Pélerinage À La Ferme
Cet été nous somment partis en vacances avec mon copain, pour la première fois seuls, dix-huit ans tous les deux nos revenus sont modestes pour ne pas dire nuls !
Toutefois aidé par nos parents, ma mère ma filé en douce un ptit supplément et mon père en a fait autant me faisant promettre de ne pas en parler à maman, et comme les parents dÉlodie en ont fait autant cest à se tordre, nous pourrions nous payer lhôtel ! toutefois la réalité est bien là, notre résidence sera la tente quatre places usagée des parents qui date du début de leur rencontre, je me doute tout ce qua pu abriter cette toile
et je compte bien lui en faire voir de toutes les couleurs a cette tente délavée ! ma Twingo loin dêtre neuve chargée a bloc, nous prenons par un matin ensoleillé la route par la campagne, vers un endroit où avaient séjourné mes parents ils en gardent apparemment des souvenirs inaltérables
sans vouloir sétendre sur ce sujet ! cest une sacré expérience qui vous attend, si vous revenez ensemble ce sera pour la vie, ce sont les parole énigmatiques de mon père
Cest un petit camping à la ferme dans les landes ou les propriétaires fournissent moyennant finances légumes, ufs, conserves, glace réfrigérante etc. cest le fils qui a pris la gestion de la ferme, le vieux paysan, un grand gaillard maintenant à la retraite, bien que dapparence encore bien vert, se contente de la fourniture des légumes du jardin quil produit, mais se souvient comme si cétait hier de mes parents, surtout de la petite blonde nommée Yvette, prénom de ma mère, là aussi impossible de lui faire dire plus
mais a la façon dont ils lorgne les yeux exorbités, la bave aux coins des lèvres sur les courbes gracieuses dÉloïse court vêtue jai peur de comprendre et préfère ne pas creuser
. moi qui nimagine même pas maman nue faisant lamour avec papa nu, alors avec un autre
- Vous serez bien ici les gamins, lair est sain, vous pouvez vous balader à poil autour de votre tente et même sur des hectares sans être dérangés, a part par des biches !
Ou par lui
après une bonne nuit réparatrice lenvie de faire lamour a Élodie me taraude de plus en plus, surtout quelle se balade décontractée du robinet deau à notre auvent, en sou vêtements, ceux que le lui ai offert à noël, et croyez-moi une créature ainsi vêtue, ou dévêtue, vous booste lentrejambe !
- Si nous allions nous balader a la fraicheur en forêt Minouche ?
- Encore marcher ? boooffff.
- Marcher jusquau ruisseau et sallonger dans lherbe tendre
- Toi tu veux me sauter ?
- Devine !
- Ça tombe bien jen ai très envie aussi !
- Tu as remarqué comme il te reluque le père Coutant ?
- Ha ? et sil avait baisé ta mère ? il est encore bien bâti, imagine il y a des années avant ?
- Arrête ! maman est fidèle !
- Et alors ? une aventure dété ne soublie jamais dit-on
- Tu as lair rêveuse, ça te brancherais un coup vite fait en vacance ?
- Avec le fils ? pouah ! il est tout difforme !
- Avec son père ?
- Il doit avoir des talents cachés, au fait ce soir il nous faudra des légumes pour le diner
- Et bien sûr tu comptes bien aller voir le patron seule ?
- On ne va pas y aller à deux pour un kilo de patates ? ! en mattendant tu me prépareras un apéro bien frais
- Ôte tes fringues chérie je vais te faire voir des étoiles
- Ben dit donc tu bande avant davoir fait un seul préliminaire ? cest cette idée de cocufiage qui texcite ?
- Je ne comprends pas pourquoi ça me trouble à ce point de timaginer entre les paluches de ce paysan moi qui suis jaloux maladif
- Cest peut-être la voie de la guérison
prend moi maintenant Olivier... aaaaaaaahhhhoooooooooouuuuuuuuiiiiii
Je bandais dévoquer une telle situation cest sûr, mais je ne lavais trouvée rarement aussi mouillée, le soir nous avons étés a la douche dans la buanderie qui nous est réservée, jai voulu la pénétrer a nouveau mais elle a refusé prétextant que ça allais couler partout pour aller chercher des légumes, javais presquoublié
mon cur sest serré lorsquelle est partie dandinant son ptit cul dans ce minishort en matière luisante et ce débardeur qui laisse ses seins balloter, libres de toutes contraintes
Afin de ne pas penser au pire je me suis axé sur cet apéro que nous allions déguster certainement nus sous lauvent, pour finir à lhorizontale sur le matelas et baiser comme des animaux jusqu'à épuisement total
Une demi-heure
cest juste à côté ?
une heure, je piaffe lorsquelle arrive enfin rayonnante comme quelquun qui vient de faire une bonne farce
- Tas vu lheure ?
