Collection Soumise. À Soumise, Soumise Et Demi (1/1)
Marié à Véronique depuis sept ans, nous parlons souvent de cette année cruciale pour notre couple si lon écoute les dictons sur cette année maudite pour les couples.
Chaque fois que nous faisons lamour, nos jeux érotiques sont toujours aussi plaisants.
Aucun lieu tabou, aucune position non plus, seul lendroit est toujours le même, lintérieur de notre pavillon.
Un soir dété, je lui ai proposé de sortir dans notre jardin alors que nous étions nus et que je savais que les voisins de limmeuble den face pouvaient nous voir.
Je lai prise par la main, arrivé à la porte, elle a compris où je voulais lentraîner, elle a reculé refusant de me suivre lorsque je lui ai dit que nous allions faire lamour sur la pelouse.
Je dis bien la prendre, car pour pimenter nos jeux dans la maison, jai réussi à la faire sexprimer sur ce quelle ressent avec des mots crus ou au moins explicites.
Pour rigoler, je lai laissée, la prévenant que ma bite resterait au repos tant quelle refuserait de sortir pour se faire enfiler à lextérieur.
Dix jours à dormir le cul tourné, je me rendais aux toilettes du boulot afin de me masturber pour éviter de craquer.
Plusieurs matins, je me suis réveillé sa main sur ma verge, verge qui voulait me trahir, bandant comme un taureau.
Cétait le huitième jour, pour lui faire voir que jétais déterminé, jai pris mon oreiller et suis parti sur le canapé.
La neuvième nuit a été un calvaire, je suis grand, il fallait que je me plie pour tenir dessus.
La dixième nuit, je venais de minstaller lorsquelle est venue nue, ma pris la main et ma entraîné dehors, dès que nous avons été sur la pelouse, elle sest agenouillée et m'a présenté sa chatte en levrette.
Pendant les deux jours suivants, cest elle qui ma entraîné dehors.
La prendre sur la pelouse était devenu routinier, jai voulu changer le jeu, alors quelle se mettait en position, je suis passé devant pour quelle me suce la bite, mais comme des fenêtres de limmeuble étaient encore allumées, elle a commencé par refuser.
Moi qui suis toujours prévenant avec elle, je lui ai saisi les cheveux en les tirant sans les arracher, une nouvelle fois, javais gagné, elle ma engamé et je me suis déversé dans sa bouche.
Chaque fois quelle me suce, je sais quelle refuse davaler, cest le cas ce soir, voulant profiter de la pelouse, lorsque lordre tombe.
Avale.
Malgré la nuit, je vois le mouvement de rejet de son corps, mais loreille que je lui tourne la rappelle à lordre et elle avale tout.
À partir de ce moment, je cherche de nouveaux jeux pour entretenir ces nouvelles pratiques, son portable va maider, je lui ai envoyé un SMS lui demandant de partir de la maison, sans mettre sa petite culotte.
Aucune réponse et lorsquelle arrive, je la vois rougir, je suis certain quelle a évité de suivre mon ordre.
Pour la première fois, je lui parle rudement minterrogeant sur mon avenir avec elle, en ayant assez quelle me résiste.
Elle a essayé de se défendre finissant même par pleurer, essayant de comprendre pourquoi je devenais si dur avec elle, une nouvelle fois, jai été intransigeant, le jeu devenait de plus en plus bandant pour moi.
Ce mardi, mon patron nous a donnés un jour de repos, une invasion de petites bêtes loblige à fermer les services pour quune société de désinsectisation intervienne.
Pourtant, le matin, je pars sans lui dire que je suis libre toute la journée afin de profiter dune journée dévasion.
Le matin balade dans un parc midi resto en regardant les jolies filles passer et laprès-midi théâtre porno vers Pigalle.
Le lendemain, lorsque je suis arrivé à mon travail, les petites bêtes étaient toujours là et cest nous quils avaient nettoyées, les machines étaient parties et mes bureaux vidés laissant des cartons avec nos affaires personnelles, ils ont licencié tout mon service et moi avec.
Le jour même, je retrouvais du travail grâce à mon camarade de promotion qui me tannait pour que je vienne laider à développer son entreprise.
Je me retrouvais deux mois au repos, car je devais commencer après les vacances et la fermeture annuelle.
Jétais gagnant, mon salaire augmentera et son usine était plus près de la maison.
En me levant le matin, elle était partie à son lycée où elle est professeur de mathématiques.
Posé sur mes chaussons, un Post-it rose me donnait le code des priorités des couleurs à suivre dans les divers points de la maison.
Rose urgent.
Bleu moins urgent, mais à faire dans la journée.
Vert sous quarante-huit heures.
Jaune les plus terribles immédiats.
Elle mavait préparé le déjeuner, mais javais sur un Post-it jaune la liste des courses à faire pour que nous puissions manger le soir.
