plein la bouche, les narines... Ça éclabousse partout.
.. Je limite les dégâts en posant la serviette sur la source de cette rafale hydraulique...
Un moment comateuse, Élodie reprends pied dans la réalité... Voyant ma figure dégoulinante, elle me dit :
« Excuse-moi, je n’ai rien senti venir... Il me semble que j’ai perdu connaissance...
Tu n’a pas à t’excuser... Je savais ce qui allait arriver... Je n’ai pas été assez rapide pour limiter la portée de cet arrosage... La prochaine fois, il faudra être plus attentifs...
Parce que tu comptes recommencer ?... Je suis vidée, épuisée...
Remettons un peu d’ordre... Reposons-nous quelques minutes... Dis-moi au moins si tu as apprécié... Si ça t’a fait plaisir...
Je ne peux pas te dire grand chose, je ne trouve pas les mots pour exprimer mon bonheur... C’est la première fois que ça m’arrive et c’est à toi que je le dois... Merci... Merci... »
D’un long baiser, elle vient me confirmer sa reconnaissance... Elle me lèche la figure, goutte cette mouille et avale...
« Au fond, ce n’est pas si mauvais que ça...
Tu as raison... Ça a le même gout que ta cyprine... Tu ne l’as jamais goûtée ?...
C’est quoi la cyprine ?
C’est cette espèce de liquide, un peu visqueux, transparent, qui sort de ta vulve quand tu as du plaisir... On dit que la fille mouille... Tu ne t’es jamais touchée ?... Tu n’as jamais chatouillé ton clitoris avant ?
Tu es bien indiscret... Je ne veux pas te répondre...
Élodie, ne sois pas gênée... On le fait tous, garçons ou filles, adolescents, quand notre sexualité s’éveille, quand nos corps changent... Ça s'appelle la masturbation... Et puis, entre nous, après ce qu’on vient de faire, avant ce qu’on va faire, on ne doit pas avoir de secrets sur ce sujet...
Oui, je me suis touchée, seule... Quelques fois, au lycée, quand j’étais pensionnaire, avec des copines, nous nous sommes donné du plaisir... Nous avons comparé le gout de nos différentes sécrétions...
En vous léchant les doigts on en vous léchant la foufoune ?...
En nous léchant les doigts, jamais nous avons osé nous lécher ailleurs... Même pas nous embrasser sur la bouche... Je sais qu’il y en a certaines qui le faisait...
Jamais tu t’es touchée jusqu’à te faire jouir, avoir un orgasme comme tout à l’heure ?...
Non... Ça devenait trop sensible, presque douloureux quand les sensations étaient trop fortes, j’arrêtais, nous arrêtions et on attendait que ça passe...
Quand je t’ai léchée, tu as apprécié ?... Ça t’a fait plaisir ?... du bien ?...
Ouiii, beaucoup... Beaucoup trop... Je ne sais pas ce qui m’est arrivé...
C’est ça l’orgasme chez les filles... Votre plaisir, votre jouissance, c’est tellement fort que vous perdez tout sens des réalités... Certains spécialistes l'appellent la petite mort...
C’est vrai... J’étais trop bien... Dans un grand silence... J’ai eu l’impression de flotter dans l’air...
D'où l’expression monter au septième ciel... Tu découvres comment avoir du plaisir, des plaisirs sexuels...
Tu dois aussi apprendre un nouveau vocabulaire... Quand un garçon, ou une fille, se donne du plaisir seul, ou à un(e) autre, en se touchant le sexe, on appelle cela la masturbation... Quand un garçon, ou une fille, embrasse, lèche, suce, aspire le sexe d’une fille, on dit qu’il ou qu’elle lui fait un cunnilingus... Quand une fille, ou un garçon, donne du plaisir à un garçon en excitant son sexe avec la bouche, on dit qu’il ou qu’elle lui fait une fellation... Quand on s’accouple, pour ne pas avoir de bébé, le garçon met un préservatif... »
C’est bien compliqués... Tous ces nouveaux mots à retenir...
Tu peux aussi retenir le vocabulaire de Michelle... Si c’est plus facile, c’est plus vulgaire, plus crus...
Comment elle dit ?...
Tu l’as déjà entendue... Quand on se donne du plaisir en se touchant le sexe avec les mains, on se branle... Quand on donne du plaisir à une fille avec la bouche sur son sexe, on lui bouffe la chatte ou la cramouille... Quand on donne du plaisir à un garçon avec la bouche, on lui taille une pipe... À deux, on se met tête / bêche, on donne du plaisir à l’autre en excitant son sexe avec la bouche et / ou avec les mains, on dit qu’on fait un soixante-neuf... Le préservatif est plus connu sous le nom de capote anglaise... Et bien d’autres expressions que je t’apprendrai... si tu veux bien...
Je ne demande que ça... Apprendre et pratiquer... »
Tout en parlant, nous avons nettoyé, rangé, refait le lit en le recouvrant d’un drap de bain en tissu éponge.,. Nous nous sommes douchés... Allongés, nus, sur le lit, nous nous embrassons, nous nous léchons, nous nous caressons...
Mon chibre est toujours aussi tendu, Élodie mouille de plus en plus...
