Dimanche 15 Novembre 1981
La jour nétait pas encore lever que je me réveillais et essayais de sortir discrètement du lit, quand Véro mattrapa en disant : « Restes,
» et dans le même temps descendit vers le bas en direction de ma bite quelle pris en main, disant : « Déjà presque en forme,
peut faire mieux,
je men occupe,
» et elle se laissa glisser vers la bas, tout en caressant la chose, qui se réveillait très énergiquement. Ayant dégagé les draps, je pus la voir et ensuite sentir quen arrivant à hauteur de mon sexe, elle entreprit après quelques coups de langue sur la longueur, de prendre en bouche mon gland et de le titiller avec sa langue pointue et excitante, enfin jugeant la chose presque prête, elle prit en bouche lensemble et se mit à me pomper avec douceur, et pensant que la chose était à son goût et avait la dureté voulue, remonta, pour arriver à bonne hauteur et pendant quelle me guidait dans sa chatte bien chaude et bien mouillée elle dit : « Viens,
prends moi,
fais moi lamour,
oui,
fais moi lamour,
je veux te sentir sur moi,
entre mes jambes,
savoir ainsi que je suis à toi,
» Ce nétait pas le moment de moccuper du vocabulaire, il fallait mieux soccuper de sa chatte et la remplir. Dès que je commençais mes va et viens dans sa chatte coulant de son jus de plaisir, utilisant ses jambes repliées à mes cotés, à chaque pénétration elle se cambrait pour maccueillir au plus profond delle, celles-ci accompagnées de : « Oui,
jaime,
me donner à toi,
jaime que tu me fasses lamour,
oui, brutalises moi,
défonces moi la chatte,
OH, OUI,
baises moi fort,
continues,
je sens que ça vient,
» Alors quelle se cambrait brutalement que: « OH,OH,OH, OH,
OUIIIIIIIIII,
cest bon,
je JOUIIIIIIIIIIS,
» et elle eut un spasme brutal suivi dautres de plus faible intensité, mais ave ce que lon avait fait quelque heures plus tôt, javais les plaisir dans les reins, mais qui ne voulait pas sortir, cela marrivait quelques fois et il fallait que ça sorte, je devenais, dans ces cas, une machine à baiser.
Le jour était levé depuis un certain temps car la lumière me réveilla. Je me levais doucement et me dirigeais vers la salle de bains pour la douche matinale. Celle-ci terminée, ma partenaire nétait toujours pas réveillée, connaissant la maison, jallais en cuisine préparer le café. Café fait, je décidais de lapporter à Véro. Ça fait toujours plaisir. Effectivement : « Oh,
merci,
cest gentil,
» Elle le bu et se levant, pour aller vers la douche: « Oh,
ne me regardes pas,
je suis moche au réveil,
» Passant devant moi : « Je ne pense pas,
mais tas toujours un joli cul,
»
Véro : « Merci pour le compliment,
mais tu ne ten ais pas occupé,
»
Moi : « Vrai,
mais je nai pas eu le temps,
dépêches toi et situ veux, je vais men occuper,
» Elle était dans la salle de bains. Et tant bien que mal je préparais le petit dej, en fait je fis du café et des toasts, cétait le plus simple et le plus facile
Un bon quart dheure après elle se pointa en sortie de bains pour voir où jen étais
Véro : « Un véritable cordon bleu,
»
Moi : « Fous toi de moi,
et que caches tu sous ta jolie sortie de bains,
montres moi,
»
Véro : « Tu ne vas pas commencer,
laisses moi pendre le petit déjeuner,
»
Moi : « Oui,
mais tu peux venir membrasser pour bien démarrer la journée,
» intérieurement je me dis que ce nétait pas gagné, mais que javais une chance.
