Aventure Dans Les Caraïbes

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

L'été dernier, nous avions réservé une semaine de villégiature dans une petite île perdue des Caraïbes. Nous emmenions la sœur cadette de ma femme pour la récompenser de sa réussite de fin d'études secondaires. Pour nous présenter, je dirais que je suis courtier en valeurs mobilières, âgé de 28 ans, ma femme est une commerciale de 24 ans et sa sœur de 17 ans se prépare à entrer à l'université.
Mon épouse Anne et sa sœur Dany sont toutes deux de grandes et belles jeunes femmes blondes. Malgré la différence d’âge, elles sont très proches et honnêtement, je n’ai jamais envisagé Dany sexuellement.
Depuis la Floride, nous avons pris un petit bimoteur de 12 places à destination de cette petite station balnéaire, qui offre dans un cadre exceptionnel, une semaine de détente avec la plongée en apnée, le tennis et beaucoup de soleil au bord d'un lagon turquoise.
Il y avait 6 autres personnes sur ce vol, un couple dans la soixantaine, 2 hommes d'affaires et deux autres gars qui semblaient être eux-mêmes originaires des îles.
Nous avons dû attendre pour récupérer nos bagages, et nous étions les trois derniers à nous présenter dans la zone douanière. Tous les autres passagers étaient déjà sortis de l’aérogare. Les ¨fonctionnaires¨ (police, douane, milice?) qui travaillaient ici étaient tous des colosses noirs au physique impressionnant. Ils étaient au nombre de huit et étaient tous en uniforme Kaki, chemise saharienne et bermuda. Chacun avait au ceinturon une arme de poing d'un côté et une matraque de l'autre. Les ¨fonctionnaires¨ étaient hilares quand nous sommes arrivés et ils semblaient juste se moquer de nous dans un dialecte que je ne comprenais pas. En s'approchant du comptoir, il devenait évident que ces gars-là avaient bu ou fumé de la mauvaise herbe, car on pouvait voir qu'ils étaient tous complètement saouls.
Tandis que l'officier posait les questions de base sur ce qu'il y avait dans nos bagages, combien de temps nous avions prévu de rester et des choses comme ça, j'étais très inquiet sur la façon dont ses sbires regardaient Anne et Dany.

Anne et Dany semblaient également très craintives. Soudain, l'officier a décrété que nous devions passer à la fouille pour vérifier si nous ne transportions rien d'illégal. Avant que l'on puisse discuter, un gars avait sorti son arme et les autres nous poussaient tous les trois contre le mur. Alors que je subissais juste une fouille rapide, je pouvais voir quatre mains noires palper longuement Anne et Dany. Elles étaient toutes les deux légèrement vêtues de débardeurs et de shorts courts sous lesquels il était impossible de dissimuler quoi que soit, mais les ¨fonctionnaires¨ semblaient très préoccupés par de possibles caches au niveau de la poitrine et des fesses des deux femmes et leurs palpations devenaient lourdement insistantes.
Tandis que je regardais incrédule, impuissant, j'ai vu ces ¨fonctionnaires¨ noirs retirer les vêtements de ma femme et de ma belle-sœur. Ma femme est plutôt pulpeuse, avec des hanches larges et des seins lourds. J'ai été surpris de voir à quel point Dany était athlétique. Contrairement à ma femme au pubis soigneusement taillé, Dany a une touffe hirsute couvrant sa chatte. Cet fille de 17 ans était le fantasme de tous les hommes présents. Et je restais là à regarder ces hommes noirs planter leurs gros doigts dans les chattes des filles à rechercher on ne sait quoi en lutinant leurs tétons.
À ce moment-là, le "capitaine" a sorti un sac de poudre blanche de son bureau et a déclaré que nous étions accusés d’être en possession de drogues illicites. Avant que je puisse rétorquer, il a ajouté que nous pouvions gérer cela de deux manières différentes. La méthode pénible serait d'être inculpés et enfermés dans la prison locale. La méthode facile était de laisser les filles leur donner un peu de bon temps. Anne a dit: "Tim laissons les faire ce qu’ils demandent, si nous allons en prison, nous serons violées de toute façon, en acceptant leur marché, nous pourrons partir d’ici plus rapidement."