De léchages en baisouillages, je descends vers son bas-ventre, vers la fourche des ses cuisses grandes ouverte...
Ne pouvant résister à cette invitation, je lampe quelques gorgées de nectar, embrasse et suçote le petit oiseau qui ne tarde pas à sortir de sa cage...
J’ai du ramper pour arriver à cet endroit... Nous nous retrouvons tête bêche, en position pour tenter d’initier Élodie à la pratique du soixante-neuf... Ma biroute est à quelques centimètres de sa bouche... Je la prends d’une main et je lui dis :
« Tiens... Att !... Caresse !... Embrasse !... Suce !... N’ai pas peur !... Ose !... »
Elle comprend vite... Instinctivement elle me l’att à pleines mains, fait quelques mouvements masturbatoires, du bout des lèvres, embrasse le gland... Elle ouvre la bouche pour la sucer... Je sens sa langue, chaude, humide, caressante qui en fait tour...
« C’est bien Élodie !... C’est bon !... Tu me fais du bien !... Continue !... »
Elle sort ses mains, s’enfonce mon organe jusqu’au fond de sa bouche et me masturbe par des hochements de tête.
La tension monte dans mon service trois pièces et s'irradie dans tout mon bas ventre...
Ne voulant pas m’éclater dans sa cavité buccale, j’arrête tout. Je m’allonge sur le dos, mon membre viril pointé vers le ciel. Je fais mettre Élodie à genoux, à califourchon au-dessus de mon bassin... Je mets une serviette de toilette à portée de main...
Nous nous regardons... Nous nous sourions... Je prends mon gourdin en main et le frotte contre le minou de ma partenaire. Sa tête chercheuse ne tarde pas, sur ce chemin glissant, à trouver l’entrée du terrier rose...
« Élodie, Tu aimes ce que je te fais ?... Ça te fait du bien ?...
Ouiiii... C’est bon !...
Alors, continues !... Fais-toi plaisir !... Fais-toi du bien !... Fais-la rentrer dedans !... Empales-toi dessus !... »
Sa main remplace la mienne... Elle agite le bâton qui rend fou tout en se l’enfonçant dans le bénitier.
Arrivé au fond, elle se penche en avant, prend appui sur ses deux bras, agite son train arrière, alternativement, de haut en bas... Immobile, j’observe la montée de son plaisir sur son visage, j’écoute sa respiration haletante...
Je glisse une main sous l’oreiller, att un préservatif qui j’y avais caché, en défait l’emballage...
Quand Élodie commence à accélérer la cadence, je la stoppe, la fais lever pour faire sortir le bâton à un bout de son étui à clarinette. Je pose la capote sur le bout et commence à la dérouler...
- « Vas-y !... Continue !... Déroule tout !... Avec ça, tu n’auras pas de bébé... Fais-moi plaisir !... Fais-moi jouir !... S’il te plait !... »
Pas besoin de lui répéter... Bien couvert, mon cigare reprend sa place dans sa tabatière... Le pistonnage recommence... La cadence devient de plus en plus rapide... Sa respiration suit le même rythme... Bouche grande ouverte, elle incline sa tête en arrière pour faciliter la circulation de l’air dans ses poumons...
Je sens mes deux voisines du dessous se contracter... Elles ne vont pas tarder à cracher tout leur venin...
Soudain Élodie se redresse, s’empale à fond sur mon pieu de chair, lève les bras au ciel et s’écrit :
- « Youpiii !!!...Ça s’arrose!!!...»
J’ai juste le temps d’attr la serviette de toilette pour la mettre contre sa vulve. Elle se laisse tomber, inanimée, sur ma poitrine... Je sens contre ma bitte les spasmes des giclées de son eau précieuse qui se confondent avec les spasmes de l’éjaculation de ma semence... La serviette est vite saturée...
La synchronisation de nos orgasmes est parfaite...
Retrouvant ses sens, Élodie ouvre les yeux... Son regard est plein de reconnaissance... Elle soude sa bouche à la mienne... Nos langues s’agitent en une sarabande désordonnées... Notre baiser est long, profond, sensuel....
« Merci... Merci... -me souffle-t-elle à l’oreille. Tu me donnes beaucoup de plaisir, beaucoup de bonheur... Merci encore !...
Tout le plaisir est pour moi... Je suis fier de t’avoir fait oublié tes mauvais souvenirs... Crois-tu que tu es toujours une fille pas normale...
Encore un peu... Toi tu sais ce qui arrive quand je jouis... Mais si un jour je vais avec un autre garçon, qu’elle sera sa réaction ?...
Tout simplement, tu lui diras la vérité, sans rien lui cacher...
Tu as raison... Mais ce sera difficile...
On va demander à Michelle et à Yvette de te trouver une petite documentation
C’est une bonne idée...
Pour le moment, tu sais à quoi je pense ?
Non, tu vas me dire...
Il est plus de minuit... Il est temps de dormir un peu... Même si demain est dimanche, il faudra être en forme pour reprendre le
travail lundi...»

Après une rapide toilette, c’est dans les bras l’un de l’autre, nus, que nous nous endormons...
Demain sera un autre jour... Et une autre histoire à écrire...
Petikokin

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