Ce travail lui incombait depuis que nous étions mariés.
Je fais le tour de la maison du sol au plafond, je vois des dizaines de ces petits papiers.
Le linge, la serpillière, la pelouse que je tondais, cette tache lui incombant déjà, ainsi que la poussière sur les meubles à oui, joubliais, changer les draps et faire le lit à fond et surtout faire la machine à laver avec ces draps et les étendre dans le jardin.
Bref, le soir lorsquelle arrive, je suis cassé et après manger au lieu de regarder la télé, je me prépare à aller me coucher.
Où vas-tu, viens ici.
Javance jusquau canapé et je la découvre le bas du ventre dénudé et la chatte étalée à mon regard.
Viens me sucer.
Je suis étonné, cest la première fois quelle me donne un ordre surtout sur le plan sexuel, jai un mouvement de réticence, car dans un couple, lhomme propose la femme dispose.
Les quelques secondes dhésitation me sont fatales.
Dommage, tu viens, de perdre ta chance, vas te coucher.
Je magenouille voulant lui honorer la fente lorsquelle se redresse.
Non, demain si je suis disposé. Va te coucher.
Je me dirige vers lescalier lorsquelle se lève et marrête.
Où vas-tu, la chambre, cest pour les gens qui travaillent, regarde, jai amené ton oreiller, tu vas dormir sur le canapé, tu seras sur place pour attaquer ton travail demain matin ?
À oui, je tai mis le réveil à six heures pour que tu me prépares mon petit-déjeuner.
Quest-ce que tu prends ?
Sept ans de mariage et tout ce que tu sais dire, cest quest-ce quil te prend.
Deux jours pour repeindre la cuisine, en jaune, jaime.
Comme tes Post-it.
À cette heure, je suis fatigué moi, jai un métier, garde ton humour.
Elle monte vers notre chambre, je prends, mon oreiller, je la rejoins dans la chambre où elle vient de se coucher en plein milieu du lit.
Tu te pousses.
Daccord, tu refuses, le canapé, je taccorde de coucher sur la descente de lit à mes pieds.
Le ton sur lequel elle me parle est sans appel, je sens en moi un sentiment de plaisir dexécuter ses injonctions.
Je me couche sans oublier de placer mon portable près de moi sur le vibreur afin de me lever à lheure.
La nuit est terrible, dormant très mal, voire pas du tout.
En me levant, je suis cassé.
Elle a lhabitude de se lever à sept, aujourdhui elle a cours à neuf heures.
Jai le temps de lui préparer un déjeuner copieux, je lui prépare du thé boisson quelle prend le matin.
À sept heures moins-le quart, je monte lui couler un bain avec les sels odorants quelle aime bien.
Elle arrive nue, toujours bandante.
Je veux lembrasser, mais elle tourne la tête.
Tu tes lavé la bouche.
Après déjeuner.
Parle-moi sur un autre ton, à partir de maintenant tu les laveras dès que tu seras debout.
Oui, daccord.
Oui, qui.
Son ton cassant me glace presque le sang, cest la première fois que je lentends avoir une telle intonation.
Je crois que ce soir, je vais passer acheter un martinet pour les s qui sont méchants et nous irons sur la pelouse, tu sais sous les fenêtres des voisins et tu recevras la trempe que tu auras méritée.
Alors, oui qui ?
Comment, veux-tu que je te nomme, oui ma salope ?
Et en plus, il minsulte, tu vas avoir double dose ce soir.
Le soir, elle arrive avec un gros sac en main, elle a changé de vêtements, elle a son imper bien que la pluie soit inexistante depuis des jours, elle lenlève, elle a une tenue en cuir noire avec des bottes à la DArtagnan, elle sort une cravache.
Cest en tenue de dominatrice quelle sest affublée.
Tu m'as demandé comment me nommer, Maîtresse Véroniqua, ce sera mon nom à partir de ce jour.
Elle va vers le meuble de la salle et passe un gant de velours dessus.
Travail de salope, ma petite fiente, amène ton cul que je lui montre comment ton travail doit être fait.
Cest la première volée que je ramasse, mon cul me brûle toute la nuit, sa cravache est loin dêtre le seul objet quelle ait acheté, non loin du centre de notre ville, elle me met mon collier, je deviens son toutou, jai voulu jouer au jeu de la soumission, jai perdu.
Jai perdu, elle était plus forte que moi, quoiqu'aie-je réellement perdu, je me surprends à aimer être son petit toutou, en ce moment, je suis sur la pelouse, à quatre pattes, je dois dire trois, car je lève la patte arrière droite, pour marquer mon territoire.
Contrairement à elle, nul besoin de subterfuge pour que je sois un chien bien soumis.
Sexuellement, je dois attendre que ma femme soit chaude comme doivent lêtre les chiennes pour procréer, une vraie vie de chien.
Ouaf !!
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