Je les ai regardées, j'ai vu qu'Anne était effrayée, mais au moins elle réfléchissait vite. Dany, cependant, avait un drôle de regard songeur sur son visage et je réalisais qu'elle était beaucoup plus excitée qu'apeurée.
Tous les trois, nous ont été entraînés vers une zone de huttes préfabriquées derrière le petit terminal aéroportuaire. Dans un bungalow, il y avait des nattes sales jetées sur le sol. J'ai été allongé à plat ventre sur une table et ils m'ont ligotés les quatre membres aux quatre pieds de la table. J'étais attaché de telle façon que je ne pouvais presque pas bouger. Les femmes ont été dénudées et jetées sur les tapis et les ¨fonctionnaires¨ se sont occupées d'elles. J'ai regardé ces brutes écarter sans ménagement les jambes de ma femme et un énorme chibre noir l'a pénétrée sans préparation. Elle a hurlé et s'est débattue, mais ils étaient quatre malabars sur elle et elle n'a rien pu faire. Un autre gars s'est allongé contre sa tête pour lui baiser la bouche, et les deux autres lui bloquaient les bras en jouant méchamment avec ses seins. Elle était presque entièrement recouverte par les blacks, seules ses jambes étaient visible de chaque côté de l'homme qui la pénétrait.
Dany subissait le même traitement, mais avec un comportement diamétralement opposé à celui de sa grande sœur. Elle ondulait du bassin, épousant le rythme du type qui la baisait. Elle suçait avidement le type agenouillé au-dessus de sa tête et utilisait ses deux mains sur les sexes des deux derniers. La tournante était bien réglée et les hommes changeaient de place rapidement. J'ai regardé le ballet parfaitement synchronisé des huit gars se retenant un maximum de temps avant d'éjaculer sur les femmes.
Anne a été prise plusieurs fois dans le cul, mais Dany n'a pas été sodomisée. Anne a subi une succession d'agressions sexuelles sans parvenir à se défendre, mais Dany participait activement à la tournante. Il me semblait que ces brutes privilégiait Anne pour les sévices parce qu'elle était passive, tandis que Dany, ils la baisaient comme une salope. Je suis resté perplexe quand j'ai Dany sucer l'anus d'un gros noir comme si c'était un réglisse. Il me semblait qu'elle n'en avait jamais assez.
Après environ 4 heures de baise presque continuelle, ils ont commencé à fléchir. Chaque gars avait foutu chacune des femmes de nombreuses fois. Pendant tout ce temps, ces gars-là buvaient et fumaient, ils ne semblaient jamais manquer d'énergie.
Ils m'ignoraient. Sauf à un moment. Anne a été e à genoux, et le gars a éjaculé dans sa bouche. Ensuite, il a obligé ma femme m'embrasser, mettant son sperme dans ma bouche.
Ils ont demandé à Dany si elle m'avait déjà baisé. Ils m'ont libéré pour qu'elle puisse me sucer. J'étais très excité par tout ce que j'avais vu et par Dany qui était déchaînée. Elle m'a sucé et léché le cul, ensuite je l'ai baisée. Tout le temps que je baisais ma belle-sœur, ils ont fait regarder ma femme. Quand sa sœur m'a fait venir, Anne a pleuré. Dany était d'une sensualité incroyable. Anne n'avait jamais avalé mon sperme, et je suis convaincu que jusqu'à aujourd'hui elle n'avait jamais fait ça. Dany était vraiment faite pour ce boulot. Elle ranimait les gars qui s'endormaient. Sa bouche était un puits de velours qui vous arrachaient les gouttes de sperme contenues dans les bourses. En éjaculant je me suis excusé, lui disant que j'étais désolé, mais elle a rit en disant:
"T'inquiète pas Tim, j'ai déjà pratiqué de nombreux mecs, je suis comme on dit une salope, et j'ai souvent rêvé de le faire avec toi."
Je pensais que le cauchemar se terminait, nous étions dans cette hutte depuis de nombreuses heures. Mais j'avais tort. Deux des gars sont allés au village en camionnette et ils ont ramenés des renforts. Une douzaine d'adolescents âgés d'une quinzaine d'années.
Ils ont rigolé en disant que c'était un jour de fête pour les gamins du patelin et qu'ils leur offraient deux putes blanches à baiser.