- Ben quoi ? on a beaucoup discuté, je suis polie moi monsieur !
- Ouais
et ton short taché cest quoi ?
- Où ça ?
- Comme par hasard au bon endroit, et pourtant tu nas pas voulu tirer un coup rapport à ça tout à lheure ?
- Si je te dis tout tu ne te fâche pas ?
- Je suis on ne peut plus zen, va y accouche !
- Il ma
- Quoi ? jai rien entendu, parle plus fort
- Il ma touchée
- Sans te baiser ?
- Pas aujourdhui
- Pardon javais pas compris ! ce soir il te doigte et demain il te baise ? cest logique !
- Il ma parlé de ta mère
- Stop ! je ne veux rien savoir
- Cest ton père qui las envoyée le voir afin quil la baise ! il était vraiment complices eux
- Cest vrai ? papa candauliste ?
- Quelle différence entre cocu et candauliste ?
- Cocu cest quand tu sais pas, candauliste cest quand tu es complice
- Alors tu veux être lequel ?
- Tu me fais chier Élodie
- Minou dis-moi quelque chose de gentil
- A poil sur le matelas et vite !
- Jaime quand tu es sévère avec moi, je vais être docile minou
regarde.
- Salope de chaudasse ! tes poils sont tous collés
- En me parlant Antoine, il sappelle Antoine le vieux, sest approché de moi pour me confier les trucs à loreille sur tes parents, il a maté mes nichons dans mon décolleté
- Et il les a touchés ?
- Oui
comme tu le fais maintenant... hhhhuuuuummm cest booooonnnn chéri !
- Ensuite ?
- Sa main est descendue entre mes cuisses il a malaxé fortement mon pubis jusqu'à faire suinter mon jus, doù la tâche, un doigt a réussi à trouver un passage à mon entrejambe, comme je nai pas de petite culotte dessous il sest facilement enfoncé
- Salope tu tes laissée faire sans rien dire ?
- Sans rien dire cest vrai, mais sans rien faire, non
il avait sorti son gros manche et ma posé une main dessus cétait bizarre comme truc, jai senti des grosses veines qui roulaient sous mes doigts quand je lai branlé
- Tu las masturbé ?
- Sent mes doigts
.
- Cest du foutre ?
- Je dois me laver les mains, ça poisse entre mes doigts
- Va préparer la bouffer garce
- Ha
autre chose le fils aussi a baisé ta mère, elle la déniaisé à la demande de ton père !
Le ciel me tombe sur la tête, ma mère une telle salope ? et mon père a accepté et favorisé de telles relations ? en réfléchissant je maperçois que je suis prêt à reproduire la même relation avec le même homme sous la même tente après des années décart, les salopes ce ne sont pas les femmes mais nous les hommes qui les poussons au vice
- Élodie ?
- Oui Minou ?
- Je te demande pardon pour tavoir reproché davoir eu une attirance pour le père Antoine
- Nen parlons plus, je vais faire attention à ne plus le provoquer
- Ce soir il va venir ici
- Pour quoi faire ?
- Te baiser sur notre matelas gonflable sous mes yeux
- Tu es sur ?
- Lhistoire se répète, maman sest faites sautée sous cette tente je veux que tu fasses la même chose, mes parents sont toujours aussi amoureux je sens que cest grâce à cette expérience
- Tu oublies que le fils aussi a baisé ta mère ?
- Alors le fils te baisera aussi
- Finalement il nest pas si moche que ça
.
Jai donc invité Antoine à venir boire un verre le soir après diner, à la tombée de la nuit pour plus de discrétion, il a hésité mais devant mon air décidé il a fini par accepter, je suis certain quil a compris le but de linvitation, Élodie ne sest pas embarrassée de frais de toilette autant aller droit au but, un paréo suffit à dissimuler son trésor fraichement épilé, étant dans une semi obscurité, assis à la table éclairée par une lampe à gaz Antoine sest signalé en toussotant au cas où nous ferions un câlin ! pourtant ce nest pas lenvie qui me manque
- Salut les gamins
- Bonsoir Antoine, asseyez-vous près dÉlodie
- Tu es belle ainsi éclairée ma puce, les ombres dansantes modèlent bien ta poitrine
- Merci Antoine
- Aaaaahhhh ceci me ramène bien des années en arrière, au séjour de tes parents Olivier, Élodie me rappelle beaucoup ta mère
même silhouette même gabarit
- Chérie ? emmène Antoine sous la tente
- Vient Antoine
- Quoi faire ?