Véro : « Je commence à te connaitre,
un petit baiser,
et puis, je vais me retrouver dans tes bras et après tu voudras plus et je vais accepter, car je ne sais rien te refuser,
je prends mon petit déjeuner et après ce que tu voudras,
ça y est je commence à céder,
» et elle sinstalla devant son café et se restaurer. Nous devisâmes gentiment et sétant restaurée elle se leva en disant : « Tu vois,
ne dis rien,
tu es content,
je viens,
»
Elle sapprocha alors que je la prenais dans les bras pour autre chose quune petite bise, je lui glissais dans loreille : « Jespère que tu ça ne sens pas le savon,
«
Véro : « Tes vraiment un horrible,
mais non,
quand je viens te voir,
pas de savon,
Je sais que tu naimes pas,
» et jouvrais le peignoir en lui disant : « Je veux vérifier,
je peux,
Véro : « Depuis quand tu me demandes la permission,
de toutes les façons tu fais ce que tu veux,
et jaccepte,
je suis dune obéissance incroyable,
jirais presque jusquà utiliser un autre verbe,
»
Avant de la prendre dans mes bras, je marrangeais pour ouvrir son peignoir, ce qui se fit simplement et nous nous collâmes lun à lautre. Et Véro, commença à rouler, doucement mais avec application, des hanches et ce qui devait arriver, fut un léger gonflement dans ma braguette. Mais il ny avait pas que moi qui montait en pression, mon adorable partenaire se chauffait aussi et me dit en écartant ses jambes : « Ta jambe,
mets ta jambe,
» Je compris vite le but de lopération et introduisant ma jambe, enfin ma cuisse, entre les siennes, elle se mit à y frotter sa chatte. Le souffle saccéléra en même que le rythme de frottement augmentait, tout cela, sentendait par une accélération de sa respiration et tout dun coup, ses cuisses se refermèrent sur la mienne, alors quelle se cramponnait plus fortement à moi. Conclusion simple, elle sétait fait jouir et moi jétais resté en chemin, mais avec une trique importante. Ayant récupéré son souffle, elle me dit : « Viens,
jai envie de toi,
viens prends moi,
» et, le peignoir ayant été abandonné, elle se dirigea vers le canapé, et sy installa en levrette : « Prends moi comme ça,
tu mas promis,
je me suis préparé pour toi,
tu sais que jaime quand tu me prends comme çà,
» Puisque tel était son désir et surtout, son joli cul bien en évidence, il ny avait plus quà sexécuter.
Véro : « Jattendais que tu me le dises,
»
Moi : « Oui,
mais tu aimes te caresser pendant que je moccupe de ta rosette,
alors,
»
Véro : « Oui,
jaime être prise des deux cotés,
ça augmente mon plaisir,
continues,
j aime te sentir là,
OOOHHH,
OUIIIIIIIII, ne tarrêtes pas,
OH ? OUIIIIIIIIIII,
» et elle fut parcouru par spasme qui la fit se contracter de tous ses muscles, mais je navais pas fini et si elle avait joui, je bandais encore ferme et cramponné à ses hanches, tout à coup je me vidais dans son fondement, ce qui la fit réagir par : « Oh,
oui,
cest bon,
» et elle se laissa aller sur le canapé, alors que jen faisais autant.
Le temps de retrouver nos esprits, les aiguilles avaient tournées et il était temps de se préparer et de partir pour retrouver les autres sur le parking du club. Elle passa un bikini et recouvrit le tout dun cordage et dune jupe, alors que je passais mon maillot et en route pour le parking.
En chemin Véro : « Tu viendras me voir pendant la semaine,
»
Moi : « Tu en as envie,
»
Véro : « Goujat,
tu veux que je te supplie,
»
Moi : « Jaimerais assez,
ça flatterait mon orgueil masculin,
»
Véro : « Oui,
toute honte bue,
oui, jaimerais que tu viennes,
»
Moi : « Ce sera avec un plaisir certain,
tu sais ce que tu devrais faire,
»
Véro : « Dis moi,
«
Moi : « Je veux que tu portes une jupe droite,
»
Véro : « Une jupe droite,
cest pas très pratique,
si je devines ce que tu veux faire,
mais,
»
Moi : « Comme tu dis, cest vrai,
mais quand tu remontes ta jupe,
et quapparait ta toison blonde,
cest excitant au possible,
tu es bandante,
»
Véro : « Si je comprends bien,
je serais nue sous ma jupe,
»
Moi : « Oui,
tu as tout compris,
»
Véro : « Je pensais que tu étais fou,
mais là,
ça devient grave,
tu me vois quitter la maison les fesses à lair,
ny pense pas,
Si B sen apercevait, tu vois la crise,
»
Moi : « Mais non, tu quittes honorablement vêtue,
cest au bureau tu enlèves ta petite culotte,
et quand jarrive,
tu nas quà remonter ta jupe,
»
Véro : « Cest pas à moitié fou,
cest complétement fou,
»
Moi : « Mais non,
je suis sur que déjà,
tu y réfléchis,
et que ça te donnes, des idées,
»
Véro : « Arrêtes,
je ne peux pas faire ça,
»
Moi : « Mais si,
je suis sur que quand je viendrais te voir,
ta secrétaire mintroduira dans ton bureau sans me faire attendre,
»
Véro : « Il est fou,
voilà les autres,
»
Moi : « Remontes vite ta jupe,
une dernière caresse sur ta chatte,
»
En même temps elle remontait sa jupe et disais tu es fou. Et le temps dune caresses sur le maillot elle descendait pour changer de chauffeur alors que AL en faisait autant.