Et le manège a recommencé avec ces s qui bourdonnaient autour des filles comme des sauterelles. De jeunes et vigoureux sexes noirs entraient et sortaient des orifices des filles sans arrêt. Les mains palpaient et pétrissaient les chairs tendres tandis que leurs bouches, leurs culs et leurs chattes étaient prises d'assaut en même temps.
Plusieurs fois, j'ai vu Anne perdre conscience, sans que ça dérange le moins du monde ses tortionnaires.
Mais Dany était dans son élément. Elle dirigeait la manœuvre comme si elle avait toujours fait ça. Elle n'était jamais rassasiée.
Au cours de la journée, plusieurs locaux sont venus assister aux ébats. Certains ont même participé. Les ¨fonctionnaires¨ offraient les femmes blanches à qui les voulaient. Même une femme locale est venue participer à l'orgie.
Les ¨fonctionnaires¨ utilisaient Anne pour assouvir leurs instinct sadiques. Ils la traitaient plus durement que sa sœur. Souvent, Anne a été frappée quand ils n'étaient pas satisfaits de sa prestation. Un moment, personne ne s'occupant d'elle, Anne est allée se recroqueviller dans un coin de la pièce pour se reposer. En voyant cela, ses bourreaux sont allés lui pisser dessus en riant.
Dany avait été bien baisée et elle avait la chatte dégoulinantes de sperme. Alors, ils ont Anne à manger la chatte de sa sœur pour qu'elle soit bien propre. Chaque fois qu'ils pensaient qu'elle ne faisait pas correctement son travail, ils la fouettaient avec leurs ceinturons.
Ils ont trouvé d'autres jeux en fin de journée. Ils m'ont fait baiser Dany et ils ont obligé ma femme, Anne, à me lécher le cul pendant que je baisais sa sœur. Mais c'était très agréable pour moi et je suis venu très abondamment ..
Finalement, au bout de presque deux jours de s et d'humiliations, la navette pour la Floride revenait faire une rotation.
On nous a fait prendre une douche, nous changer, et on nous a escortés jusqu'à l'avion en prétendant au commandant de bord que nous étions refoulés parce qu'ils pensaient que nous pouvions être des terroristes. On nous a bien prévenus de rentrer chez nous sans faire d'histoires et d'oublier tout ce qui s'est produit. Que si nous souhaitions en informer quiconque, nous aurions de sérieux ennuis. Nous avons décidé d'obtempérer et de rentrer chez nous.
Cela fait presque deux ans maintenant. Anne et moi sommes toujours ensemble, mais ce n'est pas pareil. Les séquelles des s subies font que ma femme, Anne, se supporte plus aucun contact physique avec moi. Si j'essaye de la forcer, elle se soumet en pleurant.
Dany, à l'université, s'amuse bien. Il y a beaucoup de noirs et maintenant elle préfère leur compagnie à celle des blancs.
Elle participe à des fêtes qui se terminent en gang-bangs et elle adore ça.
J'ai appris tout cela récemment. Dany avait invitée sa sœur, Anne, à la rejoindre à l'université pour un week-end prolongé. Soi-disant pour lui changer les idées et qu'elle retrouve un peu le moral. Dany avait arrangé une petite fête avec des hommes noirs. Ma femme, Anne, y a participé. Dany m'a raconté cela en précisant que ma femme s'était bien amusée. Quand j'ai demandé des explications à Anne, elle m'a confié qu'elle préférait baiser avec des noirs qui la dominent sexuellement.
Elle exulte lorsqu'elle se soumet aux exigences d'un mâle noir puissamment équipé, alors qu'avec moi, elle angoisse.
Anne s'est excusée en précisant que si je voulais me séparer d'elle, elle comprenait. Mais elle a aussitôt ajouté que si je voulais rester avec elle, je devais l'accepter telle qu'elle est. J'ai accepté de lui laisser un espace de liberté pour conserver ma femme. Désormais, un week-end sur deux, elle va rejoindre sa sœur à l'université pour se faire niquer par de jeunes noirs bien montés.
Je ne sais pas où iront nos vies, mais soyez avertis de ne jamais voyager dans une île perdue, et restés dans les principaux lieux touristiques.