- Me baiser comme tu as baisé Yvette autrefois
Sans se retourner Élodie laisse choir le paréo, cest nue quelle sallonge sur le matelas écartelée sans équivoque, Antoine bougonne et se lève en défaisant pantalon et chemise, il rejoint ma fiancée nu comme un ver , sa verge noueuse a moitié bandée balance mollement entre ses cuisses
ma copine allume la lampe de la chambre afin que je profite du spectacle , pour linstant je préfère rester à lextérieur doù je vois des ombres chinoises explicites, une barre énorme se détache du bas ventre tendu de lhomme, Élodie sen empare et avance le buste, la tête et la barre ne font quun, ma copine suce royalement le paysan qui tend les mains pour tâter les nichons en grommelant
Des onomatopées me parviennent, Élodie la bouche pleine ne peut répondre : aah oui tu me fais du bien salope, je vais te balancer la purée comme je lai fait à sa mère, ensuite je vais te bourrer la moule à en faire pleurer ton copain , malgré ma détermination jai eu un pincement au cur, sa petite chatte divinement étroite va être e par ce démonte pneu qui parait infatigable, soudain Antoine se crispe et met une main sur la tête dÉlodie qui ne peut échapper à la déferlante de foutre, dun revers de main elle sessuie la bouche et se laisse de nouveau tomber en arrière , le moment fatidique est arrivé , soit je mate soit je me précipite a lintérieur pour larracher aux griffes de ce prédateur qui lui écarte déjà les genoux aux maximum
- Minou ? MINOU ?
- Quy a-t-il chérie ?
- Vient me tenir la main
il va me pénétrer
- Jarrive mon amour
- Voilà une belle preuve damour les tourtereaux, ton père en a fait autant avec ta mère lorsque je lui ai enfoncé ma pine entre les cuisses, il a même passé sa main et un doigt avec mon membre pour être sur quil ne rêvait pas !
- Fait pareil chéri, att sa bite et guide la en moi
Jobéis parce quon fond de moi-même jai envie te toucher cette verge qui va disparaitre dans le ventre de ma fiancée, elle souvre la chatte de deux doigts afin que je pointe le gland suintant de sève là où il faut, la montagne de muscle arque son dos et bascule ses reins en avant, Élodie ouvre grand la bouche sentant ses chairs refoulées, je pose mes lèvres sur son front pour la rassurer
- Ça va aller, lâche toi ne retient pas ton plaisir, accepte entièrement cette verge
- Ooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii ! cest tellement boooooooooonnnnnnnnnnn, je vais certainement crier Minou, ne men veut pas
- Plus tu hurleras plus je serai heureux, il ta tout mis ?
- Enfonce un doigt avec sa bite tu sauras
- Putain quel engin, ta chatte est très écartée, ça coule partout
- Je mouille comme une vulgaire salope
- Tu es MA salope, mouille, pisse, jouis, je bande comme un âne
- Tu me feras lamour dans son sperme ?
- Évidemment, dès quil se sera retiré je te mets ma queue dans votre jus
Élodie a noué ses bras autour du cou de son amant et ses talons tapent dans ses reins comme pour linciter à la bourrer virilement, le mâle a compris le message et sarque-boute en assénant de violents va-et-vient faisant claquer les corps lun contre lautre, ma future femme a perdu tout contrôle et jouit sans discontinuer, la sueur coule de partout, ils sont seuls au monde
Par deux fois lhomme sest bloqué afin dévacuer son venin avant de retirer sa verge devenue flasque, pendouillant lamentablement entre ses cuisses
- A toi de jouer petit jai les couilles complètement à sec, je vous laisse.
- Merci Antoine a demain ?
- Demain ? ce sera mon fils qui aura droit à ta nana
.
Restant allongée Élodie me tend les bras, son regard exprime à quel point elle est comblée, sa chatte restée entrebâillée le confirme, je mallonge sur elle sans lui faire supporter mon poids, ma bite raide trouve seule le chemin du fourreau dilaté
- Je ne sens rien chéri
- Moi non plus
- Il ma vachement ouverte, prend mon ptit trou
- Jy pensais
tu vas accepter son fils demain ?
- Je crois que oui, à condition que tu participe aussi, ton père et le fils ont pris ta mère en sandwich
- Moi qui croyais être un pionnier du sexe
papa est un sacré baiseur !
Antoine a réussi à sodomiser Élodie après le passage de son fils et moi dans ses orifices malmenés, notre séjour na été que parties de culs, à la fin de notre séjour la vieille toile a rendu lâme, nous lavons brulée sur place
A notre arrivée papa et maman nous ont félicité nous promettant une vie amoureuse bien remplie
dailleurs je cherche des hommes bien membrés pour satisfaire Élodie, demeurée nostalgique depuis nos vacances à la ferme
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