A peine lautre véhicule parti AL se retourna vers moi : « Tu pourrais me dire bonjour et membrasser
» Ce que je fis et discrètement glissais une main sous sa jupe.
AL : « Profiteur,
tu ne pourras rien, jai mis mon maillot,
»
Moi : « Enlèves le,
on est seul,
»
AL : « Mais tu es fou
»
Moi : « Oui de toi,
et de tes seins,
et de ta chatte,
»
Al : « Arrêtes, on rentre à la maison,
»
Moi : « OH,
on ne peut pas,
tu sais bien,
on doit tous se retrouver,
quest-ce qui cest passé,
»
Al : « Rien,
fous moi la paix,
»
En moi-même, je ne savais pas ce qui cétat passé,
mais je savais que ce nétait pas le moment de poser des questions,
donc direction la plage et les copains.
Plage, baignade, bronzage, volley,
la seule chose su je pus faire, pendant une partie de volley-ball, je réussis à croiser Véro et lui glisser : « Jupe droite,
» puis baignade de nouveau avec AL.
Après le déjeuner dans le maquis installé en bord de plage, nous rentrâmes calmement à la maison. Et, là, à peine rentré, AL se jeta dans mes bras : « Prends moi dans tes bras,
sers moi fort,
oh,
viens,
pardonnes moi,
viens, fais moi lamour,
jai envie de toi,
oui,
viens,
» Pas le moment de se poser des questions, à peine dans notre chambre AL était allongée sur le lit, le compas de ses jambes largement ouvert, offerte. « Popol » trouva la positon intéressante et il se redressa avec orgueil, prêt à servir. Alors que jarrivais vers le lit, elle se retourna et se mettant en levrette : « Non,
prends moi comme ça,
montes moi,
montes ta chienne de femme,
oui,
montes moi dessus,
» Comment refuser une telle proposition lors que javais devant moi offert son joli cul et son adorable chatte aux belles grosses lèvres. Sans hésiter je menfonçais dans son minou, tout chaud, cela fut apprécié : « Oui,
prends moi,
jaime te sentir sur moi,
baises moi,
baises moi fort,
» Je navais pas besoin dencouragements et je commençais à la ramoner avec application et force, cétait un long râle de plaisir : « Oui,
continues,
ne tarrêtes pas,
» Malgré ce que javais fait avec Véro, le matin il me fallait satisfaire cette femme, non cette femelle qui cramponnée aux draps ne demandait quune chose cétait se faire sauter pour certainement oublier la nuit précédente et dont japprendrais, les détails ultérieurement. Pour le moment il fallait la satisfaire, dautant quelle semblait ouverte et prête à se faire baiser à se satisfaire et me satisfaire. Pour lexciter un peu plus, alors que je la ramonais avec énergie, je lui claquais les fesses, ce qui la fit se cabrer : « Oui,
ça fait longtemps que tavais pas fait,
continues,
ne tarrêtes pas,
je vais jouir,
OOOOHHHH,
oui continues,
OUIIIIIIIIII,
» et elle eut un beau spasme, mais emmanché comme jétais, je continuais à la ramoner avec application ce qui la fit repartir : « OUIIIII,
continues,
OOOOHHHH,
OUIII,
» elle eut un nouveau spasme, alors que je me vidais et remplissais sa chatte de mon plaisir. Vidé et fatigué, je me laissais choir à ses cotés. Elle vint se caller contre moi et nous endormîmes pour une sieste réparatrice.
Environ une heure après, je me réveillais et méloignais doucement du lit, pour aller prendre une douche et vaquer à quelques bricoles à faire dans mon bureau.
Peut-être une grosse heure plus tard jentendis Al qui se levait et qui disait : « Je prends une douche et on se retrouve dans la salle de séjour, prépares nous un thé STP »
Exécution, pas de discussion, une bonne demi-heure plus tard, alors que javais préparé le thé et que jattendais AL, surpris, jentendis un bruit de talons hauts, et la porte souvrit sur AL disant : « Monsieur, la call girl que vous avez demandée est là,
»
Moi : « Wouah,
» Je mattendais à tout sauf à ça. AL qui habituellement se maquillait toujours légèrement était « outrageusement » maquillée. Montée sur des escarpins à talons aiguilles, dévêtue dune guêpière noire. Une bande de tissu au-dessus et en dessous des seins les maintenaient fermement, le reste en tissu ajouré était absolument transparent, et sarrêtait naturellement au dessus de la touffe avec des jarretelles qui tendaient des bas noirs aussi transparents. Elle traversa la salle de séjour et revint en tortillant son joli cul. Leffet était saisissant, enfin elle vint et sarrêtât devant moi, les mains sur les hanches et les jambes légèrement écartées, provocante. « Alors,
ça te plait,
»
Moi : « Belle présentation,
tu es bandante,
» et comme elle était à un portée de bras, je tendis le bras et introduisais ma main dans son entrejambe pour prendre sa chatte. Mon geste fut apprécié, car AL plia légèrement les jambes pour poser sa chatte dans le creux de ma main.
Moi : « Hum,
je vais te caresser,
je suis sur que tu es toute chaude,
»
AL : « Oui,
juste une caresse,
après tu tassieds sur la chaise,
je vais te faire lamour,
»
Je la caressais doucement et comme cétait tentant, je laissais trainer un doigt dans la fente de ses grosses lèvres, la réaction fut rapide, elle recula et : « Tu nes quun traitre,
on ne peut pas te faire confiance,
mets toi sur la chaise,
» Il ny avait quà obéir, cest ce que je fis et en même temps je tombais short et caleçon, ce qui permit à « popol » de se redresser, enfin dessayer de faire honneur à son propriétaire.
Voyant la chose, AL sempressa de le prendre en main et en me disant : « Je men occupe,
» saccroupissait et ayant passé un grand coup de langue, se mit à le branler légèrement du bout des doigts et leffet fut pratiquement immédiat puisque « popol » se redressa ce qui fit dire à AL : « Là, tu me plais,
jaime quand tu es comme ça,
je vais te gouter,
» et aussitôt ses lèvres entourèrent le gland, le parcourant doucement : « Jaime quand tu deviens dur,
jaime te sentir gonfler dans ma bouche,
» et elle se mit à me pomper doucement, mavalant presque entièrement. Mais à ce petit jeu, je ne pouvais pas tenir longtemps et je lui dis : « Arrêtes,
tu vas me faire éclater,
» à regret, elle se redressa et menjambant vint se mettre à la califourchon sur mes jambes en même temps quelle me guidait et faisait en sorte de littéralement sempaler sur ma bite fièrement dressée. Et je menfonçais dans son intimité ouverte, chaude. Alors AL sactiva elle montait, descendait, le long de ma trique, alors que je la tenais par les hanches : « Oui,
cest bon,
continues,
» alors que je ne faisais, disons, que subir et elle accéléra le mouvement : « Oui,
jaime,
baises moi,
oui fort,
comme ça,
retiens toi,
» et tout dun coup elle sempala avec force sur ma trique : « Oui,
je jouis,
OUIIIIIII,
encore,
OUIIIIIII,
» et elle eut un splendide spasme qui la fit se contracter brutalement, pour enfin se laisser aller essoufflée contre moi. La position étant relativement inconfortable, nous allâmes nous câliner sur le sofa. Cest là, que contre moi que josais enfin lui poser la question de sa colère. Alors là, je fus servi. En fait, elle se raconta : « B avait été surpris et furieux du changement de chauffeur. Arrivés à la maison, je lui proposais un verre, pour quil se calme, je passe les détails, mais il mexpliqua quil était fatigué,
jétais furieuse, et je lui ai quil pouvait aller se reposer dans la chambre dami
»
Moi : « Il a abandonné la partie,
»
AL : « Sans problème.
Tu avais raison, cest un dragueur,
là il est bon,
mais pour le reste, un petit cinq à sept,
non six à sept,
et au revoir,
Il ne tient pas la distance,
» Que pouvais-je dire, sinon, que je commençais à comprendre Véro, et AL de reprendre : « Jaurais du técouter,
et pas tomber dans son piège,
la prochaine fois je técouterais et,
je tobéirais,
embrasses moi,
» Le calme était revenu. Enfin se levant : « Je vais me changer,
et mettre une robe,
»
Moi : « Non,
gardes ça,
et mets une robe par dessus,
je pourrais imaginer,
»
AL : « Ça ta plu,
»
Moi : « Oui,
beaucoup,
mais où as-tu eu cette parure, ... excitante,
»
AL: « Cest Véro, qui ma dit quelle avait reçu ces dessous,
»
Là, ça a été le choc,
ma femme et ma maitresse se filaient des tuyaux sur leur tenue, sur leurs dessous,
jétais sacrément mal parti.
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